« Charézier » : différence entre les versions

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{{Ébauche|commune du département du Jura}}
{{Infobox Commune de France
| nom = Charézier
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| insee = 39109
| cp = 39130
| maire = BernardStéphane GirardotBellat
| mandat maire = [[Élections municipales françaises de 20142020 dans le Jura|20142020]]-20202026
| intercomm = [[Communauté de communes Jura Sud, Pays des Lacs, Petite Montagne et RégionTerre d'OrgeletÉmeraude Communauté]]
| longitude = 5.7281
| latitude = 46.6114
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| alt maxi = 609
| superficie = 9.26
| type = Commune rurale à habitat dispersé
| unité urbaine = Hors unité urbaine
| aire d'attraction = [[Aire d'attraction de Lons-le-Saunier|Lons-le-Saunier]] <br><small>(commune de la couronne)</small>
| population = {{Population de France/dernière_pop}}<!-- Insertion automatique, ne pas modifier -->
| année_pop = {{Population de France/dernière_année_Infobox}}<!-- Insertion automatique, ne pas modifier -->
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}}
 
'''Charézier''' est une [[commune (France)|commune française]] située dans le [[département français|département]] du [[Jura (département)|Jura]], endans la région culturelle et historique de [[RégionFranche-Comté]] et la [[région française|région administrative]] [[Bourgogne-Franche-Comté]].
 
== Géographie ==
=== Communes limitrophes ===
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|nord-est=
|enclave=}}
 
=== SourcesClimat ===
{{Article général|Climat de la Bourgogne-Franche-Comté|Climat du département du Jura|position=section}}
En 2010, le climat de la commune est de type [[Climat de la France#2010-T1|climat de montagne]], selon une étude du [[Centre national de la recherche scientifique]] s'appuyant sur une série de données couvrant la [[normale climatique|période 1971-2000]]<ref name=Joly>{{Article |langue= fr|auteurs=Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky|titre=Les types de climats en France, une construction spatiale|périodique=Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography |numéro=501|date=18 juin 2010|doi=10.4000/cybergeo.23155|lire en ligne=http://journals.openedition.org/cybergeo/23155 |consulté le=26 janvier 2024}}</ref>. En 2020, [[Météo-France]] publie une typologie des [[Climat de la France|climats de la France métropolitaine]] dans laquelle la commune est exposée à un [[Climat de la France#MF-T3|climat semi-continental]] et est dans la région climatique [[Climat de la France#MF-R13| Jura]], caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons ({{formatnum:1000}} à {{Unité|1500 mm/an}}), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre<ref>{{Lien web |url= http://pluiesextremes.meteo.fr/france-metropole/Un-peu-de-geographie.html|titre=Zonages climatiques en France métropolitaine.|site =pluiesextremes.meteo.fr |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>.
 
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de {{tmp|9.6| °C }}, avec une [[amplitude thermique]] annuelle de {{tmp|16.9| °C }}. Le cumul annuel moyen de précipitations est de {{Unité|1538 mm}}, avec {{Unité|13.6|jours}} de précipitations en janvier et {{Unité|9.6|jours}} en juillet<ref name=Joly/>. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la [[station météorologique]] de [[Météo-France]] la plus proche, « Cogna », sur la commune de [[Cogna]] à {{Unité|4|km}} à [[orthodromie|vol d'oiseau]]<ref>{{Lien web |url=https://fr.distance.to/Charézier,Jura/Cogna,Jura |titre=Orthodromie entre Charézier et Cogna |site=fr.distance.to |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>, est de {{tmp|10.8| °C }} et le cumul annuel moyen de précipitations est de {{Unité|1557.5|mm}}. {{StationMétéo|39156001}}{{,}}<ref>{{Lien web |url=https://donneespubliques.meteofrance.fr/FichesClim/FICHECLIM_39156001.pdf |titre= Station Météo-France « Cogna », sur la commune de Cogna - fiche climatologique - période 1991-2020.|site=donneespubliques.meteofrance.fr|consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |url=https://donneespubliques.meteofrance.fr/metadonnees_publiques/fiches/fiche_39156001.pdf|titre= Station Météo-France « Cogna », sur la commune de Cogna - fiche de métadonnées.|site=donneespubliques.meteofrance.fr|consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>.
 
