La Communion
La Communion
La Communion
1 C’est un message émouvant, que Frère Pearry vient de nous apporter, de la Parole
de Dieu. Combien il est vrai que « nous limitons Dieu et que nous fixons un temps à
Dieu, alors qu’Il est Éternel, nous ne pouvons pas faire ça ». Ce soir, donc, nous
abordons quelque chose d’autre maintenant, c’est la communion.
2 Trois ans durant, j’ai attendu de voir une église s’établir à Tucson, mais la voici. Oui,
nous sommes—nous sommes là. Alors, nous remercions le Seigneur, Il nous a tout
simplement laissés attendre jusqu’au point où nous pouvons maintenant l’apprécier.
3 Maintenant, il y a une chose que j’aimerais dire juste avant que nous commencions
la communion, c’est ceci : je crois que nous en avons vu assez, dans notre jour, où nous
vivons, pour que nous devions vraiment donner (chaque) tout notre être à Dieu. Nous—
nous devrions vraiment servir Dieu. Je crois qu’Il nous a bénis, par la réponse directe à
l’Écriture. Comme Frère Pearry l’exprimait, il y a quelques instants, nous—nous en
sommes-nous en sommes à ce temps-là. Nous ne sommes pas aveugles, nous—nous—
nous voyons que nous en sommes là, nous—nous sommes arrivés là.
4 Et aussi, nous pouvons regarder partout, et constater comment l’esprit humain est
en train de quitter les gens. Alors, nous—nous ne pouvons pas rester encore longtemps,
nous serions en plein asile de fous, le monde entier y serait. Voyez ? Donc, nous—nous
sommes au temps de la fin.
5 Maintenant, comme Frère Pearry le disait, à la fin, là : en voyant que ces choses
sont vraies, de voir qu’elles sont vraies, que ce ne sont pas des mythes. Ce n’est tout
simplement pas quelque chose que nous imaginons. C’est quelque chose qui nous a été
donné directement par la Parole de Dieu et qui a été manifesté publiquement devant
nous, alors nous savons que nous en sommes là. Nous—nous ne savons pas combien
de temps encore, maintenant, parce que ce serait encore de se référer à une montre,
vous voyez, à l’heure qu’il est. Mais nous... nous savons que nous—nous en sommes là,
nous sommes arrivés à ce temps. Si c’est selon le temps de Dieu, j’imagine que...
Page 1 sur 13
6 Quelqu’un présentait une petite analyse, à un moment donné, où il disait que si Dieu
l’avait supporté selon... S’Il devait répartir le temps, mille—mille ans ne sont qu’un jour.
Alors, si un homme vivait jusqu’à l’âge de soixante-dix ans, ça ne représenterait que
quelques minutes selon le temps de Dieu. Voyez ? Eh bien, et il disait que si c’était
quarante ans, ça ne représenterait même pas, à peine, le temps qu’Il mettrait à battre
des paupières. Voyez ? Voyez-vous, vraiment, voilà combien c’est rapide, tout ça, si le
temps devait être réparti ; mais pour Lui le temps n’existe pas. Alors, Il est tout
simplement Éternel.
7 Je crois que c’était Sarah là-derrière... ou, non, Joseph, l’autre soir, qui me disait, à
moi et à Frère Pearry, il disait : « Papa, où, quand Dieu a-t-Il commencé à exister ? D’où
est-Il venu ?» Voyez ? « Forcément qu’Il a eu un commencement, n’est-ce pas ? N’a-t-Il
pas dû avoir un commencement ?»
8 J’ai dit : « Non. Tout ce qui a un commencement a une fin, mais c’est ce qui n’a pas
eu de commencement qui n’a pas de fin. » Mais, naturellement, pour lui qui a dix ans,
c’était vraiment une—une assez grosse bouchée à avaler, ça. Voyez ? Et, comment
pourrait-il recevoir ça, de savoir que quelque chose n’a jamais eu de commencement ?
Non seulement pour lui, mais aussi pour moi. Alors, voyez-vous, c’est vraiment une dose
très forte pour moi : comment tout ça a bien pu commencer.
9 Maintenant nous nous apprêtons à observer quelque chose ici, qui est vraiment
sacré.
