« Antonín Dvořák » : différence entre les versions

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{{Voir homonymes|Dvorak}}
[[de:Antonín Dvorák]] [[en:Antonin Dvorak]] [[eo:Antonín DVOŘÁK]] [[he:אנטונין דבוז'אק]] [[nl:Antonin Dvorak]] [[ja:アントニン・ドヴォルザーク]] [[pl:Antonin Dvorak]] [[sl:Antonín Leopold Dvořák]]
{{sources à lier|date=février 2020}}
{{Infobox Musique classique (personnalité)
| charte = classique
| nom = Antonín Dvořák
| nom autre =
| image = Jan Langhans Antonin Dvorak 1904 (cropped).jpg
| légende = Antonín Dvořák en 1904.
| surnom =
| nom de naissance = Antonín Leopold Dvořák
| date de naissance = 8 septembre 1841
| lieu de naissance = [[Nelahozeves]], [[Royaume de Bohême|Bohême]], [[empire d'Autriche]]
| date de décès = 1 mai 1904
| lieu de décès = [[Prague]], [[Royaume de Bohême|Bohême]], [[Autriche-Hongrie]]
| activité principale = [[Compositeur]]
| tessiture =
| style = [[Musique romantique|Romantique]]
| genre =
| activités autres =
| lieux d'activité =
| années actives =
| collaborations =
| éditeurs =
| formation =
| maîtres =
| enseignement =
| élèves =
| ascendants =
| conjoints = Anna Čermáková <small>(1873-1904)</small>
| descendants =
| famille =
| récompenses =
| distinctions =
| web =
| œuvres = <div>
* ''[[Sérénade pour cordes (Dvořák)|Sérénade pour cordes]]'' (1876)
* [[Concerto pour violon de Dvořák|Concerto pour violon]] (1883)
* [[Symphonie nº 7 (Dvořák)|Symphonie {{n°|7}}]] (1885)
* ''[[Danses slaves]]'' (1878, 1886)
* [[Symphonie nº 8 (Dvořák)|Symphonie {{n°|8}}]] (1890)
* [[Symphonie no 9 (Dvořák)|Symphonie {{n°|9}} {{cita|Du Nouveau Monde}}]] (1893)
* ''[[Quatuor à cordes no 12 de Dvořák|Quatuor à cordes {{n°|12}} {{cita|Américain}}]]'' (1894)
* [[Concerto pour violoncelle de Dvořák|Concerto pour violoncelle]] (1895)
* ''[[Rusalka (Dvořák) |Rusalka]]'' (1901)
<center>'''[[Liste des œuvres d'Antonín Dvořák]]'''</center>
</div>
| répertoire =
}}
 
'''Antonín Dvořák''' ({{API-cs|/ˈantoɲiːn ˈdvor̝aːk/|-|Cs-Antonin Dvorak.ogg}}), né le {{date de naissance|8|septembre|1841}} à [[Nelahozeves]] ([[royaume de Bohême]]) et mort le {{date de mort|1|mai|1904}} à [[Prague]], est un [[compositeur]] [[Tchéquie|tchèque]]. Il est notamment l'auteur de la ''[[Symphonie no 9 de Dvořák |Symphonie du Nouveau Monde]]''.
{{Musique_classique}}
[[Catégorie:Musicien_classique|Dvorak, Antonin]]
 
== Biographie ==
[[Fichier:Nelahozeves, Dvořákův dům - celek.jpg|vignette|gauche|redresse=1.3 | Maison natale d'Antonín Dvořák.]]
Antonín Leopold Dvořák naît le {{date-|8|septembre|1841}} à [[Nelahozeves]], à {{unité|30|kilomètres}} au nord de [[Prague]], sur le territoire de l'[[empire d'Autriche]].
 
Ses parents se rendent compte assez tôt des capacités musicales de leur fils et lui font quitter l'école pour l’envoyer en 1853 chez un oncle de [[Zlonice]], où il apprend l’[[allemand]], la langue officielle de l’administration impériale [[Empire d'Autriche|autrichienne]], et améliore la culture musicale qu’il avait acquise avec l'[[orchestre]] du village. Si des biographies du {{s-|XX}} affirment qu'il a été envoyé à Zlonice pour apprendre le métier de son père (boucher du village) et celui d'aubergiste, il a été prouvé que le certificat d'apprentissage était un faux<ref>{{Ouvrage|langue=en|auteur1=Klaus Döge|titre=The New Grove Dictionary of Music and Musicians|éditeur=[[Oxford University Press]]|année=2011|isbn=|titre chapitre=Dvořák, Antonín (Leopold)}}</ref>.
<div style="float:right; padding:10pt">[[Image:Dvorak.jpg]]</div>
'''Antonín Dvořák''' est un compositeur tchèque, né à [[Mülhausen]] (en tchèque [[Nelahozeves]]), à quarante kilomètres au nord de [[Prague]], en [[Bohême]] ([[Tchéquie]]), le [[8 septembre]] [[1841]] et mort à [[Prague]] le [[1er mai|1<sup>er</sup> mai]] [[1904]].
 
