Support de Cours Lpic-1

Réussir la certification linux LPIC-1
Linux Professional Institute Certification
Anis Hachani
Formateur et consultant Certifié
OCJP , RHCE 6&7, LPIC-3, OCP ,
Comptia Security +, Agile ( PSM ), CISA
Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional
Présentation générale
96,4 des 500 meilleurs Les systèmes de contrôle Les voitures autonomes Les systèmes de contrôle
superordinateurs du trafic Linux aérien des satellites
dans le monde utilisent
Linux.

Présentation générale
Développeur Administrateur Consultant Big data,

Embarqué, web et mobile ( réseau, système, Base de donnée ) Data Scientist,
Ingénieur DevOps Responsable sécurité Support client

( réseau, système, Base de donnée )

Le plan de la formation
LPI 101-400
Plan
LPI 102-400

Programme de formation LPIC-1 101
• 101 – Architecture système

• 102 – L’installation du l’os linux et la gestion des programmes
| packages (rpm, dpkg)
• 103 – Les commandes de base ( cp, find, mkdir, mv, ls )
• 104 – Les périphérique | Devices ) (/dev/sda..), Linux File systems |
système de fichier linux ( ext2,ext3..), hiérarchie du system de fichier |
File system Hierarchy Standard ( /var, /etc/ , /home…)

• 105 – Shells, Scripting et gestion de la base de donnée | Sql data

Management ( Mariadb )
• 106 – Bureau | Desktops ( Gnome)
• 107 – Tache administrative |Administrative Tasks ( create
users,groups ..)
• 108 –Les service système essentiels | Essential System Services (
ssh,nfs,ftp,http,https…)
• 109 – Réseau | Network( ipv4,ipv6)
• 110 – Sécurité | Security (/etc/passwd ,ssh encryption ..)

Les objectifs visés
Construire des bases solides avec Linux
Devenir opérationnel avec n’importe distribution Linux

À la fin de la
Vous aurez des examens blancs pour la préparation de la certification
formation
LPIC-1

Public concerné
Développeur , Chef de projet et entrepreneur
Administrateur | Responsable sécurité ( système , de base de donné , réseaux )
Toute personne désireuse d'obtenir la certification LPIC-1

Prérequis
L’utilisation professionnelle d’un système Linux (1 an)
Bases de la ligne de commande
La connaissance de base des réseaux TCP/IP

Support de cours

Présentation du formateur
Je suis formateur permanent avec www.smartnskilled.tn,

http://www.smartnskilled.tn/profil/anis-hachani
Anis Hachani Fondateur de Ghazela Technology Academy – www.ghazelatc.com :

Formation et consulting en Technology, Management et en Digital
Formateur et consultant Certifié Sous-traitance de projets informatique
OCJP, LPIC-1, LPIC2, LPIC-3,
RHCE 6&7,OCE, OCA, OCP,
Cofondateur de Tufleur – www.tufleur.com
Comptia Security+, CISA
Agile ( PSM ), Réseau social dédiée aux produit fait à la main

Réussir la certification LPIC-1
LPIC-1 101
Anis Hachani
OCJP, RHCE 6&7, LPIC-3, OCE, OCA,
OCP, Comptia Sec+, Agile ( PSM )

• 102 – L’installation du l’os linux et la gestion des paquets
Filesystem Hierarchy Standard ( /var, /etc/ , /home…)

LPIC-1 101 Introduction générale

Aperçu sur la certification LPIC
Mots clés : LPIC-1, LPIC-2, LPIC-3
Anis Hachani
OCJP, RHCE 6&7, LPIC-3, OCP,
Comptia Security+, Agile ( PSM )
Introduction général
Le cursus est le suivant :
•L'essentiel sur Linux (Linux essentials)

ce premier examen facultatif n'est pas nécessaire pour obtenir les certifications suivantes
•Administrateur junior (Junior Level Administration), pour obtenir la certification

LPIC-1, il faut réussir les deux examens LPI-101 et LPI-102
Les objectifs de l'examen 101 se concentrent sur l'installation et l'utilisation de Linux

Les objectifs de l'examen 102 sont orientés vers les tâches basiques d'administration
de Linux et la gestion des connexions réseau.

Niveau 2: Advanced Linux Professional
Le second niveau des certifications LPI vise les administrateurs système de parc de
machines fonctionnant sous Linux et l'administration de serveurs.
Ce niveau comprend les examens 201 et 202.
Les objectifs de l'examen 201 visent l'administration avancée d'un système Linux: gestion
du noyau et des modules, automatisation des tâches, dépannage, etc.
Les objectifs de l'examen 202 sont essentiellement axés sur l'utilisation de Linux en réseau,
y compris dans un parc hétérogène.

Niveau 3: Senior Linux Professional
Le dernier niveau de certification LPI est destiné aux administrateurs dits "de niveau
entreprise". Ce niveau est constitué d'un examen principal, fournissant la certification,
et de plusieurs spécialisations autour de ce niveau .
La certification LPIC-3, pour l'obtenir, il faut être certifié LPIC-2 .
On peut de plus passer des examens donnant droit à une « spécialisation » :
LPI-303 (sécurité) LPI-300 (environnement LPI-304 (virtualisation et

Mixte Linux+Windows) haute disponibilité)
Cryptographie, firewall, LDAP, Samba4, kerberos.. Xen, KVM, Openstack, Haute
Selinux… Disponibilité, répartition de charge

Passage de l’examen LPIC-1

1- L’inscription dans le site www.lpi.org pour
l’octroi de

Passage de l’examen LPIC-1
2- Il faut bien préparer les objectifs de la certification.

3- Il faut planifier le passage de l’examen (101 ,102) en ligne ou avec
le représentant de LPI dans votre pays
4- Passez l’examen ( durée 90 min ) en ramenant votre LPI ID et votre
Carte d’identité national,
Langue : Anglais, Français ,.. aux choix
Condition de réussite : Avoir un score supérieur à 500 , 0 -800
L'octroi de la certification LPIC-1 et suite à la réussite des deux examens
5- En cas de réussite, LPI vous envoie email contenant toute les informations
relative de vos performances
6- A titre professionnel : Vous ajoutez un lien de vérification de l’octroi de votre certification à savoir
le mien : lpi.org/v/LPI000288809/gb8fnyqn2p

Chaque objectif est affecté d'une valeur de pondération. Les poids vont approximativement de
1 à 10 et indiquent l'importance relative de chaque objectif. Les objectifs avec des poids plus
élevés seront couverts dans l'examen avec plus de questions.
Exemple ( suivant le site officiel www.lpi.org ) :
Sujet 101 : Architecture système

101.1 Listez et configurez les paramètres des périphériques
Poid : 2

LPIC-1 Environnement de travail

Introduction
Mots clés : Vmware Workstation, VirtualBox, Ubuntu, Centos,

Hyperviseur, Docker, Xen
Anis Hachani
Je travail avec windows 10, 64 bits,

8 Go de mémoire et un processeur I3
Téléchargement de
Centos 6 : http://archive.kernel.org/centos-vault/
Centos 7 : https://www.centos.org/download/
Ubuntu 16 : https://www.ubuntu.com
Ubuntu Server 16.04.3 LTS :

Support à longue durée ( Long Term Support )

Un isolateur est un logiciel permettant d'isoler l'exécution des applications dans

ce qui est appelé des contextes, ou bien zones d'exécution.
Espace utilisateur 1:
PHP7, Symfony, Mysql
Espace Utilisateur 2:
PHP 5.5, Wordpress, Mysql

Un hyperviseur de type 1 est comme un noyau système très léger et optimisé

pour gérer les accès des noyaux d'OS invités à l'architecture matérielle sous-
jacente
Gratuit
Payant
Bare Metal Hypervisor

Un hyperviseur de type 2 est un logiciel (généralement assez lourd) qui tourne sur
l'OS hôte. Ce logiciel permet de lancer un ou plusieurs OS invités.
Payant Gratuit
Hosted Hypervisor
Installation de VirtualBox


Installation des machines virtuelles
Mots clés : VirtualBox, Centos , Ubuntu
Anis Hachani
Installation de Centos 6, Centos 7, Ubuntu 17

LPIC-1 101 Architecture système

101.0 : Histoire de linux
Mots clés : Linux, Unix, Distribution Linux : Ubuntu, Fedora,
Centos, Redhat, Mac-Os, HP-UX ..
Anis Hachani
LPIC-1 101 – System Architecture : Histoire de linux
C’est quoi Unix

UNIX est le nom d'un système d'exploitation créé en 1969 principalement pour un usage professionnel.
UNIX est sous copyright. Seules les grandes entreprises sont autorisées à utiliser le copyright et le nom
UNIX. IBM AIX, Mac OS X et Sun Solaris et HP-UX sont tous UNIX. systèmes d'exploitation.
La plupart des systèmes d'exploitation UNIX sont considérés comme un système d'exploitation complet
car tout provient d'une source unique ou d'un fournisseur.
La plupart des systèmes d'exploitation UNIX ne sont pas gratuits (mais cela change rapidement, par
exemple OpenSolaris UNIX). Cependant, certaines distributions Linux telles que Redhat / Novell
fournissent un support Linux supplémentaire, des services de conseil, la correction d'erreurs et la
formation pour des frais supplémentaires..

