ILLIMITÉ
Trois petits bols blancs
28 – RÉSUMÉ : Frédérique vient de mettre au monde deux adorables jumelles, Lise et Laure. Seule ombre au tableau, Sylvain n’a pas écourté son déplacement au Japon pour rentrer au plus vite auprès de sa famille. Quant à Esther, passée en coup de vent à la maternité, elle ne semble pas vraiment enchantée d’être grand-mère, du moins elle ne manifeste pas plus d’égards que cela pour sa fille et ses deux petites-filles. Heureusement, Pauline et Bérénice sont présentes pour leur amie, et font tout pour que son retour aux Aigrettes soit le plus agréable possible. Entretemps, les lettres envoyées du Liban par Souha et les grands-parents de Maïa, confirment à Pauline qu’elle peut engager la procédure d’adoption pour Maïa. Mais pour l’heure, elle prépare les travaux qu’elle doit exposer à la galerie de Rebecca. À la demande de Frédérique, qui a besoin de son soutien, Pauline a retardé son départ, alors que Sylvain doit arriver aux Aigrettes… (Voir Veillées no 3492 et suivants.)
Peindre la douloureuse inquiétude des enfants du Liban grandeur nature était au-dessus des forces de Pauline, même si, d’un point de vue strictement commercial, la vente de toiles aux dimensions spectaculaires aurait été plus intéressante. Mais encore une fois, elle ne voulait pas s’enrichir à partir d’un sujet aussi sensible. Si elle avait choisi ce thème, c’était avant tout pour faire honneur à Maïa et à Abel. La recette, de même que celle de l’exposition de photos, irait droit à l’association soutenant les orphelins de guerre. Bien sûr, après cela, Pauline se remettrait au travail d’une façon plus personnelle. Gagner sa vie, la vie de « sa » petite famille, devenait plus urgent
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