Enregistrement Automatique Deparite 1 Projet Gestion de Trésorerie-2
Enregistrement Automatique Deparite 1 Projet Gestion de Trésorerie-2
Enregistrement Automatique Deparite 1 Projet Gestion de Trésorerie-2
Préparé Par
• Mohamed LAABIL
• Youssef AMAHRI
Encadrée Par
Mme. ECH-CHBANI
Toutd’abord,noustenonsàremercierALLAHquinous
adonnélapatienceetlaforcepouraccomplircemodestetravail.
Enfin,noustenonsàremerciertouteslespersonnesqui
ontparticipéàlaréalisationdecetravail,deprèsoudeloin.
Sommaire
Introduction générale
Conclusion générale
Table 1 Tablea
Table 1 Tableau1................................................................................................................................................................................................................... 3
Table 2 Tableau2................................................................................................................................................................................................................. 11
Table 3 Tableau3................................................................................................................................................................................................................. 37
Introduction Générale
La gestionfinancière, du choix des modes de financements et de placements, de la gestion
de ses relations bancaires. Et cette préoccupation, du fait même de sa nature, est
quotidienne. Mais une entreprise Toute société, quelle que soit sa taille, doit sep
réoccuper de d’une certaine taille, et il s’agit en particulier des grandes entreprises, peut
affecter un ou plusieurs collaborateurs aux tâches de trésorerie alors qu’une PME/PMI
rencontre souvent des problèmes de moyens et/ou des volumes d’affaires insuffisants
pour justifier un emploi à temps complet. Parfois, il y a également une insuffisance
d’appréciation des enjeux réels de la gestion de trésorerie alors qu’il est connu que les
difficultés de trésorerie sont un des facteurs principaux des dépôts de bilan des
PME/PMI. C’est pourquoi, une PME/PMI doit optimiser la gestion de sa trésorerie afin
d’atteindre les objectifs fixés par la stratégie d’entreprise. L’objet de ce mémoire c’est
contribuer à étudier la trésorerie des PMEau Maroc. Ce modeste travail sera présenté
sous forme de deux parties : Dans la 1ère partie, nous allons traiter dans un 1erchapitre
les différentes approches et définition de la
PME. Ainsi que son importance, son rôle dans l'économie nationale et les contraintes au
développement des PME, et dans le 2èmechapitre nous mettrons en évidence la structure
financière de la PME où le déploiement de la stratégie et son lien avec les besoins de
financement, le choix des modes de financements et le rôle du système bancaire et
boursière relation avec la PME. La 2èmepartie sera consacrée la gestion de la trésorerie
des PME où on a fixé quatre objectifs d’étudier les équilibres financiers du bas du bilan,
puis comment bâtir les prévisions de la trésorerie? ensuite quelles sont les sources de
crédit d’une PME?Etenfin comment on gère les excédents de la trésorerie s’ils
existent !! ; Après onappliquera ces objectifs dans une étude de cas d’une PMI.
Introduction
Au Maroc, comme dans tous autres pays en voie de développement, les PME
constituent la base du tissu économique. Elles participent de manière positive à la
croissance économique, à la création d'emplois et au développement local, régional et
national.
Engagée. Et cela est dû aux différentes difficultés rencontrées par les PME, et aux
problèmes, surtout ceux liés au financement, qui entravent leurs développements.
Il n’est pas facile de définir la PME qui sa rapporte à la fois à une notion économique et
à une notion de structure, etd’organisation, sur le plan économique, la petite entreprise
marocaine se caractérise par son incapacité à exercer une influence significative sur son
marché, sur le plan de la structure, elle est marquée par la prépondérance de la
personnalité de l’entrepreneur “propriétaire gérant “
Plusieurs définitions de la PME ont été proposées, mais toute tentative d’une définition
universelle fut abandonnée au profit de définitions élaborées en fonction des données
propres à chaque pays.
En termes de nombre d'entreprises, le tissu des PME est composé d'abord par
les activités de commerce et réparations (30%) suivies des activités de l'immobilier et
service aux entreprises (22%), et des industries manufactures (15%)
Malgré leur part de 15% dans la population des PME, les industries
manufacturières génèrent la plus grande valeur ajoutée avec une contribution de 37%. Elles
sont suivies des activités de commerce et réparations (19%) et de l'immobilier et services
aux entreprises (13%).
En termes de nombre d'unités, les PMI sont concentrées dans trois branches
principales :
Par contre, en terme d'emploi, les industries textiles et cuir viennent en premier
lieu (35%), suivies des industries chimiques et para chimiques (26%), et les industries
agro-alimentaires (24%).
