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Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION
Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION
Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION
Livre électronique149 pages1 heure

Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION

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À propos de ce livre électronique

Vous voulez libérer votre esprit de ses pensées négatives ? Vous souhaitez cheminer spirituellement, modifier le regard que vous posez
sur vous-même, sur votre vie et sur le monde ? Et s’il existait une clé, facile d’accès, vers la sérénité?
Marjorie D. Lafond vous invite à vous familiariser avec les bienfaits et les principes de base de la méditation :

• Découvrez comment cette activité peut vous aider à évoluer dans votre quête du bonheur ;
• Développez des techniques éprouvées et efficaces, telles que la visualisation, la respiration consciente et la récitation de mantras ;
• Voyez de quelle façon augmenter votre niveau d’énergie et mieux gérer votre stress en vous reconnectant à l’essentiel.

Ce guide inspirant présente des exercices concrets destinés à se détendre, à cultiver son sentiment de gratitude ou encore à accroître sa confiance en soi. Il renferme également des suggestions de pratiques saines qu’il fait bon adopter au quotidien, comme le yoga, la marche contemplative et l’aromathérapie. Le bonheur se tient à portée de main et la clé pour l’atteindre est accessible grâce à la méditation !
LangueFrançais
Date de sortie5 oct. 2022
ISBN9782898041945
Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION
Auteur

Marjorie D. Lafond

Marjorie D. Lafond a ouvert son coeur à la méditation à une époque où elle souffrait d’anxiété. Forte de ses expériences enrichissantes, elle partage ici les ingrédients gagnants qui lui ont permis de goûter enfin à la paix intérieure.

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    Aperçu du livre

    Le BONHEUR PAR LA MÉDITATION - Marjorie D. Lafond

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    Introduction

    La méditation : clé d’accès au bonheur

    Trop de choses à faire et pas assez de temps pour y arriver… Vous connaissez bien cette sensation écrasante ? Au rythme effréné où nous vivons, prendre le temps de se poser dans le moment présent semble un luxe bien trop souvent.

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    Pris dans le tourbillon des obligations de la vie en société, la plupart d’entre nous finissent par être à bout de souffle. Or, quand l’énergie commence à nous manquer, que la fatigue et le stress s’accumulent, c’est bien souvent notre confiance en soi qui en prend un coup. On n’en fait pas assez, ou alors on en fait trop. On réfléchit trop, on tourne en rond. Nos mauvaises habitudes nous tombent sur les nerfs. Bref, vient un temps où nous avons la sensation d’avoir perdu le contrôle de notre vie, ou tout simplement l’équilibre.

    Ce fut mon cas. Et qu’en est-il de vous ? Ressentez-vous un manque de sensation de bien-être au quotidien ? Si tel est le cas, il faut repositionner votre esprit, loin du tourbillon de mauvaises énergies qui s’agite en vous. Vous devez trouver un moyen de dompter le flot de vos pensées. Comment ? D’abord, en apprenant à vivre de manière plus consciente, puis en créant un espace de sérénité pour faire face aux événements de la vie. Et c’est ici que la méditation entre en jeu ! La pratique méditative, telle que vous la découvrirez à travers ce guide d’initiation, vous enseignera à mieux composer avec votre vie et votre routine modernes.

    Et si certains aspects de votre vie méritaient tout simplement d’être abandonnés ? Des aspects de votre vie qui n’ont plus lieu d’être, qui vous empêchent d’accueillir la nouveauté, et surtout le bonheur. Méditer permet ainsi d’établir une plus grande connexion d’abord avec soi-même, puis avec ce qui nous entoure.

    En apprenant à méditer, vous effectuerez en vous une sorte de nettoyage de l’esprit et du corps face à un mode de vie saturé d’informations en tous genres.

    Personnellement, la méditation me réussit lors­que je parviens à faire le vide en moi et à créer l’espace nécessaire pour enten­dre le silence au fond de moi. Et aussi lorsque je ressens cette sensation apaisante de connexion, comme si mon corps avait presque disparu et que je faisais maintenant un avec l’invisible, l’immatériel.

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    Quand j’ouvre les yeux et que je sens le calme m’emplir, cela me confirme que j’ai réussi ma méditation.

    L’atteinte de ce calme, de cette sérénité, faisant un avec le bonheur et l’amour, constitue ma quête quotidienne. Pour les années à venir, je souhaite me maintenir dans un état d’esprit propice à la santé, au bien-être général, à la prise de décisions éclairées – détermi­nées selon mes véritables aspirations et en accord avec mes valeurs.

    La vie nous oblige parfois à faire des choix déchirants pour nous ouvrir les yeux sur qui nous sommes vraiment. Pour faire face aux événements difficiles, tout comme pour maintenir un état d’esprit zen dans la routine, la méditation est un outil exceptionnel que nul ne devrait ignorer. Ce guide s’avère ainsi l’accompagnement parfait pour vos premiers pas dans l’univers de la méditation.

