Chir Ped Viscéral VERSION.0
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Chir Ped Viscéral VERSION.0
Abouabdillah
تضخم البواب الضخامي هو تضخم عضلة البواب مما يعيق افراغ المعدة وهي حالة شائعة تؤدي عامة للقيء عند
الرضيع
Anatomopathologie :
Physiopathologie :
Clinique :
1- Signes fonctionnels :
Surviennent après 3-4 semaines (jamais à la naissance) chez un bébé tout à fait
normal (interval libre) ;
Se caractérisent par l’installation des vomissements typiques tardifs (à distance
du repas) font du lait caillé , en jet, plus abandant que ce qu’il prend , jamais
bilieux ;
Au début l’état général est conservé puis n assiste à la cassure de la courbe de
poids, (témoignant la malnutrition, car le petit canal qui reste ne laisse pas passer
suffisamment du lait => modifications biologiques : ionogramme)
Constipation (d’apport) ;
Oligurie ;
Signes de déshydratation ;
Résumé : Nourrisson qui a 3-4 semaines qui présente des vomissements du lait caillé
NB : si les vomissements sont précoces avec une quantité qui est convenable à la quantité de
la nutrition du bébé c’est un reflux gastro œsophagien.
2- Signes physiques :
Evaluation de l’état général du bébé et de degré de déshydratation ;
Par la palpation de l’hypochondre gauche ; la main droite mise sur le dos et luxe le foie
permet la palpation de l’olive pylorique sous forme d’une tuméfaction mobile (olive).
Examens paracliniques :
1- ASP :
Montre un estomac de stase dilaté il n’est pas très contributif pour le dignostic
positif.
2- Echographie abdominale :
Nourrisson avec interval libre, vomissement du lait caillé , écho montre un aspect d’olive
pylorique (L≥20mm, D ≥15mm).
3- TOGD :
Rarement indiqué lorsque l’écho est douteuse et montre un estomac de stase avec un
pylore détressif.
4- Biologie :
Ionogramme sanguin complet avec les électrolytes. Il est à la base de l’équilibre
hydroélectrolytique
Révèle une alcalose métabolique (perte des ions H+),
Hypochlorémie, hypokaliémie (Kcl), avec hyponatrémie
Formes cliniques :
RGO est frqt avec parfois hernie hiatal (Sd de Roviralta), interval libre peut être
court ou manqué complétement ;
Association avec ictère à bilirubine libre qui disparait avec le trt de sténose du
pylore ;
Forme hémorragique : hématémèse dure aux vomissements ;
Sténose hypertrophique du pylore est isolé : malformations associées sont rares.
االشكال السريرية
االرتجاع-
1- Traitement médical :
Hospitalisation ;
Prendre une bonne voie veineuse ;
Mettre une sonde naso-gastrique ;
Rééquilibration hydroélectrolytique en se basant sur ionogramme sanguin ;
Sonde vésicale pour bilan hydroélectrolytique
Une fois l’ionogramme de contrôle est correct une intervention chirurgicale est indiquée.
2- Traitement chirurgical :
La persistance de vomissements après 24h doit faire douter sur un échec d’intervention
ou un Sd de Roviralta .
بضع عضل البواب خارج المخاط دون فتح تجويف الجهاز الهضمي
Invagination intestinale aigue االنغالق المعوي
Définition :
IIA est réalisé quand un segment de l’intestin pénètre dans le segment sous-jacent, c’est
une urgence médico-chirurgicale dont la PEC ne doit pas tarder vu les complications
redoutables (occlusion, perforation), la forme du nourrisson est la plus fréquente, elle est
dite primitive.
Anapath :
L’invagination la + simple comporte 3 cylindres qui peuvent à leur tour pénétrer dans le
segment d’aval aboutissant à 5 cylindres.
On distingue les invaginations iléo-coliques (trans-valvulaire, les + fréquentes) et iléo-
caeco-colique Ces invaginations peuvent être primitives / secondaires
- Primitives : pas de cause (c’est la plus fréquente)
- Secondaires : cause présente quel que soit l’âge (présence d’un obstacle : tumeur,
diverticule)
Physiopathologie :
Lorsque le segment d’amont pénètre dans le segment d’aval (sous-jacent) il est entrainé
par le péristaltisme et le méso se trouve incarcéré entre les 2 parois du tube digestif
invaginé et invaginant.
