« Mosson (rivière) » : différence entre les versions

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{{Voir homonymes|Mosson}}
{{Infobox Cours d'eau
| nom = la Mosson
| autres noms = ruisseau des Mages, ruisseau de la Mine
| image = Mosson river by Juvignac.JPG
| légende image = ''La Mosson'' près de [[Juvignac]].
| carte =
| légende carte =
| longueur = 39.3
| longueur notes = <ref name=sandre />
| débit = 1.14
| débit lieu = [[Saint-Jean-de-Védas]]
| débit notes = <ref name=hydro />
| bassin = 395
| bassin notes = ([[Karstiquekarstique]] 395)<ref>{{pdf}} [http://www.herault.gouv.fr/content/download/15944/102326/file/RapportExpertiseCerema_GRABELS_2015_05_22.pdf Rapport d’expertise sur la commune de Grabels], page 15, publié en mai 2015, sur le site [http://www.herault.gouv.fr herault.gouv.fr] (consulté le 5 septembre 2016)</ref>{{,}}<ref name=sandre />
|bassin notes=<ref name=sandre/>
| pays = {{France}}
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| lien subdivision1 = [[département français|Départements]]
| subdivision2 = [[canton d'Aniane|Aniane]], [[canton des Matelles|Les Matelles]], [[canton de Montpellier-10|Montpellier-10]], [[canton de Montpellier-8|Montpellier-8]], [[canton de Pignan|Pignan]], [[canton de Lattes|Lattes]], [[canton de Frontignan|Frontignan]]
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| régime = [[régimeRégime méridional|méridional]]
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| source altitude = 185
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| confluence = le [[Lez (fleuve)|Lez]] et dans l'étang de l'Arnel
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}}
 
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== Morphologie ==
Le bassin côtier couvre une superficie totale de {{unité|653 |km²|2}}. Il est divisé en deux unités hydrologiques aboutissant dans les étangs littoraux, dont le sous-bassin de la Mosson représente 70 % de la superficie et celui du Lez 30 %<ref>{{pdf}} [http://www.pecheherault.com/synthese_BV03-04_lez%20mosson.pdf Bassins versants de la Mosson et du Lez], sur le site [http://www.pecheherault.com Fédération départementale de pêche] (consulté le 8 septembre 2016)</ref>.
 
La mosaïque structurale de la région montpelliéraine est entièrement de la période pré-[[Éocène]]. L'Éocène [[fluviatile]] occupe le fond des bassins des communes d'Aniane et de [[Sommières]]. Deux ensembles [[tectonique]]s semble avoir séparé le réseau hydrographique, entre les communes de [[La Boissière (Hérault)|La Boissière]], [[Vailhauquès]] et [[Murles]] avec [[Murviel-lès-Montpellier]]. Les régions des communes de [[Saint-Paul-et-Valmalle]] et Montarnaud montrent des accidents fossilisés.
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La Mosson naît dans la gouttière de la commune de Saint-Paul-et-Valmalle. Elle utilise les bassins éocènes jusqu'à la commune de Grabels. Elle abandonne le sillon pour s'engager dans une percée [[Épigénisation|épigénique]] entre la commune de Grabels et le quartier de la Paillade (Fontcaude), et dans son cours, elle est surimposée à travers l'extrémité nord-occidentale du [[massif de la Gardiole]]. Les vallées sont, ici, des incidents topographiques locaux, créés par des dépressions ou des hauteurs. Le bassin de la commune de Grabels est une cuvette presque fermée qui recouvre un [[Laccolite|laccolithe]] ([[basalte]]). L'érosion différentielle a déterminé la formation d'un [[hémicycle]] dominé par les calcaires blancs. Les cours d'eau n'ont pu modifier ce relief brut.
 
Durant la période du [[Jurassique]], les contrebas de la commune de ''La Boissière'' semblent avoir joué le rôle de glacis aux travers de la naissance de la rivière du [[Coulazou]]<ref>{{Article|langue=fr|auteur1=[[Pierre George]]|titre=Études morphologiques sur le Bas-Languedoc|sous-titre=la région montpelliéraine|périodique=Bulletin de l'Association de géographes français|année=1936|numéro=100|volume=13|pages=130, 139|lire en ligne=http://www.persee.fr/doc/bagf_0004-5322_1936_num_13_100_6992|consulté le=8 septembre 2016}}.</ref>.
 