    Comme vous le découvrirez, la pratique de la méditation est accessible à tous. L’appren­tissage de la pleine conscience et de la transformation intérieure représente une véritable clé d’accès vers le bonheur.

    Vers un Soi, version améliorée

    Or, ne vous y trompez pas, la méditation n’est pas une solution miracle pour un changement vers une vie plus heureuse, en ce sens que les changements s’opéreront en vous progressivement, dès que vous intégrerez sa pratique dans votre quotidien.

    Laissez-moi vous faire part de mon propre cheminement.

    Enfant, j’aimais créer et écrire. J’adorais les livres ; je m’en fabriquais même avec quel­ques feuilles de papier que je liais avant de les plier en deux. Je composais des pièces de théâtre que mes amies et moi présentions dans le sous-sol, mais mon grand plaisir était de mettre le tout sur papier. Ado, je remplissais des cahiers de chansons, de poèmes, de confidences, et j’ai même écrit mon premier roman à seize ans – le tout simplement pour le plaisir, mais également avec ce rêve grandissant de devenir écrivaine. Or, j’étais une jeune fille timide, avec une faible estime de soi. Plus ou moins fonceuse, je n’aimais pas déranger, et pourtant je me sentais différente des autres. Mon grand intérêt pour l’art et la culture, je le gardais pour moi-même, dans mon jardin secret. Puis, ce fut l’époque du collège, de l’université et d’années rock and roll pendant lesquelles je travaillais dans le milieu des bars pour essayer de joindre les deux bouts. Étourdie, j’en étais venue à oublier ma passion pour l’écriture.

    Ces études à l’université en littérature risquaient de ne mener nulle part pendant que j’étais en train de me perdre à Montréal… Sage­ment, j’étais retournée dans les ­Lauren­tides, pour suivre mon amoureux qui préférait la banlieue. Malheureusement, du coup, je m’étais retrouvée loin des emplois qui m’auraient allumée, par exemple dans les maisons d’édition.

    Après mon baccalauréat, je croulais sous les dettes (prêts et bourses à rembourser). Heu­reusement, j’ai déniché un peu par hasard un emploi en région comme enseignante au secondaire. Un métier noble que j’ai appris à aimer. J’en ai même fait une carrière pendant près de dix ans. Afin de me qualifier légalement pour ce poste, j’ai obtenu une maîtrise (études à temps partiel).

    Mais le problème, c’est que ce métier ne collait pas à ma personnalité. Être enseignante, ce n’était pas moi. J’ai pourtant essayé très fort de me plaire et de trouver ma place dans ce travail. Mes élèves m’appré­ciaient, j’avais développé de bons trucs avec eux pour jouer le rôle d’une personne extravertie et autoritaire, ce que je n’étais pas du tout en réalité. Ça fonctionnait bien la plupart du temps. Et pourtant, même si j’étais malheureuse, je continuais à enseigner. Mon corps avait mal, mais je ne l’écoutais pas. J’exerçais ce métier parce que je croyais que c’était le seul que je pouvais faire, étant donné qu’il y avait un grand manque de personnel dans ce domaine. Comment aurais-je pu gagner ma vie autrement ? Moi, la fille introvertie, cultivée, bonne en français, sociable, mais sans plus. Pas très fonceuse, avec des aptitudes professionnelles que je jugeais limitées. Un job dans un secteur en pénurie de personnel, c’était parfait dans mon cas, car il y aurait toujours de la place pour moi.

    Or, au travail, à cause du personnage extraverti que je m’étais créé, tellement décalé de la vraie « moi », je devais déployer une énergie que je ne possédais pas pour passer à travers mes journées. Bref, je brûlais la chandelle par les deux bouts ! Je croulais sous le stress et l’anxiété. Comme vous vous en doutez, à force de ne pas m’écouter, je me suis rendue jusqu’à la dépression majeure. D’abord, j’ai nié farouchement l’existence de cette maladie. Il était impossible pour moi d’arrêter de travailler. Je devais payer l’hypothèque de la maison, alors j’avais besoin de mon salaire de prof. Je ne voyais pas de plan B. Je cherchais ce que j’aurais pu faire d’autre sur le plan professionnel, j’envoyais des CV lorsque des emplois me paraissaient intéressants, mais les employeurs ne me contactaient jamais… Mon CV ou mes présentations ne semblaient pas les intéresser. Allais-je devoir retourner travailler dans les bars ou la restauration pour me sauver d’un milieu qui me rendait malade ? Non, ce n’était pas pour moi non plus. J’aimais trop le monde de la culture. Il me fallait donc endurer mon travail en me rappelant constamment que j’aimais les jeunes et que j’aimais enseigner le français malgré tout.

    Jusqu’au jour où mon corps m’a dit, ou m’a crié, que je ne l’écoutais pas… Tout simplement, il a cessé de coopérer. Je ne mangeais ni ne dormais presque plus. Je maigrissais à vue d’œil. Je n’avais plus le choix : je

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