Différents éléments du méso (artères, veines, nerfs, lymphatiques) sont étranglés au
niveau du collet et dont la compression est responsable :
Clinique :
A/ Signes fonctionnels :
[ La douleur est due à l’écrasement des nerfs du plexus nerveux végétatif lors du
péristaltisme, lorsqu’il s’arrete => repos (pas de cris : accalmie) ]
Seulement dans 1/3 des cas on a l’association des 3 signes. Le signe plus constant est la
douleur qui doit nous mener à demander les examens complémentaires pour la
confirmation de l’invagination.
B/ Signes physiques :
Doit se faire chez un bébé calme
Palpation de l’abdomen trouve une masse sur le cadre colique mobile (boudin
d’invagination).
TR (traumatisant chez l’enfant) est remplacé par une sonde rectale qui ramène des selles
avec du sang.
L’enfant initialement en BEG puis dégradation avec apparition de signes de
déshydratation, anémie, fièvre et l’évolution vers l’état de choc
Conclusion clinique :
Nourrisson de 2 à 12 mois (max 6 à 8 mois) présente des douleurs abdominales
paroxystiques entrecoupés de périodes d’accalmies, vomissement et rectorragie.
Formes cliniques :
F. diarrhéiques : pose problème diagnostic avec la gastro-entérite
F. vues tardivement :
Examens complémentaires :
A/ASP
Intérêt en cas de complications : signe de péritonite (perforation => pneumopéritoine :
croissant gazeux inter hépato-diaphragmatique), parfois absence des granités caecales
(calcifications : signe indirect) témoignant une IIA iléo-caecocolique. (Dans formes
occlusives = NHA)
B/Echographie
Examen clé pour le dgc, permet le dgc + dans 95 % (et non pas le dgc étio) Décision
chirurgicale
Montre un aspect en cible (cocarde) sur la coupe transversale, et en sandwich sur la
coupe longitudinale
C/Lavement baryté
Pratiquement on le fait plus pour le dgc positif (image d’addition dans un sens, et de
soustraction dans l’autre sens) Intérêt thérapeutique (CI : péritonite, mauvais état
général, formes tardives) (rectorragie isolée n’est pas une CI)
Traitement :
A/ Médical :
Cris paroxystiques
Vomissements
Rectorragie
Echographie
Positif Négatif
Réduction chirurgie
aérostatique
CI de la désinvagination :
Péritonite
Rectorragie : CI relatif
Conclusion :
L’IIA est une urgence qui se manifeste par les signes fonctionnels typiques (douleur,
vomissements, rectorragies) et dont le diagnostic + se fait par échographie Pathologie
bénigne en cas de dgc précoce.
Ttt : réduction pneumatique / aérostatique La chirurgie ne s’adresse qu’en cas d’échec
de la réduction aéro ou hydrostatique .
Echo (aspect en pseudo rein (sandwich)) pour dc devant triade clinique mais on peut ne
pas les trouver tout.
Introduction :
La pathologie du canal péritonéo-vaginal CPV est fréquente, due à la persistance
du CPV, ce canal chez l’embryon est un diverticule de la cavité péritonéale suivi par le
testicule au cours de sa migration de la région rétropéritonéale vers la bourse à travers
la paroi inguinal : canal inguinal qui a un orifice inguinal profond et orifice inguinal
superficiel dans lequel chemine le déférent, les vaisseaux spermatiques, lymphes et nerfs
dédiés aux testicules, entourés d’un muscle qui s’appelle le crémaster.
Hernie inguino-scrotale :
Lorsque le CPV reste largement perméable jusqu’à la bourse, l’intestin peut y pénétrer
et réalise une tuméfaction de la région inguinale et scrotale. Cliniquement se caractérise
par la présence d’une tuméfaction inguino-scrotale
Ces 2 formes sont toujours congénitales meme si elles n’apparaissent que tard dans
l’enfance, la paroi musculaire est indemne contrairement à l’hernie de l’adulte .
Le risque est max chez le nourrisson chez qui l’étranglement peut etre révélateur , il
diminue pendant la première année , il est faible, mais pas nul, après l’age de la marche.
Tableau clinique :
Douleur intense
Tuméfaction inguinale ou inguino-scrotale
Irréductible
Dure
Sd occlusive ( ballotement abdominal, arret de matière et de
gaz , vomissement )
Le risque au-delà de la 6e heure touche aussi bien l’intestin qui risque de s’ischémier et
de se perforer, que le testicule avec risque de nécrose également.
