HP DP Troubleshooting
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Guide de dépannage
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Support
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efficace d'accéder aux outils interactifs d'assistance technique nécessaires à la gestion de votre activité. En tant
que client privilégié de l'assistance, vous pouvez depuis ce site :
l Rechercher des documents appropriés
l Envoyer et suivre des cas de support et des demandes d'amélioration
l Télécharger des correctifs logiciels
Autres problèmes 28
Le client échoue ("Connexion réinitialisée par un homologue") 28
Le client échoue (« Le client n’est membre d’aucune cellule ») 29
Journalisation excessive dans le fichier inet.log 30
Le périphérique StoreonceSoftware échoue en renvoyant le message "StoreOnce device
offline" 30
Communication contrôlée par cryptage 31
L'utilisation de l'instance Media Agent installée sur un Gestionnaire de cellule MoM échoue31
L'activation des communications chiffrées dans MoM échoue 31
La désactivation des communications chiffrées dans une cellule échoue 32
La désactivation des communications chiffrées dans un cluster non-Microsoft échoue 32
Les communications chiffrées ne fonctionnent pas 33
La session d'installation peut échouer en renvoyant un message d'erreur 33
Connexion au client impossible après l’activation de la communication de contrôle chiffrée
sur le client. 34
La connexion à CRS échoue après l'activation de communications chiffrées sur le
gestionnaire de cellule 35
Autres problèmes 88
Problème de communication interprocessus car le gestionnaire de session de base de
données n'est pas en cours d'exécution 88
La base de données de gestion des supports (MMDB) et la base de données catalogue
(CDB) ne sont pas synchronisées 89
IDB endommagée 89
La fusion d'une base de données de gestion des supports (MMDB) dans la Base de
données centralisée de gestion des supports (CMMDB) a échoué 90
La session de restauration de l'IDB a renvoyé des erreurs 90
Le fichier binaire DC signale une erreur pour les segments DCBF. 91
La restauration ponctuelle d'Oracle PDB échoue 91
La restauration ASM IR Oracle 3PAR échoue après un abandon de restauration manuel. 91
La sauvegarde de base de données enfichable (Pluggable database - PDB) échoue avec
l'erreur : la PDB n'existe pas 92
Procédure de dépannage
Pour résoudre les problèmes rapidement et efficacement :
1. nous vous invitons à vous familiariser avec les procédures générales de dépannage.
2. Vérifiez si votre problème est décrit dans le fichier Aide de Data Protector ou dans les sections de
dépannage des guides appropriés :
l Les procédures de dépannage des installations et des mises à niveau sont présentées dans le Guide
d'installation Data Protector.
l Les procédures de dépannage des sessions d'intégration des applications sont présentées dans le
Guide d'intégration Data Protector.
l Pour dépanner les problèmes liés aux sauvegardes avec temps d'indisponibilité nul (ZDB), reportez-
vous aux guides Guide de l'administrateur Data Protector Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul
et Guide d'intégration Data Protector Sauvegarde avec temps d'indisponibilité nul.
l Les procédures de dépannage de récupération après sinistre sont présentées dans le Guide de
récupération après sinistre Data Protector.
3. Si vous ne parvenez pas à résoudre votre problème, signalez-le au service support clientèle.
CONSEIL :
Pour accéder à une vue d'ensemble et à des conseils sur les performances de Data Protector,
consultez l'index de Aide de Data Protector : "performances".
Vérifications générales
Avant de commencer, vérifiez les points suivants :
l Vous ne dépassez pas les limitations actuellement définies. Pour des informations spécifiques sur les
limitations et les recommandations connues de Data Protector, ainsi que sur les problèmes connus dans
l'environnement Data Protector ou non-Data Protector, consultez la rubrique Annonces sur les produits,
notes sur les logiciels et références Data Protector.
l Votre problème n'est pas lié à un composant matériel ou logiciel tiers. Dans ce cas, contactez le
fournisseur pour demander une assistance.
l Les derniers correctifs Data Protector sont installés sur votre système. Les correctifs sont disponibles sur
la page Web : https://softwaresupport.softwaregrp.com/
Pour savoir comment procéder pour vérifier les correctifs Data Protector installés sur votre système,
consultez l'index de Aide de Data Protector : "correctifs".
l Vous disposez des correctifs appropriés à votre système d'exploitation.
Les correctifs appropriés à votre système d'exploitation sont répertoriés dans la section Annonces
sur les produits, notes sur les logiciels et références Data Protector.
l Pour les sauvegardes applicatives, la sauvegarde n'a pas échoué en raison d'une interruption de
l'application.
l La capacité du système de fichiers des journaux de débogage et les journaux de rétablissement
n'est pas dépassée.
l La capacité du système de fichiers des données d'application n'est pas dépassée.
l Le système n'a pas atteint sa limite de capacité de mémoire.
Fichier journal Description
debug.log Contient des conditions inattendues. Bien que certaines de ces informations
peuvent vous être utiles, elles sont principalement destinées aux équipes des
services de support.
inet.log Contient des événements liés à la sécurité locale pour le client, tels que des
demandes refusées. Sur les systèmes UNIX, il contient également des
requêtes soumises au service Inet de Data Protector.
media.log Chaque fois qu'un support est utilisé pour une sauvegarde, est initialisé ou
importé, une nouvelle entrée est créée dans ce fichier journal. Le fichier peut
être utilisé lors de la restauration de l'IDB, pour rechercher le support contenant
la sauvegarde de l'IDB et pour rechercher les supports qui ont été utilisés après
la dernière sauvegarde de l'IDB.
omnisv.log Contient des informations sur le moment où les services Data Protector ont été
arrêtés et démarrés.
Journaux de Contient les journaux de serveurs d'application pour des composants tels que
serveurs Scheduler et Missed Job Executions.
d'application
Les fichiers sont situés sous :
Systèmes Windows :données_programme_Data_Protector\log\AppServer
Systèmes UNIX :/var/opt/omni/log/AppServer
sm.log Contient des détails sur les erreurs internes survenues lors des sessions de
sauvegarde et de restauration, telles que des erreurs d'analyse des
spécifications de sauvegarde.
stats-HPECloud- Contient des rapports sur l'utilisation des journaux, générés depuis des
year-month.log passerelles cloud (Helion) lors des sessions de copie cloud. Les fichiers
contiennent des détails tels que ID de session, nom de périphérique, date et
heure, ou nombre de requêtes.
Les fichiers sont situés sous :
Systèmes Windows : données_programme_Data_Protector\log\Server
Systèmes UNIX :/var/opt/omni/log/Server
stats-Azure- Contient des rapports sur l'utilisation des journaux, générés depuis des
year-month.log passerelles cloud (Azure) lors des sessions de copie cloud. Les fichiers
contiennent des détails tels que ID de session, nom de périphérique, date et
heure, ou nombre de requêtes.
Les fichiers sont situés sous :
Systèmes Windows :données_programme_Data_Protector\log\Server
Systèmes UNIX :/var/opt/omni/log/Server
upgrade.log Ce journal a été créé au cours de la mise à jour et contient les messages de la
partie centrale de la mise à jour (UCP) et de la partie détaillée de la mise à jour
(UDP).
DPIDBsetup_ Ce journal est créé au cours de la mise à jour et contient des traces du
PID.log processus de mise à jour.
(Systèmes UNIX)
IS_install.log Contient une trace de l'installation distante et est stockée sur le serveur
d'installation.
sap.log, Les journaux spécifiques aux applications contiennent des traces des appels
oracle8.log, d'intégration entre l'application et Data Protector. Les fichiers sont stockés au
informix.log, sein des systèmes d'application.
sybase.log,
db2.log
comprend le nom de l'hôte lorsque le dispositif est relié, le nom du dispositif, le nom de la
bibliothèque, le nom du pool où le support est placé et le type de dispositif.
l Taille d'utilisation du périphérique : la taille d'utilisation du périphérique.
l Calendriers : La télémétrie du calendrier expose les informations groupées par types de sauvegarde
et de session. Cela représente le nombre de processus de sauvegarde complète et progressive
programmés chaque année par type de sauvegarde et de session.
l Licence basée sur la capacité (LBC) : La LBC est exploitée pour regrouper des informations sur la
capacité. Pour plus de détails, consultez le Guide d'installation Data Protector.
l Catégories de licences : Énumère le nombre de licences disponibles dans Data Protector.
l Utilisation des clients (informations collectées pour chaque client). Ces informations comprennent :
nom d'hôte, nom de l'application et taille totale des données sauvegardées.
l Utilisation du stockage (total des données sauvegardées sur le périphérique).
REMARQUE :
Les informations internes relatives aux clients sont collectées, mais les informations d'hôte
sont masquées ou remplacées par un format numérique.
REMARQUE :
La performance du Gestionnaire de cellule ne sera pas affectée de manière significative
pendant la collecte des données télémétriques.
DESCRIPTION :
L'hôte cible est sécurisé et a fait l'objet d'un accès par un hôte qui ne figure
pas dans sa liste d'autorités de cellule.
ACTION :
* Vérifiez et mettez à jour la liste des autorités de cellule du client.
* Si le client a été verrouillé, modifiez manuellement le fichier allow_hosts.
Options globales
Les options globales sont un groupe de paramètres, tels que timeouts et limits, qui définissent le
comportement de l'ensemble de la cellule Data Protector. Vous pouvez les définir dans le Gestionnaire
de cellule.
REMARQUE :
La plupart des utilisateurs doivent pouvoir utiliser Data Protector sans changer les options
globales.
Option globale Description
Options Omnirc
Les options omnirc sont utiles pour résoudre les problèmes liés aux autres paramètres affectant le
comportement du client Data Protector uniquement ou remplacer ces paramètres. Cependant utilisez-
les uniquement si le système d'exploitation le requiert. Les Agents de disque et les Agents de support
utilisent les valeurs de ces options.
Les options omnirc peuvent être définies sur chaque client dans le fichier :
Windows Vista, Windows 7, Windows 8, Windows Server 2008, Windows Server 2012 :
données_programme_Data_Protector\omnirc
Autres systèmes Windows : répertoire_Data_Protector\omnirc
Systèmes HP-UX, Solaris et Linux : /opt/omni/.omnirc
Autres systèmes UNIX et Mac OS X : /usr/omni/.omnirc
l Lorsque vous changez le fichier omnirc, redémarrez les services/démons Data Protector sur le
client Data Protector où vous avez modifié le fichier omnirc. Cela est obligatoire pour le démon
crs sur les systèmes UNIX et recommandé pour les services CRS et Inet Data Protector sur
les systèmes Windows. Sur Windows particulièrement, le redémarrage n'est pas requis lors de
l'ajout ou de la modification des entrées, uniquement lors de la suppression d'entrées (ou du
changement du nom du fichier).
REMARQUE :
Lorsque vous utilisez des caractères spéciaux dans les noms d'options dans le fichier omnirc,
tenez compte des limitations du système d'exploitation concernant les caractères pris en
charge pour définir les variables d'environnement. Par exemple, sur les systèmes UNIX, les
variables ne peuvent pas contenir les caractères suivants : Space Tab / : * " < > |.
Pour savoir comment définir les options omnirc lors de la récupération après sinistre, voir Guide de
récupération après sinistre Data Protector.
Option Omnirc Description
OB2_ENCRYPT_PVT_KEY Pour utiliser des clés privées cryptées pour l'installation à distance
sécurisée, affectez à cette option la valeur 1 sur le serveur d'installation.
La valeur par défaut est 0 (non définie).
restaurer.
Pour restaurer les sauvegardes cryptées par logiciel AES-256 avec
d'autres versions Data Protector, configurez cette option sur 0 (ou)
supprimez cette option du fichier omnirc, et redémarrez le démon inet de
ce client spécifique.
OB2DEVSLEEP Change le délai de veille entre chaque tentative lors du chargement d'un
périphérique.
OB2ENCODE Permet de toujours utiliser le codage des données, quelle que soit la
manière dont les options de sauvegarde sont définies dans la
spécification de sauvegarde.
OB2CHECKCHANGETIME Indique quand utiliser l'heure "last inode change" pour les sauvegardes
incrémentielles.
(Systèmes UNIX)
OB2SHMEM_IPCGLOBAL Cette option doit avoir la valeur 1 sur les clients HP-UX disposant de
l'Agent de disque et de l'Agent de support dans le cas où l'erreur
suivante se produit pendant la sauvegarde :
OB2VXDIRECT Active la lecture directe (sans cache) pour les fichiers système VxFS
avancés, ce qui améliore les performances.
OB2_CLP_MAX_ENTRIES Définit le nombre d'entrées que Windows NTFS Change Log Provider
peut maintenir en mémoire. La quantité de mémoire qu'utilise Change
(Systèmes Windows)
Log Provider dépend de la longueur de nom de fichier de toutes les
entrées. Minimum : 15 000 entrées (correspond à environ 25 Mo de
RAM). Par défaut : 100 000 entrées (environ 120 Mo de RAM). Si le
nombre est remplacé par une petite valeur et que toutes les entrées ne
peuvent pas être maintenues en mémoire, la durée de la sauvegarde
peut augmenter.
OB2PORTRANGE Cette option limite la plage de numéros de ports qu'utilise Data Protector
lors de l'allocation dynamique des ports d'écoute. Cette option est
généralement définie pour permettre l'administration d'une cellule via un
pare-feu. Notez que le pare-feu doit être configuré séparément et que la
plage spécifiée n'affecte pas le port d'écoute Inet.