C’est quoi Linux

Linux est juste un noyau (noyau | Kernel) est le programme de contrôle principal du système
d'exploitation, gérant la gestion de la mémoire, les appels système et d'autres fonctions de bas niveau
communes à la plupart des programmes, et fournissant des pilotes pour le contrôle du matériel.
Au sens large, Linux est tout système d'exploitation basé sur le noyau Linux.
Linux est sous la licence GPL ( Gratuit | Free ): le code source est disponible en téléchargement et si
vous voulez l'améliorer, vous pouvez le télécharger, le modifier, puis le publier pour que d'autres
puissent en bénéficier.
Une distributions Linux contient le système graphique + les utilitaires ( tels que cp, mv, ls, date, bash
etc) + les outils d'installation et de gestion + Compilateurs c et c ++ +, Editeurs de texte (vi) + et
diverses applications (comme OpenOffice, Firefox)

L’histoire de linux
Le développement de Linux est commencé par Linus Torbalds en 1990. Quand il étudiait
l'informatique à l'Université d'Helsinki, il utilisait Minix (une version du système
d'exploitation Unix). Linus avec un autre étudiant a envoyé une demande de modification à
Minix à son créateur Andrew. Mais Andrew n'a pas senti que les changements sont
nécessaires. Puis Linus a commencé à écrire son propre système d'exploitation pour
incorporer ses idées.
GNU est un projet de système d’exploitation libre lancé en 1983 par Richard Stallman, puis
maintenu par le projet GNU. Son nom est un acronyme récursif qui signifie en anglais
« GNU’s Not UNIX » (littéralement, « GNU n’est pas UNIX »). Il reprend les concepts et le
fonctionnement d’UNIX2.

L’histoire de linux
À la fin de 1991, Linus avait écrit le noyau initial et l'avait mis à la disposition
du public pour la suggestion et l'amélioration. Grâce à une bonne architecture
et à un concept génial, plus de gens ont commencé à participer au
développement, ce qui a fait de Linux un système d'exploitation populaire
aujourd'hui.

Pourquoi on utilise Linux
Linux est très populaire, raison simple derrière cela, Linux est très puissant. Mais pense juste
pourquoi? Si beaucoup d'OS payants existent sur le marché alors pourquoi ce système
d'exploitation gratuit est plus populaire?
La principale raison derrière la puissance et la popularité de Linux est la nature open source. Si
le produit est initialement bon et open source, les utilisateurs peuvent le télécharger, le modifier
et le republier. La communauté Linux est également très grande. Tant de gens viennent avec des
idées d'amélioration et de perte de personnes impliquées dans la mise en œuvre de bonnes idées.
C'est la grande raison de la croissance et de la popularité du système d'exploitation Linux.

Fonctionnalités Linux
• Multi-tâche, multi-utilisateur.
• Les fichiers sont divisés en une arborescence de fichiers et de
répertoires.
• Les commandes shell et text forment l'interface de base du
système Linux.
• Le noyau (noyau) est responsable des ressources du système de
gestion.

Distributions of Linux
Le fait que noyau Linux est open source, beaucoup de communautés et d'entreprises ont fait un système
d'exploitation spécifique en utilisant ce dernier, ces systèmes d'exploitation spécifiques sont connus sous le nom de
distribution de Linux. Certains d'entre eux sont gratuits (développés par la communauté) et peu sont également
payés. Voici quelques distributions Linux populaires:
Red Hat Enterprise Linux ($) ,CentOS (free)

Suse($) , OpenSuse ( free)
Fedora
Debian , Ubuntu
Gentoo …
www.distrowatch.com
Vous pouvez télécharger des milliers de distribution linux ou
voir même construire votre propre distribution linux
À partir de rien ( from Scratch)
Voir distrowatch.com

Une distribution linux est composé de

Une distributions Linux incluent
1- Le noyau ( linux )
2- Les utilitaires ( tels que cp, mv, ls, date, bash etc)
3- Les outils d'installation et de gestion ( dpkg: ubuntu , rpm : Centos )
4- Les programme ( les paquets ) : package Gcc : Compilateurs c et c ++ , Editeurs de texte (vi , nano)
5- Le système graphique ( Gnome | KDE )
6- Des diverses applications (comme OpenOffice, Firefox, VLC …)
Les distributions linux sont divisés en deux : Server Edition ( 1+2+3+4 )
Desktop Edition ( 1+2+3+4+5+6 )
Distribution Ubuntu - Server edition est composé de : ( 1+2+ 3 ( dpkg ) +4 )
Distribution Centos - Server edition est composé de : ( 1+2+ 3 ( rpm ) +4+5 )

Apercu sur les distributions Linux / Unix

Microsoft a construit un système d'exploitation appelé Azure Cloud

Switch (ACS)


101.1 : Déterminez et configurez les paramètres des périphériques
Mots clés : Hal, Dbus, Udev, ColdPlug, HotPlug, lspci, lsusb,
modeprobe, lsmod, insmod , /sys/, /proc/, /dev/
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 101 Architecture système – 101.1 Déterminez et configurez les paramètres des périphériques
Un ordinateur est composé de différentes entités:
Une unité de traitement centrale ou CPU (Central Processing Unit) qui est la partie intelligente de l'ordinateur
La mémoire ou RAM (Random Access Memory) ou sont stockés les programmes et les données.
Il y en les périphériques qui :

Préservent durablement les informations, tels que les disques durs
Communiquent avec le monde extérieur à savoir : Le moniteur, le clavier, la souris, carte réseau ..
Les contrôleurs qui connectent les périphériques d’entrée/sortie à d'autres composants: Mémoire, CPU.
Les bus qui relient les composants de l'ordinateur: CPU, mémoire, contrôleurs.

L’architecture de l’ordinateur

Gestion des périphériques matériels
Interruptions matérielles (IRQ): Une interruption est générée par un contrôleur de périphérique à l'unité centrale après
un événement déclenché (exemple: déplacement de la souris, tape un mot-clé ..)
Si l'interruption est acceptée, le programme en cours est interrompu et un gestionnaire gère l'interruption. Un
chipset, le PIC (Programmable Interrupt Controller) gère les interruptions. Normalement, un contrôleur est
associé à une IRQ, mais plusieurs contrôleurs peuvent partager le même IRQ.

Emplacement PCI ( Peripheral Component Interconnect) sur la carte mère
Exemples de périphérique :
Modem, carte réseau, carte son, carte graphique

Hal (couche d'adbstraction de matériel): Dans Linux, le système ne se soucie pas du nom de la carte réseau
cartes comme Realtek, Intel, .. Le système d’exploitation les traitent de la même manière en commençant par
Eth0, eth1 ..
Dbus: Le lien entre le périphérique matériel et le logiciel ( software )
Udev: Gestion de l'appareil linux dynamique
Lorsque les périphériques sont initialisés ou supprimés, le noyau envoie un événement appelé 'uevent'.
Ces événements contiennent des informations telles que le sous-système (net, usb, ...), l'action
(ajouter, supprimer) et attributs (adresse MAC, fournisseur, ...), udev écoute ces événements, correspond
à l'événement informations aux règles spécifiées et répond en conséquence, exécuter un programme
sur un événement,ou spécifiez votre propre schéma de nommage de périphérique.

Udev :
Coldplug : C'est le fait d'ajouter un périphérique quand la machine est en arrêt

Hotplug: C'est le fait d'ajouter un périphérique quand la machine est en cours
Exemple de hotplug d'un usb avec la commande udevadm
Exemple : Normalement, le nom du disque dur par exemple est Toshiba-250G-1021-serie1
Udev, facilite la tache de lecture du disk ,c’est-à-dire, au lien d’appeler le disque par son
nom réel avec les 000101 ,il va lui associé un nom comme /dev/sda or /dev/hda

/sys: Contient la base de donnée de tous les périphériques connectés à la machine.

ls –l /sys
ls –l /sys/bus/usb : Liste les périphériques connectés au port usb
ls –l /sys/bus/pci : Liste les périphériques connectés au port pci
Ces chiffres ne sont pas conviviaux à l'être humain, c’est ici ou UDEV intervient, il traduit ces codes en codes
conviviaux
/ proc: Il s'agit d'un système de fichiers virtuel, créé en mémoire RAM lorsque l'ordinateur démarre. Le
répertoire /proc contient des informations sur l'état et les processus du système, il est créé dynamiquement
pour afficher les informations système
cat /proc/cpuinfo, cat /proc/meminfo, cat /proc/mount/

/ dev contient des fichiers de périphériques.

Est-ce que vous rappelez de /dev/sda ou /dev/hda, sr0 (cdrom), en fait, Udev fait le lien entre
/sys : (noms non conviviaux à l'être humain et / dev ( noms conviviaux à l'être humain )

Outils et utilitaires pour lister diverses informations matérielles ( par exemple, lsusb, lspci, etc… )
lspci : liste les périphériques pci connectés
lsusb: liste les appareils usb connectés
Exemple qui montre le nom de mon lecteur flash après avoir été inséré

lsmod: Liste les modules chargés dans le noyau
rmmod : supprime un module

insmod : installe un module
modprobe: installe un module et prends soin de ses dépendances
modinfo: donne des informations sur un module

modinfo snd: donne des informations sur le module de son

rmmod e1000: Supprime le module du réseau

insmod : installe un module
modprobe: installe un module et prends soin de ses dépendances

insmode : installe un modules spécifique tout en spécifiant le fichier du module et ne gère pas les
dépendances
modprobe: Gère et installe automatiquement les dépendances des modules, elle est une version mise à
jour de la commande insmod

ls -l / lib/modules version du noyou/ kernel/drivers...: contient tous les modules chargés et non chargés

Affichez le fichier responsable à un module bien déterminé: modprobe -D -t e1000

Si vous voulez un module au chargement du système :

Première méthode : Editez le fichier /etc/modules
Deuxième méthode : Vous créez un fichier module à part sous /etc/modprobe.d/x
/etc/modprobe.d/blacklist.conf : pour afficher les modules que nous voulons pas les charger au démarrage
système

LPIC-1 101 : Architecture système

101.2 : Démarrage système
Mots clés : dmesg, BIOS, chargeur de démarrage (Bootloader),
noyau(kernel), initramfs, init, SysVinit, Systemd
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 101 Architecture système – 101.2 Démarrage système
Bios : Basic Input Ouput System ( F2, Delete | Suppr )

BIOS : Basic Input Ouput System
BIOS : Basic Input Output System

Le BIOS est un petit programme situé sur la carte mère de
l'ordinateur dans une puce de type ROM. Le BIOS est le
premier programme chargé en mémoire dès que vous allumez
votre ordinateur.
- Il réinitialise tous les composants de la carte mère
- Il identifie tous les périphériques internes et externes connectés
à la machine
- Il démarre le système d'exploitation sur le premier périphérique
disponible.

