Classe MP Physique CCP 2 2014.extrait
Classe MP Physique CCP 2 2014.extrait
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Ce corrigé est proposé par Rémi Lehe (ENS Ulm) ; il a été relu par Sébastien Le
Roux (agrégé de physique, doctorant en physique) et Vincent Freulon (professeur en
CPGE).
Indications
Partie I
p
I.1.4.a Calculer S1 M1 = S1 M21 en utilisant la formule de l’énoncé, ainsi qu’un
développement limité bien choisi.
I.1.4.f Remarquer que l’ordre d’interférence correspondant au premier maximum en
dehors du centre est p0 − 1, et conclure grâce à l’expression de ∆L (question
I.1.4.b).
I.2.1.b Raisonner sur les distances entre les différents points considérés, et utiliser
le fait que les réflexions conservent ces distances.
I.2.2.b Réutiliser l’expression obtenue en I.1.4.f et l’inverser afin d’obtenir a, puis e.
I.2.3.a Remarquer que les axes O1 S2 et O1 S1 forment respectivement un angle 2α
et −2α avec l’axe OO1 .
I.3.1 Cette question nécessite des connaissances sur les miroirs sphériques, qui ne
figurent plus dans les nouveaux programmes de MPSI.
Partie II
II.1.3.a Utiliser le fait que le grandissement transverse d’une lentille a pour expression
Gt = OA′ /OA.
II.2.3 Négliger l’impact du système afocal précédant le miroir M2 , et utiliser le fait
que le grandissement d’un miroir sphérique vaut Gt = −SM′ /SM.
II.2. Les questions II.2.1 à II.2.4 nécessitent des connaissances sur les miroirs
sphériques, qui ne figurent plus dans les nouveaux programmes de MPSI.
II.2.5.c Utiliser un rayon parallèle au rayon incident entre les lentilles L1 et L2 et
passant par OL2 .
Partie III
III.1.4 Utiliser l’équation de Maxwell-Faraday.
Partie IV
IV.2.4 Chercher ici les points où l’amplitude d’oscillation du champ est nulle, ainsi
que les points où cette amplitude est maximale.
IV.7 Penser aux conséquences des interférences destructives pour la réception du
signal.
Partie V
→ −
− → − → − → − → − →
V.1.1 Utiliser le fait que les triplets de vecteurs k1 , E1 , B1 et k2 , E2 , B2 forment des
trièdres orthogonaux directs.
V.2.3 Chercher une valeur de φ pour laquelle l’exponentielle complexe dans f 1 vaut
−1. Faire ensuite de même avec f 2 .
V.2.4 Faire le lien avec les problèmes posés par les réflexions à la fin de la partie IV.
I.1.1 Les ondes lumineuses issues des sources S1 et S2 ont la même longueur d’onde
et sont cohérentes entre elles. Elles peuvent donc interférer, et, par propriété du cours,
l’intensité en M est
I(M) = 2 I0 [ 1 + cos( ∆φ(M) ) ]
I.1.3.b À partir des résultats des questions I.1.1, I.1.2 et I.1.3.a, on obtient
az
I(M) = 2 I0 1 + cos 2π
λd
I.1.3.c L’ordre d’interférence au point O est défini par p0 = ∆L(O)/λ. Or, le point
O se situe en z = 0, et donc ∆L(O) = 0 d’après la question I.1.3.a. Par conséquent,
p0 = 0
λd
z= = 0,5 mm
a
Or, SS1 et SS2 valent a/2 = 0,5 mm, tandis que SM est de l’ordre de d = 1 m. On a
donc SS1 /SM ≪ 1 et SS2 /SM ≪ 1. Effectuons un développement limité de ∆L(M) à
l’ordre 1 en ces deux variables :
SS2 SS1
∆L(M) = SM 1 + cos i − 1 + cos i = (SS1 + SS2 ) cos i
SM SM