OB2PORTRANGESPEC Limite la plage des numéros de port que des processus Data Protector
spécifiques utilisent. Notez que le pare-feu doit être configuré
séparément et que la plage spécifiée n'affecte pas le port d'écoute Inet.
Pour des exemples de définition de plage de ports, voir l'index Aide de
Data Protector : "support des pare-feu".
OB2HSMBACKUPALL Pour sauvegarder des fichiers d'attributs hors ligne, configurez cette
option sur 1. La valeur par défaut est 0 (non défini), et le processus de
sauvegarde ignore donc tous les fichiers d'attributs hors ligne.
Une fois cette option définie sur 1, l'Agent de disque vérifie tous les
fichiers d'attributs hors ligne dans Storage Optimizer, et effectue les
opérations de sauvegarde. En cas de fichier comportant un point
d'analyse, seule une sauvegarde de segments est effectuée sur les
systèmes d'exploitation Windows. Storage Optimizer crée des liens
programmables dans le cas de systèmes d'exploitation Linux.
En cas de fichiers d'attributs hors ligne qui ne comportent pas de point
d'analyse, les données sont rappelées et réhydratées ou non avant la
sauvegarde, selon le produit Gestion de stockage hiérarchique (HSM).
Ceci peut créer un fort trafic d'E/S et une surcharge système. Pour plus
d'informations, consultez la documentation du produit HSM.
Remarque : le point d'analyse se réfère à l'emplacement où les fichiers
externes sont pris en considération.
Conditions préalables
l Votre compte utilisateur doit être membre d'un groupe d'utilisateurs Data Protector Admin.
l Utilisée - indique l'état d'une option. Les options sélectionnées sont actives, tandis que la case
à cocher vide indique les options inactives dans le fichier d'options globales.
l Nom
3. Pour modifier une option, dans la colonne Valeur du panneau des résultats, cliquez sur la valeur à
modifier, cliquez sur l'icône d'édition , puis entrez une nouvelle valeur. Cliquez sur Enregistrer
pour enregistrer l'option.
Pour ajouter une option, cliquez sur l'icône Ajouter , définissez les paramètres de l'option dans
la boîte de dialogue, puis cliquez sur Ajouter.
ATTENTION :
Micro Focus recommande d'utiliser l'interface graphique pour définir les options globales, car
vous validez les modifications lors de l'enregistrement et réduisez les risques de problèmes liés
à des valeurs hors plage ou non valides, à la suppression accidentelle et aux erreurs
typographiques ou orthographiques.
Procédure
1. Ouvrez un éditeur de texte quelconque
2. Dans l'éditeur de texte, ouvrez le fichier global, situé dans le répertoire de configuration du
serveur Data Protector par défaut, dans le sous-répertoire options.
3. Pour activer une option, supprimer la marque # de son nom et définissez-la sur la valeur souhaitée.
4. Enregistrez le fichier au format Unicode.
Action
Consultez votre administrateur réseau. En fonction de la façon dont votre environnement est configuré pour
effectuer la résolution du nom, le problème doit être résolu dans votre configuration DNS ou dans le fichier
hosts sur les clients concernés, qui se trouvent dans :
Systèmes Windows :%SystemRoot%\system32\drivers\etc
Systèmes UNIX :/etc
Action
Action
Data Protector utilise intensément les horodatages pour la communication entre divers composants
de cellule (Gestionnaire de cellule, clients). Si les horloges du Gestionnaire de cellule et des clients
diffèrent significativement, par exemple de plusieurs semaines ou mois (par exemple si vous avez
modifié les paramètres à des fins de test ou l'horloge système n'a pas été mise à jour après une
restauration de machine virtuelle, etc.), des résultats inattendus peuvent survenir, dont des erreurs
de communication, des erreurs lors de la recherche ou de la restauration de sauvegardes et ainsi de
suite.
Action
Vérifiez les paramètres d'heure du système et vérifiez que les horloges système ne différent pas
significativement.
Notez que si l'horloge du client n'est pas synchronisée avec celle du Gestionnaire de cellule, le
certificat peut devenir invalide, causant ainsi un échec d'authentification. Par exemple, lorsque
l'horloge sur le Gestionnaire de cellule est en avance sur l'horloge du client, le certificat créé lors de
l'installation n'est pas encore valide pour le client qui tente de s'y connecter.
La base de données est capable de récupérer à un état cohérent après des événements inattendus
comme des pannes de courant, des erreurs sérieuses de système d'exploitation ou de matériel et
autres. Cependant, le premier accès à la base de données (après la récupération système) peut
échouer avec une erreur interne. Il s'agit d'un problème temporaire qui ne survient qu'une fois.
Action
Dans le contexte de la base de données interne de l’interface graphique utilisateur Data Protector, le
statut de la session d’une ou plusieurs sessions Data Protector qui ne sont pas en cours d’exécution
reste marqué comme In Progress.
Action
Action
Action
Autres problèmes
Le client échoue ("Connexion réinitialisée par un
homologue")
Problème
Sur les systèmes Windows, les paramètres de configuration par défaut du protocole TCP/IP peuvent
provoquer des problèmes de connectivité. Cela peut se produire en raison d'une utilisation intensive
du réseau ou de l'ordinateur, d'un réseau peu fiable ou pendant la connexion à un autre système
d'exploitation. L'erreur suivante est renvoyée :
[10054] Connection reset by peer.
Action
Vous pouvez configurer le protocole TCP/IP de sorte qu'il utilise 8 retransmissions au lieu des 5
définies par défaut. Il est préférable de ne pas utiliser des valeurs plus importantes car chaque
incrément double le délai. Ce paramètre s'applique à toutes les connexions réseau, et pas seulement
aux connexions utilisées par Data Protector.
Si le Gestionnaire de cellule fonctionne sur un système Windows, appliquez tout d'abord la
modification à ce système. Si le problème persiste ou si le Gestionnaire de cellule fonctionne sur un
système UNIX, appliquez la modification aux clients Windows problématiques.
1. Ajoutez le paramètre DWORD TcpMaxDataRetransmissions et définissez sa valeur sur
0x00000008(8) sous la clé de registre suivante :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet \Services\Tcpip\Parameters
2. Redémarrez le système.
ATTENTION :
En cas d'erreur lors de la modification du registre, votre système risque de devenir instable,
voire inutilisable.
Lorsque vous exécutez une opération Data Protector sur un client et que les informations du
Gestionnaire de cellule sont introuvables sur ce client, l'opération échoue avec l'erreur suivante :
The Client is not a member of any cell.
Action
l Si le client est répertorié dans le contexte Clients de l'interface utilisateur Data Protector :
1. Dans le contexte Client, développez Clients, cliquez avec le bouton droit de la souris sur le
client puis cliquez sur Supprimer.
2. Une boîte de dialogue vous invite à indiquer si vous voulez également désinstaller Data
Protector du client. Cliquez sur Non.
3. Cliquez sur Clients avec le bouton droit de la souris, puis cliquez sur Importer client.
4. Indiquez le client et cliquez sur Terminer.
l Si le client n'est pas répertorié dans le contexte Clients :
1. Dans le contexte Client, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Clients puis cliquez sur
Importer client.
Si les clients ne sont pas sécurisés et que le Gestionnaire de cellule est configuré dans
l’environnement Serviceguard ou a plusieurs noms ou adresses IP, le fichier inet.log peut contenir
de nombreuses entrées du type suivant :
A request 3 (vbda.exe) came from host computer.company.com which is not a cell
manager of this client.
Cela se produit lorsqu'un client qui n'est pas sécurisé reconnaît uniquement le nom d'hôte principal
du Gestionnaire de cellule. Les requêtes des autres clients sont autorisées, mais sont enregistrées
dans le fichier inet.log.
Action
Sécurisez le client. Les requêtes des clients répertoriés dans le fichier allow_hosts ne seront pas
enregistrées dans inet.log. Les requêtes provenant des autres clients seront refusées.
Si cette solution n'est pas applicable dans votre environnement, vous pouvez sécuriser les clients et
indiquer * en tant que plage d'adresses IP pour les systèmes auxquels vous souhaitez accorder un
accès. Dans ce cas, vos clients accepteront les requêtes provenant de tous les systèmes (toutes
les adresses IP) et ne seront pratiquement pas sécurisés, mais cela vous permettra de résoudre le
problème de journalisation excessive.
IMPORTANT :
Tous les noms d’hôte possibles pour les noeuds du Gestionnaire de cellules doivent être
répertoriés dans le fichier allow_hosts sur chaque client sécurisé. Ceci permet d'accéder au
client même en cas de basculement. Si vous verrouillez un client par accident, vous pouvez
manuellement modifier le fichier allow_hosts sur ce client.
Si la Communication de contrôle chiffrée est déjà activée avec le service StoreOnceSoftware (SOS)
et que le hpdpcert.pem par défaut est utilisé, la mise à niveau vers Data Protector 9.05 ou une
version ultérieure s’effectue et SOS n’accepte pas d’autres connexions.
Action
Pour s’assurer que les connexions SOS sont acceptées après la mise à niveau vers Data Protector
9.05 ou une version ultérieure, consultez le Gide d’installation Data Protector 9.08 (Chapitre 6 :
Maintenance de l’installation > Considérations sur la sécurité > Gestion de la communication de
contrôle chiffrée).
Action
Utiliser l’agent sur support, qui n’a pas été installé sur l’hôte Gestionnaire de cellule
ou
Supprimer l’exception de communication de contrôle chiffrée sur l’hôte Gestionnaire de cellule /
Agent sur support problématique pour le Gestionnaire de cellule où l’hôte Agent sur support est
utilisé.
Lorsque la communication de contrôle chiffrée est activée dans un environnement MoM complet,
pour certaines cellules, la communication de contrôle chiffrée est activée uniquement sur les
Gestionnaires de cellule, mais n’est pas activée sur les clients correspondants.
Cela peut arriver si l’heure universelle standard (HUS) sur un Gestionnaire de cellule problématique
n’est pas la même que l’HUS sur le serveur MoM. En conséquence de quoi, les certificats qui
viennent d’être générés risquent de ne pas encore être valides et les certificats ne peuvent pas être
générés pour les clients restants.
Action
1. Vérifiez que l’HUS est la même sur tous les Gestionnaires de cellule dans l’environnement MoM.
2. Supprimez la communication de contrôle chiffrée sur les Gestionnaires de cellule
Lorsque vous désactivez la communication chiffrée dans une cellule entière, pour certains clients et
le Gestionnaire de cellule, la communication de contrôle chiffrée reste activée.
Les communications de contrôle chiffrées ne peuvent pas être désactivées dans le gestionnaire de
cellule si ce dernier comporte un client sur lequel les communications chiffrées sont toujours
activées. Il existe plusieurs raisons pour lesquelles la communication chiffrée n’est pas désactivée
sur les clients :
l Le client est hors ligne.
l Le client n’a pas effectué la mise à niveau vers Data Protector 9.03 ou une version ultérieure.
l La communication de contrôle chiffrée entre le Gestionnaire de cellule et le client est rompue (par
exemple, le certificat sur le client a expiré).
Action
Lorsque la communication de contrôle chiffrée est désactivée dans une cellule avec un cluster non
Microsoft (par exemple le Gestionnaire de cellule est configuré dans le cluster Serviceguard), sur
certains noeuds, la communication chiffrée reste activée, et sur d’autres, elle est désactivée.
Les communications de contrôle chiffrées ne peuvent pas être désactivées dans le gestionnaire de
cellule si ce dernier comporte un client sur lequel les communications chiffrées sont toujours
activées. À présent, le problème se pose si le Gestionnaire de cellule est configuré dans un cluster.
Data Protector n’étant pas capable de détecter correctement les systèmes qui font partie du cluster
non Microsoft, il peut arriver que la communication chiffrée soit désactivée sur les noeuds passifs,
mais sur le noeud actif (Gestionnaire de cellule actuel), la communication chiffrée reste activée.
Vous pouvez également rencontrer le même problème si un des noeuds du cluster est désactivé.
Action
1. Activez la communication chiffrée sur tous les noeuds qui font partie du cluster, y compris le
serveur virtuel de cluster pour obtenir un état cohérent.
2. Suivez la procédure décrite dans la section « Désactivation de la communication chiffrée quand
le Gestionnaire de cellule est compatible cluster » dans le guide d’installation Data Protector.
3. Vous pouvez également consulter la section « Désactivation manuelle de la communication
chiffrée » dans le guide d’installation Data Protector .
Lorsque la communication de contrôle chiffrée est activée dans une cellule, la communication entre
le Gestionnaire de cellule et les clients ne fonctionne pas correctement. Le problème peut se
manifester de plusieurs façons. Par exemple, il est possible que vous ne puissiez pas parcourir les
fichiers sur les clients lors de la création de spécifications de sauvegarde.
La raison peut être que l’Heure standard universelle sur le Gestionnaire de cellule n’est pas la même
que l’heure standard universelle sur les clients. Même une différence de deux minutes peut créer un
problème. Par conséquent, les certificats qui viennent d’être générés risquent de ne pas être valides.
Action
1. Vérifiez que le Gestionnaire de cellule et les clients utilisent la même Heure standard universelle.
2. Patientez quelques minutes. Le nombre de minutes dépend de la différence de temps que vous
aviez.
3. Si le problème persiste, désactivez la communication chiffrée comme décrit dans la section
« Désactivation manuelle de la communication chiffrée » dans le manuel d’installation Data
Protector .