Les PME au Maroc occupent, d'après la Fédération de la PME (affiliée à la CGEM) une
place primordiale à l'instar des autres pays, qu'ils soient développés ou émergents. Elles
représentent plus de 95% du tissu économique du pays et seraient implantées pour
72%dans le commerce et service. Elles occupent plus de 50% des salariés, mais leur part
dans les exportations ne dépasse pas 40% et elles ne participent qu'à raison de 10% dans la
valeur ajoutée. Cette part est en deçà des aspirations des décideurs.
Figure 2.
1.1 -Evolution de la PME au Maroc
Pour les analystes, la PME est souvent une structure unitaire, centralisée et
surtout familiale. Il est tout d’abord question de réticence des patrons quant à l’ouverture
du capital de l’entreprise, ou encore le refus ou l’indifférence des dirigeants de PME face
aux solutions managériales et financières qui sortent du cadre familial ou des schémas de
financement classiques.
Autres blocage qu’est la difficulté de l’accès des de ces entreprises aux sources
de financement et au foncier, et pour finir je cite le manque de compétitivité des PME
marocaines empiré par l’étroitesse des marchés, des pressions sur les prix et la concurrence
internationale.
Néanmoins, les premières assises nationales de l’industrie et le programme
Emergence constituent une prise de conscience à propos des difficultés entravant le
développement de ces entreprises.
Table 2
Faute de liquidités, l’entreprise aura du retard sur ses paiements, avec les
intérêts inhérents à la situation. A terme, elle s’expose au redressement judiciaire ou pire, la
liquidation. Il est donc crucial pourl’organisation de disposer des liquidités nécessaires
pour faire face à ses créanciers. Pour estimer ce besoin, il est intéressant d’établir
un prévisionnel de trésorerie. Celui-ci liste, pour chaque période (souvent le mois),
l’ensemble des encaissements et décaissements estimés. Cela implique une connaissance
des montants mais également des dates des flux. C’est dans ce sens que la collaboration
entre les services trésorerie et comptabilité doit être optimale.
Certains flux ne génèrent pas de cash (par exemple les dotations aux
amortissements
Conclusion
Introduction :
La PME marocaine constitue le centre névralgique de notre économie. Malheureusement,
sa contribution reste relativement faible. Nous avons choisi de nous intéresser à un aspect
particulier de ces Entreprises, qui est celui de leur financement, et ce à travers l’explication
du comportement des PME marocaines envers la dette financière. Nous avons répondu à ce
point qui a constitué l’objectif central de cette recherche en mobilisant deux théories: la
théorie du financement hiérarchique suppléée par la théorie de l’agence, dans le cadre d’un
raisonnement hypothético-déductif basé sur un ancrage épistémologique positiviste.
Le repérage méthodologique choisi se présente comme suit: une étude quantitative ayant
pour objectif d’identifier la pertinence des variables sélectionnées. Nous avons alors testé
la validité des hypothèses en mobilisant et en analysant les données comptables et
financières des PME. Ainsi, nos hypothèses ont été testées empiriquement par le moyen
d’un modèle économétrique, afin de vérifier la capacité de la littérature à expliquer la dette
financière chez les PME.
Les PME joue un rôle très imposant dans une économie en voie de
développement comme celle du Maroc, elle occupe certainement une place de grande
importance en vue de sa participation efficiente à la promotion de dimension sociale et du
développement économique. Selon la direction des statistiques, la PME est présente dans
tous les secteurs d'activité économique avec un taux de 98% : l'industrie, l'artisanat et le
BTP, les commerces et enfin les services qui englobent le tourisme. Ces entreprises
contribuent également dans les exportations nationales. La production et l’investissement,
ont ajouté, soulignent l’importance de fédérer les énergies afin d’apporter l’appui
nécessaire aux entreprises nationales.
Les participants à cette rencontre, qui s’inscrit dans le cadre d’une campagne
régionale de sensibilisation, ont évoqué les efforts consentis en vue d’encourager
l’investissement des Marocains du monde, améliorer les conditions d’accès des PME au
financement bancaire et de renforcer leur développement et assurer leur pérennité.
La place et le rôle des PME en tant que vecteurs de développement incitent les
différentes parties prenantes, gouvernement, Parlement et acteurs économiques à travailler
de concert pour soutenir ces pôles de richesse et booster leur compétitivité dans le cadre
d’une approche participative, a indiqué M. Aujjar lors d’une journée d’étude organisée par
le groupe du Rassemblement constitutionnel à la Chambre des représentants et du groupe
du Rassemblement national des indépendants à la Chambre des conseillers sur «l’appui
aux petites et moyennes entreprises, levier essentiel au service du développement
économique». Conformément à la vision royale en matière de justice et de renforcement du
climat des affaires au Royaume, le ministère a adopté le projet de loi N°88.17 relatif à la
création et à l’accompagnement d’entreprises par voie électronique, qui revêt une
importance particulière dans le développement de l’économie et l’encouragement des
investissements, à la lumière des grandes mutations que connaît le Maroc, va-t-il souligné.
