Adoption Et Utilisation Des Technologies de L'information Et de La Communication (TIC) en Algérie - État Des Lieux
Adoption Et Utilisation Des Technologies de L'information Et de La Communication (TIC) en Algérie - État Des Lieux
Adoption Et Utilisation Des Technologies de L'information Et de La Communication (TIC) en Algérie - État Des Lieux
Résumé :
Le rapprochement de l'informatique, de l'audiovisuel et des télécommunications, et les évolutions
technologique en matière de production et diffusion d’information occupent une place croissante au sein de
notre société et de notre économie, On peut dire que nombreuses sont les applications qui sont permises
grâce aux NTIC car en effet ces technologies permettent de communiquer beaucoup plus facilement mais
aussi de transmettre des informations numériquement, et n’ importe où dans le monde qui est devenue un
petit village grave a ces dispositifs.
A travers cet article, nous tentons d’analyser quantitativement le cas de l’Algérie avec des chiffres
touchant le secteur de télécommunication et ses perspectives.
L’étude a révélée que l’Algérie a fait des réformes profondes en matière des TIC, et que de
nombreux domaines ont été affectés et parmi les résultats on cite la création de technopoles, la création
et le développement de PME privées dans le domaine des TIC et plus précisément les start-up.
Mots clés : TIC, télécommunications en Algérie, internet, E-Gouvernement, paiement électronique,
téléphonie mobile.
Abstract:
The combination of IT, audiovisual and telecommunications, and technological developments in the
production and dissemination of information are becoming increasingly important in our society and in our
economy. We can said that there are many applications which are allowed by the ICT because these
technologies allow to communicate much more easily but also to transmit information digitally, and
anywhere in the world that has become a small village using these devices.
Through this article, we try to analyze the case of Algeria quantitatively affecting the telecommunication
sector and its prospects.
The study revealed that Algeria has made a deep reforms in ICTs and that many sectors have been affected,
and the results include the creation of techno poles, the creation and development of private SMEs in the
field of ICT and specifically start-ups.
Keywords: relationship marketing, transactional marketing, dairy companies, contingency factors.
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
Introduction :
La réforme mise en œuvre en Algérie à la fin des années 1990, engage une complexe
transition institutionnelle d’un mode de régulation administrative du secteur des
télécommunications vers un mode de régulation libérale. En effet, le changement de régime
institutionnel fondé sur le démantèlement des monopoles publics et la libre concurrence a conduit à
une profonde restructuration sectorielle. Toutefois, un énorme effort reste à accomplir qui consiste
notamment à élargir l’infrastructure de Télécommunication, du fait du faible nombre de lignes à
haut débits(2Mbs),de l’absence des réseaux ATM, de l’absence de réseaux RNIS, de l’accès limité
aux GSM, de l’absence de liaisons n64,de l’absence de sites d’accueil intelligents, du nombre
réduits de fournisseurs d’accès à Internet, des coûts d’accès et d’abonnement à Internet et aux
lignes internationales trop élevés, etc.
A ce titre ,alors que les prévisions de 2003 de la Banque mondiale estimaient que, pour
l’année 2007,le marché des TIC en Algérie devait atteindre 2,75 milliards de dollars US et
l’impact de la diffusion et de l’utilisation des TIC sur la croissance représenter 4,1 % du PIB ,ces
prévisions restent hors d’atteinte1. Malgré une estimation de quelques centaines de sociétés IT et
Télécoms actives en 2008, on estime à moins de 700 millions USD les importations des TIC sur 40
milliards d’importations globales, cela donne la part insignifiante de moins de 2 % des importations
pour les TIC. En outre, les entreprises de services à forte valeur ajoutée et/ou de dimensions
économiques viables sont en nombre beaucoup plus restreint (probablement moins de 100
sociétés).Il en est de même concernant le niveau des investissements dans les activités à forte
valeur ajoutée.
Dans ce cadre, afin que nous puissions dresser un état des lieux plus ou moins exhaustif de la
diffusion et de l’utilisation des TIC en Algérie, nous nous référons essentiellement dans cette
contribution aux données statistiques estimées à la fois par le ministère algérien des Postes et des
Technologies de l’Information et de la Communication et par l’Autorité de Régulation de la Poste
et des Télécommunications(ARPT), concernant principalement les bilans annuels 2011 et 2014.