<!-- Un tableau météorologique est affiché pour toutes les communes :
* disposant sur leur territoire d'une station météorologique en activité ;
* de plus de 2000 habitants et dont une station météorologique est située dans une commune à moins de 5 km (les distances étant mesurées de chef-lieu à chef-lieu et non de chef-lieu à station météo).
* de statut préfecture ou sous-préfecture ou de plus de 5000 habitants et dont une station météorologique est située dans une commune à moins de 10 km. -->Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents [[Scénario RCP|scénarios]] d'[[Émission de dioxyde de carbone|émission de gaz à effet de serre]] à partir des nouvelles [[Réchauffement climatique en France#Scénarios à l’échelle nationale|projections climatiques de référence DRIAS-2020]]<ref>{{Lien web |url=https://www.drias-climat.fr/accompagnement/sections/296|titre=Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020.|site=drias-climat.fr |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>. Ils sont consultables sur un site dédié publié par [[Météo-France]] en novembre 2022<ref>{{Lien web |url=https://meteofrance.com/climadiag-commune|titre= Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité.|date =novembre 2022 |site=meteofrance.com |consulté le=26 janvier 2024}}.</ref>.
 
== Urbanisme ==
=== Typologie ===
Au {{date|1er janvier 2024}}, Charézier est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022<ref>{{Lien web |url=https://www.insee.fr/fr/information/6439600|titre=La grille communale de densité |site=insee,fr|date=28 mai 2024 |consulté le= 28 juin 2024}}.</ref>.
Elle est située hors unité urbaine<ref name=meta-insee>{{Métadonnées Commune|39109|charezier|Charézier}}</ref>. Par ailleurs la commune fait partie de l'[[aire d'attraction de Lons-le-Saunier]], dont elle est une commune de la couronne<ref group=Note>La notion d'[[aire d'attraction d'une ville|aire d'attraction des villes]] a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'[[aire urbaine (France)|aire urbaine]], pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'[[Union européenne]].</ref>{{,}}<ref name=meta-insee/>. Cette aire, qui regroupe {{Unité|139|communes}}, est catégorisée dans les aires de {{formatnum:50000}} à moins de {{Unité|200000|habitants}}<ref name="AAV2020">{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/metadonnees/geographie/aire-attraction-des-villes-2020/132-lons-le-saunier|titre=Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lons-le-Saunier|site=insee.fr |consulté le= 28 juin 2024}}.</ref>{{,}}<ref name="AAV20202b">{{Lien web|url=https://www.insee.fr/fr/statistiques/4806694 |titre=En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville |auteur=Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee) |date=21 octobre 2020 |site=insee.fr |consulté le= 28 juin 2024}}.</ref>.
 
=== Occupation des sols ===
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la [[base de données]] [[Europe|européenne]] d’occupation [[biophysique]] des sols [[Corine Land Cover]] (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (33,5 %), prairies (29,2 %), [[terres arables]] (26,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), eaux continentales<ref group="Note">Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.</ref> (1,7 %)<ref name="CLC">{{Lien web |url=https://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/corine-land-cover-0 |titre=CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). |site=le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.|consulté le= 14 mai 2021}}.</ref>. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la [[carte de Cassini]] ({{s-|XVIII}}), la [[carte d'état-major]] (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'[[Institut national de l'information géographique et forestière|IGN]] pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)<ref group=Carte>{{Lien web |url= https://remonterletemps.ign.fr/comparer/basic?x=5.7281&y=46.6114&z=14&layer1=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.PLANIGNV2&layer2=GEOGRAPHICALGRIDSYSTEMS.ETATMAJOR40&mode=doubleMap|titre=Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes|auteur=IGN |site=remonterletemps.ign.fr |consulté le=15 juillet 2023}}.</ref>.
[[Fichier:39109-Charézier-Sols.png|vignette|redresse=1.4|centre|alt=Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.|Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 ([[Corine Land Cover|CLC]]).]]
 
== Toponymie ==
{{…}}
 
== Histoire ==
 
Le mont Saint-Sorlin
=== Le mont Saint-Sorlin ===
[[File:Saint-Sorlin - Charézier- topographie.jpg|thumbvignette|left|Le site du mont Saint-Sorlin]]
 
Le mont Saint-Sorlin est une [[butte-témoin]] qui domine la [[Ain (rivière)|rivière d’Ain]] de 150 mètres dans son cours moyen entre [[Châtillon (Jura)|Chatillon]] et [[Blye]]. Placé sur la rive gauche, à l'est de la rivière, il se trouve aujourd’hui sur le territoire du hameau de Lieffenans, commune de Charézier, dans le [[Jura (département)|département du Jura]].
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Il culmine à 580 m et son sommet a été occupé depuis au moins l’[[Gaule romaine|époque romaine]] : on peut penser qu’une garnison était installée dans le secteur pour contrôler la vallée de l’Ain et la route entre les sanctuaires celtiques et gallo-romains du lac d’Antre près de [[Villards-d'Héria]] et [[Champagnole]] ([[Saint-Germain-en-Montagne]] et [[Mont Rivel]]) et au-delà vers [[Salins-les-Bains|Salins]]. On suppute aussi la présence d’un temple dédié au [[Saturne (mythologie)|dieu Saturne]] sur le sommet de la colline qui aurait été christianisé par un édifice consacré à [[saint Saturnin]] tandis qu’une bourgade s’installait sur le flanc est<ref>Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté (tome I page 477)Par Alphonse Rousset 1853 [https://books.google.fr/books?id=Tdn4YMYvQ38C&pg=PA513&hl=fr&source=gbs_selected_pages&cad=2#v=onepage&q=charezier&f=false]</ref>.
 
