Abdourahman Henariam GLT12
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THÉME:PREPARATION DE COMMANDE
AnnéEuniversities 2020/2021
Introduction......................................................................................................................................................................3
CONCLUSION.................................................................................................................16
Introduction
Viennent s’y ajouter des quantités de commande par article toujours plus petite, la
rotation augmente, avec un rythme de commande plus élève et un éventail plus large de
marchandises proposées, en tenant compte du nombre d’articles commandés et des
temps de réaction plus réduits
Les frais ainsi engendres obligent les fabricants et les distributeurs à revoir le
déroulement physique d’une commande au sein de l’entrepôt.
Pour cela, les entreprises sont tenues à maitriser leur processus de préparations de
commande afin de minimiser les couts et augmenté la satisfaction de leur clientèle. Mais
comment est-ce possible ?
Dans ce rapport nous allons essayer de rapporter des éléments de réponses à cette
question. Nous aborderons, dans une partie introductive la définition, et le
positionnement de la préparation de commande dans la SC, par la suite, nous
intéresserons aux méthodes et au processus du parking, dans un troisième temps , nous
évoquerons les zones de préparation de commande et leur dimensionnement pour enfin
conclure avec les facteurs d’optimisation de la préparation de commandes.
Généralement c’est un entrepôt ou une plate-forme, ensuite ces produits sont réexpédier
vers les différents clients.
Pour livrer chaque clients, celui-ci doit passer une commande soit mono référence, soit
multi références, à ce moment-là l’opération de la préparation de commandes intervient
en répondant aux besoins de ces clients.
Le tri informatique des articles sur les listes de prélèvement, Son but
principal est de faciliter le prélèvement et gagner du temps. Le tri des
listes réduit le nombre de rotation vers un même emplacement ou une
même zone de stockage;
tri physique des articles après le prélèvement. Effectué dans des centres
de tri, il a pour but la Le reconstitution des commandes clients et
l’optimisation du transport de livraison. Les articles prélevés sont groupés
par commande, par client, puis par zone géographique.
Il s’agit d’un mode de préparation à deux étapes. Dans un premier temps, les articles
sont prélevés dans leur emplacement de stockage sur la base de listes de prélèvement.
Ils sont ensuite acheminés vers une zone de préparation des commandes où ils seront
triés, regroupés par commande et emballés.
Ce mode de préparation se rencontre dans les zones de stockage muni d’un convoyeur
de drainage. Adapté pour effectuer des prélèvements en masse. Les cartons contenant
des quantités importantes d’articles sont déposés sur le convoyeur qui alimente à son
tour le centre de tri
C’est certainement la partie la plus complexe pour les sites importants qui doivent faire
face à un fort flux de commandes comportant du détail. Si le choix du mode de
préparation se fait sur les postes à faible déplacement, chacun des éléments suivants
doit être abordé lors du dimensionnement :
Quand la fonction emballage est nécessaire, elle peut être située dans la zone de
consolidation précédente. L’emballage peut être entièrement manuel, assisté par
quelques équipements ou automatisé. Les surfaces à prévoir dépendront directement
des solutions envisagées.
Dans le cadre d’une action qualité totale de l’entrepôt et si une commande n’est traitée
que par un seul préparateur, ce contrôle au départ est souvent supprimé. S’il ne l’est pas,
des dispositions peuvent être prises pour le faciliter.
Une zone d’attente particulière peut être dédiée aux commandes dites « à délai » ou aux
commandes export. Les palettes correspondantes peuvent séjourner plusieurs jours,
voire plusieurs semaines, le temps d’établir les documents douaniers, de vérifier la
solvabilité des clients, d’organiser un transport spécial.
1- Le contrôle pondéral.
Le concept est simple. Il s’agit de comparer le poids théorique d’un colis, colis standard
ou colis détail, au poids effectif. Le poids théorique est issu de la base de données
logistiques, directement pour les colis standards ou par addition des poids unitaires
pour les
15colis détail hétérogènes. Le poids effectif mesuré en cours ou en fin de préparation le
plus souvent au vol sur un convoyeur.
Si le poids mesuré ne correspond pas, à la tolérance près, au poids attendu, on en déduit
qu’il y a eu une erreur lors de la préparation. Mais tout n’est pas si simple en réalité. Les
sources d’erreurs sont multiples.
1.1. Les faiblesses du dispositive:
Ces faiblesses sont de deux sortes : les « fausses erreurs » créées par le système et les «
vraies erreurs » non détectées.
Parmi les sources d’erreur les plus souvent rencontrées dans la première catégorie, on
peut citer :
- Mauvaise saisie lors de l’établissement de la fiche logistique(d’où l’intérêt du dispositif
automatique).
- Variation de l’hygrométrie ambiante (à la fin d’une semaine pluvieuse, certaines
matières ont pu s’alourdir de 10%)
- Dérive du système de pesage.
Dans la seconde catégorie, on peut citer :
- Réglage de la tolérance trop laxiste.
- Confusion, lors de la préparation, entre deux références pesante même poids.
- Dérive du système de pesage une nouvelle fois.
L’ensemble des points ci-dessus explique la position tranchée des détracteurs du
contrôle pondéral. Une étude récente a montré que le taux des erreurs affichées était en
moyenne, pour tous les sites étudiés, de l’ordre de 22%, alors que le taux des erreurs
réelles était souvent dix fois moindre.
Conclusion
L’exploitation d’un entrepôt ou se pratique la préparation de commandes de détail de
plusieurs milliers ou de dizaines de milliers d’articles requiert une étude minutieuse de
l’implantation des zones de picking et une parfaite maitrise des paramètres qui gèrent
son approvisionnement car c’est là que se gagne la performance en terme de
productivité et de délais.
Pour cela il est nécessaire : de dispose ou recueillir des données fiable et complètes,
avoir une approche méthodologique rigoureuse, s’appuyer sur une équipe disponible et
compétence pour gère la transition.
Les risques encourus d’une étude d’implantation non menée à son terme sont de nature
à mettre l’entreprise en difficulté : retard des expéditions, livraison incomplètes,
démobilisation du personnel.
Comme pour tout changement important dans l’environnement de travail, il vaut mieux
pouvoir consacrer l’énergie disponible à former et accompagner les équipes dans
l’appropriation des outils mis à disposition plutôt que devoir l’investir dans la correction
des anomalies liées à un investissement insuffisant dans la phase préparatoire.