Ainsi, après avoir fourni un aperçu sommaire sur le secteur des TIC en Algérie, nous examinerons
plus particulièrement le marché des télécommunications.
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16éme session du Conseil des ministres arabes des Communications de l’Information, un ministre
algérien chargé des TIC2, a déclaré que « l’accès à Internet demeure relativement coûteux pour les
personnes au revenu moyen » et a lancé un appel pour la mise en place de politiques pour
développer et promouvoir la numérisation et renforcer l’accès à ce service pour toutes les
catégories de la société dans les régions du pays.
Si l’on considère l’efficacité des TIC dans l’amélioration des performances des firmes, on
est en droit d’observer les investissements dans l’informatique, les télécommunications et les
logiciels de la part des entreprises algériennes. Néanmoins, selon les résultats d’une enquête sur les
indicateurs des TIC en Algérie, réalisée en 2008 par le Centre de recherche en économie appliquée
pour le développement (CREAD), il apparaît que seules 41,44 %5 des entreprises sont raccordées à
l’Internet. En 2011, moins de 20 % des PME algériennes sont connectées. Par ailleurs, le nombre
de sites Web algériens est de 76 000 dans tout le pays, ce qui doit incite les entreprises algériennes
à engager plus d’efforts pour l’appropriation des TIC. Notons également que, 100% des Universités
et centres de recherches et 9 000 établissements scolaires sont raccordés en 2011 à l’Internet.
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
Par ailleurs, l’Algérie semble bien placée au plan international par rapport eu e-
gouvernement et notamment en Afrique où elle est classée 4 ème, selon le rapport mondial sur le
développement de l’administration électronique 7 .Elle vient après l’Afrique du Sud, les îles
Maurice et les Seychelles et devance, la Tunisie (8ème), le Maroc (18ème) et l’Egypte (23ème).
Par ailleurs, à l’échelle mondiale, l’Algérie est au 91ème rang sur 173 pays classés. En fait, la
palme revient aux Etats-Unis qui sont à la première place, suivis de la Suède (2 ème),le Royaume-
Uni(5ème),la France(19ème),les Emirats arables unis(38 ème),la Chine(74ème),la Tunisie(108ème),le
Maroc(131ème),l’Egypte(140ème).
Il faut savoir que la réussite du processus de réforme des institutions de l’Etat dépend du
degré d’introduction des TIC dans le système de l’administration publique. A titre d’exemple, le
Ministère des Finances, pour introduire un changement dans ses missions et objectifs, adapter en
conséquence son organisation et ses modes opératoires, adopte une réforme globale du secteur des
finances, construite autour de trois pièces principales :8
- -La réforme du système de gestion de la dépense publique ;
- -la réforme de l’appareil fiscal utilisant la gestion informatisée de la relation avec le contribuable ;
- -la mise en place de base de données globales et une mise à niveau technologique rapide et
conforme à l’état de l’art. De surcroît, la Direction des Grandes Entreprises (DGE) opérationnelle
et un premier Centre Des Impôts(CDI) qui ont démarré en 2003, utilisent messagerie électronique,
site web, intranet et des actions de formation.
Aussi faudrait-il s’inspirer des sociétés avancées où l’Etat a d’abord pris des dispositions en
procédant à sa propre modernisation notamment par la mise en place de l’administration en ligne
qui a rapproché le citoyen de son administration »9.Garder en mémoire à cet égard, ce que notent
les rapports sur la compétitivité mondiale du Forum économique mondial : « Les pays les plus
avancés en matière d’ouverture et d’efficacité su secteur public et de déploiement de
l’administration en ligne sont aussi les premiers en termes de performances économiques et de
compétitivité ».