UEFI
Programme Table de partition
BIOS -----> MBR

| |
UEFI ------> GPT
Le BIOS charge les 512 premiers octets du disque dur, ces 512 octets constituant
le MBR . À partir des informations du MBR, le Bios lance le chargeur démarrage
( à savoir Grub et Lilo )
UEFI : Unified Extensible Firmware Interface)

4 partitions primaires *On a un disque dur et un port usb 128 partitions

*Max 4 partitions primaire
*1 Partition primaire + une partition
Étendue ( 23 partitions logiques)
MBR (Master boot record):
La taille maximale de la partition est de : 2.2 To
Le nombre maximal de partition est : 26 partitions
GPT (GUID Partition Table ) :

La taille maximale de la partition est de : 256 To
Pas de notion de partition primaire et de partition étendue, le nombre maximal de partition est : 128 partitions

Aperçu MBR et GPT

Accès à UEFI avec VirtualBox ( nécessite l’ Arrêt de la machine)

Linux Centos 7 : Le chargeur de démarrage | le Bootloader Linux Ubuntu 16 : Le chargeur de démarrage
Avec Linux, il y en a deux fameux chargeur de démarrage à savoir : Grub ( Grub2 ) & Lilo
Exemple de modification de Grub : Suppression de l’option quiet

Centos 7 , Grub2 : grub.conf

Le process de démarrage avec Systemd


Initramfs en pratique
1 2
3 4

Démarrage système avec le Systemd

Le process de démarrage avec Init ( centos 6, ubuntu 13 ..)
Remplacé
UEFI par BIOS
GPT par MBR
Initramfs ( mode fichier ) par initrd ( mode mémoire)
Grub2 /boot/grub2/grub.cfg par Grub /boot/grub/grub.conf
Systemd ( démarre les services en parallèle ) par Init (démarre les services en série )

Systemd
Systemd est une suite logicielle pour la gestion centralisée et la configuration du système. Il se compose
d'applications serveur ( service ), de bibliothèques d'exécution, d'outils de développement et d'utilitaires de ligne
de commande.
Systemd a été utilisé comme système d'initialisation Linux pour amorcer l'espace utilisateur et gérer tous les
processus par la suite, en remplaçant le système d'initialisation Linux INIT.
Init est le programme ( système | processus | démons ) ayant l’identifiant de processus 1 ( PID ) qui lance tous les
autres services ( chaque service assure une tache ) en série.

Pourquoi est-il nécessaire de remplacer le processus init?
Si d'une façon ou d'une autre, le système Init ne peut pas démarrer, aucun service
ne sera démarré et le système atteindra une étape appelée "Kernel Panic"
Init démarre en série les services, c'est-à-dire, le service commence seulement après
la réussite de l’exécution du dernier service.
-- > Ce process entraine un temps de démarrage retardé et long

Démon de remplacement init
Upstart - Un démon de remplacement Init implémenté dans Ubuntu et conçu

pour démarrer le processus de manière asynchrone.
Epoch - Un démon de remplacement Init construit autour de la simplicité et de la gestion

des services, conçu pour démarrer le processus à un seul thread.
Mudar - Un démon de remplacement Init écrit en Python, implémenté sur Pardus

et conçu pour démarrer le processus de manière asynchrone.
Systemd - Un démon de remplacement Init conçu pour démarrer les services en parallèle,
implémenté dans un certain nombre de distributions standard à savoir Fedora, OpenSuSE, Arch, RHEL,
CentOS, etc.

Les composants du Systemd

Adoption du Systemd par les distributions Linux les plus populaires

( Centos 7 ) : La commande pstree ( Centos 6.5 ) : La commande pstree
La commande dmesg contient uniquement les journaux de démarrage système détaillés, dmesg | less
cat /var/log/messages contient les journaux de démarrage du système et les journaux d'exécution du système comme les
différents services en cours d'exécution à savoir, le serveur web Apache (httpd),
cat /var/log/messages | less


101.3 Changement du niveau d’exécution, cible de
démarrage, arrêt et démarrage système
Mots clés : /etc/inittab, shutdown, init, /etc/init.d/, telinit

Systemd, systemctl, /etc/systemd/, /usr/lib/systemd/, wall
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 101 Architecture système – 101.3 Changement du niveau d’exécution, cible de démarrage, arrêt et
démarrage système
Démarrage système d’exploitation Centos 6 avec INIT
Alimentation de
l’ordinateur

démarrage système
Centos 6 : cat /etc/inittab :
Le démarrage par défaut du

système est le niveau 5 ->
Niveau graphique

démarrage système
Centos 7 : cat /etc/inittab
Pour éviter la fausse édition du fichier /etc/inittab : systemctl set-default graphical.target

démarrage système
Le niveau d’exécution 5 ( niveau multi utilisateurs graphique )

démarrage système
Démarrage système d’exploitation Centos 7 avec Systemd
Alimentation de
l’ordinateur

démarrage système
Init est basé sur les niveaux d'exécution ( runlevels ) : 0 12345 6, SysInitV , telinit, runlevel
Les modes de fonctionnements
Cibles systemd Niveaux SysVinit Utilité

poweroff.target - runlevel0.target 0 Arrêt du système.
Mode utilisateur unique (
rescue.target - runlevel1.target 1,s, single
administrateur), mode maintenance.
Mode multi-utilisateur non
multi-user.target - runlevel3.target 3
graphique.
multi-user.target - runlevel2.target - Modes multi-utilisateur non
2, 4
runlevel4.target graphiques.
graphical.target - runlevel5.target 5 Mode multi-utilisateur graphique.
reboot.target - runlevel6.target 6 Redémarrage du système
Shell d'urgence, avec système de
emergency.target Emergency ( urgence ) fichiers monté en lecture seule. Plus
radical que rescue.

démarrage système
Init est basé sur les niveaux d'exécution ( runlevels ) : 0 12345 6, SysInitV , telinit, runlevel
Les modes de fonctionnements

démarrage système
Différence entre rescue.target et emergency.target :
Le mode de secours ( rescue mode ) fournit un environnement mono-utilisateur pratique et vous permet de
réparer votre système dans des situations où il est impossible de terminer un processus de démarrage normal. En
mode de secours, le système tente de monter tous les systèmes de fichiers locaux et de démarrer certains services
système importants, mais il n'active pas les interfaces réseau et ne permet pas à davantage d'utilisateurs
d'être connectés au système en même temps. Dans Red Hat Enterprise Linux 7, le mode de secours est
équivalent au mode mono-utilisateur et nécessite le passage root
Le mode urgence ( emergency mode – le secours du mode secours ) fournit l'environnement le plus minimal
possible et vous permet de réparer votre système même dans des situations où le système est incapable de passer
en mode de secours. En mode d'urgence, le système monte le système de fichiers racine uniquement pour la
lecture, ne tente pas de monter d'autres systèmes de fichiers locaux, n'active pas les interfaces réseau et ne démarre
que quelques services essentiels. Dans Red Hat Enterprise Linux 7, le mode d'urgence requiert le mot de passe
root.

démarrage système
La command telinit : Change d’un niveau d’exécution vers un autre

Exemple : telinit 3
La commande runlevel : Permet d’afficher le niveau d’exécution actuel ( la cible actuelle )
Systemd : Les niveaux, on les appelle avec le Systemd les cibles ( targets )
La commande systemctl isolate = > Permet de basculer entre les cibles

démarrage système
Aperçu sur SysVint et Systemd
Note SysVinit Systemd
Arrêt système halt / poweroff systemctl halt / systemctl poweroff

Redémarrage système reboot systemctl reboot
Mettre en veille prolongé pm-suspend systemctl hibernate -i
Affichage des logs de démarrage dmesg | less journalctl -b | less
Affichage des logs système tail –f /var/log/messages journalctl -f
rn temps réel

démarrage système
Ubuntu 14, Centos 6 Ubuntu 15, Centos 7
Exemple de démarrage d’un service : Exemple de démarrage d’un service :

service httpd start ou /etc/init.d/httpd start systemctl start httpd ,start | stop | reload | restard | status
Activez un service au démarrage système Activez un service au démarrage système
chkconfig httpd on => ( 1 3 5 ) systemctl enable httpd => ( 1 3 5 )
Désactivez un service au démarrage système Désactivez un service au démarrage système
chkconfig httpd off systemctl disable httpd

démarrage système
/etc/systemd : Emplacement des fichiers relative au Systemd

/etc/systemd/system.conf : Fichier de configuration du Systemd
/usr /lib/systemd: Contient les services internes au systemd
Systemd utilise en interne un certain nombre de services pour la gestion du système, citons en quelques uns :
systemd-journald : service responsable au journaux relative au système et aux programmes ;
systemd-logind : connexion des utilisateurs ;
systemd-remount-api-vfs : remontage du système de fichier, en tenant compte des options de fstab ;
systemd-stdout-syslog-bridge : utilisation de syslog pour les processus de systemd ;
systemd-tmpfiles-setup : création de fichiers et répertoires temporaires ;

démarrage système
Les fichiers Unit

démarrage système
systemctl cat postfix.service

démarrage système
La commande wall : Envoyez un message aux terminaux des utilisateurs connectés.

LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des packages
102.1 : Concevoir le partitionnement de disque dur

Mots clés /, /var, /home, /boot, swap space (espace d'échange), mount
points (point de montage) , partitions, LVM
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des packages – 102.1 Concevoir le partitionnement de disque dur
Création d’un utilisateur tomy avec le mot de passe tomy

La norme sur la hiérarchie des systèmes de fichiers ( FHS ) définit une organisation standard concernant ces répertoires.
Ainsi, peu importe la distribution GNU/Linux (ou tout autre système d’exploitation adhérant à cette norme) que vous utilisez,
vous serez en mesure de retrouver l’information que vous recherchez.

