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INTRODUCTION GÉNÉRALE

L’eau est un bien économique, social et environnemental. Il est donc nécessaire et


important d’en garantir la disponibilité dans le temps au moyen de formes d’exploitation

durables qui permettent de faire face aux exigences actuelles sans menacer l’équilibre

environnemental.

L’eau est une ressource renouvelable car elle participe à un cycle. L’évaporation par

l’énergie solaire, les précipitations et l’écoulement en surface et sous terre constituent les

étapes de cycle. La problématique de l’eau est dans sa quantité et sa qualité, liée à ses

ressources et à sa pollution.

les eaux de surface contiennent à des concentrations très différentes, de

nombreux composés organiques et minéraux dissous et en suspension. La matière organique

des eaux de surface constitue un milieu très hétérogène.

L’élimination des matières en suspension et la réduction de la matière organique sont

des objectifs souvent assurés au cours du procédé conventionnel de la clarification. La

coagulation-floculation conditionnera le reste du traitement et elle permet, par un processus

physico-chimique comprenant l’ajout de sels métalliques dénommés coagulants, de

transformer la suspension colloïdale en des particules plus importantes qui sont aptes à

sédimenter .

Les coagulants les plus couramment employés sont les sels d’aluminium et de fer.

Leur utilisation fait partie des procédés de purification des eaux depuis quelques décennies

Le traitement de potabilisation de l'eau génère un sous-produit, les boues de décantation

et de filtration qui concentrent les matières minérales et organiques en suspension contenues

dans les eaux brutes des barrages et les réactifs utilisés pour la clarification et la déstabilisation des

colloïdes à savoir des sels d'aluminium ou de fer


I.1. Les Procédées de potabilisation

Selon la qualité de l'eau brute, le traitement de potabilisation est plus ou moins complexe. On

distingue, en général, deux étapes de traitement : la clarification et la désinfection ; auxquelles

s'ajoutent parfois une étape complémentaire lorsque la qualité de l'eau brute l'impose :

La clarification repose sur des :


 Procédés physiques : élimination des Matières En Suspension(MES) par filtration ,
tamisage, décantation et flottation.
 Procédés physico-chimiques : lorsque l'élimination des MES nécessite une coagulation
des matériaux en suspension dans l'eau, celle-ci s'opère par ajout d'un réactif chimique.
La désinfection repose sur des :
 Procédés chimiques : il s’agit d’ajouter des produits tels que le chlore, ou des oxydants.
 Outre ces procédés, il existe des traitements neutralisants et acidifiants.

I.2. Coagulation – Floculation :

Le mot coagulation vient du latin ‘’ coagulare’’ qui signifie « agglomérer » .La

couleur et la turbidité d’une eau de surface sont dues à la présence de particules de très faible

diamètre : les colloïdes. Leur élimination ne peut se baser sur la simple décantation. En effet,

leur vitesse de sédimentation est extrêmement faible. Le temps nécessaire pour parcourir 1 m

en chute libre peut être de plusieurs années. La coagulation et la floculation sont les processus

qui permettent l’élimination des colloïdes. La coagulation consiste à les déstabiliser. Il s’agit

de neutraliser leurs charges électrostatiques de répulsion pour permettre leur rencontre. La

floculation rend compte de leur agglomération en agrégats éliminés par décantation et/ou

filtration

I.3. But de la coagulation-floculation

L’opération de coagulation-floculation a pour but la croissance des particules (qui sont

essentiellement colloïdales) par déstabilisation des particules en suspension puis formation de

flocs par absorption et agrégation .Les flocs ainsi formés seront décantés et filtrés par la

suite.
Figure I.1 :coagulation-flocculation

Coagulation

Colloïde

Floculation

Coagulant +
Floculation

Coagulation

Figure I.2. Schéma illustrant le procédé de coagulation-floculation


I.3.1. La coagulation
Les particules colloïdales en solution sont « naturellement » chargées négativement.
Ainsi, elles tendent à se repousser mutuellement et restent en suspension. On dit qu’il y a
stabilisation des particules dans la solution. La coagulation consiste dans la déstabilisation
des particules en suspension par la neutralisation de leurs charges négatives. On utilise, pour
ce faire, des réactifs chimiques nommés coagulants. Le procédé nécessite une agitation
importante. Les coagulants sont des produits capables de neutraliser les charges des
colloïdes présents dans l’eau. Le choix du coagulant pour le traitement de l’eau de
consommation doit tenir compte de l’innocuité du produit, de son efficacité et de son coût.
Le type de coagulant et la dose ont une influence sur :
 La bonne ou la mauvaise qualité de l’eau clarifiée.
 Le bon ou le mauvais fonctionnement de la floculation et de la filtration.
 Le coût d’exploitation.