== Géographie ==
[[Fichier:HautsMassaneOuest vueFontDespierre 06092009v.JPG|thumb|185px|right|Vue de la rivière de la Mosson depuis la commune de Juvignac.]]
[[Fichier:Ruisseau de Pezouillet.JPG|thumb|200px|right|le ruisseau de Pezouillet à [[Saint-Gély-du-Fesc]].]]
Située au nord-est de Montpellier, à {{unité|185|m}} d'altitude<ref>{{Géoportail|latitude=43.6318|longitude=3.6787|zoom=6|couches=Hydro|desc=Source de la Mosson|consulté le=5 septembre 2016}}</ref>, cette rivière, longue de {{unité|39.3|km}}<ref name=sandre>{{sandre|Y31-0400|La Mosson|consulté le=5 septembre 2016}}.</ref>, prend sa source dans la garrigue de la commune de Montarnaud<ref>{{Ouvrage|langue=fr|auteur1=Carte IGN|titre=Top 25 au 1-25.000ème|sous-titre=Montpellier - Palavas les flots|collection=2743ET|année=septembre 2010|ean=9782758522539|présentation en ligne=http://espaceloisirs.ign.fr/boutique/montpellier-palavas-les-flots-gps.html|lire en ligne=http://www.monbeauvillage.fr/34/34570/montarnaud/carte-ign|consulté le=8 septembre 2016}}.</ref>. Sans avoir de lieu identifié, c'est une cabane en pierre<ref>[http://www.cc-vallee-herault.fr/La-source-de-la-Mosson.html La source de la Mosson], sur le site de la [http://www.cc-vallee-herault.fr Communauté de Commune de la vallée de l'Hérault] (consulté le 9 septembre 2016)</ref>, la « Font de la Mosson » <small>{{Coord|43|39|1.97|N|3|41|25.27|E}}</small>, ''avenue Fontaine Mosson'' ou ''chemin de Font Martinier'' ou encore ''chemin de la Baume'', qui matérialise la source de la Mosson<ref name="eedd526">Parcours [http://eedd.fr/lieux-de-d%C3%A9couverte/parcours-%C2%ABla-mosson-de-sa-source-au-village%C2%BB « La Mosson, de sa source au village »], sur le site [http://eedd.fr eedd.fr] (consulté le 6 septembre 2016)</ref>. Elle traverse les communes de [[Vailhauquès]], [[Murles]] et [[Combaillaux]] avant d'arriver à [[Grabels]]<ref>[http://www.lamarseillaise.fr/culture/patrimoine/32242-une-riviere-paisible-aux-crues-redoutables Une rivière héraultaise paisible aux crues redoutables], publié par Thierry Arcaix, le 13 octobre 2014, sur le site de [http://www.lamarseillaise.fr la Marseillaise] (consulté le 5 septembre 2016)</ref> où elle devient pérenne. Dans cette commune se trouve la source de l'Avy ou ''fesses-madame''<ref>[http://www.ville-grabels.fr/1660-les-sites-naturels.htm La source de l'Avy], sur le site de la [http://www.ville-grabels.fr mairie de Grabels] (consulté le 7 septembre 2016)</ref> <small>({{Coord|43|38|48.63|N|3|47|31.61|E}})</small> dont l'eau bleutée, parcours {{unité|200 |m}} avant de se jeter dans la rivière de la Mosson.
 
À partir de Grabels et le long du quartier montpelliérain de [[La Paillade]], son cours est encaissé. Elle longe le [[château de Caunelles]] {{nobr|[[Fichier:Logo monument historique - noir sans texte.svg|20px|alt=(M)|link=Monument Historique]]}}, avant d'arriver au passage au droit de la commune de [[Juvignac]], elle retrouve la plaine et passe les ruines d'un pont [[Rome antique|roman]] situé à proximité du [[Château de la Mosson|château Bonnier de la Mosson]] {{nobr|[[Fichier:Logo monument historique - noir sans texte.svg|20px|alt=(M)|link=Monument Historique]]}} à Montpellier.
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Le bassin est caractérisé par des épisodes climatiques extrêmes et difficiles à anticiper, autant pour les inondations, le maintien de l'éco-système et l'alimentation en eau potable durant la période estivale.
 