Il poursuit ses études à [[Česká Kamenice]] et il est accepté en 1857 à l’école d’[[orgue]] de [[Prague]], où il reste jusqu’en 1859. Diplômé et lauréat d'un second prix, il rejoint la ''Prager Kapelle'' de [[Karl Komzak]], un orchestre de variétés, où il tient la partie d’[[Alto (instrument à cordes)|alto]]. En 1862, la ''Prager Kapelle'' est intégrée au nouvel orchestre du ''[[Théâtre provisoire de Prague]]'', ainsi nommé dans l’attente de la fondation d'un véritable opéra {{incise|le [[Théâtre national (Prague)|Théâtre national de Prague]] verra le jour en 1881, mais il devra être une nouvelle fois inauguré en 1883 à la suite d’un incendie.|fin}}
==Sa vie, son œuvre==
Son père est l'aubergiste et boucher du village. Antonín
quitte l'école à 11 ans pour apprendre le métier de son
père. Mais celui-ci se rend compte assez tôt des capacités
musicales de son fils, et l'envoie en [[1853]] chez un oncle de
[[Zlonice]], où il apprend l'allemand, la langue imposée par l'administration [[Autriche-Hongrie|austro-hongroise]] et améliore la culture
musicale qu'il avait acquise dans l'orchestre du village.
Il poursuit ses études à [[Kamenice]], il est accepté en [[1857]] à l'école d'[[orgue]] de [[Prague]] où il reste jusqu'en [[1859]]. Puis, il intègre l'orchestre du [[Théâtre national de Prague]] flambant neuf, et commence
à composer. Il connaît son premier succès avec la [[cantate]]
''Hymnus'' en [[1873]] et obtient le poste d' organiste à l'église
Saint-Aldabert.<br />
En [[1874]], à [[Vienne (Autriche)|Vienne]], il se lie d'amitié avec [[Johannes Brahms|Brahms]]; Brahms et le chef d'orchestre [[Hans von Bulöw]] feront beaucoup pour la diffusion de sa musique.
<br />
Son ''[[Stabat Mater]]'' et diverses œuvres symphoniques, vocales, ou de musique de chambre le rendent célèbre; il part pour quelques voyages à l'étranger, mais il reste attaché à [[Prague]] et à l'esprit nationaliste contemporain.
 
Son expérience de musicien d’orchestre lui permet de découvrir de l'intérieur un vaste répertoire classique et contemporain. Il joue sous la baguette de [[Bedřich Smetana]], [[Richard Wagner]], [[Mili Balakirev]]… et trouve le temps de composer des œuvres ambitieuses, dont deux premières symphonies en [[1865]].
Sa renommée grandit et de [[1892]] à [[1895]], il enseigne aux [[États-Unis d'Amérique|États-Unis]], où il compose la très célèbre ''9e symphonie'' dite «&nbsp;Du nouveau monde&nbsp;», une juste reconnaissance qui masque pourtant la beauté et l'originalité des huit autres.
De retour en Bohême où il retrouve sa douce vie à la campagne,
il compose plusieurs poèmes symphoniques, dont ''L'ondin'',
''La sorcière de midi'', ''Le rouet d'or'', qui sont comme
des nouvelles écrites pour un orchestre.
<br />
La fin de sa vie est surtout consacrée à la composition d' [[opéra]]s dont le plus célèbre reste ''Rusalka'', crée en [[1901]].
 
Dvořák démissionne de l’orchestre en 1871 pour se consacrer à la [[Composition musicale|composition]]. Il vit de leçons particulières, avant d’obtenir un poste d’[[organiste]] à l’église Saint-Adalbert (1874).
Son œuvre est immense et variée, pour le [[piano]], les instruments à cordes,l' [[orchestre]] [[Symphonie|symphonique]], la [[musique de chambre]], l' [[opéra]], la musique religieuse.<br />
[[Image:Dvorak estatua.jpg|vignette|upright|Statue d'Antonín Dvořák<br />devant le [[Rudolfinum]], à Prague]]
Sa musique , conservatrice dans l' écriture, est inspirée, colorée et rythmée par l' influence prépondérante du folkore national [[Tchéquie|tchèque]] mais aussi américain (negro spirituals ou chansons populaires), et naturellement, ses meilleurs interprètes sont des compatriotes comme l'[[Orchestre philharmonique tchèque]], les chefs [[Václav Talich]], [[Rafaël Kubelik]], [[Karel Ancerl|Karel Ančerl]], le Quatuor de Prague, le Trio tchèque ou le violoniste [[Josef Suk]].
 