10 J’ai été appelé il y a quelques jours, à rencontrer des hommes très bien, des
chrétiens, qui—qui n’ont jamais pris ceci ; et il avait entendu dire que nous prenions
littéralement la communion. Eux, ils prennent ce qu’ils appellent la « communion
spirituelle ». Et, bon, pour ce qui est d’une communion, là-dessus je dirais « d’accord »,
parce que communiquer, c’est « parler à », voyez-vous. Et le frère m’a indiqué ce
passage de l’Écriture, il a dit : « Frère Branham, ne pensez-vous pas, là... «
11 Maintenant, la raison pour laquelle je dis ceci... C’est en ordre, Frère Pearry ?
[Frère Pearry Green répond : « Bien sûr. » -N.D.É.] Voyez-vous, la raison pour laquelle
je dis ceci, c’est pour que vous compreniez ce que vous faites. Vous ne... si vous entrez
aveuglément dans quelque chose, vous ne savez pas où... ce que vous faites. Vous ne
pouvez même pas avoir confiance, si vous ne savez pas ce que vous faites. Mais vous
devez comprendre ce que vous faites, et pourquoi vous le faites.
12 Il disait : « Maintenant, si nous prenons la Parole de Dieu, n’est-ce pas Dieu que
nous prenons ?»
13 J’ai dit : « Tout à fait exact, monsieur. C’est vrai. Mais nous lisons ici qu’ils ont
réellement... Paul a enseigné de prendre le souper du Seigneur littéralement. ‘Faites ceci
en mémoire de Moi’, a dit Jésus. ‘Toutes les fois que vous le prenez en mémoire de Moi,
Page 2 sur 13
vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu’à ce qu’Il vienne’. » Voyez ? Donc, nous
devons le prendre.
14 Nous comprenons que c’est saint Paul qui a établi cela dans l’Église, puisqu’il était
le prophète du Nouveau Testament. Pierre, Jacques, Jean, eux tous, ils ont écrit (eh
bien, Matthieu, Marc, Luc) comme des scribes, ce que Jésus avait fait. Mais Paul a mis
la chose en ordre, il était le—il était le prophète du Nouveau Testament. Tout comme
Moïse était allé au désert recevoir l’inspiration pour écrire les—les cinq Livres de—de...
les cinq premiers Livres de la Bible, eh bien, Paul aussi est allé au désert et a reçu de
Dieu l’inspiration pour mettre l’Église du Nouveau Testament en ordre, et En montrer le
type avec l’Ancien.
15 Alors que là, ce qu’ils avaient, c’était l’agneau du sacrifice, c’est ce qu’Israël
observait à titre commémoratif. En fait, il n’avait été utilisé qu’une fois, à leur sortie de
l’Égypte. Mais ensuite, ils ont observé ça à titre commémoratif tout au long de l’âge. Eh
bien, «si la loi, qui est une ombre des choses à venir », vous voyez.
16 Or, ce que je crois, c’est que la communion (ce que nous, nous appelons la «
communion », là), c’est de... c’est « le souper du Seigneur ».
17 Maintenant, nous avons seulement trois ordonnances naturelles Divines qui nous
ont été laissées : l’une d’elles, c’est—c’est la communion ; le lavement des pieds ; le
baptême d’eau. Ce sont les seules trois choses. C’est la perfection, dans ces trois-là,
voyez-vous. Ce sont les seules trois ordonnances que nous avons. Nous comprenons
bien que c’est ce qui a été institué par saint Paul dans le Nouveau Testament.
19 Dans ces conditions-là, nous pourrions absolument justifier l’Armée du Salut. Ils ne
croient en aucune forme de baptême d’eau, ils disent : « Nous n’en avons pas besoin. »
Maintenant, si nous n’avons pas besoin du baptême d’eau, pourquoi sommes-nous
baptisés ? Ils disent : « L’eau ne peut pas vous sauver, c’est le Sang qui vous sauve.»
20 Je suis d’accord là-dessus. C’est—c’est exact, c’est le Sang qui vous sauve, et non
pas l’eau. Mais nous devons prendre l’eau, c’est une manifestation extérieure pour
exprimer qu’une œuvre de la grâce a été accomplie à l’intérieur. Voyez ? Et c’est aussi
ce que nous devons faire quant à la communion.