4. Activez de nouveau la communication chiffrée.
Action
Après avoir activé la communication de contrôle chiffrée sur le client, vous ne parvenez pas à vous
connecter au client et quand vous exécutez -omnirsh client.company.com INFO, vous obtenez le
message suivant :
[Critical] From: [email protected] "cli" Time: 4/9/2015 4:18:25 PM
Cannot connect to host: Secure communication protocol negotiation error when
trying to establish a connection. Check the validity of certificates and their
configuration.
Action
Vérifiez la validité du certificat sur le système client. Si le certificat vient d’être généré et que l’heure
sur le client est correctement définie, alors il est possible que le certificat ne soit pas encore valide.
IMPORTANT :
La validité et l’expiration des certificats doivent être contrôlées. Les certificats qui ne sont plus
(ou pas encore) valides ne fonctionneront pas.
Avec openssl, vous pouvez vérifier les dates de validité des certificats. Par exemple :
ProgramData\OmniBack\Config\Server\certificates> openssl x509 -in <hostname>_
cert.pem -subject -dates -noout
subject= /C=US/ST=CA/O=HEWLETT-PACKARD/CN=<hostname>
notBefore=Apr 8 10:55:13 2015 GMT
notAfter=Apr 5 10:55:13 2025 GMT
Avec openssl, vous pouvez également vérifier si le certificat expirera dans un futur proche. Par
exemple, openssl peut indiquer si le certificat expirera dans un jour :
ProgramData\OmniBack\Config\Server\certificates> openssl x509 -in <hostname>_
cert.pem -checkend 86400
The certificate will not expire.
Après avoir activé la communication de contrôle chiffrée sur le Gestionnaire de cellule, la connexion
à CRS échoue. Le services du Gestionnaire de cellule sont activés, mais la connexion à CRS
échoue.
Action
Action
L'administrateur système doit vous accorder l'autorisation de démarrer, d'arrêter et de modifier des
services sur le système que vous administrez.
Si le compte de service n'a pas l'autorisation de démarrer le service ou si ses propriétés (par
exemple, le mot de passe) ont été modifiées, l'erreur suivante apparaît :
The Data Protector Inet service failed to start due to the following error:
The service did not start due to a logon failure.
Action
L'emplacement du service est enregistré dans la clé de registre ImagePath. Si l'exécutable n'existe
Action
Réinstallez Data Protector sur le Gestionnaire de cellule, en conservant la base de données interne.
Si le service Data Protector CRS ne démarre pas et que mmd.exe invoque un diagnostic Dr.Watson,
les fichiers journaux de la base de données sont probablement corrompus.
Action
1. Supprimez le fichier mmd.ctx du répertoire de la base de données interne Data Protector par
défaut.
2. Redémarrez les services à l'aide des commandes omnisv -stop et omnisv -start.
o Data Protector Media Management Daemon (démon de gestion des supports) : mmd
Action
Consultez le fichier omni_start.log pour plus de détails. Le fichier se trouve dans le répertoire des
fichiers temporaires Data Protector par défaut.
Assurez-vous que les fichiers de configuration suivants existent :
l /etc/opt/omni/server/options/global
l /etc/opt/omni/server/options/users/UserList
l /etc/opt/omni/server/options/ClassSpec
Sur les systèmes HP-UX, le service hpdp-idb ne démarre pas et l'erreur suivante est consignée dans
le fichier journal PostgreSQL (/var/opt/omni/server/db80/pg/pg_log) :
FATAL: could not create shared memory segment: Not enough space
DETAIL: Failed system call was shmget(key=7112001, size=2473459712, 03600).
Ce problème survient car le service hpdp-idb ne peut pas obtenir la quantité de mémoire partagée
nécessaire en raison de la fragmentation de la mémoire sur le système.
Action
Le service CRS Data Protector ne peut pas démarrer et l'erreur suivante s'affiche :
[Critical] From: [email protected] "" Time: 03/04/13 11:47:24 Unable to
start MMD: Unknown internal error..
Action
1. Supprimez le fichier mmd.ctx du répertoire de la base de données interne Data Protector par
défaut.
2. Redémarrez les services à l'aide des commandes omnisv -stop et omnisv -start.
Data Protector les performances sur systèmes UNIX peuvent être affectées si le démon de mise en
cache du serveur de noms (nscd) est désactivé.
Les systèmes UNIX et Windows n'ont pas de cache de serveur de noms par défaut. Data Protector
Les opérations créent de nombreuses requêtes DNS qui peuvent être affectées si le démon de mise
en cache du serveur de noms (nscd) est désactivé.
Action
1. Vérifiez que le démon de mise en cache du serveur de noms (nscd) est activé et configuré.
La configuration du nscd varie selon la plateforme. Pour plus d'informations, voir la
documentation de votre plateforme.
2. Vérifiez les paramètres DNS et assurez-vous que l'ordre de recherche DNS est correctement
configuré avec le domaine local en premier dans le fichier etc/resolv.conf.
3. Redémarrez les services à l'aide des commandes omnisv -stop et omnisv -start.
Ce problème peut être causé par un pare-feu fermant une connexion inactive.
Action
Veillez à ce que la connexion reste active afin que le pare-feu ne la ferme pas. Définissez les options
omnirc suivantes :
OB2IPCKEEPALIVE=1
OB2IPCKEEPALIVETIME=number_of_seconds
OB2IPCKEEPALIVEINTERVAL=number_of_seconds
OB2IPCKEEPALIVETIME indique pendant combien de temps la connexion peut rester inactive avant
que le premier paquet de supervision ne soit envoyé et OB2IPCKEEPALIVEINTERVAL indique
l'intervalle d'envoi de paquets de supervision successifs si aucun accusé n'est reçu. Les options
doivent être définies sur le système Gestionnaire de cellule.
Action
Contactez l'Data Protector administrateur chargé de vous définir en tant qu'utilisateur et de vous octroyer
les droits d'utilisateur appropriés dans la cellule.
Pour plus d'informations sur la configuration des groupes d'utilisateurs, consultez ll'indexAide de Data
Protector : "groupes d'utilisateur".
Sur Windows, la réponse de la commande telnet hostname 5565 est Connection refused.
Action
l Si le service Data Protector Inet n'est pas exécuté sur le système à distance, exécutez la
commande omnisv -start pour le lancer.
l Si Data Protector n'est pas installé sur le système distant, installez-le.
Action
Si le problème n'est pas lié à la communication entre les systèmes, vérifiez l'installation à l'aide de
telnet.
Il se peut que certains composants ne soient pas installés (correctement). Vérifiez les étapes de
l'installation dans le guide Guide d'installation Data Protector.
Si l'installation est correcte, exécutez la commande omnisv -status pour vérifier si les services du
Gestionnaire de cellule sont exécutés correctement.
Action
L'utilisateur de Data Protector doit avoir configuré correctement les informations d'emprunt d'identité
dans Inet.
Après avoir tenté d'invoquer une commande Data Protector dans la fenêtre Invite de commande ou
dans la fenêtre Terminal, l'interpréteur de ligne de commande signale que la commande est
introuvable.
Action
Avant d'exécuter la sauvegarde incrémentale d'un objet, Data Protector doit disposer d'une sauvegarde
complète comme base de comparaison afin d'identifier les fichiers qui ont été modifiés et qui doivent ainsi
être inclus dans la sauvegarde incrémentale. Si aucune sauvegarde complète protégée n'est disponible, il
en exécute une.
Action
La description a changé
Problème
Un objet sauvegarde est défini par un client, un point de montage et une description. Si l'une de ces trois
valeurs change, Data Protector la considère comme un nouvel objet sauvegarde et effectue une
sauvegarde complète au lieu d'une sauvegarde incrémentale.
Action
Une sauvegarde complète protégée existe déjà, mais avec des arborescences différentes de la
sauvegarde incrémentale. Il y a deux raisons possibles à cela :
l Vous avez modifié les arborescences dans la spécification de sauvegarde de la sauvegarde complète
protégée.
l Vous avez créé plusieurs spécifications de sauvegarde avec le même objet sauvegarde, mais avec des
arborescences différentes pour l'objet.
Action
S'il existe plusieurs spécifications de sauvegarde avec le même objet sauvegarde, modifiez la description
universelle (générée automatiquement) de l'objet. Data Protector les considère comme de nouveaux objets
et exécute une sauvegarde complète. Après exécution d'une sauvegarde complète, des sauvegardes
incrémentales sont envisageables.
Si l'exécution de vos sauvegardes est configurée comme étant privée, la personne qui démarre la
sauvegarde est considéré comme le propriétaire des données. Par exemple, si l'utilisateur A effectue
une sauvegarde complète alors que l'utilisateur B tente de démarrer une sauvegarde incrémentale,
cette dernière sera exécutée en tant que sauvegarde complète. Cela est dû au fait que les données
de l'utilisateur A sont privées et ne peuvent pas être utilisées comme base pour la sauvegarde
incrémentale de l'utilisateur B.
Action
Indiquez la propriété des sauvegardes dans les options de spécification de sauvegarde avancées. Le
propriétaire de la sauvegarde doit appartenir au groupe d'utilisateurs Admin. Cet utilisateur devient
propriétaire de toutes les sauvegardes basées sur cette spécification, indépendamment de la
personne qui démarre la session de sauvegarde.
Pour des instructions, reportez-vous à Aide de Data Protector l’index : « définition des options de
sauvegarde ».
Ce problème peut se produire sur les systèmes Windows, HP-UX et Linux. Si vous avez mis à
niveau Data Protector depuis la version A.06.11, l'ancien référentiel de sauvegarde incrémentale
avancée ne peut plus être utilisé avec la nouvelle version du produit. Par conséquent, une
sauvegarde complète est exécutée. Pendant une sauvegarde complète, un nouveau référentiel de
sauvegarde incrémentale avancée est créé dans l'emplacement suivant :
Systèmes Windows :répertoire_Data_Protector\enhincrdb
Systèmes UNIX :/var/opt/omni/enhincrdb
Action
Action
Chaque fois qu'une sauvegarde est démarrée, l'autorisation de lancer une session de sauvegarde
est requise et vérifiée pour l'utilisateur qui exécute actuellement Data Protector. Si l'utilisateur ne
dispose pas de cette autorisation, la session ne peut pas être démarrée.
Action
Vérifiez que l'utilisateur appartient à un groupe d'utilisateurs qui dispose de droits appropriés.
Pour plus d'informations sur la configuration des groupes d'utilisateurs, consultez l'index :Aide de
Data Protector« groupes d’utilisateurs ».
Les sessions planifiées ne s'exécutent plus parce que le compte système Data Protector qui est
censé les démarrer ne se trouve pas dans le groupe d'utilisateurs Admin sur le Gestionnaire de
cellule.
Ce compte est ajouté au groupe Admin Data Protector sur le Gestionnaire de cellule lors de
l'installation. S'il est modifié et que les autorisations correspondantes sont supprimées ou que le
compte du service change, les sessions planifiées ne s'exécutent plus.
Action
Ajoutez le compte Data Protector au groupe d’utilisateurs Admin sur le Gestionnaire de cellule.
Une session de sauvegarde n'est démarrée qu'une fois que Data Protector a vérifié les licences
disponibles. Si aucune licence n'est disponible, la session échoue et Data Protector émet l'état de
session No licenses available.
Action
Action
Arrêtez et démarrez les démons Data Protector en exécutant omnisv -stop et omnisv -start.
Même si l'espace disque est suffisant sur les supports, ils ne seront pas utilisés en raison de la
stratégie Non Appendable appliquée au pool.
Action
Remplacez la stratégie du pool de supports par Appendable pour activer l'ajout de sauvegardes
jusqu'à ce que les supports soient pleins.
Par défaut, les supports ne sont pas automatiquement formatés. Si aucun support formaté n'est
disponible, une demande de montage est émise.
Action
Les supports du périphérique sont formatés mais différents de ceux qui figurent dans la liste de
préallocation de la spécification de sauvegarde et le pool de supports spécifié est associé à la
stratégie Strict.
Si vous utilisez une liste de préallocation de supports en combinaison avec la stratégie de supports
Strict, les supports exacts indiqués dans la liste de préallocation doivent être disponibles dans le
périphérique quand une sauvegarde est démarrée.
Action
l Pour pouvoir utiliser les supports disponibles dans le périphérique avec la liste de préallocation,
remplacez la stratégie de pool de supports par la stratégie Loose.
l Pour pouvoir utiliser tout support disponible dans le périphérique, supprimez la liste de
Lorsque vous utilisez un périphérique de bibliothèque de fichiers, vous pouvez recevoir une demande
de montage avec le message suivant :
There is no disk space available for file library File Library Device. Add some
new disk space to this library.
Action
Certains noms de fichier ou messages de session contenant des caractères non-ASCII ne sont pas
affichés correctement. Cela se produit lorsqu'un codage de caractères inapproprié est utilisé pour
afficher des noms de fichier et de messages de session dans l'interface utilisateur Data Protector.
Action
Spécifiez le codage approprié. Dans le menu Affichage, sélectionnez Codage et sélectionnez le bon
jeu de caractères.
Problèmes de cluster
Les services IDB ne sont pas synchronisés
Problème
Sur les systèmes UNIX, lorsque vous effectuez une restauration de l'IDB vers un emplacement
différent sur un environnement Serviceguard et qu'un ou plusieurs noeuds du cluster sont hors ligne,
les services IDB ne sont pas synchronisés pour tous les noeuds une fois la session terminée.
Action
Pour synchroniser l'emplacement des fichiers de données de l'IDB pour tous les noeuds dans un
environnement de cluster, exécutez la commande omnidbutil -sync_srv sur le noeud de cluster
actif.