Plusieurs études et enquêtes ont été menées sur la situation des entreprises algériennes par
rapport aux TIC, afin d’identifier les lacunes des entreprises dans le domaine des TIC. Le constat
qui en ressort est celui d’un niveau assez faible d’appropriation des TIC par les entreprises
algériennes, tous secteurs confondus. Plus précisément, ces études indiquent que 20 % seulement
des entreprises disposent d’un outil informatique efficient 10, 15 % possèdent un site Internet
propre à elles et 50 % sont dépourvues d’un système comptable adéquat. Dans ce cadre, le Centre
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de recherche en économie appliquée pour le développement (CREAD) indique dans une étude que
l’usage des TIC dans les PME est restreint en Algérie et se limite à l’acquisition de l’outil
informatique. Pour Aziz Nafa, chercheur au CREAD, « en tout, 81,6 % de ces entreprises, relevant
du dispositif de l’Ansej, ont recours à l’utilisation des TIC dans la gestion (acquisition des PC) sans
pour autant disposer d’un site web pour l’échange instantané d’informations et l’archivage »11. Par
ailleurs, une étude empirique a été réalisée dans le but d’analyser la perception et l’attitude des
managers de PME à l’égard des TIC dans la région de Ghardaïa dans le sud algérien12.
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
Pour le compte de l’année 2014, les revenus générés par les opérateurs de la téléphonie fixe
et mobile est de plus de 410 milliards DA, ce qui représente environ 85 % des produits consolidés
du secteur .Pour ce qui est de la contribution du secteur des télécommunications au PIB pour
l’année 2014, il est estimé à 2,91 %.
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Tableau n° 04: Evolution des abonnements aux réseaux fixes et mobiles en Algérie
Parc des 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
abonnés en
millions
Abonnés au 2,841 3,068 3,069 2,576 2,923 3,05 3,231 3,139 3,099
réseau fixe
Abonnés aux 20,998 27,563 27,031 32,730 32,780 35,61 37,528 39,630 43,298
réseaux
mobiles
Total des 23,839 30,631 30,101 35,306 35,703 38,67 40,759 42,769 46,397
abonnés
% Mobile/fixe 739 898 880 1270 1121 1167 1161 1263 1397
Source : Nos regroupements et calculs à partir des données des « Rapports Annuels de l’ARPT pour 2010 ,2011 et
2014 », Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications(ARPT), Alger, 2010-2011-2014.
Par ailleurs, la densité téléphonique qui est le nombre d’abonnés par 100 habitants a atteint en
2014, les 117,46 %, soit l’équivalent de 117 abonnés pour 100 habitants .109 sont dotés d’un
téléphone mobile contre 8 de téléphone fixe (Cf. figure suivante).
109,60%
99,30% 102,40%
96,50%
91,70% 90,30%
81,50% 79%
63,60%
41,50%
15,30%
6,90%
6,10% 6,10%4,70% 7,60% 7,80% 8,60% 9,10% 8,97% 7,22% 8,05% 8,29% 8,50% 8,10% 7,80%
0,30% 1,50%
2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010 2011 2012 2013 2014
Source : « Rapport Annuel de l’ARPT 2014 », Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications(ARPT),
Alger, 2014, p.42.
Le trafic total échangé entre les abonnés des réseaux fixe et mobiles a vu un très faible
accroissement estimé à 1,02 % pour l’année 2011.La répartition du trafic est à 67 % pour le trafic
on-net, 17 % pour le trafic entrant et 16 % le trafic sortant. L’accroissement du trafic on-net est le
résultat de politiques tarifaires développées par les opérateurs favorisant la gratuité en on-net. Il
faut remarquer aussi que l’essentiel du trafic s’échange entre les réseaux mobiles, soit 95,78 %
contre 4,22 % dans le réseau fixe, illustrant ainsi la faible part du fixe dans le marché téléphonique
algérien. Notons enfin qu’en 2014, le trafic international, tous réseaux confondus, est de 2,904
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
milliards de minutes, soit une baisse de 10,9 % par rapport à 2013 où il a été estimé à 3,258
milliards.
3. La téléphonie mobile :
3.1. Pénétration de la téléphonie mobile :
Durant l’année 2011, le marché de la téléphonie mobile a repris sa croissance,
comparativement à l’année 2010 où la stagnation était essentiellement due à l’opération
d’identification qui avait permis de repositionner les opérateurs par rapport à leurs nombres
d’abonnés réels. Dans ce cadre, au 31 décembre 2011, l’Algérie compte 35,62 millions d’abonnés
de téléphone mobile de normes GSM, soit un taux de pénétration de 96,52 %(96 abonnés pour 100
habitants).Le tableau suivant présente l’évolution de la pénétration de la téléphonie mobile en
Algérie selon les différents opérateurs : ATM (Algérie Telecom Mobile), OTA (Orascom Telecom
Algérie), WTA (Wataniya Telecom Algérie).