Hiérarchie des systèmes de fichiers ( FHS ) linux

A propos du répertoire /sbin

/dev/sda : Premier disque Sata, /dev/sdb : Deuxième disque Sata

sdb2 -- > Deuxième partition du deuxième disque sda
/dev/hda : Premier disque IDE, /dev/hdb : Deuxième disque IDE
/dev/hdc1  Première partition du troisième disque IDE
La commande lsblk affiche des renseignements sur les périphériques bloc, en fait, les disques dur on
les appellent les bloc device

La commande fdisk est un outil de base pour réaliser des opérations sur les tables de partitions des disques durs ( MBR )
La commande gdisk est un outil de base pour réaliser des opérations sur les tables de partitions des disques durs ( MBR & GPT )

Affichage des partitions avec la commande parted

Avec Centos yum install parted , avec Ubuntu apt-get install parted

La commande mount : Liste toutes les partitions montées

La commande df : Liste l’espace disque actuel utilisé

Partitions:
Racine /
Espace dédié pour les données :
-Donné e / home : donnée utilisateur à savoir /home/utilisateurX
-Donnée /var : log des différents services à savoir /var/log/messages , /var/log/http/error.log …
-Donnée /data : Par exemple donnée des applications web installé ( ERP , CRM .. )
Espace dédié pour la partition Swap égale à 2* taille de la mémoire en général
-L'espace d'échange, aussi appelé par son terme anglais swap space ou simplement swap, est une zone d'un
disque dur faisant partie de la mémoire virtuelle de votre ordinateur. Il est utilisé pour décharger la mémoire
vive physique (RAM) de votre ordinateur lorsque celle-ci arrive à saturation
-Espace dédié pour la partition de boot contient le noyau et le chargeur de démarrage ( le boot loader )  même
concept Microsoft Windows : c: , c: & d:

Partitionnement traditionnel
/dev/sda1 ( 500 Mb ) : Boot

/dev/sda2 ( 2000 Mb ): Swap
/dev/sda3 ( 10 G ) : Donnée - -- - > /dev/sda3 est plein = = > Que faire ?

LVM ( Logical Volume Manager ) gère des partitions logiques, pas physiques
On a disque dur sata /dev/sda : 100 G

Divisé en 2 partition /dev/sda1 : 50g , /dev/sda2 : 50g
pvcreate /dev/sda1 : création d’un volume physique

vgcreate –n projet /dev/sda1 : création d’un volume groupe
/dev/mapper/vg-projet : de taille 50g
lvcreate –s +20G –n lv1 /dev/mapper/vg-projet
/dev/mapper/vg-projet-lv1 : 20g, vgprojet == > 30g
On va ajouter des données sur /dev/mapper/vg-projet-lv1
/dev/mapper/vg-porjet-lv1 est plein
lvextend /dev/mapper/vg-projet-lv1 –s +30g == >
Lv1 = >50 g , vg-projet  0 G
/dev/mapper/vg-porjet-lv1 : est plein ( 50 g )
pvcreate /dev/sda2
vgextend /dev/mapper/vg-projet /dev/sda2
lvextend /dev/mapper/vg-projet-lv1 –s +10g

Aperçu sur le partitionnement de disque dur avec LVM

Objectifs du partitionnement de disque dur
La partionement du disque dépend du mode d’utilisation de la machine dans la quelle on va installer notre système
d’exploitation, est ce qu’elle va être une machine dédiée à :
Une utilisation standard à savoir une machine bureautique.
Une utilisation serveur à savoir serveur d’application, serveur de sauvegarde…
Il faut poser plein de questions au départ :
Est-ce que les données sur la machine sont en augmentation quotidienne ( cas d’un serveur d’application à savoir ERP, CRM
..), dans ce cas il faut penser à LVM…
Est-ce que notre machine est accessible par plusieurs utilisateurs, si oui, combien d’utilisateur ?
Performance
- Plus on a de service installés plus on aura une influence sur la performance
- Est ce qu’on va utiliser un système de fichier basé sur les journaux comme ext3
- La partition de swap dédiée peut également améliorer les performances
Sécurité
-Séparation des fichiers du système d'exploitation des fichiers utilisateurs
Sauvegarde et récupération
Système de fichier à installer à savoir ext2, ext3, ext4, btrfs, xfs …

102.2 : Installation du chargeur de démarrage

Mots clés : menu.lst, grub.cfg, grub.conf, grub-install,
grub-mkconfig, grub2-mkconfig, MBR
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des packages – 102.2 Installation du chargeur de démarrage
Chargeur de démarrage : Lilo

Chargeur de démarrage
Grub 2 ( centos 7 ) Grub ( centos 6 )

Aperçu sur Grub au démarrage système
Edition du menu de démarrage de centos 7 /boot/grub2/grub.cfg

Avec Centos 6, Ubuntu 14

Pour modifier grub,
nano /boot/grub/menu.lst
menu.lst == grub.conf
Option : timeout

Avec Centos 7, Ubuntu 15

Pour modifier grub2,
nano /boot/grub2/grub.cfg
Option : timeout

Identification de la partition dans laquelle on a installé le boot loader

Génération du fichier de configuration de Grub à partir de /etc/default/grub

Avant avec Centos 6 :
Grub ( version 1 ) nano /boot/grub/grub.conf -- > possibilité d’avoir un problème lors du démarrage système ..
Solution vient avec Grub 2 et ce avec la commande grub2-mkconfig
Grub2 ( version 2 ) grub2-mkconfig /boot/grub2/grub.cfg

Grub endommagé
Téléchargement de Ubuntu La création d’un flash usb bootable

( avec grub 1 ) Installation du chargeur de démarrage : grub-install /dev/sda.

Avec grub2 , grub2-install /dev/sda

Avec Grub2
MBR ( master boot record ) réside dans les premiers 512 octet du disque dur, dans l’MBR on trouve le boot loader ( le chargeur
de démarrage )
Simuler la suppression de l'MBR
dd if=/dev/sda of=/mnt/backup bs=512 count =1 : Copie des 512 premiers octet dans /mnt/backup
dd if=/dev/zero of=/dev/sda bs=512 count =1 : Bourrage des 512 premiers octet du /dev/sda
(suppression de la MBR qui contient le boot loader )
dd if=/ mnt/backup of=/dev/sda bs=512 count =1 : Restauration de la MBR
Pour installer le chargeur de démarrage, on a deux solutions :

1- grub2-install //grub-install ,
2- La copie des 512 octets

102.3 : Gérez les librairies partagées

Mots clés : ldd, ldconfig, /etc/ld.so.conf, LD_LIBRARY_PATH
Poid : 1
Anis Hachani
LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des packages – 102.3 Gérez les librairies partagées
ldd /bin /ping : Affiche les bibliothèques utilisées par le programme ( commande ) ping
.so : Objet partagé ( Shared object )

La commande ldconfig lit le fichier /etc/ld.so.conf et crée le cache
/etc/ld.so.conf: Le contenue de la mémoire cache est crée en se basant sur ce fichier

/etc/ld.so.cache: Représente la mémoire cache qui de sa part, contient les librairies partagées
export LD_LIBRARY_PATH = /mnt/programx /lib

Si on veut ajouter une librairie dans un emplacement spécifique pour tester un programme

102.4 : La gestion des paquets avec Debian

Mots clés : /etc/apt/sources.list, dpkg, dpkg-reconfigure, apt-get
apt-cache, aptitude
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des paquets – 102.4 La gestion des paquets avec Debian

man dpgk : Affiche le manuel

d’une commande
dpkg –get-selections : Liste tous les paquets installés dans le système

dpkg –l firefox = = > dpkg - - list firefox : Liste uniquement le paquet mentionné ( Firefox ) avec des informations
détaillées

dpkg –L zip : Affiche les fichiers relatives au paquet = > dpkg - -listfiles zip
dpkg –S /usr/bin/zip: Affiche le paquat dont appartient le fichier = > dpkg - - search /usr/bin/zip

dpkg –p firefox: Liste des informations par rapport à un paquet bien déterminé
dpkg - - print - avail firefox:

Exemple : Installation d’un paquet avec Ubuntu

Exemple d’installation du paquet webmin avec Ubuntu
dpkg –i webmin_1.770_all.deb : Installe le paquet webmin

dpkg - - install  dpgk –i
La solution est : apt-get install webmin La commande dpkg ne gère pas les dépendances

Si nous voulons supprimer un paquet spécifique tout en gardant ses fichiers de configuration
dpkg –r firefox
dpkg - - remove firefox
Si nous voulons supprimer un paquet spécifique tout en supprimant ses fichiers de configuration
dpgk –P firefox
dpgk - - purge firefox

Si nous voulons installer un paquet comme postfix tout en gérant ses dépendances.
apt-get update
apt -get install postfix

Exemple de reconfiguration d’un package ( paquet ) installé

dpkg -reconfigure postfix

La commande apt-get
Apt-get est un outil logiciel à utiliser en ligne de commande il permet d'effectuer l'installation et la désinstallation de
paquets en provenance d'un dépôt APT.
sudo apt-get install apache2 : Permet d’installer le paquet httpd tout en installant ses dépendances
sudo apt-get install -y <paquet(s)> : L'option -y permet de répondre oui par avance aux demandes de confirmations
sudo apt-get remove httpd : L'option remove permet de désinstaller les paquets indiqués. Ceci laisse toutefois en place
les fichiers de configuration de ces paquets.
sudo apt-get autoremove <paquets(s)> : L'option autoremove permet de désinstaller les paquets indiqués avec leurs
dépendances logicielles. Ceci laisse toutefois en place les fichiers de configuration de ces paquets.
sudo apt-get purge <paquets(s)> : L'action purge, passée à la commande apt-get, désinstalle le paquets indiqué et ses
fichiers de configuration

La commande apt-get
Mise à jour dépôts
sudo apt-get update : L'option update met à jour la liste des fichiers disponibles dans les dépôts APT présents
dans le fichier de configuration /etc/apt/sources.list.
L'exécuter régulièrement est une bonne pratique, afin de maintenir à jour votre liste de paquets disponibles.
Mise à jour de paquets
sudo apt-get install <paquet(s)> -V : L'option install met à jour les paquets indiqués déjà installés, vers leurs dernières
versions (rarement utilisé).
sudo apt-get upgrade : L'option upgrade met à jour tous les paquets installés sur le système vers les dernières versions
(couramment utilisé).
sudo apt-get dist-upgrade : L'option dist-upgrade met à jour tous les paquets installés vers les dernières versions en
installant de nouveaux paquets si nécessaire, par opposition à l'upgrade simple qui n'ajoute pas de nouveaux paquets.

