Bac2-Une Balle Dans La Tete de L Introduction A La Geophysique-1
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Bac2-Une Balle Dans La Tete de L Introduction A La Geophysique-1
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SUR L’INTRODUCTION
1. Un modèle géophysique est à la fois ?
Réponse : non-unique, n’ayant pas une structure définitive et admettent plusieurs
paramètres.
2. Des mesures très précises ont indiquées que la durée du jour augmenter de 2
millisecondes par siècle. A la fin du Dévonien (𝟑𝟔𝟎 𝑴𝒂). La durée du jour était de :
Réponse : 22heures
SUR LA GRAVIMETRIE
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Enfin, la connaissance du champ de pesanteur à la surface du globe est
indispensable à de nombreuses applications de géodésie spatiale, comme la connaissance
des orbites des satellites artificiels.
3. plusieurs facteurs influences les variations du champ gravitationnel à la surface de
la terre à l’exception de ?
Réponse : les glaciers polaires
𝒎𝑴
4. Dans l’expression 𝑭 = − 𝑮 , le signe moins indique que ……………………..
𝒓𝟐
Réponse : la force F agit dans la direction opposée par rapport à la masse attractive M.
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10. Un appareil est dit ………. lorsqu’il est sensible naturellement et n »exige plus le
recours à des procédés ……… d’une délicatesse extrême
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17. Pourquoi exige-t-on un bon nivellement en gravimétrie ?
18. La marée luni-solaire correspond à l’attraction combinée exercée sur la terre par
la lune et soleil. Cette attraction varie avec le temps. Elle (la marée luni-solaire) est
maximum aux époques ……….
Réponse : de pleine lune et de nouvelle lune lorsque la lune et le soleil sont en conjonction
ou en opposition.
Réponse : Les gravimètres anciens sont meilleurs que les récents par ce que la dérive d’un
appareil diminue avec le temps. Chaque instrument a une dérive propre qui varie en
fonction des conditions. L’ordre de grandeur de la dérive est de 0,05 à 1,0 mgal par jour.
Réponse :
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Réponse : l’anomalie à l’air libre est la différence entre la valeur mesurée à une altitude
h donné et la valeur théorique modifiée en tenant compte de la correction à l’air libre. Soit
Réponse : L’anomalie de Bouguer simple est la différence entre la valeur mesurée à une
altitude h donné et la valeur théorique pour tenir compte de la correction à l’air libre et
de la correction de plateau. Soit :
𝑨𝑩𝑺 = 𝒈𝒎 − (𝒈𝟎 − 𝟎. 𝟑𝟎𝟖𝟔𝒉 + 𝟎. 𝟎𝟒𝟏𝟗𝝆𝒉) = 𝒈𝒎 − 𝒈𝟎 + 𝟎. 𝟑𝟎𝟖𝟔𝒉 − 𝟎. 𝟎𝟒𝟏𝟗𝝆𝒉
L’anomalie de Bouguer simple est la différence entre la valeur mesurée à une altitude h
donné et la valeur théorique pour tenir compte de la correction à l’air libre et de la
correction de plateau et des corrections de terrain (CT). Soit :
𝑨𝑩𝑪 = 𝒈𝒎 − (𝒈𝟎 − 𝟎. 𝟑𝟎𝟖𝟔𝒉 + 𝟎. 𝟎𝟒𝟏𝟗𝝆𝒉 − 𝝆𝑻)
= 𝒈𝒎 − 𝒈𝟎 + 𝟎. 𝟑𝟎𝟖𝟔𝒉 − 𝟎. 𝟎𝟒𝟏𝟗𝝆𝒉 + 𝝆𝑻
𝑨𝑩𝑪 = 𝑨𝑩𝑺 + 𝝆𝑻
Réponse : la méthode visuelle proposée par Nettleton consiste à calculer une série
d’anomalie de Bouguer en faisant varier la densité. Si la densité utilisée est plus grande
que la densité du terrain superficiel, alors l’anomalie de Bouguer et la topographie seront
corrélées négativement (anti-corrélation), inversement si la densité est trop faible, les deux
courbes seront courbe la moins corrélée avec la topographie. La meilleure valeur est celle
qui donne la courbe la moins corrélée avec la topographie.
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27. Une plaque sur la cordillière des andes mentionne que le sommet du volcan
Chimborazo culmine à 6384,678Km du centre de la Terre alors que le mont
Everest (sur la chaine Himalaya) ne s’en trouverait qu’à 6382,467Km. Everest est
reconnu comme le sommet de plus haut altitude sur Terre suite à :
Réponse :
GEOMAGNETISME
1. Quelle théorie qui explique le mieux le maintien du champ magnétique avec le
temps ?