21 Une fois que nous avons reçu en nous le Seigneur, notre Sacrifice, en nous par
une Naissance spirituelle, et, Son Corps, que nous vivons par Lui, par la Parole, nous
Page 3 sur 13
devrions aussi le symboliser, parce que c’est un commandement. « Repentez-vous,
chacun de vous, et soyez baptisés au Nom de Jésus-Christ, pour la rémission de vos
péchés. »
22 Paul a dit : « J’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigné ; c’est que le
Seigneur Jésus, dans la nuit où Il fut livré, prit du pain, le rompit et le donna aux
disciples, et—et Il dit : ‘Prenez et mangez, faites ceci en mémoire de Moi.’ Car toutes les
fois que vous mangez ce pain, vous annoncez Sa mort, jusqu’à ce qu’Il vienne. » Or,
nous voyons qu’il y avait là des gens qui y venaient et...
23 Ce précieux frère, un très cher frère, il est venu, et il disait : « Je ne l’ai jamais—je
ne l’ai jamais prise, Frère Branham, je ne comprends pas ce que c’est. » Il disait : « On
m’a enseigné l’autre point de vue. »
24 J’ai dit : « Mais souvenez-vous, nous sommes prêts à accepter que saint Paul a
mis cela en ordre dans l’Église chrétienne primitive. Ils allaient d’église... de maison en
maison, ils rompaient le pain avec simplicité de cœur, et ainsi de suite. Or, » j’ai dit, «il a
effectivement établi cela dans l’Église. Dans Galates 1.8, il a dit : ‘Si un ange du ciel
venait et qu’il dise quoi que ce soit d’autre, qu’il soit anathème’, vous voyez, voyez-vous,
celui-là même qui les a fait être rebaptisés, à nouveau, après le baptême de Jean, être
baptisés au Nom de Jésus-Christ. »
25 Vous voyez, il y a trois choses que nous devons—trois choses que nous devons
accomplir comme symboles : le souper du Seigneur, le lavement des pieds, le baptême
d’eau. Voyez ? Il y a...
26 Vous dites : « Eh bien, le... » Maintenant, l’Armée du Salut, l’argument sur lequel ils
s’appuient : « Le voleur mourant, quand il est mort, il n’avait pas encore été baptisé ;
Jésus a dit qu’il serait au Ciel. » C’est l’exacte vérité. C’est exact. Mais, vous voyez, il—il
—il n’a reconnu Jésus que là même, à l’heure de sa mort. Voyez ? C’est la seule—c’est
la seule occasion qu’il a eue. Il-il était un voleur, il était éloigné, il n’était pas dans la
course. Et il... aussitôt qu’il a vu cette Lumière, il L’a reconnue : « Seigneur, souviens-Toi
de moi !» Et Jésus... C’était vrai.
27 Mais pour vous et moi qui savons que nous devons être baptisés, et qui refusons
de le faire, alors ce sera entre vous et Dieu. Même chose pour la communion !
28 Maintenant, quand nous prenons cette communion, ce n’est pas simplement une
question de dire : « Je m’avance, là, et je vais manger du pain, et je croirai que je suis un
chrétien.» Mais, si vous l’avez remarqué, la Bible a dit : « Celui qui mange et boit
indignement sera coupable envers le Sang et le Corps du Seigneur. » Voyez ? Vous
devez mener une vie qui—qui... devant les gens, qui... et devant Dieu et les gens, qui
montre que vous êtes—que vous êtes sincère.