Dvořák tombe amoureux d'une de ses élèves, Josefina Čermáková. Il écrit un cycle de chansons, {{cita|Les Cyprès}}, pour tenter de conquérir son cœur. Cependant, elle épouse un autre homme, et en 1873 Dvořák épouse Anna, la sœur de Josefina. De cette union naissent neuf enfants.
== Compositions majeures ==
=== Symphoniques ===
* ''7e symphonie, op. 70'' ;
* ''8e symphonie, op. 88'' ;
* ''9e [[symphonie]], op. 95, dite «&nbsp;Du nouveau monde&nbsp;» ;
 
Alors qu’il obtient ses premiers succès locaux ([[cantate]] ''Hymnus'' en 1873 sous la direction de son ami [[Karel Bendl]]), un jury viennois reconnaît la qualité de ses compositions et lui octroie une bourse, qui sera renouvelée cinq années consécutives. Cela lui permet d’entrer en contact avec [[Johannes Brahms]], qui deviendra son ami et le présentera à son éditeur [[N. Simrock|Fritz Simrock]]. D’autres musiciens illustres comme les chefs d’orchestre [[Hans von Bülow (chef d'orchestre)|Hans von Bülow]] et [[Hans Richter (chef d'orchestre)|Hans Richter]], les violonistes [[Joseph Joachim]] et [[Josef Hellmesberger II|Joseph Hellmesberger]], et plus tard le [[Quatuor tchèque]], auront fait beaucoup pour la diffusion de sa musique.
* ''Les danses slaves'' ;
 
Son ''[[Stabat Mater (Dvořák)|Stabat Mater]]'', les [[Danses slaves]] et diverses œuvres [[Orchestre symphonique|symphoniques]], [[Musique vocale|vocales]] ou de [[musique de chambre]] le rendent célèbre. L’[[Angleterre]] le plébiscite. Dvořák s'y rend à neuf reprises pour diriger ses œuvres, notamment ses [[cantate]]s et [[oratorio]]s très appréciés du public britannique. La [[Russie]], à l'initiative de [[Piotr Ilitch Tchaïkovski]], le réclame à son tour, et le compositeur [[Tchéquie|tchèque]] fait une tournée à [[Moscou]] et à [[Saint-Pétersbourg]] (mars 1890).
* ''Les Poèmes Symphoniques : L'Ondin, La Sorcière de midi, Le Rouet d'Or...'';
 
Célèbre dans tout le monde musical, il est nommé de 1892 à 1895 directeur du Conservatoire national de [[New York]]. Il y tient une classe de composition. Sa première œuvre composée aux [[États-Unis]] est la ''[[Symphonie no 9 (Dvořák)|{{9e|symphonie}}]]'', dite « [[Symphonie no 9 de Dvořák|La symphonie Du Nouveau Monde]] ». Son succès est foudroyant et ne s'est jamais démenti depuis la première audition. Une juste reconnaissance qui masque pourtant la beauté et l’originalité des autres symphonies de maturité. Son intérêt pour la musique noire soulève une très vive controverse, dont on perçoit l’écho sur le Vieux Continent. Son séjour en [[Amérique du Nord]] voit naître d’autres compositions très populaires, comme le ''{{12e|Quatuor}}'' (dans lequel il emploie des procédés caractéristiques du blues) et le célèbre {{2e|''Concerto pour violoncelle''}}, qui sera terminé sur le sol européen.
* ''Concerto pour violon, op. 53'';
 
* ''[[Concerto pour violoncelle en si mineur, op. 104 (Antonin Dvorak)|Concerto pour violoncelle en si mineur, op. 104]]''.
De retour en [[Bohême]], où il retrouve sa douce vie à la campagne, il compose plusieurs [[poème symphonique|poèmes symphoniques]] : ''L’Ondin'', ''La Sorcière de midi'', ''Le Rouet d’or'', ''Le Pigeon des bois'', inspirés par les légendes mises en vers par [[Karel Jaromír Erben]]. Dvořák renouvelle le genre en inventant un procédé de narration musicale fondé sur la prosodie de la langue parlée. Ce procédé dit des {{citation|intonations}} sera repris par [[Leoš Janáček]].
 
La fin de sa vie est surtout consacrée à la composition d’[[opéra]]s dont le plus célèbre reste ''[[Rusalka (Dvořák)|Rusalka]]'', créé en [[1901]]. Pendant cette période, il dirige également le [[Conservatoire de Prague]].
 
Antonín Dvořák est enterré au cimetière historique de [[Vyšehrad]], sur une colline dominant la ville de [[Prague]] (le même cimetière que [[Bedřich Smetana]]).
[[Fichier:Tombe d'Antonin Dvořák.JPG|vignette|redresse|Monument funéraire de la tombe d'Antonin Dvořák au cimetière de Vyšehrad (Prague).]]
 