Le climat méditerranéen est caractérisé par sa douceur et par des précipitations généralement faibles, mais surtout mal réparties dans le temps, avec des pluies violentes concentrées sur quelques journées et suivies de longues périodes de sècheresse. La pluviométrie annuelle sur le bassin versant est de 750mm{{unité|750|mm}}{{sfn|Etat des lieux et diagnostic du bassin versant|p=34|texte=Contexte climatique.}}, les épisodes pluvieux appelés « [[Épisode cévenol|orages cévenols]] » peuvent apporter une quantité d’eau très importante dans un espace restreint et seulement en quelques heures. Paradoxalement, les étés sont très secs, les instances administratives publient des arrêtés de restriction d'usage de l'eau. Les incendies sont notoires en fin de période estivale.
 
Des données climatiques sont mesurées par douze stations météorologiques situées sur les bassins du fleuve du Lez et de la rivière de la Mosson{{sfn|Etat des lieux et diagnostic du bassin versant|p=35|texte=Contexte climatique.}}. Trois de ces dernières concernent la rivière de la Mosson, elles sont situées sur les communes de Saint-Gély-du-Fesc (Y311), Montarnaud (Y310) et Villeneuve-lès-Maguelone (Y314).
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=== Impacts et inondations ===
A la station de « la Lauze » dans la commune de Saint-Jean-de-Védas, il a été relevé un débit moyen parmi les plus bas, durant dix jours consécutifs de {{unité|0,.03 |m{{|3}}|/s}} et mesuré durant une [[crue centennale]] un débit de {{unité|525 |m{{|3|/s}}/s<ref name="syble_inondations">[http://www.syble.fr/papi/le-bassin-versant-et-les-inondations/ Le bassin versant et les inondations], sur le site du [http://www.syble.fr Syble] (consulté le 9 septembre 2016)</ref>.
 