Il existe deux principaux types de coagulant:

 Les sels de fer (chlorure ferrique) :

2FeCl₃ + 3Ca(HCO₃)₂ 2Fe(OH) ₃ +3CaCl₂+6CO₂


 Les sels d’aluminium (sulfate d’aluminium hydraté Al2 (SO4) 3, 14 H2O) :

Al 3(SO 4) 3 étape1 Al x(OH) y (SO 4) z étape2 Al(OH) 3

Les paramètres influençant le bon fonctionnement du procédé de coagulation :


a) Influence du paramètre pH
b) Influence de la dose de coagulant
c) Influence de la température
d) Influence de la turbidité
Figure I.3. Le jart test

I.3.2. La floculation

Après avoir été déstabilisées par le coagulant, les particules colloïdales s’agglomèrent
lorsqu’elles entrent en contact. C’est la floculation.
La floculation est le phénomène de formation de flocs de taille plus importante
(agglomération des colloïdes déchargés dans un réseau tridimensionnel). On utilise, pour ce
faire, des coagulants ou adjuvants de floculation. Contrairement à l’étape de coagulation, la
floculation nécessite une agitation lente.

La flottation est un procédé de séparation liquide-solide basé sur la formation d’un


ensemble appelé attelage, formé des particules à éliminer, des bulles d’air et des réactifs,
plus léger que l’eau. Cette technique convient principalement pour éliminer les particules de
diamètre compris entre 1 et 400 μm.

Les boues formées pendant la coagulation-floculation aboutissent après décantation


dans des concentrateurs. Des floculats de masse molaire importante permettent l’obtention
de boue ayant une vitesse d’épaississement plus grande, et donc un volume de boues final
réduit. Les boues purgées de décanteurs sont plus concentrées dans ce cas, ce qui conduit à
une perte d’eau réduite. L’emploi de floculats de synthèse, combiné à des méthodes
modernes de séparation, peut permettre la production des boues très concentrées,
traitables
directement par une unité de déshydratation. Dans les autres cas, on passe d’abord par un
épaississement avant l’unité de déshydratation.
Une fois le floc formé, il faut le séparer de l’eau. C’est ce qu’on appelle la séparation
solide-liquide. Elle peut s’effectuer par différents moyens :
 Coagulation sur filtre.
 Décantation.
 Flottation.
I.3.2.1. La décantation-flottation
Ces procédés sont des méthodes de séparation des matières en suspension et des
colloïdes rassemblés en floc, après l’étape de coagulation-floculation.
I.3.2.2. La filtration
La filtration est un procédé destiné à clarifier un liquide qui contient de MES en le
faisant passer à travers un milieu poreux constitué d’un matériau granulaire [7]. En effet, il
subsiste de très petites particules présentes à l’origine dans l’eau brute ou issues de la
floculation.
I.3.2.3. La désinfection
La désinfection est un traitement visant à éliminer les micro-organismes pathogènes,
bactéries, virus et parasites ainsi que la majorité des germes banals moins résistants. C’est le
moyen de fournir une eau bactério-logiquement potable, tout en y maintenant un pouvoir
désinfectant suffisamment élevé pour éviter les reviviscences bactériennes dans le réseau d
distribution. L’eau potable, suivant les normes, contient toujours quelques germes banals,
alors qu’une eau stérile n’en contient aucun.