Réponse :
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Réponse : l’origine du champ principal ou champ normal ne peut être expliquée par les
éléments ferromagnétiques (aimants permanents) qui perdent leur caractère
ferromagnétique au-delà de 25 Km de profondeur cessant de constituer des aimants
permanents. Son origine est liée au phénomène défini dans la partie liquide du noyau
entourant la graine, l’existence d’un Dipôle ou Doublet magnétique de moment
magnétique très grand.
Réponse :
Réponse : les mesures de la déclinaison se font par méthode zéro sur une sonde dont l’axe
est placé perpendiculairement au vecteur champ ; lorsqu’on atteint cette position de
champ nul c’est que la direction perpendiculaire est dans le méridien magnétique, on
repère cette direction grâce au théodolite par rapport à la direction connue d’une balise
que l’on vise du pilier de mesure. Connaissant exactement l’azimut de la direction pilier-
balise, après la mesure de l’angle de la direction Pilier-balise/méridien magnétique, on en
déduit l’azimut du méridien magnétique. Les lectures se font sur le cercle horizontal du
théodolite parfaitement nivelé.
Le principe de mesure de l’inclinaison est identique sinon que l’on mesure sur le cercle
vertical du théodolite l’angle de la direction de l’axe de la sonde avec l’horizontale.
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7. Le moment magnétique du proton est ………… au magnéton de Bohr
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11. Qu’arrive-t-il si matériau a une aimantation rémanente nulle
13. Lorsqu’un minéral métallique perd son aimantation initiale et se ré-aimante dans
le sens du champ ambiant, cette nouvelle aimantation constitue
14. Les roches sédimentaires détritiques, issues du dépôt des sédiments produits par
l’érosion des continents peuvent présenter une aimantation ?
Réponse : aimantation rémanente détritique (ARD)
15. Les minéraux magnétiques qui cristallisent dans les roches magmatiques, issues du
refroidissement d’un magma en profondeur (pluton magmatique) ou en surface
(laves et retombes volcanique), acquièrent une aimantation ?
Réponse : Aimantation dite thermorémanente (ATR) sous l’effet du champ magnétique
ambiante lorsque leur t °descend sous la t° de curie.
16. Les enregistrements magnétiques dans les sédiments constituent un outil de :
Réponse : une échelle magnéto-stratigraphique est une échelle chronologique des polarités
magnétiques. Ses divisions sont constituées de deux périodes successives de polarité
opposée (l’une normale et l’autre inverse), et leurs limites sont datées
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Réponse : lorsqu’une roche, un sédiment ou un affleurement étudié ayant été
soigneusement orienté, la déclinaison D et l’inclinaison I du champ reconstitué sur le lieu
d’étude fournissent les coordonnées du pole géomagnétique, à l’aide des relations
géométriques détaillées. Ce pôle géomagnétique reconstitué est appelé pole
géomagnétique virtuel ou PGV
SISMIQUE
Réponse : la zone d’ombre sismique est due à l’existence en profondeur d’une importante
chute des vitesses sismiques, au niveau de laquelle les ondes P sont fortement réfractées.
2. Donnez la relation reliant les deux constantes de Lamé (𝝀 𝒆𝒕 𝝁) et les vitesses des
ondes P et S pour un coefficient de poisson (𝒗 = 𝟎. 𝟓). Déterminez l’angle critique
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Réponse :
On note que les vitesses de propagation des ondes P et S sont reliées aux constantes
d’élasticité et à la masse volumique p par les relations
𝛌 + 𝟐𝝁
𝑽𝑷 = √
𝒑
𝝁