Son œuvre est immense et variée, pour le [[piano]], la voix (''lieder''), divers effectifs instrumentaux dont l’[[orchestre]] [[Symphonie|symphonique]], la [[musique de chambre]], l’[[opéra]], la musique religieuse. Elle est recensée de façon thématique et chronologique dans le [[Liste des œuvres d'Antonín Dvořák|catalogue de Jarmil Burghauser]].
 
Sa musique est colorée et rythmée, inspirée à la fois par l’héritage savant européen et par l'influence du folklore national [[Tchéquie|tchèque]] mais aussi américain (''negro spirituals'' ou chansons populaires). Dvořák est l'un des rares exemples de compositeur [[musique romantique|romantique]] ayant abordé avec succès tous les genres, à la seule exception du [[ballet]]. Bien que sa musique ait eu du mal à s'imposer en [[France]], Dvořák était considéré de son vivant comme un personnage de stature internationale. En [[1904]], quelques semaines avant sa disparition, des émissaires de la mairie de [[Paris]] firent un voyage en Bohême pour lui remettre une médaille d'or décernée par le conseil municipal<ref>Alain Chotil-Fani, Eric Baude, ''Antonín Dvořák, un musicien par-delà les frontières'', Buchet-Chastel, Paris, 2007, pp. 231-234</ref>.
 
Parmi ses meilleurs interprètes l’on trouve ses compatriotes comme l’[[Orchestre philharmonique tchèque]], les chefs [[Václav Talich]], [[Zdeněk Chalabala]], [[Rafael Kubelík]], [[Karel Ančerl]], le [[Quatuor de Prague]], le [[Trio tchèque]], le chef Sir [[Charles Mackerras]] et son arrière-petit-fils, le violoniste [[Josef Suk (violoniste)|Josef Suk]] {{incise|une liste non exhaustive qui ne saurait faire oublier le caractère universel de cette musique, défendue par les plus grands interprètes.|fin}}
 
Plusieurs thèmes de Dvořák ont été repris dans la musique populaire. La chanson ''[[Initials B.B. (chanson)|Initials B.B.]]'' de [[Serge Gainsbourg]] rappelle un thème de la ''symphonie Du Nouveau Monde'' (symphonie {{numéro|9}} en mi mineur).
 
== Œuvre ==
{{Article détaillé|Liste des œuvres d'Antonín Dvořák}}
 
Antonín Dvořák laisse {{nobr|189 œuvres}} musicales.
 
Le catalogue des œuvres de Dvořák par numéro d'opus est passablement confus. Certaines œuvres ont porté deux voire trois numéros différents, l'ordre chronologique n'est pas toujours respecté et des œuvres ne portent pas de numéro. Il est donc préférable d'adopter la nomenclature proposée par [[Jarmil Burghauser]]. Dans cette dernière, la lettre B est utilisée, suivie d'un chiffre correspondant à l'ordre chronologique réel des compositions. Ce système va de B. 1 (une [[Polka (danse)|polka]] pour [[piano]] composée vers [[1856]] et qui est la plus ancienne œuvre conservée) jusqu'à B. 206 pour son opéra ''[[Armida (Dvořák)|Armide]]'', sa dernière œuvre achevée.
 
=== Musique symphonique ===
Pendant longtemps, seules cinq [[symphonie]]s du compositeur étaient connues, numérotées de 1 à 5, dans l'ordre de leur publication (qui ne correspond pas entièrement à l'ordre de leur composition). Ainsi, la ''[[Symphonie no 9 de Dvořák|Symphonie du Nouveau Monde]]'' porte alors le numéro 5, et le dictionnaire Robert des noms propres affirmait encore dans les années 1990 que Dvořák était l'auteur de cinq symphonies. Quelques rares spécialistes connaissaient l'existence du cycle complet, mais il faut attendre les années 1960 pour que paraisse la première édition critique des neuf symphonies dans leur numérotation actuelle. Du jour au lendemain, pas moins de quatre « nouvelles » symphonies de Dvořák étaient offertes au monde musical. Aussitôt plusieurs chefs s'y consacrèrent, enregistrant de véritables intégrales discographiques des neuf symphonies : le Polonais [[Witold Rowicki]] (Philips), le Hongrois [[István Kertész]] (Decca London) et les Tchèques [[Rafael Kubelík]] (DG) et [[Václav Neumann]] ([[Supraphon]]). D'autres intégrales s'ajoutèrent au fil des ans : notamment celles d'[[Otmar Suitner]] (Edel Classics), de [[Neeme Järvi]] ([[Chandos Records|Chandos]]) et de Stephen Gunzenhauser ([[Naxos (label)|Naxos]]). Neumann refit une intégrale à l'ère numérique (Supraphon).
 
