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ELMENTS DE DVELOPPEMENT SPIRITUEL ET PROCESSUS D'INDIVIDUATION

DISSIMULS AU COEUR D'UNE PEINTURE DE ZURBARN (17


e
SICLE).
DCODAGE SOTRIQUE.

L'Espagne du 17e sicle est celle de la Contre-Rforme et ne plaisante pas avec la
religion. L'Inquisition poursuit encore avec vigueur ceux et celles qui viendraient
s'carter du dogme.
C'est pourtant dans ce contexte pour le moins tendu qu'un peintre de cour - Francisco
de Zurbarn - va raliser une oeuvre diante truffe de symboles sotriques
porteurs d'un message qui va l'encontre de tous les prceptes alors en vigueur.
Bien que vieux de prs de 400 ans, ce message reste d'une incroyable modernit et
trouve mme un cho certain avec les travaux de Carl Gustav Jung, pre de la
psychologie analytique et pionnier de la psychologie des profondeurs.
Les liens entre cette oeuvre mconnue et le tarot de Marseille conu comme un outil
de dveloppement personnel et spirituel sont ds lors vidents.
Quelques pistes de dcodage parmi 253.017 autres possibles.


Tout dbute par un jeudi de mai pluvieux o un ami me propose de l'accompagner au Palais des
Beaux-Arts de Bruxelles qui consacre une vaste rtrospective au peintre espagnol Francisco de
Zurbarn.
Nous sommes en n de journe et le muse organise une nocturne. Vu l'heure et la mto
capricieuse, je doute que l'endroit soit bond et il me semble que nous disposerons du calme et de
l'espace ncessaires une visite instructive.
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Lors de ma formation d'historien de l'art, Zurbarn ne m'avait pas laiss un souvenir imprissable.
Pour tre honnte, j'avais pratiquement tout oubli ce que j'eu su de lui. Je me rendais donc au
Palais plus curieux qu'excit.

L'oeuvre en question se trouve pratiquement mi-parcours. Au premier coup d'oeil, je la trouve
absolument trange. Le sujet indit et la composition pour le moins dsquilibre avec ses grands
vides me laissent compltement perplexe.

Or, aucun artiste ne fait les choses par hasard, de faon gratuite, comme a pour faire joli.
Tout est porteur de sens. Tout a une raison.


LOEUVRE

Ce tableau gure le Christ enfant, gauche, et Marie, sa mre, droite. Marie porte un regard
charg dmotion sur son ls qui vient de se piquer le doigt en manipulant une couronne dpines .
1

La scne suggre que Marie connat lavance le sort qui
attend son ls et sen attriste. La couronne dpines prgure
videmment la n de la vie terrestre du Christ : son procs et
la crucixion qui sen suivra.

La scne se passe Nazareth, dans la maison familiale. Do le
nom du tableau.

Voil pour la lecture classique unanimement admise.
Tel serait le sujet de cette oeuvre.
Et pourtant.

Cette trange scne - qui semble ne pas avoir dquivalent
iconographique antrieur ou postrieur - parat en fait receler un
message sotrique.
Il faut comprendre par l : un message en lien avec une
proposition de dveloppement personnel ou spirituel qui ne
soit pas tout en fait dans la ligne de la pense religieuse du moment et quil convient donc
de faire passer au moyen de gures aux dehors inoffensifs bien qu haute valeur
symbolique. Liniti devra sy retrouver.


En prenant le temps dobserver le tableau de faon plus attentive : un fait saute aux yeux. Tout va
par deux. Deux personnages, certes, mais aussi une coupe en deux parties aux pieds du Christ ;
un livre ouvert en deux parties gales ; deux fruits ; deux volumes ; deux oiseaux.
A chaque fois, deux lments semblables cte cte.
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Francisco de Zurbarn, La maison de Nazareth. 1635-640. Conserv au Museum of Art, Cleveland [USA].
1
Expos BOZAR [Bruxelles] du 29.01.2014 au 25.05.2014.
Voila un code que tu retrouves dans bien des symboles et qui est celui de la dualit.
Toi qui connat le Tarot de Marseille : ce principe test familier.
L o il y a dualit : il y a opposition, dissension, division.
Et l o il y a division, il ny a pas dunit. Cest vident.
Et sil ny a pas dunit : cest il ny a pas encore daccomplissement.


DE LA DUALIT DANS LE TAROT DE MARSEILLE

Toi qui connat le Tarot : tu auras directement fait le lien avec le Bateleur [I].
Le Bateleur est divis [observe le geste de ses mains et la position de ses
jambes] et porte cependant le numro 1.