Lors d'une sauvegarde incrémentale du système de fichiers d'un volume partagé cluster ayant
l'option Utiliser le fournisseur de journaux des modifications du système de fichiers natif s'il
est disponible sélectionnée dans une spécification de sauvegarde, une sauvegarde complète est
effectuée à la place et le message d'erreur suivant s'affiche :
[Major] From: VBDA@Host Name "F:" Time: Date Time
The Change Log Provider could not use the Directory Database. This session will
use the normal file system traversal.
Action
Pour vous assurer que les sauvegardes incrémentales sont correctement effectuées, créez un lien
symbolique de la base de données Module fournisseur d'informations sur les modifications vers un
volume partagé cluster séparé en procédant comme suit :
1. Sélectionnez un disque partagé vers lequel vous pouvez diriger la base de données du Module
fournisseur d'informations sur les modifications pour les volumes partagés. Dans le cas du
Gestionnaire de cellule de cluster Data Protector, vous pouvez choisir le disque partagé Data
Protector.
2. Créez un répertoire sur le disque partagé, par exemple : E:\Omniback\clp
3. Accédez au répertoire répertoire_Data_Protector\clp et créez un lien symbolique vers le
répertoire créé.
Par exemple, pour sauvegarder un disque partagé J, exécutez
mklink /D J E:\Omniback\clp\J
où E:\Omniback\clp\J est un lien symbolique créé pour un disque partagé J et E est un volume
partagé cluster accessible depuis les autres noeuds du cluster.
Créez le lien vers la base de données du fournisseur d'informations sur les modifications pour le
volume partagé sur tous les noeuds du cluster sur lesquels des sauvegardes incrémentales sont
effectuées après un basculement sur cluster.
Vous avez lancé une sauvegarde avec un Gestionnaire de cellule Data Protector compatible cluster
et l'option de sauvegarde Restart backup of all objects activée. Un basculement s'est produit
pendant la sauvegarde ; la session de sauvegarde a donc été redémarrée sur un autre noeud de
cluster et elle s'est terminée correctement. Lors d'une tentative de restauration à partir de la dernière
sauvegarde, l'erreur suivante s'affiche bien que la session se soit terminée correctement :
You have selected a version that was not successfully completed. If you restore
from such a backup, some or all the files may not be restored correctly.
Si les horloges système sur les noeuds de cluster du Gestionnaire de cellule ne sont pas
synchronisées, il est possible que l'horodatage de la sauvegarde qui a échoué soit postérieur à celui
de la sauvegarde qui a redémarré. Lors de la sélection des données pour la restauration, c'est la
dernière version de sauvegarde qui est utilisée par défaut, ce qui entraîne une restauration à partir de
la sauvegarde qui a échoué.
Action
Pour effectuer une restauration à partir de la dernière sauvegarde réussie, sélectionnez la version de
sauvegarde correcte.
Pour éviter les erreurs de ce type, nous vous recommandons de configurer un serveur horaire sur
votre réseau, afin d'assurer la synchronisation automatique des horloges système sur les noeuds de
cluster du Gestionnaire de cellule.
Sur un système Windows Server 2008 ou Windows Server 2012, la sauvegarde de l'objet
CONFIGURATION sur un noeud de cluster échoue en renvoyant l'erreur suivante :
[Minor] From: [email protected] "CONFIGURATION:" Time: Date Time
[81:141] \Registry\0.Cluster
Cannot export configuration object: (Details unknown.) = backup incomplete
Action
Redémarrez le service Inet de Data Protector sous le compte utilisateur utilisé pour exécuter le
service de cluster, puis redémarrez la sauvegarde.
Il se peut que la restauration de l'IDB sur un autre gestionnaire de cellule ait échoué en renvoyant le
message suivant :
Recovery of the Internal Database failed.
Action
Action
Cette situation peut se produire dans les circonstances suivantes sur un gestionnaire de cellule HP-
UX : lors d'un processus de restauration dans un autre Gestionnaire de cellule ou dans le même
Gestionnaire de cellule, mais si les mots de passe postgres ont été modifiés après la restauration de
la session de sauvegarde ou après l'installation d'un nouveau Gestionnaire de cellule.
Problème
Procédure
1. Restaurez uniquement les fichiers de configuration vers un autre emplacement <restore-conf>
jusqu'au point de restauration complète de l'IDB.
2. Procédez à la restauration complète de l'IDB mais ne choisissez pas de restaurer les fichiers
binaires de catalogue des détails (DCBF) dans leur emplacement initial.
3. Enregistrement d'une sauvegarde de /etc/otp/omni/server/idb/idb.config vers
idb.config.bkp
4. Effectuez des copies de fichiers de l'emplacement <restore-conf> vers l'emplacement
d'origine :
a. cp <restore-conf>/etc/opt/omni/server/idb/idb.config
/etc/opt/omni/server/idb/idb.config
b. cp <restore-conf>/etc/opt/omni/server/idb/ulist
/etc/opt/omni/server/idb/ulist
c. cp <restore-conf>/etc/opt/omni/server/AppServer/standalone.xml
/etc/opt/omni/server/AppServer/standalone.xml
5. Modifiez les champs suivants dans le fichier idb.config pour pointer vers l'emplacement
correct (les emplacements corrects sont stockés dans le fichier idb.config.bkp)
a. PGDATA_PG='/space/restore1/pg';
b. PGDATA_IDB='/space/restore1/idb';
c. PGDATA_JCE='/space/restore1/jce';
d. PGWALPATH='/space/restore1/pg/pg_xlog_archive' ;
Après avoir effectué une restauration complète et après l'application de la solution proposée pour les
problèmes suivants :
La restauration de l'IDB dans un autre Gestionnaire de cellule peut échouer, ainsi que la restauration
de l'IDB à la fin d'un processus de restauration,
échec de la connexion entre l'interface graphique (GUI) et le Gestionnaire de cellule, avec le
message d'erreur suivant :
A server error has occurred. Reported error message: couldn't connect to host .
Action
Autres problèmes
La restauration des segments Storage Optimizer renvoie
une erreur
Problème
Le Data Protector échoue à restaurer les segments Storage Optimizer même quand le fichier cible
existe déjà sur le système, et il renvoie l’erreur suivante :
« Le fichier ne peut pas être remplacé »
Action
Ce problème peut se produire si vous avez ouvert récemment le fichier existant. Vous pouvez
effectuer l'une des opérations suivantes :
a) Restaurer le fichier à un autre emplacement
b) Attendre que Storage Optimizer émette le fichier puis réessayer
c) Renommer le fichier existant
Lors de la planification des sauvegardes, vous disposez de la même période de protection pour les
sauvegardes complètes et incrémentales, ce qui signifie que les sauvegardes incrémentales sont
protégées pour la même durée que la sauvegarde complète correspondante. Par conséquent, vos
données ne sont protégées que jusqu'à l'expiration de la sauvegarde complète. Il est impossible de
restaurer les sauvegardes incrémentales basées sur des sauvegardes complètes qui ont expiré.
Action
Configurez la protection des sauvegardes complètes de façon à ce qu'elle dure plus longtemps que
celle des sauvegardes incrémentales.
La différence entre la durée de la protection de la sauvegarde complète et celle de la sauvegarde
incrémentale doit être égale à la durée entre la sauvegarde complète et la dernière sauvegarde
incrémentale la précédant.
Par exemple, si vous effectuez des sauvegardes incrémentales du lundi au vendredi, et des
sauvegardes complètes tous les samedis, vous devez définir, pour la protection de la sauvegarde
complète, une durée supérieure d'au moins 6 jours à celle des sauvegardes incrémentales. Votre
sauvegarde complète reste ainsi protégée et disponible jusqu'à l'expiration de votre dernière
sauvegarde incrémentale.
Sous systèmes HP-UX, la sauvegarde incrémentale avancée échoue lorsque le nombre de fichiers à
sauvegarder est élevé.
Action
Action
Attribuez la valeur 5 (ou une valeur inférieure) au paramètre Agents de disque simultanés.
Il est conseillé d'utiliser des éditions serveur de Windows pour les systèmes impliqués dans des
opérations de sauvegarde intenses, comme le Gestionnaire de cellule, les clients Agent de support,
les clients d'agents d'applications, les serveurs de fichiers et ainsi de suite.
Lors de la restauration d'une image disque, vous recevez un message signalant que l'image disque
en cours de restauration est un système de fichiers monté qui ne peut pas être restauré :
Object is a mounted filesystem = not restored.
Ceci se produit lorsqu'une application qui se trouve sur l'image disque y laisse des motifs. Ceux-ci
perturbent l'appel système qui vérifie si le système de fichiers sur l'image disque est monté ou non,
et l'appel système signale finalement l'existence d'un système de fichiers monté sur l'image disque.
Action
Avant de lancer une restauration, effacez l'image disque sur le client Data Protector contenant
l'image disque en cours de restauration :
prealloc null_file 65536
dd if=null_file of=device_file
où device_file est un fichier de périphérique pour l'image disque à restaurer.
Une tentative de restauration de base de données échoue avec l'un des messages suivants :
l Cannot connect to target database
l Cannot create restore set
Un environnement DNS mal configuré peut provoquer des problèmes avec les applications de base
de données. Le problème est le suivant :
Lors de la sauvegarde d'une base de données, l'agent qui démarre sur le client sur lequel la base de
données se trouve journalise le nom du client dans la base de données en tant que
computer.company.com.
Au moment de la restauration, le Gestionnaire de session de restauration tente de restaurer vers
computer.company.com, mais il n'y parvient pas car il connaît ce client uniquement en tant que
computer. Le nom du client ne peut pas être développé en nom complet parce que le DNS n'est pas
configuré correctement.
L'inverse peut également se produire, c'est-à-dire que le DNS est configuré au niveau du
Gestionnaire de cellule et non au niveau du client d'application.
Action
Paramétrez le protocole TCP/IP et configurez correctement le DNS. Pour plus d'informations, voir
l'Annexe B du Guide d'installation Data Protector.
Action
Définissez l'option OB2SHMEM_IPCGLOBAL omnirc sur 1 sur les clients HP-UX sur lesquels l'Agent
de disque et un Agent de support sont installés ou sur lesquels l'une des intégrations prises en
charge et un Agent de support sont installés.
Action
1. Vérifiez si l'option omnirc OB2DAASYNC est définie sur 0. Définissez l'option sur 1 pour toujours
utiliser la lecture asynchrone ou mettez cette option en commentaire et utilisez l'option Lecture
asynchrone dans la spécification de sauvegarde.
2. Vérifiez si la lecture asynchrone est adaptée à votre environnement de sauvegarde. En général,
elle convient pour les fichiers dont la taille dépasse 1 Mo. Vous pouvez également essayer d'ajuster
l'option omnirc OB2DAASYNC_SECTORS. Normalement, la taille des fichiers (en octets) doit être 2 à 3
fois supérieure à la valeur de l'option.
Sur un système Windows Vista, Windows 7, Windows 8, Windows Server 2008 ou Windows Server
2012, lors de la sauvegarde de l'objet de configuration IIS, Data Protector signale l'erreur suivante :
[Minor]
From: [email protected] "CONFIGURATION:" Time: Date & Time [81:141]
\IISDatabase Cannot export configuration object: (Details unknown.) = backup
incomplete.
Action
Échec de la restauration d'un sous-arbre à partir d'un volume comportant des liens réels, avec le
message d'erreur suivant :
Action
Sur Mac OS X, si vous augmentez la taille de bloc du périphérique, la session de sauvegarde peut
échouer avec le message d'erreur suivant :
[80:1003] Cannot allocate/attach shared memory (IPC Cannot Create Shared Memory
Segment System error: [12] Cannot allocate memory ) => aborting.
Action
Lorsque vous essayez de sauvegarder une partition réservée du système et plusieurs objets de
volume complet, la sauvegarde peut échouer avec les message d'erreur suivants :
Fallback to legacy filesystem backup was not allowed. Aborting the backup.
Not a valid mount point => aborting.
REMARQUE :
Le problème ne survient que si l'option VSS option est activée et si la partition système
réservée est mise en miroir.
Action
Lorsque vous essayez de sauvegarder une partition réservée du système et plusieurs objets de
volume complet, la sauvegarde échoue avec l'un des message d'erreur suivant :
- Cannot read <number> bytes at offset <number>(:1): ([21] The device is not
ready. ).
- Cannot open: ([2] The system cannot find the file specified. ) => not backed
up.
REMARQUE :
Le problème ne survient que si l'option VSS option est activée et si la partition système
réservée ne dispose pas d'un espace suffisant pour héberger plusieurs snapshots.
Action
Le planificateur échoue lors d'une tentative de planification de sauvegarde avec des horaires
différents.
Action
Cela peut se produire à cause des services Java. Suivez ces étapes :
1. Fermez l’interface graphique utilisateur Data Protector.
2. Exécutez omnisv stop.
3. Terminez les services Java depuis le Gestionnaire de tâches.
4. Exécutez omnisv start.
5. Démarrez l’interface graphique utilisateur Data Protector.
Échec de la sauvegarde du système de fichiers ZDB d'un volume Windows dédupliqué sur un hôte
de sauvegarde Windows, sans installation de la fonction de déduplication des données, en
renvoyant le message d'erreur suivant :
[Warning] From: [email protected] "<volume label>" Time: <Date Time>
[81:77] <Path name>
Cannot open: ([1920] The file cannot be accessed by the system. ) => not backed
up.
