Rapport de Stage 1 DML
Rapport de Stage 1 DML
Rapport de Stage 1 DML
1-1-INTRODUCTION :
a -Historique :
1966 : création de la Base Maintenance Laghouat de la Région Transport
Oust (Mise en service de l’ouvrage OZ1).
b-Activités principales :
1-maintenance des machines tournantes.
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2-1-Origine des risques :
Les risques sont différents suivant :
2-2-Causes d’accident :
1- Contact direct : contact de personne avec une partie active d’un circuit
électrique.
3-Court-circuit : contact réalisé par un objet métallique entre une masse et une
partie active sous tension ou entre deux parties actives sous tension.
Contact direct
Contact d’une personne avec une partie active d’un circuit électrique sous
tension et le sol.
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Ce type de contact est TRES FRÉQUENT.
Contact direct
Ne partit a contact entre active sous tension et une autre partie active sous
tension « Phase et / ou Neutre ».
Contact d’une personne avec des masses mises accidentellement sous tension,
par suite :
Contact indirect
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Contact entre une masse mise accidentellement sous tension et le sol.
Contact indirect
Contact entre une masse mise accidentellement sous tension et une autre
masse mise accidentellement sous tension.
Court -circuit
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Contact réalisé par un objet métallique entre une masse et une partie active
sous tension ou entre deux parties actives sous tension.
3-1-présentation :
1-basse tension alternatifs 50/60Hz, à neutre isolé ou mis à la terre par une
impédance de type ZX.
3-2-fonctionnement :
1. Indicateur de lecture.
2. Réglage de sensibilité (indication optimale).
3. Bouton poussoir marche.
4. Alimentation 1 pile CEI 9V type PP3 ou 6LR61 (alcaline) non fournie.
5. Plaque signalétique.
6. Référence.
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Consignes de sécurité :
1. La
catégorie
III 600V
définie
par la
CEI1010
4-L’appareil de protection :
4-1-Contacteur :
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Le contacteur est un appareil mécanique de connexion qui n’est pas
commandé manuellement.
Contacteur à translation
4-1-1-Constitution :
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3. Un ressort de rappel.
LE CIRCUIT PRINCIPAL
LE CIRCUIT DE COMANDE
LE CIRCUIT AUXILAIRE
L’ORGANE MOTEUR
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Une petite vue générale avant de détailler tout cela
Il sera fonction :
De la nature et de la tension du réseau
De la puissance installée
Relais thermique
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4-2-1-Principe de fonctionnement :
Le relais thermique utilise la propriété d’un bilame formé de deux lames
minces de métaux ayant des coefficients de dilatation différents. Il s’incurve
lorsque sa température augmente. Pour ce bilame on utilise un alliage de
ferro-nickel et de l’invar.
Les deux lames sont intimement liées entre elles par soudage
4-2-2-Fonctionnement :
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3. Réglage de déclenchement.
4. Réglettes du différentiel.
5. Elément bimétallique avec résistance (bilame).
6. Départ de courant.
Réglettes du
différentiel
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5-La pince ampéremétrique :
Les installations à mises à la terre multiples en parallèle, sans qu’il soit
nécessaire de déconnecter les terres à contrôler. La manipulation s’effectue
par simple en serrage du conducteur de terre ou du piquet lui-même : les
mâchoires de ces3 pinces offrent un bon diamètre d’enserrage de 32 mm.
La mesure est particulièrement rapide et peut être réalisée même dans des
conditions d’environnement difficiles. Le point fort de cette nouvelle gamme
réside dans son étendue de mesurage : de 0,1 ohm à 1,2 k ohm.
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Les décisions qui sont prises par la suite sont donc basées sur des constats de
terrain authentiques.
Les modèles C.A 6412 et C.A 6415 intègrent une fonction d’ampèremètre. La
haute sensibilité de la sonde autorise la mesure des courants de fuite à la terre
(ou circulant dans les boucles de terre),à partir de 1 mA et jusqu’à 30
AAC .Cette caractéristique fournit une donnée supplémentaire essentielle
lorsque les systèmes de distribution de terre subissent des niveaux de bruit ou
d’harmonique élevés, modifiant la qualité de la puissance.