Cette carte 1 est tout fait remarquable puisquelle illustre la fois :
!
ltat premier lorsquon aborde le travail sur soi : la division [symbolise
par la position des jambes et des bras],
!
le but de ce travail, ce qui fait que le travail est accompli (pour autant que
cela soit possible) : lunication / lindividuation [symbolise par le
chiffre I].

Si le Bateleur illustre en mme temps le dbut et la nalit du travail : il a
galement des allures de mode demploi. A savoir lexploration, la
dcouverte, lexprimentation de tout ce qui me compose [corps, esprit,
motion, expriences, etc.], rassembler ce qui est pars, liminer ce qui ne
fait pas partie de moi, purger et nettoyer ce qui est endommag, etc.

Dentre de jeu le Bateleur concentre donc en une seule image : lobjet du tarot, la mthode
quil propose et la nalit du travail.

Ceci na rien dtonnant de retrouver toutes ces informations [ moins quil ne sagisse dune mise
en garde] sur la premire carte. Car que trouves-tu au dbut dun ouvrage, sinon ce pour quoi il a
t rdig et la mthode qui a t suivie par lauteur pour arriver ses ns.

Laccomplissement de soi [ou du Soi], dans la voie symbolique, sexprime souvent en termes de
relier le Masculin et le Fminin. Un propos qui ne doit videmment pas tre considr au premier
degr.
Par cette formule, il faut entendre : conscientiser, unir et concilier :
- ton corps & ton esprit,
- ta raison & tes motions
- tes parts dombre et de lumire,
- tes part bons cts / potentiels & mauvais cts / faiblesses,
- tes parts ce que je connais de moi & ce que jignore / refoule de moi,
- ta part rationnel & ta part intuitif,
- ta part extravert & ta part introvert,
- ta parts cyclique & ta part linaire,
- toi & ce que tu voudrais tre,
- toi & ce que les autres voudraient que tu sois,
- toi & comment tu vis ce toi,
- ton pass, ton prsent, ton futur,
Etc. La liste est quasi innie.

Carl Gustav Jung donne une autre dnition de laccomplissement de soi en ces termes : jemploie
l'expression d'individuation pour dsigner le processus par lequel un tre devient un in-dividu
psychologique, c'est--dire une unit autonome et indivisible, une totalit.

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DE LINDIVIDUATION DANS LE TAROT DE MARSEILLE

A toi qui connat le tarot, je te propose de faire le lien entre cette citation et un enchanement de 3
cartes [M I XXI].
- M : lhomme en chemin.
- I : le dbut du parcours.
- XXI : la n [provisoire] du parcours.

Lobjectif du Tarot nest-il pas [trait bleu] de se dfaire de tout ce qui nestpasnous, nousalourdit,
nous encombre et de retrouver notre essence profonde ?
le Mt se met en route avec un baluchon norme (tout ce quil a vcu, son histoire, ses
peurs, ses espoirs, ses visions, etc]
Le Bateleur [I] commence par dposer ce baluchon (voila un poids en moins !), louvre
et en fait linventaire
et pour nir, au bout du chemin, quand on vient au Monde [XXI] : la baluchon sest
dlest de bien des choses pour se rduire vritablement lessentiel, aprs stre
allg de tout ce qui nous empchait davancer, nous encombrait, nous alourdissant en
dbut de voyage. On est pass du baluchon une petite bourse qui tient dans la main.

Et ce chemin est, en soi, une renaissance [trait vert]. Cela est marqu dune part par le graphisme
de I et XXI puisque lon passe dune vulve lautre ; et dautre part par les mots puisquen XXI : je
viens au Monde. De la vulve de I la vulve de XXI, le Mt est pouss par un flin / Anubis qui
prside galement la mort-renaissance.

!
ESSENCE - renESSENCE / reNAISSANCE


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Et pour en arriver cela, il faudra videmment mourir tout ce qui ne te ressemble pas en vue de
devenir toi. Vibration de XIII .
2
Or, pour en arriver XIII : il faut passer par la case XII et faire du I [XII + I = XIII logique
implacable].
- I = 1 = dbut
- I vient de natre [lemniscat / vulve] > cest en soi une nouvelle prise de conscience
- I a sur sa table des couteaux
- I a sur sa table un sac que lon identie au placenta
- I = 1 = je

I nat une nouvelle conscience de lui mme et en quelque sorte nat une nouvelle dimension de
lui-mme qui est associe une volont de sindividuer [carte n1], de devenir lui-mme [quand
bien mme il ne sait pas encore comment sy prendre] : ce qui implique de devoir couper des liens.

En cela : I peut tre rapproch de XII [cordon ombilical] et de XIII [qui tranche pour sindividuer].Or
XII + I ne fait-il pas XIII ?