Pour installer un paquet spécifique, on suit un tutorial dans le quel il nous indique qu’il faut ajouter un dépôt spécifique afin
d’installer le paquet , nano /etc/apt/sources.list

L’ajout d’un dépôt ( Repository ) : deb http://www.smartnskilled.tn ’

Le problème ici c’est que, la commande apt-get nous aide à installer, à supprimer et à faire la mise à jour, mais elle ne permet
pas de rechercher un paquet, alors, que faire ?
La commande apt-cache est une commande permettant d'effectuer quelques manipulations basiques sur les paquets, installés
ou non, disponibles dans la liste mise en cache des paquets des dépôts APT configurés
apt-cache search : Recherche un mot clé dans le nom du paquet ou bien dans sa description,
apt-cache show : Affiche des informations a propos d’un paquet
apt-cache depends : Liste les paquets qui leurs fonctionnement nécessite l'installation du paquet mis en argument
apt-cache rdepends : Liste les paquets qui doient etre installés pour que le paquet mis en argument s’installe

apt-cache search : Recherche un mot-clé dans un nom de package ou des informations de package

apt-cache show : Affiche des informations concernant un paquet bien déterminé

apt-cache depends apache2 : Liste les paquets nécessaire pour le fonctionnement d’un paquet bien déterminé

apt-cache rdepends : liste les paquets qui ne fonctionne qu’avec la présence du paquet mentionné

apt-cache search apache2

La commande aptitude, apt-get install aptitude
aptitude search apache2

102.5 : La gestion des paquets avec rpm et yum

Mots clés : rpm, rpm2cpio, /etc/yum.conf, /etc/yum.repos.d/
yum, yumdownloader
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 102 Installation de linux et gestion des paquets–102.5 La gestion des paquets avec rpm et yum


rpm –i openssh.rpm == > rpm - - install openssh.rpm == > Installe le paquet openssh
rpm –ivh openssh : Installe et affiche des informations a propos de l’installation , v : verbose , h : Affiche d’une
manière compréhensible par l’étre humain
rpm –e openssh : Permet de supprimer le paquet openssh == > rpm - - erase openssh
rpm -qa : Permet d’afficher tous les paquets installés, q : query ( interrogé ) a ( all : tous )
rpm –qa | grep postfix
rpm –ql opensssh : Affiche les fichiers relative au paquet openssh
rpm –qf /sbin/ping : Affiche le paquet don’t appartient ce fichier
rpm –qi openssh : Affiche des informations a propos de ce paquet
yum install openssh : Install le paquet openssh tout en installant les dépendances nécessaires
yum erase openssh : Supprime le paquet openssh tout en gardant ses fichiers de configuration du paquet
yum purge openssh : Supprime le paquet openssh tout en supprimant ses fichiers de configuration du paquet

Les dépôts déjà ajoutés par défaut

/etc/yum.repos.d : Le répertoire dont on trouve la liste des dépôts
nano /etc/yum.repos.d /Centos-Base.repo :
Name ( nom ), enabled ( activé )

Fichier de configuration du yum : nano /etc/yum.conf
gpgcheck= 1 ,
gpgkey=file//sdsdsds/… : Utilisé pour des raison de sécurité, dans chaque liste de dépôt, il y a une clé et sur la base de cette
dernière, nous exécutons un gpgcheck, si cette vérification affiche une valeur identique à la valeur affichée dans le site Web,
cela signifie que personne n'a modifié le paquet dans le dépôt (L'attaque de l'homme du milieu (HDM) ou man-in-the-middle
attack (MITM) )

L’ajout un nouveau depot
yum search openssh : Recherche le paquet openssh dans les dépôts ( repositories )
/etc/yum.repos.d : Le répertoire dont on trouve la liste des dépôts

La vérification de d'état de l’ajout du depot

yum repolist : Affiche les dépôts ( repositories )

rpm -Vv openssh-clients : Détecte les changement dans Modification du fichier ssh_config
les fichiers d’un paquet nano /etc/ssh/ssh_config & rpm –Vv openssh-clients

Rpm –K : Vérifie la sécurité du fichier rpm

yumdonwloader nom du paquet  Téléchargement du fichier rpm relative au paquet
Le paquet openssh-clients depend du paquet openssh , on va utiliser yumdonwload pour résoudre

la dépendance des paquets.

yumdonwload – resolve nom_du_paquet  Permet de télécharger les paquet rpm nécessaire

Pour le fonctionnement du paquet openssh-clients

yum upgrade et yum update exécuteront la même fonction qui est la mis à jour vers la dernière version actuelle
d’un paquet bien déterminé, mais la différence est que yum upgrade va supprimer les paquets obsolètes, alors que
yum update les conservera.
Paquet obsolète: Lorsque la communauté chargé du développement d’un paquet arrête le support et le
développement de ce dernier, alors ce paquet devient obsolète == > la plus part de temps on se trouve avec cette
situation lors de la migration d’une version major à une autre par exemple 2.1 à 2.2 .
La commande rpm2cpio
1 - rpm2cpio openssh-server-5.3p1-112.el6_7.i686.rpm > file.cpio

2 – Afficher le contenu du fichier .cpoi : less file.cpio
3 – Extraire le contenu du fichier cpio –ivd < file.cpio


LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX
103.1 Invite de commande

Mots clés : bash, echo, env, export, pwd, set, unset, man, uname
history, .bash_history
Poid : 4
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.1 Invite de commande
Le shell est le programme qui tourne lorsque qu’on utilise l’invite de commande ( le terminal )
cat /etc/passwd , ici, l’utilisateur anis a le shell bash, la 7ème colonne est réservée aux informations relative au
shell utilisé
( /bin/bash ) -- > Donne la possibilité de s’authentifier dans le système
L’utilisateur apache n’a pas de shell ( /bin/nologin ) -- > apache ( est un service ), ne peut pas s’authentifier dans le
système

[ root@ localhost www ] # : [ admin@hostname current directory ] #

[ali@localhost www] $ : [user@hostname current directory ] $
~ : user ali est dans répertoire personnel
ls – a : Affiche les fichiers cachés
history : Affiche l’historique des commandes tapées
cat .bash_history : Affiche l’historique des commandes tapées d’un utilisateur bien déterminé

Variable d’ environnement et Alias et fonction

programme de démarrage
Spécifique à home/utilisateurx/.bash_profile /home/utilisateurx/.bashrc

’ l’utilisateur
Global pour tous /etc/profile : /etc/bashrc
les utilisateurs
Exemple de création d’un alias spéciale spécifique à l’utilisateur tomy
1- nano /home/tomy/.bashrc
2- alias exam=‘ls –l /home/tomy’
3- Exécution de la commande personnalisée et unique à l’utilisateur tomy


Spécifique à home/utilisateurx/.bash_profile /home/utilisateurx/.bashrc

l’utilisateur
Global pour tous /etc/profile : /etc/bashrc
les utilisateurs
Exemple de création d’un alias à tous les

à l’utilisateur
1- nano /etc/ bashrc

2- alias exam=‘ls –l /mnt’ ...

Les shells : bash , csh, ksh,…
Lorsqu’on tape une commande, le système va parcourir les chemins séparés par : dans la variable d’environement PATH
1 2 3 4 5 6 7
Exemple d’une variable d’environement spécifique à l’utilisateur tomy

Spécifique à /home/utilisateurx/.bash_profile /home/utilisateurx/.bashrc

l’utilisateur
Global pour tous les /etc/profile /etc/bashrc
utilisateurs

Création d’une nouvelle commande ( fichier exécutable ) spécifique à l’utilisateur
- nano /mnt/cmd
#! /bin/bash
echo hello world
-chmod +x /mnt/cmd
Pour démarrer le programme : /mnt/cmd

Si nous voulons exécuter cette commande directement en tapant cmd ?
export PATH=$PATH:/mnt/
echo $PATH
Le problème que cette solution est temporaire, c’est-à-dire, si on redémarre la machine, nous ne pouvons pas
exécuter directement la commande cmd
Solution : Il faut ajouter le path dans le fichier /home/utilisateurx/.bash_profile

Le fichier /etc/profile contient les programmes et les variables d’environements partagées par tous les utilisateurs

La commande env affiche les variables d’ environnements de l’utilisateur ali
Echo $SHELL , echo $PATH

Home : Le chemin absolue du répertoire personnel d’un
utilisateur
LANG : La langue utilisé par le système d’exploitation
PATH : Représente les chemins utilisé pour trouver des
programmes et qui sont séparés par :
SHELL : Le shell de l’utilisateur

cd . & cd .. & pwd , cd /
La commande cd : Assure le déplacement entre les

répertoires.
La commande ls : Permet de lister les fichiers et
dossiers présents dans un répertoire.
La commande pwd : Permet d’afficher le répertoire de
travail courant

cd /root
/root/command ==== > ./command
. this directory
La commande history : Affiche l’historique des

commandes tapées
!2 : Pour accéder à la commande numéro

2 dans l’historique

Tabulation : Autocomplete
man est une commande permettant d'accéder aux pages de manuel installées sur le système. La plupart des
programmes fournissent une page de manuel les documentant, lisible donc avec la commande man.
Exemple : man touch
L’argument –help permet d’afficher l'aide succincte d'une commande, exemple : touch – help
uname –p : Affiche des informations relatives à notre processeur

uname –r : Affiche des informations relatives à version de noyau
uname –a : Affiche toute les informations relatives à notre machine
La commande test :
test= /mnt/test
Export test
Env
Si nous voulons vider le contenu de la variable test, on tape, unset test

103.2 Traitez les flux de texte en utilisant des filtres

Mots clés : cat, cut, expand, fmt, head, join, less, nl, od, paste, pr, sed,
sort, split, tail, tr, unexpand, uniq, wc
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.2 Traitez les flux de texte en utilisant des filtres
La commande cat : Utilisé pour afficher le contenu d'un fichier ,

Exemple : cat /etc/passwd : Affichera le contenu du fichier /etc/passwd
La commande cut : La commande cut permet d'afficher des zones spécifiques d'un fichier.
Exemple : cut -c1 /etc/passwd : Affichera la première colonne du fichier /etc/passwd
On peut également spécifier un séparateur de champs avec l'option -d ,
Exemple : cut -d: -f6 /etc/passwd , affichera le 6eme champ du fichier /etc/passwd, dont le séparateur de champs est le
caractère double point (``:'').)