À RETENIR
BON À SAVOIR
Il peut exister un lien financier entre les activités : • une action excédentaire
peut permettre d’en financer une autre, en partie ou totalement. Cependant il est nécessaire
de s’assurer que ces excédents ne soient pas issus d’une activité financée par un partenaire
ou que ce dernier ait donné son accord au préalable. • il peut y avoir des coûts communs à
différentes actions (location de salle, entretien du matériel, rémunération du personnel
administratif, etc.).
1.2Veiller
Une fois les choix stratégiques réalisés, il est nécessaire de : • suivre la bonne
exécution de l’activité au regard du budget initialement prévu, • surveiller les impacts sur
le financement global du projet associatif, • réévaluer si besoin les orientations prises. Des
outils de gestion permettent de : • anticiper les besoins de financement (le budget
prévisionnel, le plan de
BON À SAVOIR
À NOTER
À RETENIR
2) Consolider
Il est conseillé d’imaginer des moyens pour consolider son assise financière
afin de prévenir certaines difficultés. Des complications peuvent être provoquées par : •
une augmentation exceptionnelle des coûts de l’activité de l’association (remplacement de
matériel, etc.) se traduisant par une perte à compenser, • une réduction imprévue des
ressources financières (désengagement d’un partenaire financier, versement retardé d’une
subvention, etc.).
POINT MÉTHODE
À RETENIR
BON À SAVOIR
Disposer de fonds propres importants favorise la mobilisation de nouveaux
partenaires financiers par une sécurisation plus grande de la capacité d’action de
l’association.
Le capital social
Le capital social n'existe que dans les sociétés. Il correspond à la somme que les associés
ont décidé de consacrer de façon définitive à la constitution de leur société. Il s'agit donc de
fonds qui sont destinés à rester de manière durable dans l'entreprise, et non à être
remboursés à ceux qui les ont apportés. Ceux-ci ne pourront récupérer leur mise initiale
qu'au jour de la liquidation de la société, si un boni peut être dégagé, ou par le biais d'une
vente des titres, parts sociales ou actions, qu'ils ont reçus en échange de leurs apports, voire
plus exceptionnellement par le biais d'une réduction de capital.
Point important : le capital social peut être souscrit sans être totalement libéré. Par la
souscription, l'associé s'engage à verser les fonds. À ce titre, la loi prévoit selon les types
de sociétés des délais et des modalités pour éventuellement différer le montant des apports
effectivement libérés. En principe, le délai maximal de libération du capital souscrit est de
cinq ans.
La part de capital initial est versée sur un compte bancaire ou chez un notaire au jour de la
signature des statuts. Puis, lorsque la société est immatriculée - en principe sous deux à
trois semaines - ces fonds sont débloqués et deviennent totalement disponibles pour servir à
financer les investissements ou les besoins d'exploitation de la nouvelle structure.
Dans une entreprise individuelle, il n'y a pas de capital social mais un compte de
l'exploitant : les apports de fonds et, par la suite, les retraits faits par l'exploitant
apparaissent dans ce compte qui peut, à la différence du capital social, fluctuer dans les
deux sens. L'exploitant n'est en effet pas contraint, sur un plan strictement juridique, de
laisser ses apports dans son entreprise.
Les comptes courants d'associés
Les comptes courants d'associés sont destinés à recevoir les sommes mises à la disposition
de la société par ses associés de façon temporaire. Ils sont donc destinés à être retirés à plus
ou moins long terme. C'est pourquoi on parle de quasi-fonds propres et qu'ils figurent
parmi les dettes au passif du bilan.
Seuls les associés peuvent être titulaires de comptes courants. En effet, la loi régissant les
opérations bancaires interdit à toute personne non associée de prêter des fonds à une
société.
Dans une entreprise individuelle, il n'y a pas de compte courant, le compte de l'exploitant
étant destiné à recevoir les fonds apportés temporairement par le chef d'entreprise.
Il faut savoir que les comptes courants d'associés peuvent faire l'objet d'un engagement de
blocage sur un certain temps et pour un certain montant. On parle alors de comptes
courants bloqués. Cet engagement est souvent souscrit à la demande des banques qui
souhaitent que les associés s'engagent à laisser à la disposition de la société, pour une durée
définie, une somme d'argent.