!
XII : recherche de ce qui mentrave et me retient [les liens avec la mre / le clan / mes
croyances / mon histoire passe douloureuse],
!
I : volont de devenir moi, de mindividuer, de devenir une entit autonome et
indivisible,
!
XIII : de la recherche la volont : on passe - en XIII - laction de rupture.
Irrmdiable et volontaire.



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Pour nos amis astrologue humanistes, on parlera de ! / / maison 8.
2
! [vert] : le cordon [XII & I], le placenta [I], les ttes [XIII] > tout et tous ceux ce qui
mentravent
! [violet] : couper, trancher [couteau en I et faux en XIII]
! [rose] : la table de I a la mme couleur chaire que le squelette de XIII. La table couleur
chair : cest mon potentiel log en moi, dans mon corps, dans ce qui est vivant en moi.
Or, en XIII, cest cette mme partie (ultra-)vivante de mon tre qui - dans une volont
de (sur-)vie se manifeste. Tu observes galement que la table porte et que squelette
supporte, structure. Ainsi, mes yeux : la table I et le squelette de XIII sont un mme
chose. Latent en I. Actif en XIII.


LES ENSEIGNEMENTS PROPOSS PAR ZURBARN

Lensemble des objets qui vont par deux induit donc une notion dinaccompli, de choix non encore
fait, de chemin encore parcourir, de non-individuation.

Et qui a encore ce cheminement faire sinon le Christ puisquil est reprsent ici jeune ?

Or, Marie, quant elle, semble savoir quelle forme prendra laccomplissement du
cheminement de son ls. A tel point que lorsque Jsus encore enfant se pique le doigt des
pines, elle en pleure en songeant de toute vidence la crucixion qui naura lieu que bien des
annes plus tard.


1/
Nous sommes ici chacune et chacun avec un cheminement parcourir en vue de nous
raliser, de nous accomplir, de nous individuer.
Au dbut de cette existence terrestre : nous venons chacune et chacun avec des potentiels, des
lacunes, des qualits et des faiblesses, une nature, une sensibilit, une vision.
Le champ est cependant vierge et tout est possible. Libre chacune et chacun de faire ce quelle
/ il veut veux de ce quelle / il a. Mais au fond delle / lui-mme : une part sait ce quil est juste et
bon de faire, du type de chemin suivre.
Les potentiels et autres lments encore non tranchs sont videmment tous ces objets qui, dans
la peinture, vont encore par deux. Autant dobjets, autant dpreuves. Le livre ouvert - par exemple
- pourrait tre vue comme une invitation toute lecture nouvelle qui suppose une d-solidarisation
du texte et de son support, [croyance qui nest rien moins quvidente]. Apprendre nest-il pas
dsapprendre ?

Cette part au fond de nous qui sait ce pour quoi nous sommes l, ce que nous sommes
venus exprimenter, avec qui et comment sur Terre : cest notre me - immortelle -, notre
part divine, notre Moi profond, notre Soi Mets le terme qui te parle le plus.
Dans le tableau : cest videmment Marie.

Marie ici en rouge, active puisque lme veille toujours ; avec le blanc de labsence de jugement et
le vert de son ternelle nature naturante.

Et tu comprends prsent pourquoi Jsus est ici drap de mauve.
Le mauve est la combinaison du rouge et du bleu. Soit les couleurs symboliques de
lactivit et de la rceptivit. En cela, Jsus est encore inaccompli puisque sa robe est
le fruit de deux couleurs opposes.
Mais le mauve est galement une couleur en soit ! Tout inaccompli quil soit, Jsus
porte donc aussi en lui le germe de son accomplissement. Observe prsent le
vtement du Bateleur. Fais-tu le lien ?


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2/
Nous avons donc chacune et chacun de nous un chemin accomplir.
Un chemin spcique chacun: un chemin qui nest que le ntre. Et nous avons chacune et
chacun dentre nous une / des raison(s) bien spcique(s) qui nous demande(nt) de vivre ce
cheminement l et pas un autre.
Il nappartient donc personne de critiquer ou de remettre en cause le cheminement de son
voisin.

Ceci dit, chacune et chacun de dcider de suivre [ou pas / totalement ou partiellement /
consciemment ou pas] ce chemin. Chacune et chacun est libre de porter sa croix.
Sur le tableau : ltre en devenir [Jsus] est en prsence de multiples objets doubles qui sont
comme autant de travaux effectuer sur soi. Libre lui de sy mettre ou pas. Aucun objet ne le
menace. Ils sont juste l et demandent seulement tre considrs puis, dans le meilleur des cas,
tre traits.