Au cours de l’année 2014, le marché de la téléphonie mobile a connu une croissance de 9,26
% en passant de 39,630 millions d’abonnés en 2013 à 43,298 millions d’abonnés. Il faut savoir que
cette croissance s’explique principalement par le lancement de la 3G.
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S’agissant des parts de marchés des opérateurs mobiles pour la 3G, il ya lieu de savoir qu’au
31/12/2014, selon l’audit de l’ARPT, l’opérateur ATM avec 44,85 % est le leader sur le marché,
suivi respectivement d’OTA et de WTA avec 40,41 % et 14,74 %.
Notons que le MOU (Minutes Of Usage) des réseaux mobiles, c’est –à-dire le volume
mensuel moyen des communications d’un abonné à un réseau mobile algérien est estimé à 199
minutes en 2011,197 minutes en 2012 et 187 minutes en 2013. En 2014 il est de 177 minutes,
soient 122 minutes en appel intra-réseau, 28 minutes en appel entrant et 27 minutes en appel
sortant. Ainsi, l’année 2014 enregistre une diminution de 5,34 % par rapport à 2013 et une
diminution de 11,05 % depuis 2011.Il nous semble que la diminution du Mou est essentiellement
dû à l’apparition des moyens de communication gratuits liés à l’Internet et à la 3G (les réseaux
sociaux, skype et viber,…) qui se substituent au mode de communication classique du téléphone
mobile et ce ,malgré l’introduction des offres illimitées et des promotions favorisant le trafic chez
les trois opérateurs.
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
ARPU mobile(DA/mois)
Source : Rapport Annuel de l’ARPT pour 2014», Autorité de Régulation de la Poste et des
Télécommunications(ARPT), Alger, 2014, p.53.
Il faut savoir que, le marché de la téléphonie mobile est arrivé à son niveau de saturation, ce
qui a engendré une stagnation des revenus générés par ce marché. En effet, selon la figure suivante,
le marché de la téléphonie mobile semble être arrivé à sa maturation en 2008, car la courbe indique
un léger fléchissement. Néanmoins, on peut constater que le marché connait une autre phase de
croissance, à la faveur du lancement de la téléphonie mobile de troisième génération (3G) fin
2013.
Source : Nos regroupements à partir des données des « Rapports Annuels de l’ARPT pour 2010, 2011 et 2014»,
Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications(ARPT), Alger, 2010-2011-2014.
Conclusion :
En Algérie, les différents indicateurs montrent des progrès importants dans le sens de
l’économie de la connaissance. Toutefois, des retards existent aussi bien par rapport aux pays en
développement que par rapport au reste du monde. En effet, les performances restent en deçà des
capacités potentiellement mobilisables. Le domaine de la recherche et développement est aussi très
en deçà des exigences de compétitivité et d’intégration dans l’économie fondée sur la
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connaissance. Il est clair que l’Algérie comme beaucoup de pays en développement, a parcouru un
certain chemin dans le sens de l’économie fondée sur la connaissance, mais que comparativement
aux autres pays, il reste encore du retard à rattraper.
Ainsi, la réforme des TIC en Algérie a bien démarré et peut constituer un exemple pour
d’autres secteurs de l’économie. Elle a déjà un impact tangible et mesurable. Toutefois, le retard
par rapport à d’autres pays reste important. Ceci est le début d’un long processus ; il s’agira de
renforcer l’indépendance de l’ARPT, d’ouvrir Algérie Telecom à la participation privée, libéraliser
le secteur postal, de développer d’une façon continu et autoentretenu des infrastructures des TIC et
de diffuser les TIC dans les entreprises et les administrations.