Notes du CM :
Traitement de l’étranglement :
En cas d’étranglement herniaire la manœuvre de taxis (on opère jamais d’emblée
sauf dans la présence de péritonite , on essaie de remettre les orifices à leur place :
chasser ou bien réduire l’intestin étranglé )est le geste le plus urgent à raliser et qui
consiste :
Incision inguinale
Dissection du CPV
Ligature-section du CPV
Cette chirurgie est réalisée en ambulatoire
PS : les hernies ombilicales sont fréquentes les 1ers mois de vie et se compliquent
exceptionnellement. Leur guérison spontanée est fréquente avant l’âge de 4 ans
Hydrolcèle
1- Hydrocèle communicante
Lorsque le CPV persiste mais il est étroit sur toute sa longueur du liquide péritonéal
peut remplir la vaginale par ce fin canal et réalise une hydrocèle communicante dont
l’examen clinique est simple par la découverte d’une grosse bourse indolore facilement
dépressive faisant la sensation d’une poche d’eau dont la pression peut la réduire
complètement (le liquide revient vers la cavité abdominale).
Le diagnostic est clinique par la constatation d’une grosse bourse remplie de liquide et
dont l’épreuve à la transillumination confirme la nature liquidienne du contenu
- Peut être non communicante et la pression sur la grosse bourse ne réduit pas son
volume
*transillumination : illuminer la grosse bourse dans une pièce sombre, les rayons
lumineux traversent l’hydrocèle et apparaissent de l’autre côté par transparence (≠
à la hernie qui reste opaque)
2- kyste du cordon
Ce canal rétrécit laisse persister une poche du liquide qui a la forme d’une bille ce qu’on
appelle kyste de cordon.
La chirurgie est la même que pour les hernies et inguino-scrotal (dissection du canal
péritonéo-vaginal, ligature -section du canal à l’orifice profond abandon du bout distal).
Conclusion :
Persistance de CPV chez l’enfant est une pathologie polymorphe dont le risque
essentiel est l’étranglement des orifices herniaires son diagnostic est clinique ne nécessite
aucun examen complémentaire (parfois l’échodoppler dans certaines formes
compliquées pour étudier la vascularisation), la connaissance des complications est le
seul garant du bon pronostic.
NB :
Hernie inguino-scrotale ne peut pas survenir après 10 ans, mais peut apparaitre
après qlqs mois (c’est une pathologie congénitale)
On peut trouver un corps étranger au niveau de la hernie inguino-scrotale (clou :
suite a son ingestion par l’enfant), on peut trouver un diverticule de Meckel ou
un appendice.
Reflux vésico-urétéral
Définition :
Le RVU c’est le passage anormal permanent ou intermittent des urines de la vessie vers
l’uretère et le rein du a un défaut de la valve anti reflux physiologique.
Physiopathologie :
La description de la région vésico-urétérale un trajet sous muqueux de l’uretère (uretère
intra-mural) dont la longueur est l’élément essentiel du système anti-reflux cette
longueur connait une progression au cours de 2 premières années de la vie, sur ça
s’ajoute :
Pathogénie :
RVU primitif est de loin le plus fréquent une anomalie congénitale de la jonction vésico-
urétérale qui se résume à un trajet sous muqueux court ou réduit il est de 5mm chez le
nourrisson et il va s’allonger progressivement jusqu’à 20 à 25 mm enfin de croissance ce
qui explique la disparition spontanée de RVU chez l’enfant.
RVU secondaire dû à :
Défaut d’évacuation vésicale :
Obstacle anatomique : VUP, maladie du col, sténose
Obstruction fonctionnelle : dyssynergie vésico-sphinctérienne
Vessie hypo ou acontractile
Hyperpression vésicale :
Vessie neurologique
Immaturité vésicale
Infection
RVU post chirurgical
Clinique :
Le RVU se manifeste chez la fille plus que le garçon (9 pour 1), il se manifeste par les
signes de l’infection urinaire (fièvre, signes urinaires, signes digestifs chez le nourrisson)
; stagnation de poids, convulsion, septicémie, 50% des infections urinaires chez la fille
présentent un reflux.
Les autres modes de révélation tardive : HTA, IRC, syndrome polyurie polydipsie
NB : infection urinaire est le motif le plus fréquent, chez l’enfant se manifeste par des
signes digestifs (jamais traiter comme gastroentérite toujours bilanter : ECBU)
Paraclinique : QE +++
1- Echographie : Permet de trouver la dilatation urétéro-pyélique +/- calicielle.