Page 4 sur 13
29 Maintenant, juste un moment encore. Maintenant, dans l’Ancien Testament, alors
que le sacrifice avait été établi comme—comme précepte, ou comme ordonnance. Et il
en est de même pour le baptême d’eau, c’est une ordonnance ; de même, le lavement
des pieds est une ordonnance ; de même, le souper du Seigneur est une ordonnance. «
Heureux celui qui pratique toutes Ses ordonnances, qui observe tous Ses préceptes,
tous Ses commandements, afin d’avoir droit d’entrer dans l’Arbre de la Vie. »
30 Maintenant, remarquez ceci, là, c’est qu’au début, quand c’était devenu une
ordonnance de Dieu, d’apporter un sacrifice à l’église, et, au temple et à l’autel, et de
présenter son offrande et—et, pour ses péchés, le sacrifice d’un agneau. Eh bien, je
peux alors me représenter un frère Juif qui descend la route, il sait qu’il est coupable, et il
va à l’autel, ou, il apporte son bœuf bien gras, ou un taureau, ou ce qu’il avait, soit un
bélier, un agneau, quelque chose. Il l’avait amené avec lui, sur la route, il était venu aussi
sincèrement que possible, il s’avançait là, en observant l’ordonnance de Dieu aussi
sincèrement que possible.
33 Or, nous ne voulons pas prendre la communion de cette façon-là. C’est la même
chose quand nous venons à la table du Seigneur.
34 Ésaïe 35... non, excusez-moi, Ésaïe 60... Laissez-moi reprendre ça. Je—je—je
crois que c’est Ésaïe 28, c’est là que nous trouvons ceci. Je suis assez sûr que c’est
bien ce chapitre-là. Il a dit : « C’est précepte sur précepte, et règle sur règle, sur règle,
un peu ici, un peu là. Retenez ce qui est bon. Car par des lèvres bégayantes et par des
langues étrangères Je parlerai à ce peuple. Et c’est ici le Repos. »
35 Il a dit : « Toutes les tables du Seigneur se sont remplies de vomissements. À qui
puis-Je enseigner la Doctrine ? À qui pourrai-Je faire comprendre ?» Voyez ? Je pense
Page 5 sur 13
que c’était le bon passage de l’Écriture : Ésaïe 28. « À qui pourrai-Je faire comprendre la
Doctrine ?» Voyez-vous : « les tables ».
36 Maintenant, nous voyons aujourd’hui que cette grande chose que nous sommes
sur le point d’accomplir ce soir, en commémoration de Sa mort, et de Son Corps que
nous croyons que nous mangeons tous les jours, ou, que nous venons de manger
pendant que notre frère nous prêchait. En recevant la Parole de Dieu, nous La croyons
de tout notre cœur. Nous La voyons manifestée, nous La voyons nous être donnée, nous
La voyons confirmée, nous La sentons dans nos vies. Et nous devons nous approcher
de ceci en étant profondément conscients de ce que nous faisons, pas seulement parce
que c’est un ordre.
37 Vous entrez dans une église, et souvent on y distribue un genre de biscuit salé, ou
une espèce de—de, quelque chose qu’on met en morceaux et, du pain léger ou—ou
quelque chose comme ça, et—et on met ça en morceaux ; et des gens qui fument, qui
boivent, et tout le reste, comme ils sont membres de l’église, ils viennent prendre le
souper du Seigneur. Eh bien, ça, c’est de la souillure devant Dieu !
38 Même le sacrifice, Il a dit : « Vos jours sacrés et votre sacrifice sont devenus une
puanteur à Mon nez. » Et pourtant Il leur avait prescrit d’offrir ce sacrifice. Mais à cause
de la manière dont ils l’abordaient, c’était devenu une puanteur, ça Lui puait au nez (aux
narines), le sacrifice même qu’Il avait prescrit.
40 Vous ne prenez pas le souper du Seigneur par tradition. Vous le prenez à cause de
l’amour de Dieu qu’il y a dans votre cœur, en observant les commandements de Dieu.
Voyez-vous, c’est pour ça que vous le prenez.
41 Alors, si vous ne le prenez pas avec sincérité, que ce n’est qu’une tradition : «Eh
bien, notre église prend la communion une fois, chaque dimanche, ou une fois, chaque
mois, ou deux fois par an», et que vous vous avancez là, en disant: «Bon, c’est mon
tour», et—et puis vous prenez la communion, eh bien, pour Dieu c’est une puanteur!
Voyez-vous, ça, ce n’est qu’une tradition.
42 Et c’est pareil, même, pour toute autre chose : vous—vous devez être sincère.
Dieu veut les profondeurs de votre cœur. Rappelez-vous, le Dieu même qui vous a
amené ici sur terre, c’est Lui que vous servez. Voyez ?