Figure I.4 : floculation

I.4. Les boues issues du traitement de potabilisation des eaux


Les stations pour le traitement des eaux en vue de leurs potabilisations génèrent des
sous-produits inévitables .
 Boues issues des ouvrages de prétraitement,
 Boues issues des ouvrages de décantation,
 Boues issues des lavages de filtres.
Les boues se présentent donc sous forme d’une « soupe » contiennent généralement peu
de matières dégradables et leur texture est de faible qualité.
On notera que les volumes de boues amenés par les traitements de potabilisation restent
faibles comparés à ceux des usines d'épuration (eaux résiduaires urbaines). En effet, 30 g de
boues sont générés (en moyenne) par m3 d'eau traitée. Par exemple, une usine de
traitement
produisant 15 000 m3 d'eau potable par jour (alimentation de 75 000 habitants), rejette une
pollution qui équivaut :
 À celle de 4500 habitants en termes de MES
 À celle de1500 habitants en termes de DBO5.
I.4.1. Destinations finales.
Compte tenu des faibles volumes produits, la valorisation des boues et leur stockage
sont beaucoup moins contraignants que ceux des boues d'eaux résiduaire
I.4.1.1. Rejet en milieu naturel :
Cette destination finale "minimaliste" a tendance à disparaître des dossiers de
consultation. Elle ne peut donc être envisagée comme une solution permanente.
I.4.1.2. Rejet dans le réseau d'assainissement :
C'est la solution la plus simple à mettre en oeuvre quand le réseau d'assainissement et
l'usine de dépollution peuvent accepter un flux supplémentaire de boues.
I.4.1.3. Valorisation agricole :
En principe, les boues d'eau potable peuvent être épandues en agriculture sans
contraintes particulières, sous le vocable de "terres de décantation".
I.4.1.4. Mélange avec des boues d'eaux résiduaires urbaines :
Il est envisageable de mélanger des boues d'eau potable avec des boues d'eaux
résiduaires urbaines, et de valoriser l'ensemble en agriculture. Ce mélange présente des
qualités intéressantes, car les boues d'eau potable de décarbonatation constituent, par
exemple un complément calcique pour les boues d'eaux résiduaires.
I.4.1.5. Mise en centre de stockage :
C’est à partir de l’année 2002, que les conditions d'accès aux centres de stockage furent
être renforcées. Des dérogations ont pu être possibles lorsqu'elles furent mélangées avec
des ordures ménagères.
I.4.1.6. Valorisation sous forme d'adjuvants :
Si leur qualité est constante, les boues d'eau potable peuvent être valorisées en
adjuvants de cimenterie, briqueterie ou fabrication d'engrais par exemple.
En Algérie les boues sont rejetées directement dans la nature, actuellement.
I.4.2. Choix de filières.
Eléments à prendre en compte dans le choix de la filière :
1. Contraintes amont : caractéristiques de la boue obtenue en fonction du type d'eau
captée et de la filière de traitement de l'eau.
2. Contraintes locales : disponibilité de la main d'œuvre , disponibilité du terrain,
notamment en cas de lagunage (imperméabilité nécessaire).
3. Contraintes aval (destination finale) : présence d'un réseau d'assainissement ou
d'une usine de dépollution à proximité, possibilité d'épandage agricole.
I.4.3. Caractéristiques des boues
Pour connaître le comportement d'une boue avec tel ou tel type de traitement, une
caractérisation poussée doit avoir lieu. Pour cela, les paramètres qui doivent être pris en
compte sont :
I.4.3.1. Matières Sèches (MS) :
C'est le paramètre généralement mesuré. La concentration en MS permet de
connaître la quantité de boue à traiter, quel que soit son niveau de concentration dans la
filière de traitement. La détermination de la teneur en MS s'effectue à l'étuve à 105°C.
I.4.3.2. Matières En Suspension (MES) :
Les MS étant faciles à déterminer sur les phases concentrées, il n'en va pas de même
sur des phases clarifiées (surverses, filtras, concentras...) parce que les concentrations de
matières sont beaucoup plus faibles. Dans ce cas, la mesure de MES est plus appropriée.
La détermination de la teneur en MES s'effectue par filtration sur membrane
 Matières Volatiles
 C.H.O.N.S. (Carbone, Hydrogène, Oxygène, Azote, Soufre)
 Eléments-traces métalliques
 Indice de Boue ; DCO, DBO, PT, NTK, Graisses, Fibres et Agents pathogènes
 Eléments-traces métalliques
 Indice de Boue ; DCO, DBO, PT, NTK, Graisses, Fibres et Agents pathogènes
I.4.4. Boues issues de la potabilisation de l’eau :
Afin d'estimer l'aptitude d'une boue à l'épaississement et/ou à la déshydratation, une
bonne connaissance de sa qualité est indispensable. En fait, il existe deux grandes familles
deboues d'eau potable :
 Celles issues du traitement des eaux de surface,
 Celles issues du traitement des eaux souterraines (eaux de forages).
Les caractéristiques dépendent donc des eaux traitées et du traitement appliqué pour
leur potabilisation.
I.4.5. Classement des boues
Boues issues des traitements d'eaux de surface (classe 1)
 1 A- Les boues issues de ressources pauvres en alluvions : barrage, rivière
proche de la source.
 1 B - Les boues issues de ressources moyennement riches en alluvions : rivière
"moyenne".
 1 C - Les boues issues de ressources riches en alluvions : rivière en crue,
embouchure de fleuve...
 1 D - Les boues issues de ressources riches en matières organiques.
Boues issues des traitements d'eaux de forage (classe 2)