Le bassin versant du fleuve du Lez, de la rivière de la Mosson et des étangs palavasiens, possède une forte concentration de population de l’arc languedocien, il est soumis à de forts changements démographiques. Près de 25 000 {{unité|25000|personnes}} sont exposées aux inondations, ce qui représente 6 % de la population du bassin versant sur la base du recensement de la population effectué pour l'année 1999. Les principales zones à risques se situent sur les communes de Montpellier et de Lattes qui concentrent 65 % de la population exposée. Pour le bâti, ce sont les communes de Palavas-les-flots, Lattes, Montpellier, Cournonterral, Fabrègues, Pérols et Pignan qui concentrent 85 % du bâti à risques<ref name="syble_inondations" />.
* Septembre et octobre 1907<ref>[http://www.syble.fr/papi/les-crues-historiques/ Les crues historiques], sur le site du [http://www.syble.fr Syble] (consulté le 9 septembre 2016)</ref> : Du 10 septembre au 10 novembre, il est tombé 747mm{{unité|747|mm}} de pluie. Ces pluies consécutives provoquent neuf crues, dont trois majeures, le 25 septembre, le 16 octobre et le 10 novembre. L'inondation est d'autant plus spectaculaire que la mer déchaînée refoule les rivières sur plusieurs kilomètres.
* Septembre 1933 : Dans la nuit du 26 au 27, les pluies provoquent la crue de la rivière du Verdanson. Durant la nuit du 30 septembre, des orages diluviens gorgent les rivières et provoquent l'immersion totale de Lattes. Cette inondation a été meurtrière et a fait des dégâts matériels.
* Décembre 1955 : Au niveau du Pont Juvénal, la côte de {{unité|13,80m.80|m}} a été mesurée soit {{unité|5,80m.80|m}} au-dessus de la côte d'étiage. Cette inondation a fait trois victimes et des dégâts importants.
* Septembre 1976 : Durant la nuit du 23 au 24, après les pluies torrentielles observées au cours de l'après-midi, les inondations qui en découlent avec les pluies de la soirée et de la nuit, dans la région du Pic Saint Loup, envahissent environ une vingtaine de communes. Le débordement du Lez provoque des dégâts catastrophiques.
* Décembre 2002 : Du 10 au 12 décembre, il est mesuré environ 200mm{{unité|200|mm}}, sur le bassin du Lez, pour une période de retour de 20 ans. Le 12 décembre, le débit de pointe du Lez, au niveau du Pont Garigliano (Montpellier), a été évalué à 412m{{unité|412|m|3}}|/s}}. Une petite partie des digues protégeant Villeneuve-lès-Maguelone et [[Lattes|Maurin]] ont cédé au cours de ces [[orage cévenol|orages cévenols]].
* Décembre 2003 : Cet [[Épisode cévenol]] se caractérise par la conjugaison de pluies diluviennes avec une forte tempête marine. Il a été mesuré dans les communes de : Montpellier (167mm{{unité|167|mm}}), Prades le Lez (150mm{{unité|150|mm}}) et Montarnaud (148mm{{unité|148|mm}}). Le débit de pointe du Lez, au niveau du Pont Garigliano (Montpellier), a été estimé à 508m{{unité|508|m|3}}|/s}}. Les digues protégeant Villeneuve-lès-Maguelone et [[Lattes|Maurin]] ont à nouveau cédé<ref>{{pdf}} [http://ccbr.lyon.cemagref.fr/IMG/pdf/rapportCETMEF.pdf Description de ruptures de digues consécutives aux crues de décembre 2003], pages 27 et suivantes, sur le site de la [http://ccbr.lyon.cemagref.fr/ Conférence de consensus] (consulté le 10 septembre 2016)</ref> durant ces fortes pluies, sans faire de victimes.
* Septembre 2005 : Avec des pluies diluviennes, un sauvetage a été effectué par hélicoptère à Prades-le-Lez. Les digues de protection ont partiellement résisté, la commune de Lattes est passée à côté de la catastrophe. Il a été mesuré 250mm{{unité|250|mm}} de pluie, pour un débit 500m{{unité|500|m|3}}|/s}} sur le Lez, au niveau du Pont Garigliano, à Montpellier. La ville a été inondée par une crue de période de retour 20 ans.
* Septembre 2014 : Les 29 et 30, il est enregistré, sur les bassins versants, un cumul de pluie de 130mm{{unité|130|mm}} à l’amont de la rivière de la Mosson, plus de 200mm{{unité|200|mm}} à l'amont et près de {{unité|240 |mm}} à l'aval du fleuve du Lez. Les appareils de ''Météo-France'' ont enregistrés des intensités record au niveau de la station météorologique de Fréjorgues : 295mm{{unité|295|mm}} sur l’ensemble de l’épisode pluvieux avec une intensité record sans précédent de 252mm{{unité|252|mm}} en 3 heures. Le débit du Lez a pratiquement atteint celui de la crue de décembre 2003 au niveau de la station de mesure de Garigliano à Montpellier.
* Octobre 2014 : Les 6 et 7, il est relevé la mesure de plus de 250mm{{unité|250|mm}} à l’amont du bassin versant de la Mosson (entre Grabels et Montpellier) avec des intensités dépassant les 80mm{{unité|80|mm}} en 1 heure et 230mm{{unité|230|mm}} en 3 heures. Le débit du Lez a dépassé celui de la crue de décembre 2003, au niveau de la station de mesure de Garigliano, à Montpellier. Le débit de la rivière de la Mosson a été estimé à 410m{{unité|410|m|3}}|/s}} au niveau de la commune de Juvignac ''(Pour indication : La crue centennale de la Mosson à Juvignac est estimée à 335 m{{3}}/s sur sols saturés)''
* Août 2015 : Le 23, ces épisodes cévenol intenses sont très rares à cette période de l’année. Ils se produisent essentiellement de fin septembre à novembre. Il est enregistré 150mm{{unité|150|mm}} de pluie sur l’aval du bassin versant (Montpellier à Lattes) sur la totalité de l’événement dont 60mm{{unité|60|mm}} en 1 heure. Ces fortes pluies ont entraîné d’importants ruissellements et des crues très rapides et violentes en particulier sur les petits cours d’eau urbains. À Montpellier, la rivière du Verdanson a fait 2 victimes.
* Novembre 2015 : Le 3 et 4, sur le bassin versant du Rieumassel de la commune de Grabels, il a été enregistré près de 130mm{{unité|130|mm}} de pluie en 5 heures. A l’ouest immédiat de ce cours d’eau, le bassin versant de la rivière de la Mosson a été touché par des lames d’eau comprises entre {{unité|70 et 100mm100|mm}}. Sur la totalité de l’évènement, il est tombé plus de 170mm{{unité|170|mm}} sur le bassin versant du Rieumassel (localement 190mm{{unité|190|mm}}) au niveau de la commune de Grabels. A l’ouest immédiat de ce cours d’eau, le bassin versant de la rivière de la Mosson a été touché par des précipitations comprises entre {{unité|135 et 160mm160|mm}} du nord au sud. Aucune victime a été signalé.
 