Page 6 sur 13
43 Vous faites ceci parce qu’Il l’a dit, parce que c’est Son ordre. Alors, nous voulons
nous approcher avec la plus profonde sincérité, en sachant que, par la grâce de Dieu,
nous avons été sauvés. Et nous—nous L’aimons et nous avons senti Sa Présence, et
nous—nous La voyons changer nos vies. Notre—notre être entier est changé. Nous—
nous—nous sommes des gens différents. Nous ne vivons plus comme nous vivions,
nous ne pensons plus comme nous pensions.
44 C’est comme dans le Livre, ici, la partie spécifique dont nous parlions, là, les—les
deux Livres qui sont Un, le Livre de Vie. Le premier Livre de vie est apparu quand vous
êtes né, c’était votre naissance naturelle. Voyez ? Mais alors, à un moment donné, tout
au fond, là où il y avait un petit grain de Vie, comme je l’expliquais à quelques-unes des
jeunes sœurs, à la maison, cet après-midi. Voyez-vous, il y a un petit grain de Vie qui se
trouve là, alors, vous vous posez des questions : « D’où est-Ce venu ? Que—que sont
ces choses étranges ?»
49 Qu’est-ce que c’était ? Il y avait un autre William Branham. Voyez ? Une parcelle
de Vie Éternelle là au fond, provenant des—des—des gènes de Dieu, la Parole de Dieu
qui avait été placée là. Chacun de vous peut se rappeler des choses semblables. Voyez-
vous, Elle était à l’œuvre.
50 Ensuite, je levais les yeux vers les arbres, et je pensais : « Toi, feuille, je t’ai vue
tomber l’année passée, et comment se fait-il que tu sois revenue là ? D’où es-tu venue ?
Qu’est-ce qui t’a amenée ici ?» Voyez-vous, c’était cette Vie Éternelle qui était à l’œuvre
dans le corps.
51 Alors, un jour, là, comme je continuais ma marche, cette Voix a parlé : « Ne fume
jamais, ne bois jamais, et ainsi de suite. » Et les jeunes gens et tout grandissaient.
Voyez-vous, il y avait Quelque Chose qui agissait.
52 Cependant, tout d’un coup j’ai levé les yeux et j’ai dit : « Je ne suis pas le fils de
Charles et Ella Branham. Il y a Quelque Chose qui appelle. » C’est comme mon petit
aigle : « Je ne suis pas un poulet, il y a Quelque Chose là-haut, quelque part. Ô Grand
Jéhovah, Qui que Tu sois, ouvre ! Je veux revenir à la maison. Il y a Quelque Chose en
moi, qui appelle. »
53 Alors je suis né de nouveau. Cette petite Vie qui se trouvait là, la vie de l’eau a été
déversée sur Elle, et alors Elle s’est mise à croître. [Frère Branham fait claquer ses
doigts trois fois. — N.D.É.] Maintenant cette ancienne vie a été pardonnée, jetée dans la
mer de l’oubli de Dieu, pour ne plus jamais être rappelée à ma charge. Voyez ?
Maintenant nous nous tenons, justifiés (comme si nous n’avions jamais péché), dans la
Présence de Dieu.
54 Alors, quand nous venons à la table du Seigneur, nous devons venir avec
révérence, amour et respect : « Regardez où nous nous serions retrouvés, n’eût-été Lui.
» Voyez ? Regardez où cela aurait...
55 C’est pourquoi, Paul, je pense, quand il a dit ceci : « Ainsi, lorsque vous vous
réunissez pour le repas, attendez-vous les uns les autres. » C’est-à-dire, en d’autres
termes, attendez juste quelques instants, priez, examinez-vous. Et si vous savez qu’il y a
Page 8 sur 13
un frère là, qui est sur le point de faire quelque chose de mal, ou quelque chose comme
ça, priez aussi pour lui. Voyez ? Voyez-vous, « attendez-vous l’un l’autre », attendez un
petit instant, priez. S’il y a quelques ressentiments entre vous, ou quelque chose comme
ça, ne—ne le prenez pas—ne le prenez pas, allez d’abord arranger ça. Voyez ? Allez
d’abord mettre cela en ordre, parce qu’on veut venir ici avec des pensées aussi pures
que possible les uns envers les autres, et envers Dieu, et l’un envers l’autre, et alors
nous y venons, en communion autour de la table du Seigneur. Voyez ?