Pour préserver l’utilisateur d’une extinction inopinée de sa pince de terre,
l’état de la pile est visualisé à chaque mise en marche. Et un économiseur
coupe automatiquement l’alimentation au bout de 5 minutes, si aucune touche
n’a été sollicitée. Cette fonction peut être inhibée à la demande de l’utilisateur.
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Aperçu de la gamme C.A6410 C.A6412 C.A6415
6-Mise à la terre :
Il y a de nombreuses raisons d'effectuer une mise à la terre, la principale étant
de protéger les personnes. En France, les directives de mise à la terre destinées
à assurer la protection des personnes émanent de l'Union Technique de
l'Electricité (UTE).
Une bonne mise à la terre assure non seulement la sécurité des personnes mais
aussi la protection des équipements et des installations. Un système de mise à
la terre efficace permet d'accroître la fiabilité des équipements et de réduire le
risque de détérioration en cas de foudre ou de courant de défaut.
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L'UTE, par exemple, définit la mise à la terre comme "une connexion
conductrice intentionnelle ou non intentionnelle entre un circuit électrique ou
un équipement doté d'une terre et un corps conducteur servant de terre." En
principe, il faut faire une distinction entre mise à la terre du système et
protection par mise à la terre. Mis à part une liaison qui empêche les
différences de potentiel en cas de foudre, ces deux systèmes de mise à la terre
sont séparés. Les prises de terre servent essentiellement à assurer la protection
des personnes, des installations et des équipements. Elles constituent en outre
un moyen de dérivation efficace des courants de défaut, des coups de foudre,
des décharges électrostatiques, des perturbations électromagnétiques (EMI) et
des interférences haute fréquence (RFI). La mise à la terre d'un système se fait
en établissant de manière volontaire une connexion entre la ligne
d'alimentation secteur (en général la ligne neutre) et une électrode placée dans
le sol. Cette protection a pour objectif d'assurer à l'utilisateur une mise à la
terre garantissant toute sécurité à l'intérieur de l'installation.
6-2-Résistivité du sol :
6-3-Résistance de terre :
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température et la teneur en eau du sol. Pour être efficace, un système de mise
à la terre doit assurer une résistance de terre qui reste faible même lorsque les
conditions sont les plus défavorables.
Le terrain et l'eau étant plus stables dans les couches profondes, il est conseillé
d'enfoncer la prise de terre le plus profondément possible (c'est-à-dire en
dessous du niveau de la nappe phréatique).ans la mesure du possible, il faut
placer les prises de terre dans une zone où la température est constante, par
exemple dans une zone hors gel.
Attention : la présence d'eau et de sels dans les sols sayant une impédance
très faible est souvent à l'origine d'une importante corrosion au niveau des
prises de terre et de leurs bornes. Dans ce cas, il est vivement recommandé de
faire vérifier l'installation de mise à la terre au moins une fois par an. La
résistance pouvant varier en cours d'année de 20%, en fonction des saisons et
du vieillissement, il faut contrôler périodiquement les résistances de terre et
prendre les mesures correctives qui s'imposent.
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Mesure de la résistivité du sol –méthode de mesure à 4 pôles :
On travaille selon la méthode dite "de Wenner". Cette méthode, qui est universellement
reconnue, a été développée en 1915 par Frank Wenner.
La formule est la suivante:
= 2 A R
Où: = résistivité enm
= constante 3.1416
A = distance entre les sondes en m
R = résistance affichée sur l'appareil de mesure de terre.
Exemple :
Pour le système de mise à la terre, on utilise des prises de terre pénétrant à 3 m de
profondeur. Pour déterminer la résistivité du sol à une profondeur de 3 m, il faut placer les
4 sondes à une distance de 4 m les unes des autres. Ainsi la profondeur correspondante à la
valeur de résistivité mesurée est égale 3/4 de A soit 3 mètres (= 3/4 x 4) de profondeur pour
cet exemple. Il faut que les 4 sondes pénètrent dans le sol à une profondeur égale à A/20
(0,15 m).Lorsque l'affichage atteint100, la résistivité d'un mètre cube de terre est la
suivante :
= 2 xx 3 x 100, = 1885 m
Mesurer la résistivité
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CONCLUSION :
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