===Le site religieux de Saint-Sorlin===
[[File:Charézier -Ermitage de Saint-Sorlin (XIXe s) - Jura.jpg|thumbvignette|Ermitage de Saint-Sorlin]]
Vers l’an 600 des moines venus de l’[[abbaye de Saint-Claude|abbaye de Saint-Oyan (abbaye de Saint-Claude)]] fondèrent sur la partie sud du sommet une église dédiée à [[Saturnin de Toulouse|saint Saturnin]], évêque de Toulouse et martyr, sans doute choisi pour effacer le souvenir du temple romain dédié à Saturne, tandis qu’un important village fortifié nommé Saint-Sorlin, déformation locale de saint Saturnin, se développait sur le versant oriental : il devint le centre de la grande [[paroisse]] de Saint-Sorlin (elle englobait par exemple [[Doucier]] ou [[Marigny (Jura)|Marigny]]<ref>[https://books.google.fr/books?id=lDgVAAAAQAAJ&pg=PA422&lpg=PA422&dq=saint-sorlin+paroisse++evech%C3%A9+de+besan%C3%A7on&source=bl&ots=CP5A5b237j&sig=Pct2LeLU0VNEEBwOmTExdik780g&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjKorXR18bZAhUSQMAKHcWMBjwQ6AEIiwEwCw#v=onepage&q&f=false] page 422</ref>) qui payait une partie de dîme à l’abbaye de Saint-Claude.
 
Le village fut ravagé en 1361 par une des [[Grandes Compagnies]] composée des mercenaires de la [[guerre de Cent Ans]]démobilisés qui, sous la conduite de Jacques Huet, parcourait les bords de l’Ain, pillant et semant la désolation aux environs de [[Lons-le-Saunier]] et de [[Clairvaux-les-Lacs|Clairvaux]]. Le château résista mais les habitants quittèrent Saint-Sorlin pour les villages environnants : la grande église du sommet – sans doute transformée au XVe siècle - fut cependant conservée comme lieu de culte jusqu’en 1686, alors qu'elle menaçait ruinede tomber en ruines. Désaffectée, elle s’écroula :; seul le [[Chœur (architecture)|chœur]] demeura mais en piteux état. Celui-ci fut transformé en une sorte de chapelle et il retrouva un rôle au moment de la Révolution où les lieux servirent de refuge à des [[Clergé réfractaire|prêtres réfractaires]] pendant quelques années. Le bâtiment à l’abandon fut finalement réhabilité par une [[ermite]] en 1834.
 
En effet, Joseph-Elie Simonin, originaire de Lieffenans, y installa alors six cellules monacales à l’arrière du bâtiment du chœur qu’il releva de ses ruines et qu’il transforma en chapelle en édifiant un clocher-porche. Il le décora de statues évoquant le martyrmartyre de [[Saturnin de Toulouse|saint Sorlin]] (saint Saturnin ou saint Sernin) : la tête est représentée au fronton et les deux mains encadrent le porche alors que sur le seuil figurent les pieds entourés par la queue d’un bœuf. Saturnin qui refusait de sacrifier un taureau aux dieux romains fut - dit-on - attaché à la queue de l’animal qui fit périr l’évêque en le traînant dans la campagne en l’an 250.
 
L’ermite vécut là-haut de 1834 à 1837 avec sa femme et quelques compagnons puis de nouveau de 1848 à 1852 quand, deux ans après la mort de sa femme, il rejoignit la congrégation des missionnaires du Saint-Esprit près d’Amiens puis dans le Puy-de-Dôme où il mourut en 1856. Ses restes reposent à Saint-Sorlin depuis 1987.
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Un incendie détruisit les cellules de l’ermitage en 1885 et celui-ci redevint un lieu de pèlerinage et aussi un site touristique accessible par un chemin piétonnier d’environ un kilomètre.
<gallery>
Ermitage de Saint-Sorlin - vue arrière.jpg|Ermitage de Saint-Sorlin - vue arrière  : c'est là qu'étaient situées les cellules de l'ermitage installé au XIXe siècle
Ermitage de Saint-Sorlin - porche - tête de saint Saturnin.jpg|Ermitage de Saint-Sorlin - sculpture du XIXe s. d'une tête de saint Saturnin au-dessus du porche
Ermitage de Saint-Sorlin - seuil.jpg|Ermitage de Saint-Sorlin  - représentation du martyrmartyre de saint Saturnin sur le seuil du porche (taureau - pieds attachés)
</gallery>
 