Action
l Mise en œuvre des scripts de pré-exécution pour interrompre les tâches de déduplication
avant les scripts de sauvegarde et de post-exécution qui les lanceront après la session de
sauvegarde.
Les scripts pre- et post-exec échouent avec les messages d'erreur suivants :
[Major] From: OB2BAR_SQLBAR@nom_hôte.com "(<Instance>)" Time:<DATE><HEURE>
..\script.bat
Action
Le message d’erreur indique que les scripts pre- et post-exec ne sont pas disponibles au bon
Problème
emplacement. Vérifiez que les scripts pre- et post-exec se trouvent dans les répertoires suivants :
l Systèmes Windows : répertoire Data_Protector_home\bin ou ses sous-répertoires.
l Systèmes Unix : répertoire /opt/omni/lbin ou ses sous-répertoires.
L’énoncé du problème ici répertorie le message d’erreur pour l’agent SQL. Des messages d’erreur
semblables sont affichés pour tous les modules d’intégration et ZDB pendant l’échec des scripts
pre- et post-exec.
L’exécution des scripts pre- et post-exec échoue avec les messages d’erreur suivants :
[Major] From: OB2BAR_SQLBAR@nom_hôte.com "(<Instance>)" Time:<DATE><HEURE>
Action
Le message d’erreur indique que la variable OB2OEXECOFF dans le fichier omnirc est activée pour ce
client. Définir cette variable désactive l’exécution des scripts pre- et post-exec. Pour désactiver la
variable OB2OEXECOFF, définissez la valeur sur 0.
Les scripts post-exec sont ignorés si les scripts pre-exec échouent pour un client avec les
messages d’erreur suivants :
[Major] From: OB2BAR_SQLBAR@nom_hôte.com "(<Instance>)" Time:<DATE><HEURE>
..\script.bat
Problème
Action
Définissez la variable OB2FORCEPOSTEXEC dans le fichier omnirc sur 1 pour vous assurer que les
scripts post-exec sont toujours exécutés même si les scripts pre-exec échouent pour un client.
Après avoir activé la variable OB2FORCEPOSTEXEC et avoir exécuté la spécification de sauvegarde,
les messages suivants apparaissent :
[Normal] From: OB2BAR_SQLBAR@nom_hôte.com "(<Instance>)" Time:<DATE><HEURE>
Les messages indiquent que bien que le script pre-exec ait échoué, le script post-exec a été
correctement exécuté pour le client.
Action
Si un Agent de support ne dispose pas d'un nombre suffisant de périphériques StoreOnce Fibre Channel
(FC), le message d'erreur suivant s'affiche pendant la sauvegarde d'un nombre d'objets élevé ou
l'exécution de plusieurs sessions simultanées :
|Major| From: [email protected] "DEV_FC_gw2 [GW 23117:0:6931224894398172655]" Time: <DATE>
<TIME>
|90:54| \\abcd\FC/75232e10_5322f96a_445f_01b1
Cannot open device (StoreOnce error: StoreOnce device offline, network error occurred
or secure communication failed while contacting the StoreOnce device)
Action
Augmentez le nombre de périphériques FC disponibles sur le client Agent de support. Par exemple, si un
agent de support connecté à FC dispose de seulement 16 périphériques FC StoreOnce FC et que vous
devez sauvegarder 200 objets simultanément, vous devrez alors augmenter le nombre de périphériques FC
disponibles à 200 ou davantage, car Data Protector a besoin de 200 connexions.
Pour augmenter le nombre de périphériques FC disponibles sur le client Agent de support :
1. Ouvrez l'application système de sauvegarde B6200 StoreOnce.
2. Développez StoreOnce, puis StoreOnce Catalyst.
3. Dans l'onglet Paramètres Fibre Channel, défilez vers le bas jusqu'à la section Périphériques, puis
cliquez sur Édition.
4. Définissez la valeur souhaitée pour le champ Périphériques par port initiateur (pour chaque port).
Dans Windows, vous pouvez vérifier le nombre de périphériques FC StoreOnce disponibles dans la fenêtre
du Gestionnaire de périphériques. Notez que le nombre de périphériques visibles sur le client Agent de
support est égal à la somme des valeurs Périphérique par port initiateur pour tous les ports FC.
Data Protector utilise le pilote de mini-port SCSI pour contrôler les lecteurs de sauvegarde et les
bibliothèques. Data Protector risque de ne pas réussir à gérer les périphériques si d'autres pilotes de
périphérique sont chargés sur le même système. Quand des opérations de périphérique démarrent,
telles que le formatage ou l'analyse du support, l'erreur suivante s'affiche :
Cannot access exchanger control device
Action
Sur le système où se trouvent les périphériques, répertoriez tous les périphériques physiques
configurés sur le système :
répertoire_Data_Protector\bin\devbra -dev
Si l'une des adresses SCSI contient la valeur d'état CLAIMED, cela signifie qu'elle est utilisée par un
autre pilote de périphérique.
Désactivez le pilote de robot Windows.
Pour plus d'instructions, voir l'index Aide de Data Protector : « pilotes robot ».
Le périphérique SCSI ou contrôle du robot reste verrouillé en raison d'une opération de réserve ou
libération SCSI incomplète.
Le message suivant s'affiche :
Action
Lors d'une tentative d'utilisation d'un périphérique DDS, l'erreur suivante s'affiche :
Cannot open device (not owner)
Action
Le système est défaillant en raison de l'utilisation de HBA SCSI/FC non pris en charge avec les
périphériques de sauvegarde.
En général, le problème survient quand le périphérique SCSI a été accédé par plusieurs agent de
support en même temps, ou quand la longueur des données transférées définie par la taille du bloc de
périphériques est plus grande que la longueur prise en charge par le HBA SCSI/FC.
Action
Action
Vous pouvez récupérer la configuration de bibliothèque précédente si vous réutilisez le fichier avec
une liste d'hôtes dans votre environnement SAN et que vous analysez à nouveau les hôtes avec la
commande sanconf.
1. Analysez les hôtes dans la cellule :
sanconf -list_devices mySAN.txt -hostsfile hosts.txt
2. Configurez votre bibliothèque à l'aide du fichier de configuration enregistré :
sanconf -configure mySAN.txt -library LibrarySerialNumberLibraryName
[RoboticControlHostName] [DeviceTypeNumber] -hostsfile hosts.txt
La configuration de bibliothèque réussie précédente est récupérée automatiquement.
Si vous ajoutez, supprimez ou modifiez la bibliothèque ultérieurement et que la configuration échoue
avec la commande sanconf, vous pouvez répéter la procédure ci-dessus pour restaurer la
configuration réussie.
Au cours d'une opération de lecture ou d'écriture sur un support écrit pour utiliser le cryptage sur
lecteur, la session échoue et le support est automatiquement marqué comme médiocre.
L'erreur suivante apparaît :
Cannot read from device ([5] I/O error)
Cela se produit si une opération de lecture ou d'écriture a été effectuée sur une plateforme ne prenant
pas en charge le cryptage sur lecteur. La qualité du support n'est pas affectée. Pour une liste à jour
des plateformes prises en charge, consultez les dernières matrices de support à l'adresse
https://softwaresupport.softwaregrp.com/.
Action
Pour corriger l'état de condition du support, réinitialisez la condition du support à l'aide de l'option
omnimm -reset_poor_medium.
Pour plus d'informations, reportez-vous à la page de manuel omnimm ou à la Guide de référence de
l'interface de ligne de commande Data Protector.
Dans les systèmes d'exploitation comme UNIX, un périphérique null est un fichier spécial qui
supprime toutes les données qui y sont copiées. Les données sont donc indisponibles pour tout
processus lisant à partir de ce fichier et engendre immédiatement une fin de fichier. Le rapport pour
cette opération d'écriture est néanmoins considéré comme réussi.
A des fins de dépannage, si aucune sortie de données réelle n'est nécessaire, des périphériques null
peuvent être créés à la demande par le support logiciel. Ce document fournit des informations sur la
création de périphériques null à l'aide de l'interface graphique et de la ligne de commande de Data
Protector.
Action
Attention : Les périphériques null doivent être créés et utilisés comme solution temporaire, puis
supprimés une fois que l'opération de dépannage s'est terminée correctement. Sinon, s'il est utilisé
accidentellement pour des sauvegardes de production, ce processus engendre une perte de données
immédiate.
Exécutez les étapes qui suivent dans l'interfaceData Protector :
1. Dans la liste de contexte, cliquez sur Périphériques et supports.
2. Dans la fenêtre de navigation, cliquez avec le bouton droit de la souris sur Périphériques, puis
cliquez sur Ajouter périphérique pour ouvrir l'assistant.
3. Dans la zone de texte Nom du périphérique, saisissez le nom du périphérique.
4. Dans la zone de texte Description, vous pouvez saisir une description (facultatif).
5. Dans la liste Type de périphérique, sélectionnez le type de périphérique Autonome.
6. Cliquez sur Suivant.
7. Spécifiez le nom null et cliquez sur Ajouter.
8. Cliquez sur Suivant.
9. Dans la liste Type de support, conservez les valeurs par défaut.
10. Pour le Pool de supports par défaut, conservez les valeurs par défaut.
11. Cliquez sur Terminer pour quitter l'assistant
Le nom du périphérique s'affiche dans la liste de périphériques configurés. Vous pouvez analyser
le périphérique pour en vérifier la configuration.
12. Après avoir créé un périphérique null avec l'interface graphique de Data Protector, exportez la
configuration du périphérique de sauvegarde spécifié sur un fichier ASCII. Vous pouvez exporter
la configuration à l'aide de l'interface de ligne de commande suivante :
omnidownload -device BackupDevice [-file FileName]
par exemple, omnidownload -device ThisIsNULLDevice -file NULL.dev
Création de périphériques null à l'aide de l'interface de la ligne de commande
Les périphériques null créés à l'aide de l'interface graphique de Data Protector peuvent être répliqués
sur un autre système à l'aide de l'interface de la ligne de commande.
La commande omnidownload vous permet d'afficher des informations sur les périphériques de
sauvegarde, ou de télécharger la configuration du périphérique de stockage spécifié sur un fichier
ASCII. Cette commande télécharge des informations sur un périphérique de sauvegarde et une
bibliothèque à partir de la base de données interne (IDB) de Data Protector. Cette commande est
disponible sur les systèmes où est installé le composant Interface utilisateur de Data Protector.
Utilisée avec l'utilitaire omniupload , cette commande vous permet de créer et de maintenir les
périphériques de sauvegarde à l'aide de l'interface de la ligne de commande.
L’utilitaire omniupload charge un fichier de périphérique de sauvegarde sur la base de données
interne (IDB) de Data Protector. Les informations sur les périphériques de sauvegarde Data
Protector sont stockées dans l'IDB. Pour configurer un périphérique de sauvegarde, les informations
le concernant doivent être téléchargées dans un fichier. Cette opération s'effectue à l'aide de la
commande omnidownload . Le fichier est ensuite modifié et rechargé sur l'IDB.
Pour plus de détails, reportez-vous à Guide de référence de l'interface de ligne de commande Data
Protector.
Exécutez les étapes qui suivent :
1. Après avoir créé un périphérique de fichiers à l'aide de l'interface graphique de Data Protector,
utilisez la commande suivante pour lister les périphériques disponibles :
omnidownload -list_devices
Cette page affiche des informations sur les périphériques de sauvegarde Data Protector. Le
rapport inclut les informations suivantes pour chaque périphérique : nom du périphérique, client,
type de périphérique et pool.
2. Téléchargez ou exportez la configuration du périphérique de sauvegarde créé sur un fichier
ASCII à l'aide de la commande d'interface de la ligne de commande suivante :
omnidownload -device BackupDevice [-file FileName]
Par exemple : omnidownload -device ThisIsNULLDevice -file NULL.dev
Cette commande met à jour le fichier ASCII ou le fichier texte avec tous les détails de
configuration du périphérique de sauvegarde.
Par exemple :
NAME "ThisIsNULLDevice"
DESCRIPTION " "
HOST dppvt5140.company.com
POLICY Standalone
TYPE File
POOL "Default File"
ENCRCAPABLE
DRIVES
"null"
DEVSERIAL ""
RESTOREDEVICEPOOL NO
COPYDEVICEPOOL NO
REMARQUE : Vérifiez que la valeur spécifiée pour HOST est un client régulier dans le
Gestionnaire de cellule. Si vous exportez le périphérique sur un gestionnaire de cellule et
l'importez sur un gestionnaire de cellule nouveau ou différent, vous devez alors modifier le
nom HOST avec celui du nouvel hôte de l'agent de support, qui fait partie du nouveau
gestionnaire de cellule.
3. Si un gestionnaire de cellule nouveau ou différent est utilisé, modifiez alors le nom d'hôte dans le
fichier ASCII ou texte, puis chargez le fichier ASCII sur le système à l'aide de la commande
suivante :
omniupload -create_device FileName
Par exemple : omniupload -create_device NULL.dev
Action
Servez-vous de la fonctionnalité Statistiques de qualité du support pour détecter les problèmes avec
les supports quand ils n'en sont encore qu'à leurs débuts.
Avant que chaque support ne soit éjecté d'un lecteur, Data Protector utilise la commande SCSI log
sense pour demander des informations statistiques de lecture et d'écriture sur le support. Les
informations sont copiées dans le fichier media.log.
La fonctionnalité de statistiques de qualité du support est désactivée par défaut. Pour l'activer,
définissez l'option globale Ob2TapeStatistics sur 1.