3/
Certains auteurs, de ceux qui ce sont penchs sur les vangiles apocryphes [ceux carts par
Saint-Irne], les manuscrits de la Mer Morte et autres crits dits gnostiques, proposent une
lecture bien diffrente du cheminement du Christ que celle diffuse par lEglise.
Le Christ va jusquau sacrice ultime de sa personne en vue de rester cohrent avec ses
convictions. En dautres termes, le Christ va au terme de son individuation quand bien mme cela
doit lui coter la vie. En dautres termes, le Christ met au dessus de tout le cheminement
personnel et tmoigne de limportance de celui-ci en acceptant de mourir pour lui. Plutt mourir
que de ne pas tre Soi : telle est son invitation.
Tu noteras au passage quil ny a dans cette lecture aucune sanctication de la douleur ou de la
souffrance. Tu noteras que cest le fait de ne pas tre en accord avec soi qui est source de
souffrance et que cette souffrance est bien infrieure celle du supplice de la croix.



4/
La ncessaire rceptivit notre me / Moi profond / Soi / enfant intrieur [mets le mot qui te parle
le plus] et ce qui nous vient den haut [guides spirituels / anges / intuition mets ici encore le
mot qui te parle le plus] est galement inscrite dans la composition mme du tableau.
En effet, le Christ et Marie dessinent un triangle renvers qui voque une coupe. Une coupe est un
rcipient creux qui se laisse (r)emplir.
Mais par quoi se fait-il (r)emplir ?
Sans surprise, deux solutions soffrent nous.
La scne est en effet illumine par deux sources diffrentes. Lune, droite, de nature
terrestre. Lautre, gauche, de nature cleste. Aucune ne semble prfrable lautre ;
aucune nexclu lautre. Toutes deux existent, toutes deux doivent tre considres dans la
mesure et selon le choix de chacun(e).
Observe enn que ce triangle renvers repose sur le pied du Christ : le pied tant un symbole de
la force de l'me parce qu'il est le support de la station debout, caractristique de l'homme.









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5/
La prsence des deux colombes au bas du tableaux nous assurent que nous sommes bien
en prsence dun message spirituel.

La prsence de ces deux volatiles est une iconographie ancienne. Je ne rsiste pas lenvie de
replacer une mosaque byzantine du 5e sicle EC ornant le tombeau de Galla Placidia Ravenne.
Deux oiseaux picorant dans la mme coupe - ici absente du tableau de Zurbarn, ce qui naltre
en rien la rfrence - montre lquilibre spirituel parvenu se dgager de lanimalit et du carcan
des faiblesses humaines, ayant surmont le humain-trop-humain immobilisateur.
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6/
Le message dlivr ici peut facilement tre mis en relation - tu lauras devin depuis longtemps -
avec la colonne 6 du mandala du tarot, o tout lenjeux est de passer de VI XX en faisant du XIII.
VI : choisir. XIII : mourir / abandonner / couper. XX : renatre soi / accomplissement.
Tout cela a dj t voqu plus haut.
Note que mathmatiquement, pour passer de VI XXI : cest par XV [la carte de toutes nos
divisions, mais aussi celle de lacceptation de soi dans toute son imperfection] quil faut passer. :)


ZURBARN : UN PEINTRE INITI.

Zurbarn semble de toute vidence tre un initi. Comprendre : un tre qui cherche
laccomplissement personnel et spirituel en dehors de lorthodoxie par le biais des voies
symboliques.
Si ce tableau ne ten na pas encore convaincu, je tinvite observer sa reprsentation dHercule
luttant contre le lion de Nme. La patte du flin a des allures de pied humain 6 orteils !
Saluons le courage du peintre qui a pris le risque faire passer son message au coeur de
lEspagne du XVIIe sicle, en pleine contre-Rforme.




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AVANT DE TE REMERCIER.

Comme lcrivait Christian Knorr von Rosenroth [1636-1690], quasi contemporain de Zurbarn,
dans son ouvrage Adumbration Kabbalae christinae : je cherche, je nafrme pas, je ne dtermine
rien ici, ni ne dicte.
Cest donc dans cet esprit que jaffectionne tant que je tai livr une lecture - parmi dautres - de ce
tableau que tu pourras aller voir au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles jusquau 25 mai 2014.
/ 10 10 La maison de Nazareth [Zurbarn]. Proposition de lecture sotrique [email protected]
A toi qui est en chemin,
quel que soit ce chemin,
je te souhaite la force et le courage durant ton parcours ;
je te remercie de consacrer ainsi ton nergie
ton panouissement et ton bien-tre
dont nous bnficions tous.

|g t)=
Lauteur :
|g
Historien de lart [Universit de Lige Belgique]
Moine bouddhiste [ ;_]
Tarot de Marseille & Astrologie Humaniste
comme outils de dveloppements personnel & spirituel.
!

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