 2 A- Les boues de décarbonatation provenant de la précipitation des


carbonates.
 2 B - Les boues de démagnétisation, de défrisassions physicochimique, ou
d'autres traitements d'éléments métalliques obtenus par oxydation des ions
dissous et formation d'hydroxydes.
 2 C - Les boues biologiques issues d'une dénitrification ou d'une défrisassions
biologique sur bio filtres. Ces boues - encore peu fréquentes - se rapprochent à la fois
des boues biologiques d'usines de dépollution et des boues de classe 2B (défrisassions
physico-chimique).
I.4.5.1. Le cas des boues mixtes :
Les eaux de surface (dures) peuvent faire l'objet d'une décarbonatation, même
si ce cas de figure est assez rare. Inversement, les boues de forage peuvent contenir
des boues hydroxydes, à la suite d'un collage aux réactifs. La filière génère donc une
boue mixte. Les proportions respectives de chaque type de boues permettent de
connaître les caractéristiques du mélange et d'estimer les performances de traitement.
I.4.6. Les différentes filières de traitement et élimination finale des boues
de traitementdes eaux
I.4.6.1. Les différentes filières de traitement :
- des traitements de stabilisation, dont l'objectif est de réduire le pouvoir
fermentescible des boues afin de limiter ou d'annuler les nuisances olfactives,
- des traitements de réduction de la teneur en eau des boues, visant à diminuer le
volume de boues à stocker ou à épandre et/ou à améliorer leurs caractéristiques
physiques (tenue en tas notamment),
- des traitements d'hygiénisation qui visent à éliminer la charge en microorganismes
pathogènes.

I.4.6.2. Elimination finale des boues de traitement des eaux


Il existe plusieurs voies d’élimination des boues de traitement des eaux y
compris ceux d’eau potables, on en cite les principales: Epandage agricole, valorisation
thermique (incinération ou combustible), la mise en décharge.
a. L'incinération
L’incinération réalise la destruction de la matière organique, des déchets par
combustion à haute température (+de 500°C) produisant des fumées et des matières
minérales résiduelles nommées cendres. Dans l’objectif d’une valorisation énergétique
des déchets, la chaleur produite est récupérée sous forme de vapeur ou d'électricité
pour le fonctionnement du four lui-même, pour le chauffage urbain ou industriel.
Cependant, malgré l’intérêt de ce procédé pour une réduction importante des volumes
de déchets, il présente des contraintes principalement liées à un investissement très
coûteux. Les boues seules ne sont pas autocombustibles, elles nécessitent des fours
spéciaux et un mélange avec d’autres déchets tels les déchets ménagers. Cette
technique reste aussi néfaste de point de vue écologique et environnemental
puisqu’elle contribue en plus du gaspillage de matières organiques utiles
pour le sol à la diffusion de gaz très toxiques (NO, NO₂, CO, SO, dioxine, etc.).
b. La mise en décharge
La mise en décharge contrôlée consiste en un enfouissement des boues (souvent
mélangées avec les ordures ménagères) en tenant en compte de certaines conditions :
compactage des résidus, site étanche, récupération et traitement des jus de décharges
(lixiviats), équipement et gestion du site. Cette solution a perdu progressivement de
son intérêt et se retrouve actuellement interdite pour des raisons financières et pour
des problèmes environnementaux tels que les odeurs nauséabondes, pullulation de
moustiques, entraînement d’éléments fertilisants (nitrates, phosphates) et de produits
toxiques par les eaux superficielles et contamination des nappes d'eaux souterraines et
les décharges ne doivent plus accepter que des déchets qui ne peuvent plus être
raisonnablement valorisés ou à caractère non
dépolluables ou dangereux appelés aussi déchets ultimes.
c. L'épandage
A l'heure actuelle, l'épandage agricole des boues reste en Europe la principale
filière
d'élimination. Cette pratique courante ne concerne pas que les boues d'épuration,
mais plusieurs centaines de millions de tonnes ou de mètres cubes de matières
diverses, ces matières entretiennent la fertilité des sols quand elles sont correctement
appliquées, diminuant alors les besoins d'engrais commerciaux. Cependant, des
problèmes et des obstacles économiques ou techniques à l’application des règles
d’épandage surgissent, ceux-ci comprennent les possibilités de stockage et de
transport, l’insuffisance ou l’inadéquation des techniques de stabilisation et de
déshydratation. D’un autre point de vue, l’épandage de boues ne peut être pratiqué
que si celles-ci respectent le principe "d'intérêt agronomique" et soient exemptes de
grandes teneurs en polluants inorganiques ou organique
Conclusion générale