Pour obtenir des instructions, voir Options globales, Page 17.
Si vous recevez des erreurs relatives au support pendant les opérations de lecture ou d'écriture, ou si
le support est marqué comme étant médiocre, vous pouvez consulter le fichier media.log pour
connaître les statistiques d'erreurs du support.
Media.log contient les statistiques d'erreur suivantes, où n représente le nombre d'erreurs :
Statistiques d'erreur Description
Si un paramètre a la valeur -1, cela signifie que le périphérique ne prend pas en charge ce paramètre
de statistiques. Si tous les paramètres ont la valeur -1, cela signifie qu'une erreur est survenue
pendant le traitement des statistiques de qualité de la bande, ou que le périphérique ne prend pas en
charge les statistiques de qualité du support.
Pour total bytes processed, les résultats statistiques sont indiqués en octets pour la plupart des
périphériques. Toutefois, les périphériques LTO et DDS indiquent respectivement des jeux et
groupes de données, et pas des octets.
Exemples
Voici quelques exemples du fichier media.log pour plusieurs types de périphérique.
Périphériques DLT/SDLT
Création de fichiers journaux de détection de périphériques DLT/SDLT - total d'octets traités.
Media ID from tape= 0fa003bd:3e00dbb4:2310:0001; Medium Label= DLT10; Logical
drive= dlt1; Errors corrected no delay= 0; Errors corrected delay= 0; Total=
13639; Total errors corrected= 13639; Total correction algorithm processed= 0;
Total bytes processed= 46774780560; Total uncorrected errors= 0
46 774 780 560 octets de données natives après compression ont été traités (une bande DLT8000
entière).
Périphériques LTO
Création de fichiers journaux de détection de périphériques LTO - total de jeux de données traités.
Media ID from tape=0fa003bd:3e0057e6:05b7:0001; Medium Label= ULT2; Logical
drive=ultrium1; Errors corrected no delay= 0; Errors corrected delay= 0; Total=
0;Total errors corrected= 0; Total correction algorithm processed= 0; Total bytes
processed= 47246; Total uncorrected errors= 0
Un jeu de données comporte 404 352 octets. Pour calculer le montant total d'octets traités, utilisez la
formule suivante :
47246 data sets * 404352 bytes = 19104014592 bytes after compression (a full
tape)
Périphériques DDS
Création de fichiers journaux de détection de périphériques DDS - total de groupes traités.
Media ID from tape= 0fa0049f:3df881e9:41f3:0001; Medium Label= Default DDS_5;
Logical drive= DDS; Errors corrected no delay= -1; Errors corrected delay= -1;
Total= -1; Total errors corrected= 0; Total correction algorithm processed= 154;
Total bytes processed= 2244; Total uncorrected errors= 0
DDS1/2 : un groupe représente 126 632 octets.
DDS3/4 : un groupe représente 384296 octets.
Pour calculer le montant total d'octets traités, utilisez la formule suivante :
2244 groups * 126632 bytes = 284162208 bytes after compression (a 359 MB backup
on DDS2)
359 Mo de données ont été sauvegardés, soit 271 Mo de données natives sur bande.
Par défaut, Data Protector effectue un contrôle d'intégrité de l'en-tête du support avant que ce dernier
ne soit éjecté d'un lecteur.
Au cas où le contrôle d'intégrité de l'en-tête du support détecte une quelconque erreur de cohérence
de l'en-tête sur le support, un message d'erreur s'affiche. Tous les objets sur ce support sont
marqués comme en échec, et l'état des sessions contenant des objets de ce support sont également
modifiés.
Si l'en-tête d'un support est endommagé, tous les objets sur le support concerné sont marqués
comme en échec et le support est marqué comme médiocre.
Action
Exportez le support depuis la base de données interne et redémarrez la session en échec à l'aide
d'un autre support.
Lors de l'exécution d'une opération impliquant le périphérique de sauvegarde posant problème (telle
qu'une sauvegarde, une restauration, un formatage, une analyse, etc.) ou des robots, le message
suivant s'affiche :
Device DeviceName could not be opened (Serial number has changed).
L'erreur est signalée quand le chemin d'accès au périphérique pointe vers un périphérique dont le
numéro de série est différent de celui stocké dans la base de données interne. Cela peut se produire
dans les cas suivants :
l Vous avez mal configuré le périphérique (en utilisant par exemple la commande omniupload, ou si
vous avez configuré un fichier de périphérique incorrect).
l Vous avez remplacé le périphérique physique sans mettre à jour le périphérique logique
correspondant (en rechargeant le nouveau numéro de série).
l Vous avez physiquement remplacé un lecteur de bande SCSI se trouvant dans une bibliothèque
SCSI. Soit l'option Découvrir automatiquement adresse SCSI modifiée n'est pas activée, soit
l'option omnirc OB2MADETECTDRIVESWAP est définie sur 0.
l Un chemin d'accès dans un périphérique multi-chemins est mal configuré.
Action
Par défaut, les valeurs CRC sont toujours contrôlées quand elles sont disponibles sur une bande, et
les données trouvées endommagées par une incohérence CRC ne sont jamais restaurées ni
copiées. Dans certaines situations cependant, vous voudrez peut-être quand même restaurer ou
copier de telles données.
Action
Définissez temporairement l'option omnirc OB2CRCCHECK sur l'hôte de l'agent de support à 0. Après
avoir récupéré les objets endommagés (données), rétablissez le paramètre sur sa valeur par défaut
(1).
Action
Contrôlez la communication SCSI entre le système et le périphérique, par exemple les cartes ou la
longueur des câbles SCSI. Essayez d'exécuter une commande fournie par le système
d'exploitation, telle que tar, pour vérifier que le système et le périphérique communiquent.
Action
Action
Action
Vous pouvez seulement déplacer un support du CAP vers un logement, puis sur un lecteur à l'aide
d'un robot de périphérique. Utilisez les commandes import et export, par exemple :
import CAP: I01
import CAP range: I01-I03
export CAP: E01
export CAP range: E01-E03
Action
Servez-vous de la syntaxe suivante lors de l'utilisation de l'utilitaire Data Protectoruma pour gérer les
lecteurs de bibliothèque GRAU et STK :
uma -pol POLNUMBER -ioctl LIBRARYNAME -type MEDIATYPE
où POLNUMBER est 8 pour GRAU et 9 pour STK.
Les périphériques cloud Helion et Azure sont à l'origine d'erreurs lors des communications avec le
magasin d'objets cloud. Les périphériques cloud Helion et Azurer tentent à nouveau les opérations si
des erreurs se produisent.
Quand des erreurs de communication se produisent, l'erreur suivante s'affiche :
Erreur de communication avec le cloud [ERREUR], nouvelle tentative
Action
Action
Les services Cloud (Helion) ne sont pas pris en charge par les versions antérieures de Data
Protector.
Assurez-vous que tous les Gestionnaires de cellule, serveurs d'interface graphique, Serveur
d'installation et agents de support sont mis à jour avec le correctif de la dernière version.
Action
Les services Cloud (Azure) ne sont pas pris en charge par les versions antérieures de Data
Protector.
Assurez-vous que tous les Gestionnaires de cellule, serveurs d'interface graphique, Serveur
d'installation et agents de support sont mis à jour avec le correctif de la dernière version.
Lors d'une copie d'objets planifiée ou après sauvegarde, le nombre d'objets correspondant aux filtres
sélectionnés est supérieur au nombre d'objets effectivement copiés.
Le message suivant s'affiche :
Too many objects match specified filters.
Action
Lors d'une copie d'objets planifiée ou après sauvegarde, certains objets résidant sur des supports de la
bibliothèque sélectionnée ne sont pas copiés. Ceci se produit si un objet ne dispose pas d'un jeu de
supports complet dans la bibliothèque sélectionnée.
Action
Insérez le support manquant dans la bibliothèque sélectionnée ou sélectionnez la bibliothèque qui dispose
d'un jeu de supports complet pour ces objets.
Lors d'une session de copie d'objet interactive à partir du point de départ, vous avez sélectionné un support
spécifique. Une demande de montage pour supports supplémentaires a été émise. Ceci se produit si un
objet résidant sur le support s'étend à un autre support.
Action
Lors de la création d'une copie d'objet, la date/heure de fin de la protection n'est pas héritée de l'objet
d'origine. La longueur de la protection est copiée, mais la date de début est définie sur la date de
création de la copie d'objets et pas sur la date de création de l'objet. Ceci permet d'augmenter le délai
de protection de l'original. Plus longue est la durée entre la sauvegarde originale et la session de
copie d'objets, plus importante sera la différence entre les dates de fin de la protection.
Par exemple, si l'objet a été créé le 05 septembre, avec une protection définie sur 14 jours, la
protection expirera le 19 septembre. Si la session de copie d'objet a débuté le 10 septembre, la
protection de la copie d'objet expirera le 24 septembre.
Dans certains cas, ceci n'est pas souhaitable et la date de fin de la protection prévue doit être
maintenue.
Action
Lors de la réplication d'une session vers un autre périphérique, la session ne répond plus. Les
résultats de la session fournissent les informations suivantes :
[Normal] From: [email protected] "d2d1_1_gw1 [GW 26177:1:15198446278003495809]"
Time: 3/21/2013 9:13:06 AM
COMPLETED Media Agent "d2d1_1_gw1 [GW 26177:1:15198446278003495809]"
Ce problème survient généralement dans des configurations réseau à double pile IP avec agent de
support HP-UX.
Action
Lors de la configuration d'un réseau IP à double pile, ajoutez une entrée distincte pour les adresses
d'hôte local IPv6 dans le fichier /etc/hosts du client Agent de support.
Action
Si vous lancez une opération de consolidation d'objets à des stades différents, Data Protector lit
tous les supports nécessaires au bon déroulement de l'opération. Cette opération entraîne
l'ouverture simultanée de tous les fichiers. Lorsque Data Protector ouvre un plus grand nombre de
fichiers que le nombre autorisé par votre système d'exploitation, un message similaire au suivant
s'affiche :
|Major| From: [email protected] "AFL1_ConsolidateConc2_bs128" Time: time
/omni/temp/Cons_Media/AFL1/
0a1109ab54417fab351d15500c6.fd
Cannot open device ([24] Too many open files)
Action
Après la première consolidation d'objet, si vous procédez à une sauvegarde incrémentale puis que
vous tentez d'effectuer une seconde consolidation d'objet, l'opération échouera.
Action
Pour garantir la réussite de la seconde consolidation, exécutez une sauvegarde complète après la
première consolidation d'objet. Lancez ensuite une sauvegarde incrémentale, qui pourra être
consolidée par la suite.
Si un ou plusieurs répertoires ou fichiers de données IDB sont manquants, les messages d'erreur suivants
s'affichent lorsque Data Protector tente d'accéder à l'IDB :
l Cannot open database/file
l Database network communication error
Action
Lorsque l'interface de Data Protector tente de se connecter au Gestionnaire de cellule, le message d'erreur
suivant s'affiche si le répertoire temporaire Data Protector est manquant :
Cannot access the Cell Manager system. (inet is not responding) The Cell Manager host
is not reachable or is not up and running or has no Data Protector software installed
and configured on it.
Action
Systèmes Windows :données_programme_Data_Protector
Systèmes UNIX :/var/opt/omni
4. Quittez le mode de maintenance :
omnisv -maintenance -stop
5. Relancez l'interface utilisateur Data Protector.
Après la mise à niveau vers le correctif Data Protector 9.00, la sauvegarde de l'IDB échoue avec le
message suivant : "The archive log filename format is incorrect."
Action
Lors des sessions de sauvegarde utilisant Data Protector, Les noms de fichier ne sont pas
consignés dans l'IDB si :
l Vous avez activé l'option de sauvegarde No Log.
l La partie DCBF de l'IDB ne dispose plus de suffisamment de mémoire ou le disque qui contient
l'IDB a atteint sa limite de capacité de mémoire. Un message signale cette erreur dans les
résultats de session.
Action
Action
Action
Lors de l'exploration des données à restaurer dans le menu contextuel Restauration de l'interface
Data Protector, le message d'erreur suivant s'affiche :
Open of Detail Catalog Binary File failed
l La commande omnidbcheck -bf signale qu'un ou plusieurs fichiers binaires DC sont manquants
ou ont une taille incorrecte, ou la commande omnidbcheck -dc signale qu'un ou plusieurs fichiers
binaires DC sont corrompus.
l Le fichier debug.log du Gestionnaire de cellule contient une ou plusieurs entrées de Data
Protector qui ne peuvent pas ouvrir un fichier binaire DC.
Action
Action
Octroyez au compte utilisateur de domaine Windows utilisé pour le service Inet de Data Protector
les privilèges liés à la politique de sécurité du système d'exploitation Windows, puis tentez de
relancer la session :
l Empruntez l'identité d'un client après authentification
l Remplacer un jeton de niveau processus
Pour plus d'informations, reportez-vous à l'index Aide de Data Protector : "Emprunt d'identité
d'utilisateur de service Inet".
Problèmes de performances
L'exploration des données à restaurer est très lente
Problème
Lors de l'exploration des versions d'objet et des fichiers individuels à restaurer dans l'interface de
Data Protector, un délai important est constaté entre la lecture des informations de l'IDB et leur
affichage. Ceci s'explique par un trop grand nombre des versions de l'objet sélectionné dans l'IDB.
Action
Une partie de l'IDB atteint sa limite de capacité mémoire. L'espace IDB est insuffisant.