== Toponyme ==
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Énumération, non exhaustive, des différents acteurs ayant en charge la rivière de la Mosson :
* L'organisme gestionnaire est le Syndicat du bassin du Lez ou SYBLE, il a été créé par arrêté préfectoral le 13 juillet 2007 et reconduit en 2009, 2013 et 2015<ref name="syble2015">{{pdf}} [http://www.syble.fr/uploads/images/SYBLE/Statuts%20SYBLE%202015.pdf Les statuts du Syndicat du bassin du Lez], sur le site du [http://www.syble.fr/syble/historique-du-syndicat/ Syble (Historique)] (consulté le 8 septembre 2016)</ref>.
: Demeurant à la Maison Départementale de l’Environnement du Domaine Départemental de Restinclières à [[Prades-le-Lez]] (34730). Il a pour missions, la gestion globale de l’eau et des milieux aquatiques sur le bassin versant du Lez, de la Mosson et des [[Étangs palavasiens]], de gérer les volets « animation et études d’intérêt général » pour la mise en œuvre des plans d’actions du [[schéma d'aménagement et de gestion des eaux]] (SAGE) et du [[programmes d’action de prévention des inondations]] (PAPI). Depuis l'année 2013, il est reconnu en tant qu’[[Établissement public territorial de bassin]] (EPTB)<ref name="syble2015" />.
* Le Syndicat mixte des étangs littoraux ou SIEL, a été créé à la fin de l'année 1998.
: Il est né de la volonté des collectivités locales de s'impliquer dans la préservation des lagunes situées entre [[Sète]] et Montpellier : les Étangs palavasiens. Il regroupe les communes de [[Frontignan]], [[Mireval]], [[Vic-la-Gardiole]], Villeneuve-lès-Maguelone, [[Lattes]], [[Pérols]] et Palavas-les-flots. Toutes sont situées sur le périmètre du SAGE excepté la commune de Frontignan. La vocation du Siel est la gestion, la mise en valeur et la protection des milieux aquatiques et des zones humides lagunaires.
* Les autres syndicats et structures intercommunales sont :
: [[Montpellier Méditerranée Métropole]], [[Sète Agglopôle Méditerranée]], [[Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup]], [[Communauté d'agglomération du pays de l'Or]], [[Communauté de communes Vallée de l'Hérault]]…
* Les acteurs institutionnels sont<ref name="syble2015" /> :
: • Le [[Conseil départemental de l'Hérault]] qui porte notamment un réseau de suivi de la ressource (qualité des eaux),
: • La [[Région Languedoc Roussillon]] : rôle de financeur, le [[Conseil régional de Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées]] porte notamment le projet Aqua Domitia (ressource en eau).
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* La [[liste des cours d'eau de l'Hérault]].
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== Notes et références ==
{{Références|group=notes|taille=30}}
{{plume}} {{Lien web |langue=fr|titre=État des lieux et diagnostic du bassin versant|url=http://www.syble.fr/uploads/pdf/sage/Etat%20des%20lieux%20-%20diagnostic%20du%20bassin%20versant%20LMEP.pdf|date=2015|format=PDF|site=[http://www.syble.fr/sage/diagnostic/ syble.fr]|id=Etat des lieux et diagnostic du bassin versant|consulté le=7 septembre 2016}}
 
=== Références ===
{{Références nombreuses|taille=30}}
{{Bases géographiques}}
{{Palette|Cours d'eau en Hérault}}
 
{{Portail|lacs et cours d'eau|Hérault|Languedoc-Roussillon}}
 
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