Le travail que nous avons effectué avait pour premier objectif


l’évaluation de la qualité de l’eau traitée produite par cette station. Les
analyses physico-chimiques.

Le second but du présent travail l’efficacité de substances naturelles ; le


kaolin et jus de cactus proposées comme alternatives au sulfate d’aluminium et
polymère synthétique utilisés actuellement dans le traitement de coagulation-
floculation des eaux
Sommaire

Introduction générale…………………………………………………………………………1

I.1. Les Procédées de potabilisation…………………………………………………………2

I.1.2. Coagulation – Floculation..............................................................................................2

I.3. But de la coagulation-floculation………………………………………………….2

I.3.1. La coagulation……………………………………………………………………...4

I.3.2. La floculation………………………………………………………………………5

I.3.2.1. La décantation-flottation…………………………………………………………..6

I.3.2.2 La filtration…………………………………………………………………………....6

I.3.2.3 La désinfection……………………………………………………………………...…6

I.4 Les boues issues du traitement de potabilisation des eaux……………………………6

I.4.1. Destinations finales………………………………………………………………….6

I.4. 1.1. Rejet en milieu naturel :……………………………………………………...…...6

I.4.1.2. Rejet dans le réseau d'assainissement :…………………………………………..6

I.4.1.3. Valorisation agricole :……………………………………………………………..6

I.4.1.4. Mélange avec des boues d'eaux résiduaires urbaines :………………………….6

I.4.1.5. Mise en centre de stockage :………………………………………………………7

I.4.1.6. Valorisation sous forme d'adjuvants :……………………………………………7

I.4.2. Choix de filières………………………………………………………………………7

I.4.3. Caractéristiques des boues…………………………………………………………..7


I.4.3.1. Matières Sèches (MS) :…………………………………………………………….7

I.4.3.2. Matières En Suspension (MES) :………………………………………………….7

I.4.4. Boues issues de la potabilisation de l’eau :………………………………………….7

I.4.5. Classement des boues…………………………………………………………………8

I.4.5.1. Boues issues des traitements d'eaux de surface (classe 1) :……………………….8

I.4.5.2. Boues issues des traitements d'eaux de forage (classe 2) :………………………...8

I.4.5.3. Le cas des boues mixtes :………………………………………………………….....8

I.4.6. Les différentes filières de traitement et élimination finale des boues de traitement des
eaux…………………………………………………………………………………………….8

I.4.6.1. Les différentes filières de traitement………………………………………………..8

I.4.6.2. Elimination finale des boues de traitement des eaux……………………………….9

Conclusion générale :…………………………..…………………….12

Sommaire………………………………………………………………..13
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique

Université de science et de la technologie HOUARI Boumediene

Faculté de Génie des procédés et Génie Mécanique

Département de Génie des Procédés

Module : Simulation

THEME

Agent de floculation, coagulation  : application au traitement des eaux

Présenté par : MADACI Ibtissem (161631084675)

SETTI Z’hor (201500006100)

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