Action
Dans le rapport Client Statistics, les chiffres des sections Données écrites [Go] ou Nombre
de fichiers sont considerably plus élevés pour certains systèmes.
Action
Pour réduire la taille de la section DCBF de cette IDB, purgez la partie DCBF pour tous les supports
lorsque la protection de catalogue arrive à expiration dans l'IDB, en exécutant la commande
omnidbutil -purge -dcbf dans le Gestionnaire de cellule. Assurez-vous qu'aucune session de
Data Protector n'est en cours d'exécution pendant la session de purge.
Pour réduire la croissance de la section DCBF de cet IDB, remplacez le niveau Journalisation par
Journaliser répertoires.
Autres problèmes
Problème de communication interprocessus car le
gestionnaire de session de base de données n'est pas en
cours d'exécution
Problème
Action
Dans un environnement MoM, il se peut que les les bases de données MMDB et CDB soient
désynchronisées.
Action
Exécutez la commande suivante sur le système où la base de données CMMDB est installée :
omnidbutil -cdbsync CellManagerHostname
Si la base de données CMMDB a changé, exécutez la commande pour chaque Gestionnaire de
cellule de cette cellule MoM, en définissant chaque gestionnaire de la cellule en tant qu'argument
NomHôteGestionCellule.
IDB endommagée
Problème
Action
Récupération de l'IDB
Action
Action
En cas de restauration des fichiers de configuration de Data Protector dans l'emplacement d'origine,
procédez comme suit :
1. Allez à <dp_data>\Config\Server\install\ et identifiez les fichiers suivants :
patch_CC, patch_CORE, patch_CS, patch_DA, patch_DOC, patch_MA, patch_NETAPP, patch_
SMISA, patch_VEPA
2. Pour tous ces fichiers, désélectionnez l'option d'indicateur de fichier masqué.
3. Effectuez une restauration de l'IDB.
4. Réactivez l'indicateur de fichier masqué pour les fichiers susmentionnés.
REMARQUE : Ce problème et cette solution ne s'appliquent qu'aux composants Windows.
La même solution peut être appliquée si les fichiers sont restaurés dans un autre emplacement
où ces fichiers existent déjà.
Après l'exécution d'une restauration de l'IDB à l'aide de la base de données restaurée en tant que
nouvelle base de données interne, omnidbcheck -dc signale des erreurs.
Action
Effectuez l'exportation et la réimportation des supports sur lesquels les objets de sauvegarde de
l'IDB sont placés.
Lors de l’exécution d'une restauration ponctuelle d'Oracle PDB, l’erreur suivante s'affiche :
PLS-00306: wrong number or types of arguments in call to 'GETCNCTSTR'
Une erreur est présente dans le module Oracle Bundle lors de l’exécution d'une restauration
ponctuelle de PDB.
Action
Pour résoudre ce problème, cherchez les derniers paquets de correctifs Oracle ou contactez support
logiciel.
Dans le cas d'un abandon manuel d'une restauration et récupération de base de données IR ASM
Oracle, le redémarrage de la session échoue.
Action
après l'échec, montez les groupes de disque ASM et effectuez une récupération manuelle depuis le
RMAN.
Dans les cas où l'instance PDB est abandonnée de CDB, l'erreur suivante s'affiche :
ORA-65011 : la base de données enfichable n'existe pas.
Action
Si vous utilisez Microsoft Outlook XP en ayant installé le correctif de sécurité le plus récent, vous
rencontrez le problème suivant : lorsque vous ajoutez un rapport à un groupe de rapports en spécifiant l'e-
mail comme méthode d'envoi, puis tentez de démarrer un groupe de rapports, l'interface ne répond plus. Il
en est de même si vous configurez une notification et sélectionnez la méthode d'envoi par courrier
électronique.
Ce problème résulte du fait qu'Outlook nécessite une interaction utilisateur avant d'envoyer une notification
par e-mail. Il est impossible de modifier cette caractéristique dans la mesure où elle fait partie de la
stratégie de sécurité d'Outlook.
Action
l Si un serveur SMTP est disponible sur votre réseau, indiquez E-mail (SMTP) comme méthode d'envoi.
Il s'agit de la méthode d'envoi d'e-mail recommandée.
l Utilisez l'interface de ligne de commande Data Protector pour lancer des rapports :
omnirpt -report licensing -email email_address
Un message d'avertissement vous demandant si vous voulez autoriser l'envoi d'e-mail de votre part
apparaît. Cliquez sur Oui pour recevoir le rapport.
Pour plus d'informations sur la personnalisation des paramètres de sécurité, reportez-vous au document
Annonces sur les produits, notes sur les logiciels et références Data Protector.
Lorsque vous envoyez un rapport sous forme d'interruption SNMP, il ne parvient pas à destination.
Action
Vous devez réserver la méthode d'envoi par interruption SNMP aux rapports dont la taille maximum
n'excède pas celle de l'interruption SNMP configurée.
Le contenu du Navigateur d'aide ne s'adapte pas au changement des fenêtres dans Data Protector.
Le contenu du Navigateur d'aide ne change pas.
Action
l Si vous utilisez le Navigateur d'aide de Microsoft HTML pour afficher l'Aide de Data Protector au format
d'aide HTML (sélection par défaut), assurez-vous que le bouton présenté dans l'illustration
DépannageAide de Data Protector , Page précédente est sélectionné.
l Si vous utilisez le navigateur Web par défaut du système pour afficher l'Aide de Data Protector au
format WebHelp, accédez au menu Fichier, cliquez sur Préférences et activez l'option Activer le
comportement dynamique du navigateur de l'aide. Redémarrez ensuite le Navigateur de l'aide.
À propos du débogage
Collectez les informations de débogage uniquement lorsque le support les nécessite pour résoudre un
problème technique. Lorsque Data Protector fonctionne en mode de débogage, il génère des informations de
débogage qui consomment une grande quantité d'espace disque. Contactez le support pour connaître le
niveau de détail requis et les conditions environnementales du débogage.
Activation du débogage
Vous pouvez démarrer Data Protector dans le mode de débogage de différentes manières. Pour plus de
détails sur les options de débogage, voir Syntaxe de débogage, Page suivante.
IMPORTANT :
Lorsque Data Protector s'exécute en mode débogage, des informations de débogage sont générées
pour chaque action. Par exemple, si vous démarrez une session de sauvegarde en mode Débogage,
les Agents de disque fournissent des informations sur chaque client sauvegardé dans cette
spécification de sauvegarde.
REMARQUE :
Pour activer le débogage des sessions de sauvegarde et de restauration de partage réseau sur les
systèmes Windows Vista, Windows 7, Windows 8, Windows Server 2008 et Windows Server 2012,
vous devez assigner les droits d'accès en écriture au compte de système d'exploitation qui exécute
Syntaxe de débogage
Pratiquement toutes les commandes Data Protector peuvent être démarrées avec un paramètre -debug
supplémentaire ayant la syntaxe suivante :
-debug 1-200[,C:n][,T:s][,U] XYZ Progname[@hostname]
où :
l 1-200 est la plage de débogage. Définissez la plage 1-200, sauf indication contraire. Définissez les
paramètres facultatifs du paramètre de plage en les séparant par une virgule :
o C:n limite la taille des fichiers de débogage à n kilo-octets. La valeur minimale est 4 (4 Ko) et la
valeur par défaut est 1 024 (1 Mo). Pour plus d'informations, reportez-vous à Limitation de la taille
maximale des débogages, Page 100.
o T:s est l'horodatage de la résolution, dont la valeur par défaut est 1 000.
Sur certaines plateformes, la résolution à la milliseconde n'est pas disponible.
o U est l'indicateur Unicode. S'il est défini, les fichiers de débogage sur Windows sont écrits dans
le format Unicode.
Limites
l Cette fonction est uniquement prise en charge sur les plates-formes CM.
l Sur la session Windows VEPA, les composants CDpSessionLogerSingelton et Lotus ignorent
l'indicateur "gz" et ne créent pas de journaux compressés.
l Cette fonctionnalité est inopérante avec les combinaisons de débogage circulaires.
l Le fichier debug.log archivé ne peut pas être utilisé en cas d'arrêt anormal.
Options de débogage
l Intervalle : 1-200 est la plage de débogage. Spécifier une étendue lorsque vous y êtes invité.
Spécifiez les paramètres facultatifs dans le paramètre d'étendue, en les séparant par des virgules.
Lorsque vous définissez une étendue large, les fichiers de débogage sont volumineux. Assurez-
vous que l'espace est suffisant dans le référentiel de fichiers de débogage. L'étendue peut être
fractionnée. Le séparateur peut être un signe «, » ou un espace au sein d'une chaîne entourée de
guillemets. Par exemple, -debug "1-99 104-140" debug.txt peut être utilisé.
l Débogages circulaires : C:n limite la taille des fichiers de débogage à n kilo-octets. La valeur
minimale est 4 (4 Ko) et la valeur par défaut est 1 024 (1 Mo).
l Horodatage en secondes et en millisecondes : T:s désigne la résolution de l'horodatage, les
valeurs acceptées étant comprises entre 0,1 et 1 000. La valeur par défaut est 1, tandis que 1 000
signifie une résolution d'une milliseconde, et 0 que l'horodatage est désactivé.
l Fichiers de débogage au format Unicode : U est l'indicateur Unicode. S'il est défini, les fichiers
de débogage sur Windows sont écrits dans le format Unicode.
l Postfix : XYZ est le suffixe du débogage, par exemple Mon_débogage.txt.
REMARQUE : le suffixe peut être utilisé pour rediriger les fichiers de débogage vers un autre
répertoire. Le répertoire de destination doit exister et les autorisations associées au chemin
d'accès complet doivent être correctement définies pour le processus qui génère les
débogages. Par exemple, <DirPath>/My_debug.txt.
l Programme et nom d'hôte : Select désigne une liste de clients sur lesquels le débogage est
activé. Utilisez cette option pour exécuter le débogage uniquement sur les clients définis. Délimitez
les clients en utilisant un espace. Spécifiez la liste entre guillemets. Par exemple, progname
[@hostname] [;progname@[@hostname]].
Fichiers journaux vCenter Server Trivia
L'activation de la journalisation au niveau de Trivia s'effectue normalement en accédant au menu
Administration > Paramètres de vCenter Server > Options de journalisation > Trivia.
Cliché local Vepa_bar en cas de crash sous Windows
Voir http://msdn.microsoft.com/en-us/library/windows/desktop/bb787181%28v=vs.85%29.aspx.
Éditez le registre en ajoutant vepa_bar.exe sous LocalDumps.
Débogage des Agents de supports
Pour les problèmes spécifiques aux Agents de supports, les directives générales suivantes peuvent
être appliquées :
l 1 à 200 dans la plupart des cas courants
l 19
l 1 à 300 pour SHMIPC
l 1 à 350 pour la consolidation
l 1 à 505 pour le suivi de mémoire
Système Espace disque maximum requis
Client Agent de 2*n [kB] pour chaque Agent de support actif dans une session de
support sauvegarde ou de restauration
Client Agent de disque 2*n [kB] pour chaque point de montage dans une session de sauvegarde
ou de restauration
Pour le débogage d'Inet et CRS, la limite maximale ne peut pas être déterminée de manière fiable, car
des fichiers de débogage distincts sont générés pour diverses actions.
REMARQUE :
L'ID de session permet d'identifier les jeux de fichiers de débogage. Les autres fichiers de
débogage peuvent appartenir à la même session, et il peut être nécessaire que vous les
fournissiez également.
Un fichier ctrace.log est généré sur le gestionnaire de cellule, contenant des informations sur les
endroits (en l'occurrence les clients) où sont générés les fichiers de débogage, ainsi que les préfixes de
débogage employés. Notez que ce fichier ne contient pas la liste complète de tous les fichiers générés.
Pour changer l'emplacement par défaut des fichiers de débogage en fonction du système, utilisez
l'option omnirc OB2DBGDIR.
Débogage d'Inet
REMARQUE :
Inet est un service de la plateforme Windows qui doit être redémarré pour que l'entrée omnirc
prenne effet :
(sc stop OmniInet && sc start OmniInet).
Pour activer uniquement les débogages Inet, modifiez le fichier .omnirc sur le client inet :
Débogage de CRS
Systèmes Windows :
<Data Protector bin>\crs -redebug <range> <postfix> <select>
Systèmes UNIX :
<Data Protector lbin>/crs -redebug <range> <postfix> <select>
ATTENTION :
N'arrêtez pas le Gestionnaire de contrôle des services Windows et redémarrez le service
Windows Service; afin de ne pas basculer le groupe de clusters Data Protector.
Serviceguard/Symantec Veritas Cluster Server Environment :
1. Pour démarrer le débogage : spécifiez crs -debug <ranges> <postfix> [<select>] ou
attachez OB2DBG au fichier omnirc avant de débuter le processus CRS.
2. Pour arrêter le débogage : /opt/omni/lbin/crs -redebug
3. Pour redémarrer le débogage : crs -redebug <ranges> <postfix> [<select>]
Débogage d’AppServer
Par défaut, les journaux d’AppServer affichent les messages pour le niveau warn. Pour afficher les
journaux détaillés d’AppServer, modifiez le paramètre level name dans le fichier standalone.xml
comme indiqué dans le code suivant :
<size-rotating-file-handler name="DP_LOGGER" autoflush="true">
<level name="ALL"/>
<formatter>
</formatter>
<rotate-size value="10M"/>
<max-backup-index value="5"/>
<append value="true"/>
</size-rotating-file-handler>
Pour afficher les journaux détaillés WildFly, ajoutez le paramètre <level name> dans le fichier
standalone.xml, avant la balise <root logger>. Après avoir ajouté le paramètre, le code du fichier
standalone.xml doit être le suivant :
<logger category="org.jboss.as">
</logger>
<root-logger>
<handlers>
<handler name="CONSOLE"/>
<handler name="FILE"/>
</handlers>
</root-logger>
REMARQUE :
La commande omnidlc ne peut pas être utilisée pour collecter les traces d'exécution de
l'installation Data Protector. Pour plus de détails sur leur création et leur collecte, voir le Guide
d'installation Data Protector.