Parmi les domaines d’utilisation des TIC en Algérie, on peut citer notamment, la création de
« technopoles », la création et le développement de PME privées dans le domaine des TIC(les start-
up), le développement de l’utilisation des TIC par les entreprises traditionnelles (système
d’information, e-commerce, organisation de la production), l’utilisation des TIC pour la santé et
l’éducation, leur développement au service des administrations et des collectivités territoriales. A
ce titre, comme beaucoup d’autres pays en développement, l’Algérie a lancé le projet d’un
technopark, celui de Sidi Abdellah prêt d’Alger, ouvert an juin 2002.Comme présenté au cours de
SITIC02, le premier objectif est de fournir les facilités et infrastructures pour attirer les entreprises
du domaine des TIC et leurs permettre de développer des synergies. En outre, ces facilités
provisoires incluent aussi l’accueil des firmes étrangères qui veulent avoir une infrastructure en
Algérie.
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Adoption et utilisation des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) en Algérie : état des lieux
Bibliographies :
1-
Cf. Association Algérienne des Technologies de l’Information(AITA), Mémorandum, p.4.In www.aita-
dz.org/Memo%20final.doc, consulté le 4 novembre 2012.
2-
http://www.latribune-online.com/evenement/68575.html?print. Publié le 06/06/2012,Consulté le
14/08/2012.
3-
Selon le CREAD il y avait en 2008 ,3 900 cybercafés connectés en Algérie.
4 -
Cf. Echikr Amine : « L’ARPT dévoile les chiffres de la téléphonie : le taux de pénétration en légère
baisse en Algérie », in La Tribune, n°155 ,4 avril 2011.Cité par Benabderrahmane Yasmina : « Management
des connaissances, déploiement des TIC et GRH des organisations : cas de l’Algérie », Thèse de Doctorat en
Sciences de Gestion, Université Paul Valéry : Montpellier III, soutenue le 09 mars 2012, p.243.
5-
http://www.mptic.dz/fr/?Indicateurs-TIC,15. Consulté le 13/01/2012 à 21h57.
6-
Cf. Association Algérienne des Technologies de l’Information(AITA), Mémorandum, p.11.In www.aita-
dz.org/Memo%20final.doc, consulté le 4 novembre 2012.
7-
Cf. « Rapport mondial 2003 sur le secteur public le e-gouvernement à la croisée des chemins »,4
novembre 2003.Cité par Djeflat Abdelkader : « L’économie fondée sur la connaissance : état des lieux et
perspectives pour l’Algérie », Editions Dar El Adib, Oran, Algérie, 2006, p.127.
8-
Djeflat Abdelkader : « L’économie fondée sur la connaissance : état des lieux et perspectives pour
l’Algérie », Editions Dar El Adib, Oran, Algérie, 2006, p.128.
9-
Cf. Association Algérienne des Technologies de l’Information(AITA), Mémorandum, p.11.In www.aita-
dz.org/Memo%20final.doc.,consulté le 4 novembre 2012.
10-
Selon le CREAD, en 2008, le taux de foyers ayant un ordinateur est estimé à 12,31%.
11-
Cf. Nafa Aziz : « e-3M Alger 2010 », Rencontres franco-maghrébines d’affaires TIC. Cité par
Benabderrahmane Yasmina : « Management des connaissances, déploiement des TIC et GRH des
organisations : cas de l’Algérie », Thèse de Doctorat en Sciences de Gestion, Université Paul Valéry :
Montpellier III, soutenue le 09 mars 2012, p.244.
12-
Pour connaître les résultats de cette étude empirique Cf. Houari Maaradj, Medjedel Ahmed : « « The
perception & attitudes of SMES Managers towards e-commerce in southern algeria : with special reference
to the Ghardaia country », Les cahiers du CREAD, n° 90, Alger, 2009, pp.79-103.
13-
http://dzairinfos.com/article/une-enquete-du-cread-le-revele-les-tic.Consulté le 13/01/2012 à 23 :39, p.1.
14-
Les données statistiques sont extraites de « Rapport Annuel de l’ARPT 2011 », Autorité de Régulation
de la Poste et des Télécommunications(ARPT), Alger, 2011, pp.25-40.
15-
Cf. « Rapport Annuel de l’ARPT 2014 », Autorité de Régulation de la Poste et des
Télécommunications(ARPT), Alger, 2014, pp.38-53.
*
Cf. L’évolution trimestrielle du taux de pénétration de la téléphonie mobile en Algérie en
2006, Observatoire du Mobile, Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications(ARPT),
Alger, données à fin 2006.pp.2-7.
46