===Le château de Saint-Sorlin===
[[File:Châteaux-forts - secteur mont Saint-Sorlin, Charézier, Jura.jpg|thumbvignette|left|Châteaux-forts dans le secteur du mont Saint-Sorlin]]
 
Le château a été construit par les [[Liste des seigneurs de Cuiseaux|sires de Clairvaux]] qui s’inquiétaient des ambitions de leurs voisins de 1301 à 1312 sur la partie nord du sommet dominant la rivière d’Ain en profitant des défenses offertes par les escarpements du relief. En effet la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe siècle voient s’intensifier dans le [[département du Jura|Jura actuel]] les rivalités entre seigneuries qui élévent de nombreux châteaux-forts dans le secteur : [[Château de Beauregard (Jura)|château de Beauregard]] à [[Publy]] consolidé par les sires de Monnet, [[château de Mirebel]] de la famille de Vienne et aussi [[Châtillon (Jura)|château de Chatillon]] vendu aux ambitieux [[Maison de Chalon-Arlay|sires d’Arlay]] en 1298 qui se confrontaient aux Cluzel de Clairvaux en édifiant à partir de 1304 le [[château de l'Aigle]] à l'entrée de [[La Chaux-du-Dombief]] sur les plateaux du Grandvaux et le [[château de Binans]], - aujourd’hui à Publy – qui domine la rive ouest de l’Ain ).
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{{Élu |Début= mars 2001 |Fin=mars 2008 |Identité= Denis Germain |Parti= |Qualité= }}
{{Élu |Début= mars 2008 |Fin= mars 2014 |Identité= Frédéric Pasteur<ref>Préfecture du Jura, [http://www.jura.pref.gouv.fr/bibliotheque/Jura/Maires_Elus_2008.pdf Liste des maires élus en 2008], consultée le 2 mai 2010</ref>|Parti= |Qualité= }}
{{Élu actuel|Début=mars 2014|Fin=2020|Identité=Bernard Girardot|Parti=[[La République en marche !|LREM]]|Qualité=Cadre}}
{{Élu actuel|Début=2020|Fin=|Identité=Stéphane Bellat|Parti= |Qualité= }}
{{ÉluFin}}
 
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== Économie ==
 
== LieuxCulture locale et monumentspatrimoine ==
=== Lieux et monuments ===
[[File:Charézier - Chapelle Saint-Sauveur (hameau de Lieffenans) - Jura.jpg|thumbvignette|Chapelle Saint-Sauveur (Lieffenans)]]
* Ruines du château (XIIIe s);
* Sculpture de [[Antoine le Grand|Saint Antoine]] (XVIe s)
Ligne 105 ⟶ 134 :
* Fontaines (5);
* Lavoirs (2);
* [[Barrage]] de [[Blye]]-Charézier (XXe s), sis à Lieffenans, inscrit à l'[[inventaire général du patrimoine culturel|IGPC]] depuis 1995<ref>{{Base Mérimée|IA39000063|Centrale hydroélectrique (XXe s)}}.</ref>. La centrale électrique a été mise en service en [[1957]] ; le barrage, d'une longueur de 250 m, est de type poids, avec une retenue d'eau d'un million de m³ et de 56 hectares. 12 millions de [[Kilowatt-heure|kWh]] sont produits par an.
 
=== Personnalités liées à la commune ===
{{…}}
 
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* [http://www.patrimoine-de-france.org/oeuvres/richesses-36-11477-79945.html Centrale hydroélectrique à Charézier]
* [http://www.geoportail.fr/visu2D.do?cg=djoxLjEqYzptZXRyb3BvbGUqY3Y6MS4wKnZ2OjEuMSp4eTo1LjcyNzV8NDYuNjEwODMzMzMzMzMzMypzOjYqcHY6MS4wKnA6ZGVjb3V2ZXJ0ZSpsOlBob3RvfDF8MTAwfDAsaWducG9pcmdjfHRydWV8fA%3D%3D Charézier] sur [[Géoportail (France)|Géoportail]]
 
=== Sources ===
 
=== Bibliographie ===
 
== Notes et références ==
=== Notes ===
{{Références|groupe=Note}}
=== Cartes ===
{{Références|groupe=Carte}}
 
=== Références ===
{{Références}}
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{{Portail|département du Jura|communes de France}}
 
[[Catégorie:Commune dudans le département du Jura|Charezier]]
[[Catégorie:Aire d'attraction de Lons-le-Saunier]]
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