𝑽𝑺 = √
𝒑
Il s’ensuit que les mesures de ces vitesses permettent d’estimer en particulier le coefficient
𝟏 𝟏
de Poisson : 𝒗 = 𝟐 [𝟏 − 𝑽 ]
( 𝑷 )𝟐 −𝟏
𝑽𝑺
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Réponse :
𝛌
𝑽𝑷 = √ ↔ 𝛌 = 𝑽𝑷 𝟐 × 𝝆
𝝆
𝝁
𝑽𝑺 = √ ↔ 𝝁 = 𝑽𝑺 𝟐 × 𝝆
𝝆
Croute inférieure
𝛌 = 𝑽𝑷 𝟐 × 𝝆 = 𝟕, 𝟓𝟐 × 𝟑𝟏𝟎𝟎
𝝁 = 𝑽𝑺 𝟐 × 𝝆 = 𝟒, 𝟖𝟐 × 𝟑𝟏𝟎𝟎
𝟐
𝑲=𝛌+ 𝝁=
𝟑
𝟏
=
𝑲
Coefficient de Poisson
𝟏 𝟏
𝒗= [𝟏 − ]
𝟐 𝑽𝑷 𝟐
(𝑽 ) − 𝟏
𝑺
𝟏 𝟏
𝒗= [𝟏 − ] = 𝟎. 𝟕𝟗𝟓𝟐
𝟐 𝟕. 𝟓
(𝟒. 𝟖)𝟐 − 𝟏
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𝟏 𝟏
𝒗= [𝟏 − ]=
𝟐 𝟖. 𝟓
(𝟏𝟐. 𝟐)𝟐 − 𝟏
𝟏 𝟏
𝒗= [𝟏 − ]=
𝟐 𝟏𝟐. 𝟐 𝟐
( 𝟕. 𝟎 ) − 𝟏
4. On rappelle que l’unique propriété élastique qui intervient dans la vitesse des
ondes transversales (𝜷) est la rigidité (𝝁) et que les deux types d’ondes de volume
𝟒 𝑲
sont liés par l’expression ∝𝟐 − 𝟑 𝜷𝟐 = dans laquelle 𝑲 et 𝝆 sont respectivement le
𝝆
Réponse :
a)
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𝛌 ∶ Est le module de compressibilité
𝛌
𝑽𝑷 = √ 𝒐𝒖 𝛌 = 𝑽𝑷 𝟐 × 𝝆
𝝆
𝝁
𝑽𝑺 = √ 𝒐𝒖 𝝁 = 𝑽𝑺 𝟐 × 𝝆
𝝆
𝟐
𝑲=𝛌+ 𝝁=
𝟑
𝟏
= 𝐄𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐝𝐮𝐥𝐞 𝐝′𝐢𝐧𝐜𝐨𝐦𝐩𝐫𝐞𝐬𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐭é
𝑲
𝟏 𝟏
𝒗= [𝟏 − ]
𝟐 𝑽𝑷 𝟐
(𝑽 ) − 𝟏
𝑺
b)
c)
Réponse : chaque point du front d’onde est le départ d’une nouvelle onde sphérique. Ces
ondes élémentaires s’annihilent par interférences destructives, sauf dans la direction de
la normale au front d’onde, c’est le principe d’Huygens
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6. Enoncez de la loi de Snell –Descartes
Réponse : la loi de Snell-Descartes donne les relations angulaires entre rais incidents,
réfléchis et transmis (réfractés). Dans le cas d’une onde de compression incidente, les
vitesses dans le premier milieu étant 𝑽𝒑 et 𝑽𝒔, 𝑽’𝒑 et 𝑽’𝒔 dans le deuxième, on a les
relations :
Réponse : la magnitude d’un séisme est une échelle quantitative, donnant une idée chiffrée
de la puissance du séisme par contre l’intensité d’un séisme est une échelle qui caractérise
qualitativement les effets des séismes sur l’environnement et sur les sociétés humaines, sur
base d’observation simples, pouvant être recueillies auprès des populations à l’aide de
questionnaires et de sondages
En d’autres termes la magnitude d’un séisme mesure l’énergie libérée au foyer d’un
séisme. Plus le séisme a libéré d’énergie, plus la magnitude est élevée par contre l’intensité
sismique est une définition de l’importance du séisme définie et classé de manière
qualitative en fonction des dégâts occasionnés à la surface c’est-à-dire l’intensité sismique
définie l’importance des dommages provoqués par un séisme en un point donné.
Réponse : la magnitude du moment est la puissance d’un séisme et est définie à partir de
𝟐
par 𝑴𝑶 par 𝑴𝒘 = 𝟑 × 𝐥𝐨𝐠 𝟏𝟎 𝑴𝑶 − 𝟔, 𝟎 par contre le moment sismique est une valeur
9. Si la magnitude d’un séisme est de 0,5 fois plus grande qu’un autre. Combien plus
grand sera l’énergie dégagée par ce séisme par apport à l’autre.
Réponse :
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10. Le sigle du modèle de la terre proposé par Brian L .N Kennet et Robert E. Engdahl
Réponse : IASP91 (ce modèle a été accepté comme modèle de référence par l’international
Association of Seismology and Physics of the EarthInterior (IASPEI) en 1991)
Réponse : lorsque les ondes de type P se réfractent dans le noyau liquide, elles prennent
le nom d’onde K (pour kern, noyau en allemand) ; des ondes S se converti en onde de
compression K dans le noyau liquide.
GEOTHERMIE
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A SUIVRE
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