* Deux sérénades :
** ''[[Sérénade pour cordes (Dvořák)|Sérénade {{numéro|1}} pour cordes en mi majeur]]'', B. 52 (op. 22, 1875)
** ''[[Sérénade en ré mineur, op. 44|Sérénade {{numéro|2}} pour vents, violoncelle et contrebasse en ré mineur]]'', B. 77 (op. 44, 1878)
* Neuf symphonies :
** ''[[Symphonie no 1 de Dvořák|Symphonie {{numéro|1}} en ut mineur ''« Les cloches de Zlonice »'']]'', B. 9 (op. 3, 1865)
** ''[[Symphonie no 2 de Dvořák|Symphonie {{numéro|2}} en si bémol majeur]]'', B. 12 (op. 4, 1865)
** ''[[Symphonie no 3 de Dvořák|Symphonie {{numéro|3}} en mi bémol majeur]]'', B. 34 (op. 10, 1873)
** ''[[Symphonie no 4 de Dvořák|Symphonie {{numéro|4}} en ré mineur]]'', B. 41 (op. 13, 1874)
** ''[[Symphonie no 5 de Dvořák|Symphonie {{numéro|5}} en fa majeur]]'', B. 54 (op. 76, 1875)
** ''[[Symphonie no 6 de Dvořák|Symphonie {{numéro|6}} en ré majeur]]'', B. 112 (op. 60, 1880)
** ''[[Symphonie no 7 de Dvořák|Symphonie {{numéro|7}} en ré mineur]]'', B. 141 (op. 70, 1884-85)
** ''[[Symphonie no 8 de Dvořák|Symphonie {{numéro|8}} en sol majeur « Tchécoslovaque »]]'', B. 163 (op. 88, 1889)
** ''[[Symphonie no 9 de Dvořák|Symphonie {{numéro|9}} en mi mineur ''« du Nouveau Monde »'']]'', B. 178 (op. 95, 1893)
* Seize ''[[danses slaves]]'' (Slovanské tance) B. 83 (op. 46, 1878) et B. 147 (op. 72, 1886)
* Cinq ''[[Poèmes symphoniques de Dvořák|poèmes symphoniques]]'' (1896-97) :
** ''L’Ondin'', B. 195 (op. 107)
** ''La Sorcière de midi'', B. 196 (op. 108)
** ''Le Rouet d'or'', B. 197 (op. 109)
** ''Le Pigeon des bois'', B. 198 (op. 110)
** ''[[Le Chant du héros]]'', B. 199 (op. 111)
 
* La ''[[Suite tchèque|suite tchèque en ré majeur pour petit orchestre]]'' B. 93 (op. 39, 1879)
* La ''[[Suite américaine|suite américaine en la majeur]]'' B. 190 (op. 98B, 1894-95)
* Le ''Scherzo capriccioso'' B. 131 (op. 66, 1883)
* 3 rhapsodies slaves (op. 45) et rhapsodie en la mineur (op.14)
* Les ''Variations symphoniques'' (Symfonické variace z písně „Já jsem huslař“), B. 70 (op. 78, 1877)
* Ma patrie, ouverture, B. 125a (extraite de la musique de scène pour la pièce de F. F. Samberka : “ Josef Kajetán Tyl ”, B. 125 (Op. 62, 1882)
* Un triptyque d'ouvertures intitulé ''Nature, Vie et Amour'' (au départ sous le seul op.91, puis le compositeur décida de donner à chacune des œuvres un numéro) :
** ''[[Dans la nature]]'', op. 91, B. 168 (1891)
** ''Carnaval'', op. 92, B. 169 (1891)
** ''Othello'', ouverture de concert, op. 93, B. 174 (1892)
* Arrangement pour violon et orchestre de l'humoresque n° 7 pour piano
 
=== Concertos ===
* ''[[Concerto pour piano de Dvořák|Concerto pour piano en sol mineur]]'', B. 63 (op. 33, 1876)
* ''[[Concerto pour violon de Dvořák|Concerto pour violon en la mineur]]'', B. 108 (op. 53, 1879, révisé en 1880)
* ''[[Concerto pour violoncelle en la majeur]]'', B. 10 (1865)
* ''[[Concerto pour violoncelle de Dvořák|Concerto pour violoncelle en si mineur]]'', B. 191 (op. 104, 1894-95)
 