Dans tous les cas, ces comptes peuvent être rémunérés, même si le taux d'intérêt déductible
est plafonné.
En cas de difficultés de l'entreprise, les titulaires de comptes courants entrent dans la
catégorie des créanciers chirographaires, c'est-à-dire des créanciers qui ne bénéficient
d'aucune garantie de paiement. D'ailleurs, bien souvent, en pratique, ces fonds sont
partiellement ou totalement irrécouvrables lorsque l'entreprise connaît des difficultés
majeures.
Les apports de sociétés de capital-risque
Ces apports représentent des apports en capital, mais ils sont effectués avec des objectifs
différents de ceux des associés.
Il s'agit d'apports au capital social, et non en compte courant, faits par des sociétés dans le
but de revendre à plus ou moins long terme leur participation.
Les sociétés de capital-risque ont donc pour objectif de réaliser des profits grâce à la valeur
prise par l'entreprise au cours de son développement. Il s'agit généralement de filiales
spécialisées d'organismes financiers. On trouve également, au niveau des conseils
régionaux, des sociétés ayant cet objet. Elles ont alors pour but de favoriser le
développement économique local.
Enfin, certaines sociétés de capital-risque sont créées par des chefs d'entreprise qui
regroupent des fonds pour investir dans de nouvelles structures et les aider à se
développer : on parle de business angles. Ceux-ci sont plus animés par une volonté d'aider
de jeunes entreprises à démarrer que de réaliser une plus-value sur les titres souscrits, bien
que celle-ci leur soit indispensable pour miser par la suite sur d'autres entreprises
nouvelles. Généralement, un système de parrainage accompagne cet apport de fonds.
Les investissements des sociétés de capital-risque ne profitent en principe qu'à des projets
d'une certaine ampleur, nécessitant des besoins financiers importants, bien souvent dans
des secteurs innovants (NTIC, nanotechnologies, par exemple).
Les subventions d'investissement
Ce sont des fonds qui sont versés à titre définitif, généralement par des collectivités
territoriales, sans obligation de remboursement ; ils aident au financement
d'investissements, contrairement aux subventions de fonctionnement qui servent, elles, à
financer des charges d'exploitation telles que les aides à l'embauche.
Les subventions sont inscrites en capitaux propres au passif du bilan.
Elles ne sont pas destinées à être remboursées, mais sont définitivement acquises à
l'entreprise, sauf si celle-ci ne satisfait pas à toutes les conditions qui sont stipulées pour
leur octroi. Ainsi, par exemple, il existe parfois des obligations d'embaucher dans certains
délais en contrepartie de l'obtention d'aides.
Sur le plan comptable et fiscal, ces subventions font l'objet d'une intégration au résultat au
même rythme que l'amortissement du bien dont elles financent l'acquisition. Ainsi,
lorsqu'elles financent l'achat d'un bien amorti sur une durée de cinq ans, chaque année,
l’entreprise intégrera en produit 20 % de la subvention reçue dans son compte de résultat.
L'emprunt bancaire
L'emprunt bancaire correspond à une somme mise à la disposition de l'entreprise par un
organisme financier, avec obligation de la rembourser selon un échéancier préalablement
défini.
En contrepartie de son financement, l'organisme prêteur perçoit des intérêts rémunérant
l'apport de fonds et les risques pris.
Il est généralement accompagné de la prise de garantie(s) qui limite les risques du prêteur
en cas de difficultés de remboursement.
Les emprunts figurent au passif du bilan de l'entreprise.
L'emprunt aidé
Certains organismes octroient aux jeunes entreprises des prêts favorisant la création. Ces
prêts, liés à des conditions relatives à la personne du créateur, sont parfois accordés en
accompagnement de financements bancaires. Ils permettent de les compléter et sont
souvent pris en compte par les organismes de crédit au titre des apports du créateur. Ainsi,
ils sont assimilés aux fonds propres et font partie des 30 % d'apports régulièrement exigés
pour obtenir des fonds externes.
Ces prêts peuvent être octroyés par les collectivités territoriales (région, municipalité...),
Pôle Emploi ou des associations souhaitant favoriser la création d'entreprises et le
développement économique.
Le crédit-bail
Le crédit-bail, appelé également location avec option d'achat (LOA), est sensiblement
différent de l'emprunt, bien qu'il serve en principe à financer le même type de biens. En
effet, lorsqu'elle finance un investissement par le biais d'un emprunt, l'entreprise en est
propriétaire dès le premier jour. En contrepartie, elle devient débitrice de la banque. Dans
le cadre d'un crédit-bail, pendant toute la durée du contrat, l'entreprise n'est pas propriétaire
du bien. Il s'agit d'une simple location assortie d'une promesse de vente à l'issue de la
période de location. L'organisme financier possède donc le bien, le loue à l'entreprise et
s'engage à le lui vendre après une certaine période selon des conditions prédéfinies. En
général, la valeur résiduelle, correspondant au prix d'achat final, représente une somme
dérisoire.