La commande expand permet de convertir les tabulations en espaces.

La commande unexpand permet de convertir les espaces en tabulations.

La commande fmt sans argument supprime la fin de chaque ligne et met tous les caractères dans une seule ligne.
La commande fmt est un formateur de texte simple qui peut définir la largeur de colonne pour un fichier, des fichiers.
La largeur par défaut est de 75 colonnes, comment changer la largeur de la mise en forme, par défaut, fmt définit la largeur de
la colonne à 75, Cela peut être changé avec l'option –width ( -w ) .

La commande nl numérote les lignes dans un fichier

La commande head, par défault, elle affiche les 10 premières lignes

La commande od permet d’Afficher le contenu d'un fichier en octal ou sous d'autres formats.,
L’option –c : permet d’afficher

La commande join fait joindre deux lignes ayant un champ en commun

La commande paste réalise une jointure entre deux fichiers d’une manière non intelligente , pas de ligne en commun

La commande pr permet de préparer le text pour l’impression

La commande sed permet e modifier ou de supprimer une partie d’une chaîne de caractères
e : edit ( modifier ) , s : susbtitute ( changer )

La commande sort permet de trier les lignes d'un fichier

-r : reverse , -R : random

La commande split si elle ne reçoit pas d’argument, elle va diviser le fichier en plusieurs fichiers de 1000 lignes ( par défaut )
-l : ligne , split –l 2 : mettre chaque deux lignes d’un fichier à part.

La commande tail permet d’afficher les 10 dernières ligne d’un fichier

La commande tr permet de convertir une chaîne de caractères, -d : supprimer un caractère,

-s : garder qu’une seule occurrence

La commande wc affiche le nombre de ligne, de mot et de caractère dans un fichier

La commande uniq affiche les lignes non dupliqué , -c : count , -d : dupliqué , -u : unique

103.3 La gestion de base des fichiers

Mots clés : cp, find, mkdir, mv, ls, rm, rmdir, touch, tar, cpio, dd, file
gzip, gunzip, bzip2, xz, file globbing
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.3 La gestion de base des fichiers
La commande dd permet de copier tout ou partie d'un disque par blocs d'octets
La structure de la commande a la forme générale suivante :

dd if=<source> of=<cible> bs=<taille des blocs> skip= seek= conv=<conversion>
dd if=/dev/cdrom of=/tmp/cd.img , nous pouvons créer un fichier .img .iso avec la commande dd
Pour supprimer un fichier : rm fichier

Pour supprimer un dossier : rm –R dossier , permet de supprimer un dossier vide et contenant des
fichiers ou des dossiers
Pour supprimer un dossier : rmdir dossier , permet de supprimer uniquement un dossier vide
La commande touch permet de créer un fichier

1 - rpm2cpio openssh-server-5.3p1-112.el6_7.i686.rpm >

file.cpio
2 – Afficher le contenu du fichier .cpoi : less file.cpio
3 – Extraire le contenu du fichier cpio –ivd < file.cpio
La commande mkdir : Permet de créer un dossier
La commande file liste des informations a propos d’un fichier

Archivage avec la commande tar
Fichier Dossier
Archivage Oui Oui
Compression gzip Oui Non
Compression bzip2 Oui non
La commande tar , les options c:create ( créer ), v:verify, f:file ( fichier )

La commande tar en action : Archivage
Note : tar cvf == > tar -cvf

La commande tar en action : Désarchivage

La commande tar en action : Désarchivage tout en choisissant une destination

La compression avec commande gzip
La compression d’un fichier avec gzip : gzip /etc/projet.txt

La décompression d’un fichier compressé avec gunzip : gunzip /etc/projet.txt.gz

La décompression avec commande gzip
La compression d’un fichier avec gzip : gzip /etc/projet.txt

La décompression d’un fichier compressé avec gunzip : gunzip /etc/projet.txt.gz

La compression avec la commande bzip2
La compression d’un fichier avec bzip2 : bzip2 /etc/projet.txt

La décompression d’un fichier compressé avec bunzip2 : bunzip2 /etc/projet.txt.bz2

La décompression avec la commande bzip2
La compression d’un fichier avec bzip2 : bzip2 /etc/projet.txt

La décompression d’un fichier compressé avec bunzip2 : bunzip2 /etc/projet.txt.bz2
bzip2 -d file.txt.bz2

Archivage et compression à la fois avec tar et compression avec gzip , on ajoute z avec la compression gzip
Désarchivage et Décompression à la fois avec tar et compression avec gzip , on ajoute x

Archivage et compression à la fois avec tar et compression avec bzip2 , on ajoute j avec la compression gzip
Désarchivage et Décompression à la fois avec tar et compression avec bzip2 , on ajoute x

La commande xz , pour compresser un fichier : xz file , pour décompresser un fichier : unxz | xz –d file

103.4 Les flux, les Pipes et les redirections

Mots clés : tee, xargs, >, >>, <
Poid : 4
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.4 Les flux, les pipes et les redirections
Std input ( l’entrée d’une commande ) : 0
std input : 0
std output (
command exécuté
Avec succès ) : 1
std error : 2

Std output ( la sortie d’une commande ) : 1
std input : 0
std output (
command exécuté
Avec succès ) : 1
std error : 2

Std error ( erreur ) : 2
std input : 0
std output (
command exécuté
Avec succès ) : 1
std error : 2

std error et stdout
std input : 0
std output (
command exécuté
Avec succès ) : 1
std error : 2

La commande xargs permet de diriger le stdout La commande tee permet de :

( la sortie de la commande) 1- Diriger le stdin vers le stdout
qui n’accepte pas du stdin 2- Diriger le stdout vers un fichier
( entré de flux ) à travers le pipe ( | )

La commande cp
Permet de faire la copie d’un fichier : cp a.txt z.txt
Permet de faire la copie d’un dossier : cp –R dossier
La commande find
find /opt -name hello - type (f fichier ,d :dossier ,l:lien symbolique) -size +5(b,k,m,g)
find . -name hello[1-5]*.* - type f -size +5M
Nom de fichier : hello1a.pdf , hello6b.jpg , hella.pdf
Exemple de recherche des fichiers qui se trouvent sous /, qui ont le propriétaire harry
-- > les fichiers trouvés seront copiés dans /opt/projet
{} : remplace les fichiers trouvés

find / -type f -user harry -exec cp {} /opt/projet \;

103.5 Gérez et surveillez les process

Mots clés &, bg, fg, jobs, kill, nohup, ps, top, free, uptime,
pgrep, pkill, killall, screen
Poid : 4
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.5 Gérez et surveillez les process
Les signaux , la commande man 7 signal


La commande ps affiche les services ( process ) en cours d’exécution :
La commande grep permet de filtrer l’affichage des service

Exemple d’arrêt d’un

service avec la commande
kill
== >
kill -9 8319 ==> Arrêt
brutal
kill -15 8319 > Arrêt soft
A->B->C

Exemple d’arrêt d’un service et

ce avec son nom , le format est
pkill nom_du_process
Exemple :
firefox &
pkill httpd
La commande killall permet

d’ arrêter tous les process ayant
le même nom

La commande top est une des premières commandes que l’ont apprend dès qu’on s’intéresse à la façon dont son système fonctionne.
Quand on vient de Windows et qu’on cherche l’équivalent du gestionnaire de tâches

Seconde partie : Tâches

Troisième partie : Processeurs

Quatrième partie : mémoire physique et virtuelle

Cinquième partie : détails des processus

Arrêt d’un service avec la commande top

La commande free d’afficher la quantité de mémoire libre et utilisée dans le système
Command uptime permet de nous informer sur la durée de fonctionnement du système

103.6 Modification des priorités d’exécution du processus

Mots clés nice, ps, renice, top
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.6 Modification des priorités d’exécution du processus
-20 est le niveau le plus prioritaire

L’utilisateur peut changer la valeur amicale ou nice value de 0 -- > 19
Le super utilisateur peut changer la valeur amicale ou nice value de -20 -- > 19
Gdm : Gnome desktop manager
-e : everything , o : output

La commande nice
sleep 5000 & =>

La priorité par défaut est 0
nice sleep 5000 & =>

La priorité est devenue 10
nice –n 5 sleep 5000 & =>

La priorité est devenue 5
nice –n -10 sleep 5000 & =>

Uniquement le super utilisateur peut
changer cette valeur
ps -eo e:everything -o:user format

La commande renice

103.7 La recherche des fichiers au format texte en utilisan

les expressions régulières
Mots clés grep, egrep, fgrep, sed
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.7 La recherche des fichiers au format texte en utilisant
La commande grep permet de rechercher une chaîne de caractères dans un fichier.