=== Musique de chambre ===
* ''TrioSonatine pour piano, violon et violoncelle n° 1piano en si bémolsol majeur,'' B. 183 (op. 21''100, 1893)
* ''Trio[[Terzetto pour piano,deux violonviolons et violoncelle n° 2alto]] en solut mineurmajeur'', B. 148 (op. 2674, 1887)
* ''TrioDrobnosti « Quatre Miniatures pour piano,deux violonviolons et violoncellealto en»'', faB. mineur,149 (op. 6575a, 1887)
*''Trio Quatre trios pour piano, violon et violoncelle «&nbsp;Dumky&nbsp;», op.cordes 90:
** ''[[Trio pour piano et cordes no 1 de Dvořák|Trio pour piano, violon et violoncelle {{numéro|1}} en si bémol majeur]]'', B. 51 (op. 21, 1875)
*''2 quatuors avec piano
** ''[[Trio pour piano et cordes no 2 de Dvořák|Trio pour piano, violon et violoncelle {{numéro|2}} en sol mineur]]'', B. 56 (op. 26, 1876)
*''14 quatuors à cordes dont
** ''[[Trio pour piano et cordes no 3 de Dvořák|Trio pour piano, violon et violoncelle {{numéro|3}} en fa mineur]]'', B. 130 (op. 65, 1883)
**''Quatuor en ut majeur, op. 61
** ''[[Trio pour piano et cordes no 4 de Dvořák|Trio pour piano, violon et violoncelle {{numéro|4}} « Dumky »]]'', B. 166 (op. 90, 1891)
**''[[Quatuor « américain » en fa majeur, op. 96 (Antonín Dvořák)|Quatuor «&nbsp;américain&nbsp;» en fa majeur op 96]]
* Bagatelles, opus 47 (B. 79) sont cinq bagatelles pour deux violons, violoncelle et harmonium
**''Quatuor en la bémol majeur, op. 105
* Deux quatuors pour piano et cordes :
**''Quatuor en sol majeur, op. 106
** ''[[QuintetteQuatuor pouravec piano]] {{numéro|1}} en la majeur'', opB. 8153 (Antonínop. Dvořák)|Quintette pour piano en la majeur23, op. 81]]1875)
** ''[[QuintetteQuatuor àavec cordespiano]] {{numéro|2}} en mi bémol majeur'', opB. 97162 (Antonínop. Dvořák)|Quintette à cordes en mi bémol majeur87, op. 97]]1889)
* Quatorze [[Quatuor à cordes|quatuors à cordes]] :
** [[Quatuor à cordes no 1 de Dvořák|''Quatuor à cordes {{numéro|1}} en la majeur'']], B. 8 (op. 2, 1862)
** ''Quatuor à cordes {{numéro|2}} en si bémol majeur'', B. 17 (sans numéro d'opus, 1868-70)
** ''Quatuor à cordes {{numéro|3}} en ré majeur'', B. 18 (sans numéro d'opus, 1868-70)
** ''Quatuor à cordes {{numéro|4}} en mi mineur'', B. 19 (sans numéro d'opus, 1868-70)
** ''[[Quatuor à cordes no 5 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|5}} en fa mineur]]'', B. 37 (op. 9, 1873)
** ''Quatuor à cordes {{numéro|6}} en la mineur'', B. 40 (op. 12, 1873)
** ''[[Quatuor à cordes no 7 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|7}} en la mineur]]'', B. 45 (op. 16, 1874)
** ''[[Quatuor à cordes no 8 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|8}} en mi majeur]]'', B. 57 (op. 80, 1876)
** ''[[Quatuor à cordes no 9 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|9}} en ré mineur]]'', B. 75 (op. 34, 1877)
** ''[[Quatuor à cordes no 10 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|10}} en mi bémol majeur]]'', B. 92 (op. 51, 1878-79)
** ''[[Quatuor à cordes no 11 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|11}} en ut majeur]]'', B. 121 (op. 61, 1881)
** ''[[Quatuor à cordes no 12 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|12}} en fa majeur « Américain »]]'', B. 179 (op. 96, 1893)
** ''[[Quatuor à cordes no 13 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|13}} en sol majeur]]'', B. 192 (op. 106, 1895)
** ''[[Quatuor à cordes no 14 de Dvořák|Quatuor à cordes {{numéro|14}} en la bémol majeur]]'', B. 193 (op. 105, 1895)
* ''Mouvement de quatuor en fa majeur'', B. 120
*''Quintette pour cordes en sol majeur'', B. 49 (opus 77), pour quatuor à cordes et contrebasse; la version d'origine, de 1875, désignée comme op. 18, était en cinq mouvements, puis Dvořák l'a révisée en 1888 en supprimant le deuxième mouvement, un intermezzo marqué ''Andante religioso. Molto adagio'';
* ''Quintette pour piano et cordes en la majeur Op. 5 (œuvre de jeunesse)''
* ''[[Quintette pour piano no 2 de Dvořák|Quintette pour piano et cordes en la majeur]]'', B. 155 (op. 81, 1887)
* ''[[Quintette à cordes no 3 de Dvořák|Quintette à cordes en mi bémol majeur]]'', B. 180 (op. 97, 1893)
* ''[[Sextuor à cordes de Dvořák|Sextuor à cordes en la majeur]]'', B. 80 (op. 48, 1878)
 