Inconvénient pour le preneur du crédit-bail : il n'est pas propriétaire de son matériel. En
revanche, cette technique offre certains avantages par rapport à un financement classique :
Elle procure une meilleure garantie à la banque, car celle-ci n'est pas
totalement dessaisie du bien. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, au sein des organismes
financiers, un financement par crédit-bail n'est pas pris en compte à la même hauteur qu'un
emprunt dans les ratios d'analyse de risques. Le crédit-bail permet ainsi d'accroître les
capacités de financement de l'entreprise ;
Elle ne pénalise pas le bilan de l'entreprise puisqu'elle ne figure pas dans les
dettes. Elle a donc l'avantage de rendre le niveau d'endettement moins apparent ;
Les échéances de loyers passent intégralement en charges alors que dans le
cadre de l'emprunt, seulement les intérêts. Toutefois, avec l'emprunt, le bien financé,
propriété de l'entreprise, est amorti. Et cet amortissement vient en diminution du résultat de
l'entreprise.
1) La définition de la PME
Ilconvient tout d’abordd’essayer de donnerunedéfinition au concept « entreprise » avant detenter de
donnerunedéfinition de la PME.
L’entreprises au cœur de la dynamiqueéconomiquepermettantd’assurer le
rôle deproduction des richessesdans un premier temps et deleur réparation entre les divers
acteurs.Selon le dictionnaire Le Littré le mot « entreprise », signifie « un
desseinforméquel’on metàexécution. Robe (1999) soulignequel’entreprisen’apas
d’existencejuridique propre. « La manière laplus simple de comprendre en quoi
consisteceque nous appelons la structure micro juridiquede l’entrepriseconsiste àpartir de
«entrepreneur », du créateur de l’entreprise (Robé1999)».
Il existeuneréelle confusion entre « entreprise » et « société ». Une « société»
estunepersonne morale disposant d’un nom, d’un patrimoine indépendant, de droits et de
devoirs.Par contre, c’est la société qui permet à l’entreprise de fonctionner sur le plan
juridique.L’entreprise est plus quejamais objet théorique en débat, quece soitdans le champ
du droit, del’économieou de la sociologie.
Les PME sontl'épine dorsale de la croissance socio-économique et de la
créationd'emploispour les économies développées et ceux en développement.
Le rôleconsidérableque les PME jouentdansl'économie ne peut pas être sous-
estimé. Existe-t-elleunedéfinitionuniverselle de la PME ?
Le terme PME couvre un large éventail de définitions et de mesuresqui varient
d'un pays àl'autre. Malgrécette variance, un grand nombre de sources définissentune PME
commettantuneentreprise avec un seuil de 250 employés (Ayyagari, Beck, and Demirguc-
Kunt 2007). Le critèreuniversellementretenu pour distinguer la PMEpar rapport aux
autres typesd’entrepriseestsa taille. L’univers des PME esttrèsperplexe. Le choixd’une
segmentationdesentreprisesmarocainesest plus difficile.
En fait etjusqu’l’heureactuelle, iln’existe pas un consensus entre les
chercheurssur unedéfinition standard de la PME. Cesujet a fait l’objet de
nombreusesesquisses maissontabandonné au profit des définitionspropres à chaque pays.
En fait, Iln'y a pas de définitionuniversellem’entreconnue des petites et
moyennesentreprises. Les définitionsdiffèrent d'un pays à l'autre. Cependant, le critère de la
tailled'uneentreprise – généralementmesurée en fonction du nombre de
personnesemployées- estlargementutiliséainsique le montant du capital et le
chiffred'affaires. La définition de làsur la base du critèrequantitatifn'est pas
uniformedanstous les pays. Par exemple, unpaysspécifiquepeutdéfinirune PME
commettantuneentreprisecomptantmoins de 500 employés, tandisqu'unautre pays peut la
définir avec Unnombremoins de 250 employés. Si le nombre de
personnesemployéesaétéconsidérécommecritère pour définir la PME, unautrecritère a
étéidentifiéestcelui de la propriété du capital qui est le plus
souventcenséeêtredétenuemajoritairement par le gestionnaire.
a) Critères quantitatifs
Les définitions qui prennent en considération des
critèresquantitativesprésententuneréelledifficulté. Les façons par lesquelles la taille
d’uneentreprisepeutêtrequantifiéesonttrèsvariées. Le nombred’employés, le
chiffred’affaires, le total del’actifsont des critèresgénéralementretenus (PHUNG 2009).