56 Et nous faisons ceci, parce que nous Lui rendons des actions de grâces, et, les uns
avec les autres. Nous partageons le pain entre nous, nous partageons le vin entre nous,
lesquels représentent Son Sang et Sa Chair.
58 Il en est de même du baptême d’eau. Si nous disons : « Nous croyons en Jésus-
Christ, Il nous a sauvés du péché, et nous sommes baptisés au Nom de Jésus-Christ »,
eh bien, nous jetons-nous jetons l’opprobre sur Lui, si nous faisons ce qui est mal, et
nous—nous devrons payer pour ça. Et, autre chose, quand nous faisons ça, nous
essayons de professer une chose, tout en faisant autre chose.
59 C’est ça le problème chez nous, aujourd’hui. [Frère Branham tape une fois dans
ses mains. — N.D.É.] Ce que je pense... Je dis « nous », moi et l’église à laquelle le
Seigneur Dieu m’a permis de m’adresser en ces dernières heures, car nous croyons que
nous sommes au temps de la fin. [Frère Branham donne un coup sur la chaire.] Nous
croyons que Dieu nous a donné un Message. Il a été ordonné de Dieu, il a été prouvé
qu’Il est de Dieu, il a été démontré qu’Il est de Dieu. Maintenant nous devons nous
approcher de Lui avec révérence, et avec amour, et avec—avec pureté de cœur, d’esprit
et d’âme
60 Vous savez, l’heure va bientôt arriver où—où ici au milieu de nous il y aura... le
Saint-Esprit va parler, comme Il l’avait fait dans le cas d’Ananias et Saphira. Souvenez-
vous, voyez-vous, cette heure arrive. Voyez ? Et nous sommes... Maintenant, souvenez-
vous bien de ça, voyez-vous, que Dieu va demeurer au milieu de Son peuple. C’est ce
qu’Il veut faire maintenant.
Page 9 sur 13
» Peu importe le degré de confiance, peu importe combien je la trouve gentille, je dois
l’accepter, elle doit m’accepter ; voyez-vous, sur la base de ces vœux.
62 Eh bien, nous constatons que c’est la même chose avec le Message. Nous voyons
qu’Il est vrai. Nous voyons Dieu confirmer qu’Il est vrai. Il est parfaitement vrai. Année
après année, année après année, Il reste toujours vrai, toujours vrai. Tout ce qu’Il dit
arrive exactement tel qu’Il l’a dit. Alors, nous savons qu’Il est vrai, mais, voyez-vous, n’y
allez pas du point de vue intellectuel. Si vous le faites, vous aurez une religion de
seconde main. [Frère Branham donne six coups sur la chaire. — N.D.É.] Voyez ? Nous
ne voulons pas une religion de seconde main, quelque chose que quelqu’un d’autre a
expérimenté, et nous, nous vivons de—de son témoignage.
63 Je crois que c’est Jésus qui avait dit à Pilate, quelque chose, une parole à laquelle
je pensais — et c’est ce qu’Il avait dit, là — il y a quelques instants : « Qui te l’a dit ?» Où
: « Est-ce que cela t’a été révélé ? Comment as-tu su ces choses ?», autrement dit. Je
ne me souviens plus exactement comment c’est dit, en ce moment, ça fait longtemps
que je l’ai lu, mais : « Comment as-tu—comment as-tu su ça ? Qu’est-ce que ?
Comment ? Qui t’a révélé ça ?» C’était au sujet de Sa qualité de Fils de Dieu. « Qui te l’a
révélé ? Est-ce un homme qui te l’a dit ? Ou », comme Jésus l’a dit, « est-ce Mon Père
qui est dans le Ciel qui te l’a révélé ?» Voyez ? Voyez ? « Comment l’as-tu appris ? de
seconde main, ou bien est-ce une révélation parfaite venue de Dieu ?»