=== Opéras ===
* ''[[Le Roi et le Charbonnier]]'' - 1874
* ''{{Lien|trad=Wanda (Dvořák)|fr=Wanda (opéra)|texte=Wanda|lang=de}}'' - composé en 1875 ; première représentation le 17 avril 1876
* ''[[Le Paysan rusé]]'' - 1877
* ''[[Les Têtes dures]]'' - 1881
* ''[[Dimitrij]]'' - 1882
* ''[[Jakobín]]'' - 1889
* ''[[Le Diable et Catherine]]'' - 1899
* ''[[Rusalka (Dvořák) |Rusalka]]'' - 1901
* ''[[Armida (Dvořák) |Armida]]'' - 1904
* ''[[Alfred (Dvořák)|Alfred]]'' - 1938 (composé en 1870)
 
=== Oratorio ===
''Les chemises de noces'', opus 69 (Première le {{date-|27 août 1885}} à Plzeň)<ref>{{Ouvrage|prénom1=Graham|nom1=Melville-Mason|prénom2=Nigel|nom2=Simeone|titre=Supraphon|éditeur=[[Oxford University Press]]|collection=Oxford Music Online|année=2001|isbn=|lire en ligne=https://dx.doi.org/10.1093/gmo/9781561592630.article.48261|consulté le=2018-09-03}}</ref>
 
=== Musique vocale sacrée ===
Dvořák fut un homme croyant qui exprima tant la liesse que la tristesse dans des œuvres basées sur des textes religieux.
* [[Stabat Mater (Dvořák)|''Stabat Mater en si mineur'']], B. 71 (op. 58, 1877)
* ''[[Requiem (Dvořák)|Requiem en si bémol mineur]]'', B. 165 (op. 89, 1890)
* ''Messe en ré majeur ({{1re|version}}) pour chœur, solistes et orgue'', B. 153 (op. 86, 1887)
* ''Messe en ré majeur ({{2e|version}}) pour chœur, solistes et orchestre'', B. 175 (op. 86, 1892)
* ''Oratorio sainte Ludmilla'', B. 144 (op. 71, 1886)
* ''Chants bibliques'', B. 189 (op. 99, 1894)
* ''[[Te Deum (Dvořák)|Te Deum]]'', B. 176 (op. 103, 1892)
 
=== Musique vocale profane ===
* ''The American Flag'' (le drapeau américain), cantate profane B. 177 (op. 102, 1892-1893)
* ''Chants tziganes'' (tchèque {{lang|cs|texte=Cikánské melodie}}), B. 104 (op. 55, 1880)
* 4 chants extraits de Cyprès, B123 et 124 (op.2, 1881)
* ''Dans le style populaire ''(tchèque {{lang|cs|texte=V nàrodnim tonu}}), B. 146 (op. 73, 1865)
* ''Chants d'amour'' (tchèque {{lang|cs|texte=Pisne Milostné}}), B. 160 (op. 83, 1888)
* ''Chants du manuscrit de Dvur Kràlové'' (tchèque {{lang|cs|texte=Kràlovédvorského}}), B. 30 (op. 7, 1872)
* ''Duos moraves'', B. 107 (tchèque {{lang|cs|texte=Moravské dvojzpěvy}}), (op. 20, 29, 32 entre 1875 et 1881)
 
=== Piano ===
* ''[[Danses slaves]]'' - Série {{numéro|I}} (quatre mains), B. 78 (op. 46, 1878)
* ''[[Douze silhouettes]]'', B. 98 (op. 8, 1879)
* ''Six mazurkas'', B. 111 (op. 56, 1880)
* ''[[Suite en la majeur]]'' (opus 98)
* ''[[Dix légendes]]'' (quatre mains), B. 117 (op. 59, 1880-81)
* ''[[Doumka (musique)|Dumka]]'' et ''Furiant'', respectivement B. 136 et B. 137 (op. 12 {{numéro|1}} et op. 12 {{numéro|2}}, 1884)
* ''[[Danses slaves]]'' - Série {{numéro|II}} (quatre mains), B. 145 (op. 72, 1886)
* ''[[Treize Impressions poétiques]]'', B. 161 (op. 85, 1889)
* ''Huit [[Humoresques (Dvořák)|Humoresques]]'', B. 187 (op. 101, 1894), dont notamment la célèbre ''Humoresque {{numéro|7}} en sol bémol majeur''
* ''Suite en la majeur'', B. 184 (op. 98, 1894), version initiale pour piano de la ''[[Suite américaine]]'' B. 190
 