REMARQUE :
Lorsqu'une consolidation d'objet est planifiée dans le cadre d'une session après sauvegarde,
les sessions de sauvegarde et de consolidation ont des ID différents. Toutefois, l'ID de
débogage est identique pour la sauvegarde et la consolidation. Dans ce cas, si vous exécutez
la commande omnidlcet indiquez l'ID de session de consolidation avec le paramètre -session,
les journaux de débogage sont collectés pour la sauvegarde et la consolidation.
Limites
l Cette commande peut seulement être exécutée sur les Gestionnaires de cellule.
l Dans un environnement MoM, vous pouvez uniquement collecter des données pour chaque cellule
Data Protector séparément en exécutant la commande à partir du Gestionnaire de cellule approprié.
l Si vous avez déplacé les fichiers de débogage du répertoire par défaut, indiquez le nouvel
emplacement à l'aide de l'option -debug_loc Directory1. Sinon, les fichiers de débogage ne sont
pas collectés.
l Lorsqu'un utilitaire de collecte des fichiers de débogage et des journaux est utilisé sur HP
OpenVMS, les règles suivantes s'appliquent :
o Le nom du fichier de la structure de disque ODS-2 OpenVMS peut contenir un maximum de
39 caractères.
o Comme les systèmes OpenVMS n'ont pas d'utilitaire get_info, le fichier get_info.out est
vierge et n'est pas collecté.
o La commande omnidlc avec l'option -sessionne collecte pas les fichiers de débogage générés
lors de la session spécifiée, car les noms de session ne font pas partie du nom de fichier de
débogage OpenVMS. À la place, tous les journaux disponibles sont collectés.
l La taille maximum du fichier compacté obtenu est de 2 Go. Dans ce cas, ne compactez pas les
données.
Utilisez l'option -pack Filename pour compacter et enregistrer les données :
l Avec un nom de fichier différent. Indiquez Filename en tant que nom de fichier.
l Dans un répertoire différent et avec un nom de fichier différent. Indiquez Filename en tant que
chemin d'accès complet.
REMARQUE :
Utilisez cette option pour le nettoyage des fichiers ctrace.log. Si vous supprimez ce fichier,
l'utilitaire de collecte des journaux de débogage récupère uniquement les débogages dans le
répertoire dlc par défaut qui se trouve dans le répertoire de fichiers temporaires Data Protector
et non dans les répertoires de débogages spécifiés.
Problèmes et solutions
Échec de la collecte des journaux de débogage
Problème
Lors de la collecte des journaux de débogage, omnidlc ne peut pas accéder à un client. L'erreur
suivante s'affiche :
Collection from client1.company.com started.
Error: Data retrieval from client1.company.com failed.
Warning: Collection from client1.company.com incomplete.
Le problème se produit lorsqu'un nom de Gestionnaire de cellule indiqué dans le fichier de
configuration sur un client ne correspond pas au nom du Gestionnaire de cellule qui a demandé la
collecte des journaux de débogage.
Action
Ajoutez le nom d'hôte du Gestionnaire de cellule au fichier omnidlc_hosts qui se trouve dans le
répertoire de configuration du client Data Protector par défaut.
Opérations supplémentaires
l Pour compacter des données décompactées, compressées ou décompressées qui ont été
envoyées au Gestionnaire de cellule (via l'option -depot), utilisez l'option -localpack [Filename].
Cette option compacte la structure du répertoire actuel (qui doit être le répertoire contenant le
répertoire dlc généré par l'option -depot). Si l'argument Filename n'est pas précisé, le fichier
dlc.pck est créé dans le répertoire actuel.
Cette option équivaut à l'option -pack, mais doit être utilisée uniquement si les données ont été
collectées via l'option -depot.
l Pour obtenir des informations supplémentaires (par exemple captures d'écran, images et éléments
similaires) d'un répertoire spécifié sur un client, utilisez l'option -add_info [-any | Host] Path.
L'option -any s'utilise quand le chemin d'accès au répertoire est le même pour tous les clients.
l Pour décompacter les données, utilisez l'option -unpack [Filename].
Si l'argument Filename n'est pas précisé, le fichier dlc.pck situé dans le répertoire actuel est
décompacté. Les données sont toujours décompactées dans le répertoire dlc du répertoire actuel.
Utilisez cette option lorsque les données collectées ont été compactées sur le Gestionnaire de
cellule via l'option -pack ou -localpack.
l Pour décompresser un fichier unique compressé, utilisez l'option -uncompress Filename. Les
Pour accéder aux opérations sur les fichiers de débogage à partir du contexte Base de données
interne :
1. Dans la fenêtre de navigation, développez le dossier Sessions et sélectionnez la session pour
laquelle des opérations sur les fichiers de débogage sont requises.
2. Sélectionnez l'opération à exécuter :
l Cliquez avec le bouton droit de la souris sur la sélection et choisissez l'opération souhaitée :
Collecter les fichiers de débogage, Calculer l'espace des fichiers de débogage ou
Supprimer les fichiers de débogage.
ou
Dans tous les cas, la sélection d'une opération démarre un assistant qui vous aide à exécuter les
étapes requises.
Démarrage et arrêt du débogage MMD sans redémarrage des services
1. Pour démarrer le débogage MMD alors que MMD est en cours d’exécution, exécutez la
commande suivante :
mmd.exe -redebug [ranges] [postfix] [select]
2. Pour arrêter le débogage MMD alors que MMD est en cours d’exécution, exécutez la commande
suivante :
mmd.exe -stopdebug
b. Dans l'arborescence de répertoires, sélectionnez les autres répertoires éventuels dont vous
souhaitez collecter le contenu (le contenu des sous-répertoires n'est pas collecté).
c. Cliquez sur Suivant.
4. Dans la page Options et opération :
a. Désélectionnez les options de collecte que vous ne souhaitez pas utiliser. Pour plus
d'informations sur les options omnidlc, reportez-vous au document Guide de référence de
l'interface de ligne de commande Data Protector.
b. Vous pouvez spécifier plusieurs options de filtrage lors de la collecte des journaux de
débogage. Les options de filtrage disponibles sont les suivantes :
l ID de session : Session de sauvegarde pour laquelle les fichiers de débogage ont été
produits.
l ID de débogage : Session de débogage pour laquelle les fichiers de débogage ont été
produits.
l Postfix : Nom du fichier de débogage.
l Module(s) : Modules pour lesquels vous avez besoin des journaux de débogage. Vous
pouvez spécifier plusieurs modules en séparant chacun d'eux par une virgule.
Exemple : BSM,BDSM,VBDA.
c. Sélectionnez l'opération à utiliser pour stocker les fichiers de débogage sur le Gestionnaire de
cellule :
l Créer un dépôt stocke les fichiers (non compressés) dans le répertoire de fichiers
temporaires Data Protector par défaut, dans un sous-répertoire dlc.
Pour spécifier un autre emplacement, indiquez un répertoire existant dans Chemin cible.
Si vous souhaitez utiliser l'emplacement par défaut, veillez à laisser la zone de texte vide.
L'utilisation de cette option permet de passer en revue les fichiers collectés et d'en
supprimer certains avant de transmettre ces informations au service d'assistance. Vous
pouvez alors créer un fichier compressé en exécutant la commande omnidlc -localpack
[Filename] à partir de la ligne de commande (pour plus d'informations, reportez-vous au
document Guide de référence de l'interface de ligne de commande Data Protector.
l Créer un fichier compressé crée un fichier compressé contenant les fichiers collectés.
Indiquez le chemin d'accès complet du fichier dans Chemin cible.
d. Cliquez sur Terminer.
a. Sélectionnez uniquement les clients à partir desquels vous souhaitez collecter des fichiers. Si
des clients sont déjà sélectionnés, vous pouvez annuler leur sélection.
b. Sous Filtres, sélectionnez les critères de filtrage : ID session, ID débogage, Suffixe ou
Aucun filtre, et entrez l'identificateur requis. Si Aucun filtre est sélectionné, tous les fichiers
de débogage des clients sélectionnés sont collectés. Si une session est déjà sélectionnée,
vous ne pouvez pas la modifier.
c. Cliquez sur Suivant.
3. Dans la page Répertoires :
a. Entrez les autres répertoires éventuels dans lesquels vous souhaitez rechercher des fichiers
de débogage au-delà du répertoire de débogage par défaut, puis cliquez sur Ajouter.
b. Dans l'arborescence de répertoires, sélectionnez les autres répertoires éventuels dont vous
souhaitez collecter le contenu (le contenu des sous-répertoires n'est pas collecté).
c. Cliquez sur Suivant.
4. Dans la page Options :
a. Désélectionnez les options de collecte que vous ne souhaitez pas utiliser. Pour plus
d'informations sur les options omnidlc, reportez-vous au document Guide de référence de
l'interface de ligne de commande Data Protector.
b. Cliquez sur Suivant.
Les résultats de la vérification apparaissent dans l'onglet Résultats.
Après le calcul, une boîte de dialogue apparaît pour vous demander si vous souhaitez démarrer la
collecte des fichiers de débogage.
Pour démarrer la collecte des fichiers de débogage en utilisant les options sélectionnées pour le calcul
d'espace :
l Cliquez sur Oui.
L'option par défaut (Créer un fichier compressé) est utilisée sur le Gestionnaire de cellule. Voir
Collecte des fichiers de débogage, Page 109.
débogage au-delà du répertoire de débogage par défaut, puis cliquez sur Ajouter.
b. Cliquez sur Terminer.
Pour accéder aux opérations sur les fichiers de débogage à partir du contexte Clients :
1. Dans la fenêtre de navigation, développez le dossier Clients et sélectionnez le client pour lequel
des opérations sur les fichiers de débogage sont requises.
2. Sélectionnez l'opération à exécuter :
l Cliquez sur la sélection avec le bouton droit et sélectionnez l'opération requise : Collecter les
fichiers de débogage, Calcul de l'espace du fichier de débogage ou Supprimer les
fichiers de débogage.
ou
Dans chacun des cas, la sélection d'une opération démarre un assistant qui vous aide à exécuter les
étapes requises.
cellule :
l Créer un dépôt stocke les fichiers (non compressés) dans le répertoire de fichiers Data
Protector temporaires par défaut, dans un sous-répertoire dlc.
Pour spécifier un autre emplacement, indiquez un répertoire existant dans Chemin cible.
Si vous souhaitez utiliser l'emplacement par défaut, veillez à laisser la zone de texte vide.
L'utilisation de cette option permet de passer en revue les fichiers collectés et d'en
supprimer certains avant de transmettre ces informations au service d'assistance. Vous
pouvez alors créer un fichier compressé en exécutant la commande à partir de la ligne de
commande omnidlc -localpack [filename] (pour plus d'informations, reportez-vous au
document Guide de référence de l'interface de ligne de commande Data Protector.
l Créer un fichier compressé crée un fichier compressé contenant les fichiers collectés.
Indiquez le chemin d'accès complet du fichier dans Chemin cible.
c. Cliquez sur Terminer.
l Nom du contrôleur SCSI, tel que onboard_type/Adaptec xxx/... pour les clients Windows
Media Agent.
l Le résultat de la commande devbra -dev si vous rencontrez des problèmes relatifs aux
périphériques de sauvegarde.
3. Pour les questions techniques, contactez l'organisation de support et demandez les informations
suivantes :
l Niveau du débogage (par exemple, 1-200. Vous aurez besoin de cette option de commande
ultérieurement.)
4. Quittez toutes les interfaces utilisateur et arrêtez toutes les activités de sauvegarde en cours dans
la cellule.
5. Pour collecter également les fichiers de débogage du service Inet ou CRS, redémarrez ce service
sur le Gestionnaire de cellule en mode débogage.
6. Sur le Gestionnaire de cellule, lancez l'interface utilisateur en mode débogage :
manager -debug 1-200 error_run.txt
Vous pouvez définir le suffixe des noms des fichiers de débogage créés, en remplaçant le fichier
texte error_run par celui de votre choix.
7. Reproduisez le problème dans Data Protector.
8. Fermez toutes les interfaces pour quitter le mode débogage.
Si vous avez aussi collecté les fichiers de débogage Inet et CRS, redémarrez les services Data
Protector sur le Gestionnaire de cellule sans l'option de débogage.
9. Sur le Gestionnaire de cellule, exécutez :
omnidlc -postfix error_run.txt
La commande compresse les fichiers log, getinfo et debug à l'aide du suffixe error_run.txt sur
le client, et les envoie sur le réseau au Gestionnaire de cellule, dans lequel ils sont compressés et
enregistrés dans le fichier dlc.pck au sein du répertoire actif.
10. Envoyez par courrier électronique les fichiers compressés (dlc.pck) à l'organisation de support.
11. Supprimez les fichiers de débogage créés (avec le suffixe error_run.txt) sur le client en
exécutant la commande suivante sur le Gestionnaire de cellule :
omnidlc -postfix error_run.txt -delete_dbg