Document de Base
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ECOLE NATIONALE DE
COMMERCE ET DE GESTION -
OUJDA
Logistique internationale :
INTRODUCTION
1. Transport routier
2. Transport maritime
3. Transport ferroviaire
4. Transport aérien
CONCLUSION
INTRODUCTION
Le transport est un élément stratégique qui met en valeur la compétitivité
du vendeur. Les entreprises exportatrices choisissent leur mode de transport
en fonction du coût, du délai et de la sécurité. D'autres critères tels que la
nature du produit, la qualité et le pays de l'acheteur détermineront le choix du
mode de transport principal. Les exportateurs confient souvent ces opérations
à un partenaire extérieur tel que le transitaire, qui va organiser les prestations
logistiques. En effet, le transitaire peut avoir différents rôles. Il peut remplacer
l'exportateur dans ses démarches administratives (ex : douane). Il peut
négocier les moyens de transports (mandataire) et enfin il peut réunir les
envois de marchandises en provenance d'un ou plusieurs expéditeurs, à
l'adresse d'un ou plusieurs destinataires, les frais de transport seront ainsi
partagés avec plusieurs clients (groupeur).
C/ Les transitaires
- les déménagements.
La CMR étant relative au contrat de transport, elle n'a vocation qu'à régir les
rapports entre un transporteur et son chargeur. Elle ne s'applique pas, en
revanche, au contrat de commission de transport entre un commissionnaire de
transport et son donneur d'ordre. F. LETACQ – Droit des transports 5
Cette convention a été modifiée par un protocole de 1968 (règles de Visby) qui
étend son champ d'application. Les règles de La Haye-Visby s’appliquent au
connaissement relatif à un transport maritime international si le BL est émis dans
un Etat contractant, ou le transport a lieu au départ d’un port dans un Etat
contractant, ou le BL comporte une clause paramount. La France est partie aux
règles de La Haye –Visby.
Les règles de Hambourg de 1978, quant à elles, vont plus loin puisqu'elles
soumettent à leurs dispositions tout transport maritime à destination d'un Etat
partie dès lors que le contrat est constaté dans un connaissement ou tout autre
document tel que un "sea way bill" ou un "data freight receipt". Elles s’appliquent
aussi, si le port de chargement ou celui de déchargement est dans un Etat
contractant ou si le BL renvoie à la contention.
Elle vise tous les transports aériens (personnes - bagages - marchandises) dans
lesquels le point de départ et le point de destination sont situés :
- soit sur le territoire d'un même Etat contractant, si une escale est prévue sur le
territoire d'un autre pays même si ce dernier n'est pas contractant.
Le document écrit est une lettre de voiture CMR. Selon la convention, la lettre
de voiture CMR est établie en trois exemplaires dont un est remis à
l'expéditeur, le second accompagne la marchandise et le troisième est
conservé par le transporteur (en fait, les carnets préimprimés de lettres de
voiture comprennent cinq exemplaires : expéditeur, destinataire, marchandise,
transporteur et une souche restant dans le carnet).
2. Transport maritime
Bill of Lading
- c'est en second lieu la preuve que le capitaine a reçu les marchandises qui
sont décrites sur le document (preuve de la réception) ;
3. Transport ferroviaire
4. Transport aérien
La LTA peut être remplacée par tout autre moyen informatique. Si tel est le cas
l’expéditeur peut demander un récépissé. Comme pour les autres documents
présentés, la LTA a une fonction de preuve du contrat et de la prise en charge
de la marchandise.