== Hommages ==
 
* en [[astronomie]], sont nommés en son honneur [[(2055) Dvořák]], un [[astéroïde]] de la [[Ceinture d'astéroïdes|ceinture principale]] d'astéroïdes<ref>{{Lien web |titre=IAU Minor Planet Center |url=http://www.minorplanetcenter.net/db_search/show_object?object_id=2055 |site=www.minorplanetcenter.net |consulté le=2020-06-21}}</ref>, et [[Dvorák (cratère)|Dvorák]], un [[Cratère d'impact|cratère]] de la planète [[Mercure (planète)|Mercure]]<ref>{{Lien web |titre=Planetary Names: Crater, craters: Dvorák on Mercury |url=https://planetarynames.wr.usgs.gov/Feature/1678 |site=planetarynames.wr.usgs.gov |consulté le=2020-06-21}}</ref>.
* le {{Date|8 septembre 2023}}, un ''[[Google Doodle]]'' lui est consacré à l'occasion du {{182e}} anniversaire de sa naissance<ref>{{Lien web |titre=Antonín Dvořák's 182nd Birthday |url=https://www.google.com/doodles/antonin-dvoraks-182nd-birthday |site=google.com |date=08/09/2023}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |auteur=Julien Ricotta |titre=Antonín Dvořák : qui est le célèbre compositeur mis à l'honneur par Google ? |url=https://www.rtl.fr/culture/musique/anton-n-dvo-k-qui-est-le-celebre-compositeur-mis-a-l-honneur-par-google-7900295480 |site=[[RTL|rtl.fr]] |date=2023-09-08 }}</ref>.
* Serge Gainsbourg a emprunté le premier mouvement de la ''[[Symphonie no 9 de Dvořák|Symphonie n° 9 dite « Du nouveau monde »]]'' pour la musique de la chanson ''[[Initials B.B. (chanson)|Initials B.B.]]'', en hommage elle-même à [[Brigitte Bardot]].
* Dans les années 50, le guitariste américain [[Chet Atkins]] interprete le titre Humoresque en live au Grand Ole Opry{{refnec}}.
 
== Notes et références ==
{{Références}}
 
== Bibliographie ==
* [[Guy Erismann]], ''Antonín Dvořák'', Paris, éditions Fayard, coll. « Chemins de la musique », 2004 {{ISBN|978-2-2136-1823-4}}, {{nobr|491 pages}}
* Annie Thirion, ''Antonin Dvorak : sa vie, son œuvre'' (avec une préface de [[Jarmil Burghauser]]), éditions Annie Thirion, {{date-|septembre 2003}} {{ISBN|978-2-9600-3840-8}}, {{nobr|362 pages}}
* Alain Chotil-Fani et Éric Baude, ''Antonín Dvořák : un musicien par-delà les frontières'', Paris, éditions [[Buchet-Chastel]], coll. « Musique », 2007 {{ISBN|978-2-2830-2010-4}}, {{nobr|432 pages}}
* Philippe Simon, ''Antonín Dvořák'', Drize-Genève, éditions Papillon, coll. "Mélophiles", 2004, {{ISBN|2-940310-19-X}}, 142 pages (avec illustrations).
 
== Voir aussi ==
=== Article connexe ===
{{Autres projets
| commons = Antonín Dvořák
}}
* [[Liste des œuvres d'Antonín Dvořák|Liste complète des œuvres d'Antonín Dvořák]]
 
=== Liens externes ===
* [http://www.antonin-dvorak.cz/galerie/antonin-dvorak galerie de photos]
* [http://www.antonin-dvorak.cz/nahravky/orchestralni-skladby liste des enregistrements]
* [http://alain.cf.free.fr/jeudvointro.htm Dvořák sur le site de la Médiathèque de Musique Tchèque]
* [http://musicabohemica.blogspot.com/2007/10/dvorak.html Dvořák sur MusicaBohemica (en français)]
* [http://alain.cf.free.fr/saisie-parametres-classique.php?accents_tcheques=0 Interrogation en ligne du catalogue Dvořák]
* [https://marteloderubinero.com/2023/09/07/antonin-dvorak-le-maestro-de-la-melodie-tcheque/ Antonín Dvořák: le maestro de la mélodie tchèque]
 
==== Bases de données et dictionnaires ====
{{Liens}}
 
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{{Portail|musique classique|opéra|Empire d'Autriche|Autriche-Hongrie|XIXe siècle}}
 
{{DEFAULTSORT:Dvorak, Antonin}}
=== Musique vocale ===
[[Catégorie:Antonín Dvořák|*]]
* ''[[Stabat Mater]], op. 58''.
[[Catégorie:Compositeur tchèque de la période romantique]]
[[Catégorie:Compositeur tchèque de musique classique de la période moderne]]
[[Catégorie:Compositeur tchèque d'opéra]]
[[Catégorie:Compositeur tchèque de symphonie]]
[[Catégorie:Compositeur de requiem]]
[[Catégorie:Chevalier de 3e classe de l'ordre autrichien de la Couronne de fer]]
[[Catégorie:Naissance en septembre 1841]]
[[Catégorie:Naissance dans la région de Bohême-Centrale]]
[[Catégorie:Naissance dans le royaume de Bohême]]
[[Catégorie:Décès en mai 1904]]
[[Catégorie:Décès à Prague]]
[[Catégorie:Décès dans le royaume de Bohême]]
[[Catégorie:Décès à 62 ans]]
[[Catégorie:Personnalité inhumée au cimetière de Vyšehrad]]
[[Catégorie:Éponyme d'un objet céleste]]
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