« Sinté » : différence entre les versions

Raflés sur tout le territoire français durant la [[Seconde guerre mondiale]], de nombreux Sintés sont conduits dans des [[Liste des camps d'internement de « nomades » en France|camps d'internement]], (ou [[Camp de concentration|concentration]])<ref>{{Lien web |titre=Camps Archives |url=http://memorialdesnomadesdefrance.fr/category/camps/ |site=Mémorial des Nomades de France |consulté le=2024-04-30}}</ref> tel celui de l'[[Autodrome de Linas-Montlhéry|autodrome de Linas Montlhéry]]<ref>{{Lien web |auteur=Théophile Leroy |titre=Camp de Linas-Montlhéry (1940-1942) |url=http://memorialdesnomadesdefrance.fr/camp-de-linas-montlhery-1940-1942/ |site=memorialdesnomadesdefrance.fr |date=2019 |consulté le=2018-09-13}}</ref>, nombre sont ensuite déportés vers des [[Centres d'extermination nazis|camps d'extermination nazis]]. [[Raymond Gurême]] en fut l’un des derniers témoins<ref>{{Lien web |titre=Raymond Gurême : la mémoire et la révolte |url=https://www.lutopik.com/article/raymond-gureme-memoire-revolte |site=lutopik.com |consulté le=2018-09-13}}.</ref>. Les derniers prisonniers détenus dans les camps de concentration français sont libérés le {{1er}} juin 1946, après [[Libération de la France|la libération de la France]] en mai 1945. Le [[régime de Vichy]], et provisoire ensuite, ayant ainsi participé au [[Porajmos]], qui est l'équivalent en [[Romani]] du terme [[Shoah|Holocauste]].