Les expressions régulières
^ : commence par
$ : qui finit par
. : Un caractère quelconque
x* : Zéro ou plus d'occurrences du caractère x
x+ : Une ou plus occurrences du caractère x
x? : Une occurrence unique du caractère x
[...] plage de caractères permis
[^...] plage de caractères interdits

La commande egrep est une forme plus étendue de la commande grep, elle supporte plus les
expressions régulières (extended grep)

La commande fgrep
Résumé :
La commande grep permet de rechercher des caractères dans une chaine avec le support des expressions régulières simples
La commande egrep est le spécialiste des expressions régulières
La commande fgrep utilisé pour rechercher un mot qui contient des expressions régulières

La commande sed


103.8 Effectuez des opérations basiques d'édition de
fichier en utilisant la commande vi
Mots clés vi , /, ? ,h,j,k,l, i, o, a, c, d, p, y, dd, yy, ZZ, :w!,
:q!, :e!
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 103 GNU et les commandes UNIX – 103.8 Effectuez des opérations basiques d'édition de
fichier en utilisant la commande vi
La commande vi
Mode insertion : Avec la commande i
1) Copier- Coller ( avec la lettre y )

Copie d’une ligne : yy après p Le déplacement en mode commande
Copie d’un mot : yw après p
Copie d’une lettre : yl après p
2) Couper – Coller ( avec la lettre d )

Couper une ligne : dd après p
Couper d’un mot : dw après p
Couper d’une lettre : dl après p
3) Pour changer une ligne | un mot | une lettre ( avec la lettre c)

Pour changer une ligne : cc
Pour changer une mot : cw
Pour changer une lettre : cl
4) La recherche avec /

LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux,

hiérarchie du système de fichier linux
104.1 Création de partition et de système de fichier
Mots clés : fdisk, gdisk, parted, mkfs, mkswap
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.1 Création de partition et de
système de fichier
4 partitions primaires *On a un disque dur et un port usb 128 partitions

*Max 4 partitions primaire
*1 Partition primaire + une partition
Étendue ( 23 partitions logiques)
fdisk === > MBR (Master boot record):
La taille maximale de la partition est de : 2.2 To
Le nombre maximal de partition est : 26 partitions
gdisk == > GPT (GUID Partition Table ) :

La taille maximale de la partition est de : 256 To
Pas de notion de partition primaire et de partition étendue, le nombre maximal de partition est : 128 partitions

système de fichier
Le scénario
1- Ajout d’un disque de 100 Mb avec Virtualbox

2- Partionement de notre disque:
Création d’une partition primaire réservée pour les données
Création d’une partition primaire réservée pour la mémoire swap
Création d’une partition logique réservée pour les données
3- On va utiliser la première partition primaire dédiée aux données et ce, avec la création d’un système
de fichier à savoir ext2
4- On va utiliser la deuxième partition primaire dédiée à la mémoire swap
5- On va utiliser la partition logique dédiée aux données et ce, avec la création d’un système
de fichier à savoir ext2

système de fichier
Ajout d’un disque de 100 Mb avec Virtualbox
fdisk –l permet d’afficher les partitions dans les disques

système de fichier
Création d’une partition primaire

système de fichier
Création d’une partition primaire de taille 20 Mb

système de fichier
Vérification de la nouvelle partition primaire ajoutée /dev/sdb1

système de fichier
Vérification de la nouvelle partition primaire ajoutée /dev/sdb2

système de fichier
Changement du type de la nouvelle partition primaire ajoutée /dev/sdb2 en swap

système de fichier
Vérification du changement du type de la nouvelle partition primaire ajoutée /dev/sdb2 en swap

système de fichier
Ajout d’une nouvelle partition logique /dev/sdb5

système de fichier
La commande mkfs
mkfs –t ext2 /dev/sdb1 === mkfs.ext2

mkfs –t xfs /dev/sdb1 === mkfs.xfs
mkfs –t vfat /dev/sdb1 === mkfs.vfat ( système de fichier windows)
mkfs –t btrfs /dev/sdb1 === mkfs.btrfs Crée par oracle ( stable, performant)
ReiserFS est le nom d'un système de fichiers conçu et développé par Hans Reiser, il fut le premier système de
fichiers journalisé à être intégré en standard dans le noyau Linux (à la version 2.4.1)
ReiserFS est beaucoup plus efficace qu'Ext2/Ext3 pour ce qui concerne le stockage des petits fichiers (quelques ko).
ReiserFS permet aussi, et c'est un autre avantage non négligeable, l'agrandissement à chaud et la diminution à froid
de la taille des partitions (avec l'utilisation de LVM notamment).

système de fichier
Les systèmes de fichiers

système de fichier
Accès à la partition primaire /dev/sdb1 ( donnée )
1- On va sélectionner un système de
fichier à installer sur /dev/sdb1
Les systèmes de fichiers : Ext2 , Ext3,
Ext4 , Ntfs, Fat32, ReiserFS, Btrfs

système de fichier
Accès à la partition primaire /dev/sdb1 ( donnée

système de fichier
Accès à la partition primaire /dev/sdb2 ( swap )

système de fichier
Astuce : Création d’une partition swap et ce avec les loop device : les périphériques de loop sont des pseudo
périphérique permettant d'utiliser un fichier comme un périphérique de blocs

système de fichier
Accès à la partition logique /dev/sdb5 réservé aux données

système de fichier
Résumé des opérations effectuées
Partition dédie pour les Partition dédiée pour

données la mémoire swap
Création d’une /dev/sdb1 /dev/sdb1

partition
Changement du type de 82 83
la partitions
Création d’un système mkfs –t ext2 /dev/sdb1 Mkswap /dev/sdb1
de fichier Swapon /dev/sdb1
partprobe /dev/sdb1

système de fichier
La commande Parted

système de fichier
La commande gdisk

système de fichier
Exemple de formatage d’un disque avec la table de partition gpt


hiérarchie du système de fichier linux
104.2 Maintenir l’intégrité du système de fichier
Mots clés du, df, fsck, e2fsck, mke2fs, debugfs, dumpe2fs,
tune2fs, xfs tools
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.2 Maintenir l’intégrité du
système de fichier
La commande df (disk free) permet d’afficher à l’écran la taille de l’espace disque

occupée et la taille de l’espace disque libre.

système de fichier
La commande du (disk usage) permet de connaître l’espace utilisé par des fichiers.
Home directory le plus volumineux

système de fichier
Intégrité du système de fichier

La commande fsck vérifie l’intégrité du système de fichier
fsck /mnt/quota : Elle détecte le système de fichier du point de montage
fsck –t ext2 /mnt/quota == fsck.ext2 == e2fsck
Que faire ?

système de fichier
Vérification de l’intégrité du système de fichier ext ( 2 | 3 | 4 ) avec une partition déjà monté !!
mkfs –t ext2 /dev/sdb1 === > fsck –t ext2

mkfs –t vfat /dev/sdb1 === > fsck –t vfat

système de fichier
La commande dumpe2fs permet d’Afficher des informations a propos d’une partition ayant été crée avec
le système de fichier ext2/ext3/ext4

système de fichier
Création d’une partition logique avec le système de fichier xfs

Vérification de l’intégrité du
système de fichier xfs

système de fichier
Création d’une partition logique avec le système de fichier

xfs

système de fichier
Création d’une partition logique avec le système de fichier xfs, mkfs.xfs

La commande partprobe

système de fichier
mkfs –t xfs == => xfs_check, xfs_info

système de fichier
Les commandes xfs_info, xfs_repair

système de fichier
La commande xfs_metadump est un outil de débogage qui copie les métadonnées

d'un système de fichiers XFS dans un fichier

système de fichier
Ajout de l’option de journalisation (Journal feature ) à une partition ext2
La solution est avec la commande tune2fs

système de fichier
Utilisation de a commande debugfs pour la restauration des fichiers

LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers Linux,

norme de hiérarchie du système de fichiers
104.3 Contrôlez le montage et le démontage des systèmes
de fichiers
Mots clés : /etc/fstab, /media/, mount, umount
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.3 Contrôlez le montage et le
démontage des systèmes de fichiers
Monté la partition d’une manière temporaire
mount -t ext2 -o defaults /dev/sdb1 /mnt/linux
-t : type, -o : option
Monté la partition d’une manière permanente
nano /etc/fstab : /dev/sdb1 /mnt/linux ext2 defaults 1 2
Un fichier fstab est composé de plusieurs lignes décrivant chacune les conditions de montage de chaque système de fichier.
Chaque ligne est composée de six colonnes que l'on nomme champs.
Ces six champs sont, dans l'ordre:
< Volume à monter> < Point de montage> <type> <options> <dump ( backhup ) > <pass>

Ces six champs sont, dans l'ordre:

< Volume à monter> < Point de montage> <type> <options> <dump ( backup ) > <pass>
nano /etc/fstab :
/dev/sdb1 /mnt/linux ext2 defaults 1 2
dev/sdb2 swap swap defaults 0 0
<dump> Est utilisé par l'utilitaire dump pour décider quand faire des sauvegardes. Quand il est installé, dump vérifie
le chiffre inscrit et décide si le système de fichiers doit être sauvegardé. Les valeurs possibles sont 0 et 1. Si 0, dump va
ignorer le système de fichier, si 1, dump fera une sauvegarde. La plupart des utilisateurs n'auront pas dump d'installé,
ils pourront donc inscrire 0 dans le champ <dump>.
<pass> fsck lit le chiffre <pass> et détermine dans quel ordre les systèmes de fichiers vont être vérifiés. Le champ peut
prendre les valeurs 0,1 et 2.
0 : Pas de vérification de l’intégrité du système de fichier
1 : Vérification de l’intégrité du système de fichier dans le cas d’un arrêt brutal de la machine
2 : Toujours, on vérifie l’intégrité du système de fichier

Les options par defaults sont = = > rw, suid, dev, exec, auto, nouser, async

Les options de montage

Après tous ajout d’un nouveau montage dans le fichier /etc/fstab
mount -a

La commande blkid
UUID : Universal Unique Identifier ===> Identifiant Universel Unique)

Le concept de UUID avec le fichier fstab


104.4 Gérez les quotas du disque
Mots clés : quota, edquota, repquota, quotaon
Poid : 1
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.3 Gérez les quotas du disque
1 – Installation du package quota