64 La communion, là, est-ce seulement quelque chose que je viens prendre, pour
exécuter un ordre, en disant : « Eh bien, les autres la prennent, je vais la prendre aussi »
? C’est une révélation, que je suis une partie de Lui et je suis une partie de vous, et je
vous aime et je L’aime, et ensemble nous prenons ceci comme un symbole de notre
amour envers Dieu, et de notre amour et de notre communion fraternelle les uns avec
les autres.
66 Et puis, aussi, dans notre tabernacle, nous avons toujours observé ceci et le
lavement des pieds, toujours, parce qu’ils vont de pair. Je pense que le frère a annoncé
ça pour mercredi soir, à cause du grand nombre des gens et de ce qu’il n’y a pas
assez... la place où mettre les gens pour le lavement des pieds, ils vont observer—
observer ça mercredi soir.
Page 10 sur 13
Car j’ai reçu du Seigneur ce que je vous ai enseigne ; c’est que le Seigneur Jésus,
dans la nuit où il fut livré, prit du pain,
Et, après avoir rendu grâces, le rompit... dit : Prenez, et mangez. Ceci est mon corps,
qui est rompu pour vous ; faites ceci en mémoire de moi.
68 Maintenant, je vais m’arrêter juste ici pour dire ceci cependant, de prendre le corps du
Seigneur Jésus-Christ dans cette communion ne signifie pas que cette communion est le
corps littéral de Christ. Ça, c’est catholique. Je ne crois pas que cela soit vrai. Je crois
que c’est uniquement une ordonnance que Dieu nous a prescrite, voyez-vous, ce n’est
pas le véritable corps. C’est... En réalité, là, c’est un petit morceau de pain kasher. C’est
tout simplement une ordonnance.
69 Je ne crois pas non plus que le baptême de Jésus-Christ (au Nom de Jésus-Christ)
dans l’eau, pardonne vos péchés. Je ne crois pas que vous... Je crois que vous pourriez
être baptisé tout au long du jour... Or, je sais qu’il y a peut-être des gens assis ici qui
viennent de l’église apostolique, ou, je veux dire, de l’église pentecôtiste unie, et eux,
c’est ce qu’ils enseignent. Mais, vous voyez, je—je ne crois pas que l’eau pardonne les
péchés. Sinon, si c’était le cas, alors Jésus serait mort en vain. Voyez ? Je crois que
c’est uniquement une ordonnance de Dieu, voyez-vous, pour montrer que vous avez été
pardonné. Mais pour ce qui est d’être baptisé pour la régénération, non, je—je—je ne
crois pas ça. Je ne crois pas que l’eau pardonne les péchés.
70 Je ne crois pas non plus que ce pain et ce vin aient quelque chose à faire avec
vous, si ce n’est d’observer une ordonnance que Dieu nous a prescrit d’exécuter.
Voyez ? C’est exact. Je crois que c’est la même chose pour le baptême d’eau. Je crois
que nous sommes obligés de faire cela, qu’Il a fait toutes ces choses pour nous donner
un exemple. Et ceci, Il l’a fait pour nous donner un exemple. Et Il a lavé les pieds pour
nous donner un exemple.
De même, après avoir soupé, il prit la coupe, et dit : Cette coupe est la nouvelle
alliance en mon sang ; faites ceci en mémoire de moi toutes les fois que vous en boirez.
Car toutes les fois... (Souvenez-vous, maintenant !) ... Car toutes les fois que vous
mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur,
jusqu’à ce qu’il vienne. (Jusqu’à quand ? « Jusqu’à ce qu’Il vienne !» Voyez ? Voyez ?)
C’est pourquoi celui qui mangera le pain ou boira la coupe du Seigneur indignement,
sera coupable envers le corps et le sang du Seigneur.
72 Je vais m’arrêter un petit instant. La raison pour laquelle il a dit ça, vous avez
remarqué dans un autre verset ici, un autre chapitre, qu’il a dit : « J’ai appris que lorsque
Page 11 sur 13
vous—lorsque vous vous réunissez, vous mangez, vous vous enivrez même à la table
du Seigneur.» Ils avaient mal compris, vous voyez. Ils s’empiffraient, tout simplement,
voyez-vous. C’est tout comme ce que les gens font aujourd’hui : ils mènent tout
simplement n’importe quel genre de vie, et ils prennent cela. Voyez ? Il a dit : « Vous
avez des maisons pour y manger, voyez-vous. Mais ceci, c’est une ordonnance que
nous devrions observer, voyez-vous. » Maintenant :
Car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un
jugement contre lui-même. (Voyez ?)