L’approchequantitative faitréférence aux aspectsreprésentatifs de la taille de l’entreprise.
Cesontgénéralement des indicateursquantitatifsrelatifs par exemple à l’effectif global
permanent, le chiffred’affaires, l’endettement, le totalbilan, la valeurajoutée, le capital
social et la part de marchéoccupéeparl’entreprise enquestion. Dans les pays en
développement, où lemarché etla tailledes entreprises sontréduits, dénombrées entre 100 et
150.
b)Critères qualitatifs
L’avantage le plus intéressant dediversesdéfinitions des PME estqu’ellestentent
de refléterfidèlement la vraie nature de ces entreprises de petite taille.
Néanmoinsellesreprésententl’inconvénientqu’ellessontadaptées à chaque pays à part entière
(PHUNG 2009).L’aspecthumainestconsidérécommeétantl’élémentfondamental de
cetteapproche. Cettedernière se base sur des outilsthéoriques et analytiques qui mettent en
avantcertains aspectsdel’entreprisetelsque le style de direction, la délégation des pouvoirs
et la répartition destâches.
1.2 -La définition de la PME au niveau international
C’est le critère de la taille qui reste le plus souventpris en considérationdans la
définitiond’une PME nonobstat la diversité des approches qui ont essayées de définir de la
PME.Enfait, chaque pays dispose d’unedéfinitiondistincte de la PME qui se base
habituellementsur« l’effectifemployé ». Aux États-Unis par exempleuneentreprise qui
emploie 500 employésestune PME tandisqu’elle sera considéréefaisantpartie de la
catégorie des grandesentreprises en Espagne. EnEurope, la PME
estuneentrepriseindépendante qui emploiemoins de 500 employésdontl’actifimmobilisé
net estmoins de 75 millionsd'Euros et dont la part des capitauxpermanentsdétenue par
unegrandeentreprise ne dépasse pas le tiers (Dyson 2005).
Uneautredifficultéexiste et réside dans le fait que diverses définitionscoexistent
dans unmême pays et parfois pour sous mêmeautoritégouvernementale (Allali 2003). Les
PME auMaroc ne fontpas l’exception, etla première difficultérencontréepar les chercheurs
quientament des études qui ont traitaux PME marocainesest de délimiter les critères
dedéfinition de la PME au Marocfauted’unedéfinition unique et officielle.
1)Définition
Exercise 19N+1
Emplois Resources
Ressources stables de
l’exercice (flux)
Autofinancement (A)
Capacité d’autofinancement
Distribution de bénéfices
Cession et réduction
d’immobilisations
(B)
Cession d’immobilisations
incorporelles
Cessiond’immobilisations
corporelles
Cessiond’immobilisations
financières
Récupérations sur créances
immobilisées
Augmentation descapitaux
propresetassimilés (C)
Augmentation de capital,
apports
Subvention d’investissement
Augmentation des dettes de
financement (nettes de
primes de remboursement)
(D)
Total des ressources stables
(A+B+C+D)
Emplois stables de l’exercice
(flux)
Acquisition et augmentation
d’immobilisations (E)
Acquisition
d’immobilisations
incorporelles
Acquisition
d’immobilisations
corporelles
Acquisition
d’immobilisations
financières
Augmentation des créances
immobilisées
Remboursement descapitaux
propres (F)
Remboursement des dettes
definancement (G)
Emplois en non-
valeur (H)
Total 2 emplois
stables (E+F+G+H)
Variation de besoins de
financement global (BFR)
Variation de la trésorerie
Total général
Il existe trois principaux modèles de tableaux de flux de trésorerie utilisés par les
entreprises. Le plus ancien est tableau pluriannuel des flux financiers (TPFF) initié en
1977 par G. de Murad. Cependant, sa présentation et son utilisation demeurent
hétérodoxes. Le tableau de l’ordre des experts-comptables (OEC) publié en 1988 est le
plus international et couramment mis en application par les entreprises. En fin le tableau
de la banque de France.
Le principe
Table 3
Emplois Resources
Flux de fonds générés par les Flux de fonds générés par les
opérations d’exploitation opérations d’exploitation
(Insuffisance Brut d’Exploitation IBE) (Excédent Brut d’Exploitation EBE)
L’analyse des tableaux des flux de trésorerie est largement préconisée au niveau
international dont la mesure où ils permettent :
L’investissement :
Le flux net de trésorerie lié aux opérations d’investissement, s’il est positif, permet
de financer les investissement.il s’agit de permettre de renouvellement et le
développement de l’activité en vue de préserver ou d’accroitre le niveau futur des flux
detrésorerie.