2 – Création d’un point de montage ( un dossier ) : mkdir /home/anis/test_montage

3 - Ajout des options usrquota et grpquota
umount /dev/sda1 , mount –a = > montage des partitions dans le fichier /etc/fstab
mount -o remount /dev/sda1 ( lecture du fichier fstab )

4 – Création des fichiers relative aux quotas des utilisateurs et des groupes sous /home/anis/test_montage
et ce avec la commande quotacheck –cug /home/anis/test_montage
c:create, u:user, g:group

5 – Activation du quota , quotaon /home/anis/test_montage

6- L’utilisateur anis viens de créer deux fichiers

7- Création d’un quota pour l’utilisateur anis : edquota –u anis
blocks : Limite avec la taille des fichiers

quota 10 : anis peut créer des fichiers avec le maximum de taille 10 kb
limite 11 : anis ne peut pas créer des fichiers ayant la taille plus de 11 kb
sursisfichiers ( inodes ) : Limite avec le nombre des fichiers
quota 10 : anis peut créer 3 fichiers
limite 11 : anis ne peut pas plus de 4 fichiers

8- Essaie de création de nouveau fichiers

9 – Rapport sur les quotas , repquota

( période de sursis ) ( grace periode )


104.5 Gérez les permissions des fichiers
Mots clés : chmod, umask, chown, chgrp
Poid : 3
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.5 Gérez les permissions des
fichiers
umask

fichiers
Edition de la valeur de umask : nano /etc/fstab

fichiers
Les permissions avec linux
La première lettre désigne le type de fichier :

- : fichier "classique"
d : répertoire (directory)
l : lien symbolique (link)
Passons ensuite aux droits des fichiers à proprement parlé :
r : read (droit de lecture)
w : write (droit d'écriture)
x : execute (droit d'exécuter un fichier ou d'ouvrir un répertoire)

fichiers
Les permissions avec linux
Ces droits sont affichés de la sorte :

Les 3 premiers sont les droits du propriétaire du fichier, les trois suivants du groupe et les trois
derniers des autres. Par exemple, pour cette ligne :
-rw-r--r-- 1 benj benj 670567 2009-02-01 22:32 Freedom.tar.gz
Ici, l'utilisateur (en général, celui qui a créé le fichier ou le dossier) est benj et le groupe est
également benj (benj:benj : user:group)
Les droits sur ce fichier sont donc les suivants :

user (3 premiers caractères) : rw- (droits de lecture, écriture)
group (3 caractères suivants) : r-- (droit de lecture)
les autres : (3 derniers caractères) : r-- (droit de lecture)

fichiers
Tableau récapitulatif
Dossier ( Directory ) Fichier ( file )
Lecture ( Read - r ) ls Cat
Création de fichier Modification de fichier

Ecriture ( Write -w ) Modification de fichier Création de fichier
Exécuter ( Execute - x) cd Exécuté un script

fichiers
chmod : Permet de changer les permissions des fichiers et des

dossiers
chmod u+r : Ajoute à l’utilisateur propriétaire le droit de lecture u : user (utilisateur)

chmod u-r : Supprime le droit de lecture auprès de l’utilisateur g : group (groupe)
propriétaire o : other (autres)
chmod g+r : Ajoute au groupe propriétaire le droit de lecture a : all (tout le monde)
chmod g-r : Supprime le droit de lecture auprès du groupe
propriétaire
chmod o+r : Ajoute au autre le droit de lecture

chmod o-r : Supprime le droit de lecture auprès des autres
chmod a+r : Ajoute à tous le monde le droit de lecture

chmod a=r : Accorde à tous le monde le droit de lecture seulement

fichiers
chmod : Permet de changer les permissions du fichier ou du dossier

fichiers
Exemples avec chmod u+rwx, g=rw,o=r fichier ou un dossier

chmod 754 fichier ou un dossier

fichiers
Les permissions spéciales : (suid, guid, stikcybit )

chmod u+s fichier = Exécuté un fichier avec les permissions du propriétaire
chmod u+s dossier = Pas de valeur

fichiers
chmod g+s fichier = Permet d’exécuter un fichier avec les permissions du groupe
chmod g+s dossier= Tous fichier crée sous cet répertoire va avoir comme le même groupe propriétaire de celui
du dossier .
chmod o+t (sticky bit) fichier : Pas de valeur
chmod o+t dossier: Les fichiers sous ce dossier peuvent être supprimer ou renommé uniquement par le
propriétaire ou par l’administrateur ( le root )

fichiers
La commande chgrp permet à un utilisateur non privilégié de changer le groupe d'un fichier.
L'utilisateur peut uniquement changer la propriété du groupe pour un groupe dont cet utilisateur est membre. Si
vous êtes root, vous pouvez changer de propriétaire de groupe comme vous le souhaitez
chgrp nom_du_groupe file.
Le commande chown : Change le propriétaire et ou le groupe propriétaire
chown propriétaire fichier ou un dossier

chown :groupe_propriétaire fichier ou un dossier
chown propriétaire : groupe_propriétaire fichier ou un dossier


104.6 Créez et modifiez des liens physiques et symboliques
Mots clés : ln, ls
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.6 Créez et modifiez des liens
physiques et symboliques
Le lien physique et le lien symbolique
Le lien physique n’est pas une copie,

car, il a le même inode
du fichier_original

Le lien physique et le lien symbolique
Modification du fichier_original

Le lien physique se pointe sur le meme inode que ce lui du fichier_original,si on supprime le
fichier original le le lien physiqye reste fonctionnel !!

La différence entre un lien physique et un lien symbolique


104.7 La recherche des fichiers
Mots clés : find, locate, updatedb, whereis, which, type
/etc/updatedb.conf
Poid : 2
Anis Hachani
LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.7 La recherche des fichiers
La commande find réalise la recherche en temps réel

La commande locate réalise la recherche en se basant sur une base de donnée
Fichier de configuration /etc/updatedb.conf

LPIC-1 104 Périphériques, systèmes de fichiers linux, hiérarchie du système de fichier linux – 104.7 La recherche des fichiers
La commande whereis – Permet de localiser les fichiers binaires, sources et de manuel d'un programme.
La commande which – Affiche le chemin absolu d’une commande

Examen blanc de préparation

LPIC-1 101
Anis Hachani
Résume sur le programme de formation LPIC-1 101

• 102 – L’installation du l’os linux et la gestion des programmes
File system Hierarchy Standard ( /var, /etc/ , /home…)

Examen blanc de préparation

Réussir la certification linux LPIC-1 102
Linux Professional Institute Certification
Anis Hachani
OCJP , RHCE 6&7, LPIC-3, OCP ,
Comptia Security +, Agile ( PSM ), CISA

• 102 – L’installation du système d’exploitation linux et la gestion des
programmes (rpm, dpkg)
• 104 – Les périphérique (/dev/sda..), système de fichier linux (
ext2,ext3..), hiérarchie du system de fichier ( /var, /etc/ , /home…)

• 105 – Le shell, le scripting et la gestion de la base de donnée avec

Mariadb
• 106 – Le bureau ( Gnome)
• 107 – Les tâches administratives ( la gestion des utilisateurs et des
groupes )
• 108 – Les services système essentiels ( ssh, nfs, ftp, http, https…)
• 109 – Le réseau ( ipv4, ipv6)
• 110 – La sécurité (/etc/passwd, ssh, le cryptage ,..)

Support de Cours Lpic-1

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Support de Cours Lpic-1

Transféré par

Informations du document

Copyright

Formats disponibles

Partager ce document

Partager ou intégrer le document

Options de partage

Avez-vous trouvé ce document utile ?

Ce contenu est-il inapproprié ?

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Support de Cours Lpic-1

Transféré par

Droits d'auteur :

Formats disponibles

Réussir la certification linux LPIC-1

Linux Professional Institute Certification

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Développeur Administrateur Consultant Big data,

Ingénieur DevOps Responsable sécurité Support client

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

• 101 – Architecture système

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

• 105 – Shells, Scripting et gestion de la base de donnée | Sql data

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Construire des bases solides avec Linux

Devenir opérationnel avec n’importe distribution Linux

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Développeur , Chef de projet et entrepreneur

Administrateur | Responsable sécurité ( système , de base de donné , réseaux )

Toute personne désireuse d'obtenir la certification LPIC-1

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

L’utilisation professionnelle d’un système Linux (1 an)

Bases de la ligne de commande

La connaissance de base des réseaux TCP/IP

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Je suis formateur permanent avec www.smartnskilled.tn,

Anis Hachani Fondateur de Ghazela Technology Academy – www.ghazelatc.com :

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

• 101 – Architecture système

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

LPIC-1 101 Introduction générale

Le cursus est le suivant :

•L'essentiel sur Linux (Linux essentials)

•Administrateur junior (Junior Level Administration), pour obtenir la certification

Les objectifs de l'examen 101 se concentrent sur l'installation et l'utilisation de Linux

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Niveau 2: Advanced Linux Professional

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

LPI-303 (sécurité) LPI-300 (environnement LPI-304 (virtualisation et

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Passage de l’examen LPIC-1

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Passage de l’examen LPIC-1

2- Il faut bien préparer les objectifs de la certification.

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Sujet 101 : Architecture système

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

LPIC-1 Environnement de travail

Mots clés : Vmware Workstation, VirtualBox, Ubuntu, Centos,

Je travail avec windows 10, 64 bits,

Ubuntu Server 16.04.3 LTS :

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Un isolateur est un logiciel permettant d'isoler l'exécution des applications dans

PHP7, Symfony, Mysql

PHP 5.5, Wordpress, Mysql

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Un hyperviseur de type 1 est comme un noyau système très léger et optimisé

Bare Metal Hypervisor

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

Formation LPIC 1 : Junior Level Linux Professional

LPIC-1 Environnement de travail

Installation de Centos 6, Centos 7, Ubuntu 17