73 Qu’est-ce que vous êtes ? Vous êtes un chrétien, vous vivez devant tout le monde
comme un chrétien. Et si vous prenez cela et que vous ne vivez pas comme un chrétien,
vous ne discernez pas le Corps du Seigneur. Vous placez une pierre d’achoppement sur
le chemin de quelqu’un d’autre, voyez-vous, quand on vous voit essayer de faire ça,
alors que vous ne menez pas la vie que vous devriez mener. Voyez-vous, vous ne
discernez pas le Corps du Seigneur. Maintenant regardez bien ce que... la malédiction
qui est rattachée à ça :
C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand
nombre sont endormis. (La traduction correcte de ce mot, Frère Pearry, c’est « morts ».
Voyez ? Voyez-vous, « un grand nombre sont morts ».)
Si nous—si nous nous jugions nous-mêmes, nous ne serions pas jugés. (Voyez-vous,
si nous nous jugeons nous-mêmes, nous ne serons pas jugés. Voyez ?)
Mais quand nous sommes juges, nous sommes châtiés par le Seigneur, afin que nous
ne soyons pas condamnés avec le monde. (Voyez-vous, pas de liens avec le monde.)
Ainsi, mes frères, lorsque vous vous réunissez pour le repas, attendez-vous les uns
les autres. (Voyez ?)
Si quelqu’un a faim, qu’il mange chez lui, afin que vous ne vous réunissiez pas pour
attirer un jugement sur vous. Je réglerai les autres choses quand je serai arrivé.
(Voyez ?)
74 Maintenant, autrement dit, ne venez pas tout simplement pour prendre ça comme
un... Comme je le disais tout à l’heure, au sujet de ce que les Juifs, leur sacrifice, ils...
C’était merveilleux, c’était ce que Dieu leur avait donné, mais c’en est arrivé au point où
ils ne le faisaient plus avec sincérité, et avec révérence, et avec ordre, et finalement
c’était devenu tout simplement... c’était devenu une—une puanteur à Son nez.
Page 12 sur 13
75 Maintenant, c’est la même chose quand nous venons prendre le souper du
Seigneur, là, nous devons y venir en sachant ce que nous faisons. Tout comme quand
vous entrez dans l’eau pour être baptisé au Nom de Jésus-Christ, vous savez ce que
vous faites, vous vous identifiez à l’église par ce que Dieu a placé en vous : Christ.
76 Lorsque nous prenons ceci, cela montre à l’église que «je crois chaque Parole de
Dieu. Je crois qu’Il est le Pain de Vie qui est descendu du Ciel d’auprès de Dieu. Je crois
que chaque Parole qu’Il dit est la Vérité. Et je vis de Cela, pour autant que je sache, et
Dieu est mon Juge. Par conséquent, devant mes frères, devant mes sœurs... Je—je ne
jure pas, je ne blasphème pas, je ne fais pas ces choses, parce que j’aime le Seigneur,
et le Seigneur le sait, et Il m’en est témoin. Par conséquent, devant vous, je prends ce
morceau de Son corps, avec la connaissance que je ne suis pas condamné avec le
monde. Voyez-vous, voilà, alors c’est une bénédiction.
78 Souvenez-vous, après qu’Israël a eu pris ceci sous forme de type, ils ont voyagé
pendant quarante ans dans le désert, et leurs vêtements ne s’étaient même pas usés, et
ils en sont sortis sans une—une seule personne faible parmi eux, sur deux millions de
gens ; c’était un type de ceci. Eh bien, que fera l’Antitype ? Si le corps d’un animal de
sacrifice a fait ça pour eux, que fera le Corps de Jésus-Christ, Emmanuel, pour nous ?
Soyons vraiment respectueux quand nous venons. Soyons vraiment aussi respectueux
que possible en venant.
Page 13 sur 13