Le financement :
Il est, par exemple, possible que la clôture de l’exercice, date à laquelle est établi le
tableau de flux de trésorerie, corresponde à une période de faible activité non
représentative du reste del’année.
Conclusion
La plupart des entreprises de notre échantillon sont des PME, ce qui est favorable à notre
enquête pour l’obtention des bonnes réponses.
4 - La nature de l'Entreprise :
L’analyse de cette question, nous fait remarquer que la majorité des entreprises (presque 90%)
sont privées.
Notre échantillon a porté, grandement, sur les entreprises nouvellement créées en 2010 et 2019
6 - le siège :
Dans cette question on remarque que la région d’AGADIR domine les sièges des entreprises
objet d’étude.
7 - Le secteur d’activité :
Les entreprises commerciales occupent la part du lion soit 45% des entreprises étudiées, suivi
des entreprises de prestation de service à 40% ; en fin les entreprises industrielles à 15%. Cette
répartition explique en quelque sorte la nature du tissu économique marocain.
8 - Le statut de l’entreprise :
Plus de 78% des entreprises interrogées adopte la forme juridique SARL, le reste des
entreprises prennent la forme juridique SNC, SP et SA.
9 - Le montant du capital :
Une grande partie des entreprises (30%) se disposent d’un capital social compris entre
100000dh et 2000000dh, par contre les entreprises dont le capital ne dépasse pas 10000dh
représentent moins de 7%.
10 - Le chiffre d’affaire :
D’après l’analyse des réponses à cette question, on voit bien qu’il y a peu des entreprises qui
réalisent un chiffre d’affaire faible, 20% seulement qui ont un très bon chiffre d’affaire qui
dépasse un million.
11 - L'effectif du personnel :
Les entreprises de notre échantillon sontdominées par les TPE (45%) qui font travaillé un effectif
inférieur à 10, ensuite les PE entre 10 et 50 salariés (35%), puis les M’entre 50 et 100 salariés
(15%) et en fin les grandes entreprises entre 100 et 200 salariés (5%).
Concernant le degré attaché à la gestion de qualité, 20% des entreprises sont tout à fait
satisfaites, 47% sont moyennement satisfaites alors 33% sont très satisfaites.
Quant à la source de financement, plus de la moitié des entreprises interrogées (55%) font recours
à l’autofinancement, 30% utilisent les fonds provenant de la banque, 15% se basent sur les
comptes des actionnaires et enfin 5% des ressources proviennent des autres moyens autres que
ceux précités.
Ont conclu que la gestion de la trésorerie port une place très importante dans les différentes
entreprises (78%) La gestion de la trésorerie est devenue un des axes stratégiques de la
politique générale de l’entreprise.
La plupart des entreprises (90%) ont des situations de trésorerie positive. En effet, même si cela
peut paraître étonnant, une entreprise rentable n’est pas nécessairement une entreprise en
bonne santé financière. Tout dépend de son niveau de rentabilité et de la quantité de carburant
dont elle dispose et dont elle a besoin pour fonctionner, autrement dit : tout dépend de son
niveau de trésorerie nette.
La plupart de entreprises (78%) ont réalisent la prévision qui suppose un choix des objectifs à
atteindre, (10%) par référence aux concurrents et (12%) en se basant sur les projets à réaliser.
En effet le contrôle qui consiste à établir des écarts par confrontation à chaque fin de période
des prévisions et des réalisations.
La mauvaise décision de trésorier aura des mauvaises conséquences sur la trésorerie telle
que47,4% des entreprises déclarent qu’elles ont commis des erreurs d’équilibrage ;c.-à-d. que
onze entreprises n’arrivent pas encore à la compensation des déséquilibres entre les banques.
Ces erreurs peuvent être une source non négligeable des gaspillages de frais financiers et de
manque à gagner important.
On remarque que la gestion de trésorerie au jour le jour représente 26%, et les prévisions de la
trésorerie et la rédaction des rapports de synthèse 56 %, la centralisation des opérations de
paiement 14 % et 4 % pour la gestion de risque de change et du financement en devises.
Dans la pratique, les problèmes de 48% entreprises de sont d'origine conjoncturelle, 52% sont
structurels.
Le trésorier aura des mauvaises conséquences sur la trésorerie telle que 63% des entreprises
déclarent qu’elles ont commis des erreurs d’équilibrage ;c.-à-d. que onze entreprises n’arrivent
pas encore à la compensation des déséquilibres entre les banques. En effet 26%% savent des
erreurs de sur-immobilisation à cause soit d’un manque de placementsoit des frais financiers
superflus, alors que peu des entreprises qui commis des erreurs sous-immobilisation car ces
erreurs peuvent éviter par le recours à l’escompte ou à tout autre crédit moins coûteuse que le
découvert. Ces erreurs peuvent être une source non négligeable des gaspillages de frais
financiers et de manque à gagner important.
28- Quels sont les outils utilisés pour atteindre cet objectif ?
Toutes les entreprises, peu importe leur taille, sont des organisations est la coordination
rationnelle d’un certain nombre de personnes et de moyens en vue d’atteindre les objectifs
qu’elle s’est fixée dans notre exemple soit (50%), le reste se basé sur la compétence et la
publicité.
30- Quels sont les obstacles qui freinent la gestion prévisionnelle de votre
trésorerie ?
Les entreprises de notre échantillon prévoient les obstacles coût de distribution (14%), manque
de financement (15%) et retard (14%). En effet et pour toutes les entreprises en croissance, le
point le plus délicat est la gestion de trésorerie. Il est essentiel de surveiller attentivement
encaissements et décaissements passés, d'anticiper ceux à venir, et d'identifier précisément et
suffisamment tôt les éventuels déséquilibres.
De la lecture des résultats obtenues, on peut remarquer que toutes les entreprises de notre
échantillon, quelle que soit leur efficacité ou quelle que soit leur structure financière, se trouvent
confrontées à un problème de trésorerie de nature conjoncturelle ou structurelle. Ce problème
peut survenir car, à court terme, les entreprises doivent de manière permanente Chercher à
assurer le financement de leurs actifs circulant (stock, crédits accordés aux clients, diverses
créances).Selon les résultats la majorité des problèmes sont d’origine conjoncturel soit 51,6%
suivi de problèmes structurels avec un pourcentage de 50% et des problèmes d’origines inconnu
représentent 12,5%, ainsi 37,5% des entreprises utilisent le plan de financement prévisionnel
pour apprécier l’origine de ces problèmes, tandis que 25% préfère au plan d’investissement et
utilisent d’autres documents, on peut aussi citer trois erreurs de gestion de la trésorerie commis
par les trésoriers:
- Erreur d’équilibrage ou de contre-passes (68,8%).
Le suivi budgétaire et la gestion de trésorerie exige la négociation avec les banques. Ce qui
oblige les trésoriers de choisir la ou les modalités les plus aptes selon la conjoncture. Ces
modalités se limitent entre le taux variable (43,7%) et le taux fixe (56,3%). Au niveau de la base
sur laquelle se fait le paiement des fournisseurs est au comptant et a crédit en utilisant le chèque
en premier temps, effet de commerce, en deuxième, et enfin le virement.
Malgré ces problèmes, la majorité des entreprises (93,8%) dont la situation de leur trésorerie est
positive sont arrivées à maîtriser parfaitement le niveau moyen de la caisse, c’est ici que se
justifie pleinement le principe de la trésorerie zéro.
Pour optimiser la trésorerie de l’entreprise, les gestionnaires sont amenés à prendre certaines
décisions. Ces décisions nécessitent d’abord de se baser sur une gestion prévisionnelle et en
date de valeur. Ensuite, des calculs seront nécessaires pour choisir entre telle ou autre décision.
Les points suivants présentent certains arbitrages de gestion et certaines actions possibles à
court et moyen terme pour remédier aux problèmes de la trésorerie.
Les arbitrages de gestion de la trésorerie sont les décisions les plus courantes à court terme, les
arbitrages les plus fréquents sont :
Conclusion Générale
Lorsqu'une entreprise est capable de prévoir avec certitude ses échéances de
manière à les faire correspondre exactement à ses prévisions d'encaissements la gestion de
la trésorerie peut être optimale. En effet, les coûts pourront être réduit au minimum
puisqu'elle n'aura pas besoin de détenir des actifs liquides de faible rendement - l’encaisse
-, ni de disposer de moyens de financement à long terme excédant ceux qui lui sont
indispensables - le fonds de roulement. Toutefois, les prévisions sont dans la réalité,
incertaines. En associant aux prévisions de trésorerie une probabilité, les responsables
peuvent estimer le risque d’insolvabilité technique et en déduire une marge de sécurité.
Cette marge de sécurité se compose d'un volant de liquidités et d'un fonds de roulement
positif. La valeur du fonds de roulement et le niveau de l'encaisse sont interdépendants.
Une entreprise qui finance en totalité ses actifs circulants nets des dettes d'exploitation par
des capitaux à long terme aura moins besoin de liquidités que si elle les avait financés
avec du crédit à court terme. Le choix des moyens de financement des actifs circulants et
la part des actifs liquides à maintenir sont étroitementliés.
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