Ps : devant toute dilatation urétéro-pyélocalicielle demander UCG
Si dilatation pyélique penser à un syndrome de jonction demander la
scintigraphie.
2- UCG : qui montre le passage des urines de la vessie vers l’uretère et fait le
diagnostic de RUV et permet également la classification :
Grade 1 : reflux dans l’uretère pelvien.
Grade 2 : RUPC sans dilatation
Grade 3 : RUPC avec dilatation modérée de l’uretère
Grade 4 : Dilatation UPC mais respecte le parenchyme rénal (aspect cupuliforme
des papilles)
Grade 5 : Dilatation importante avec calices en boules (parenchyme réduit) avec
uretère tortueux.
PEC :
Médicale :
Comme le reflux peut disparaitre spontanément, un trt anti-prophylactique peut être
préscrit à ¼ de dose 7jr/7 jusqu’à l’âge de 2 ans, son efficacité est jugée sur ECBU puis
UCG de contrôle est réalisé si échec un traitement chirurgical est prescrit.
Chirurgicale :
Consiste à une réimplantation urétéro-vésicale et la confection d’un trajet sous muqueux
(système anti-reflux) avec un taux de succès sup à 95%.
Conclusion :
RVU c’est une uropathie la plus fréquente chez l’enfant. Tous syndrome fébrile
nécessite un examen cytobactériologique des urines et devant tous signes digestifs chez le
nourrisson demander UCG pour le diagnostic. Un trt médical est prescris jusqu’à l’âge
de 2 ans et la chirurgie s’adresse au cas rebelle et de haut grade.
Syndrome de jonction pyélo-uréteral الموصل الحلبي الحويضي
Introduction :
Le syndrome de jonction pyélo-uréterale est une obstruction à l’évacuation des
urines du bassinet vers l’uretère.
Il s’agit d’un obstacle le plus souvent fonctionnel, mais parfois on peut parfois touver
une sténose organique ou de l’artère polaire qui vient de cravater la JPU.
Quelque soit la cause, elle entraine une augmentation des pressions entre le bassinet
puis un retentissement sur le parenchyme rénal réalisant une hydronéphrose.
Clinique :
La symptomatologie clinique est très variable, et la douleur abdominale est le signe
principal ( le maitre symptome), cette douleur abdominal est parfois péri-ombilicale
elle reprend l’aspect de colique néphrétique que chez les grandes enfants, ainsi
appelé « la grande simulatrice de l’abdomen »
Les autres signes notamment une hématurie, HTA, l’IR si syndrome de jonction
bilatéral et sévère.
Il existe formes latentes qui peuvent rester jusqu’à l’âge adulte, et des formes
compliquées de rupture lors d’un traumatisme (la complication la plus redoutable).
Il faut noter que formes bilât dans 20% cas
Paraclinique :
Puis une échographie postnatale qui montre une hydropnéphrose avec un uretère
fin,ce contraste est fortement suspect d’un syndrome de jonction.
Qui permet une étude détaillée du drainage pyélique, ce test est réalisé avec
l’injection de Lasilix
Tout vidange qui est retardé au-delà de 20 min, témoigne d’un obstacle qui est dû au
syndrome de jonction
3- Urographie :
Est surplombé à la scintigraphie et montre une stase pyélique +/- calicielle avec la
non visualisation de l’uretère
4-UCG :
En cas de suspicion du RVU (20%) devant la présence d’une infection urinaire.
5-Biologie :
Systématique. Retentissement (Sd JPU bilat) : urée, créat obligatoires
Traitement :
1- Médical :
Traiter l’infection
2- Chirurgical
Echographie de la 1ere semaine dite post natale qui permet de confirmer l’existence
d’une
-Si par contre, l’état est stationnaire, la scintigraphie est demandée vers l’âge de 6
mois
Conclusion :
Le SD de JPU est l’uropathie obstructive la plus fréquente du haut appareil, son
diagnostic doit se faire en anténatale.
Circonstances de découverte :
DIAGNOSTIC ETIOLOGIQUE
1- Neuroblastome :
Est une tumeur maligne qui se développe à partir des cellules nerveuses primitifs
appelés neuroblastes qui siège devant le rachis au niveau du thoracique, cervicale,
thoraco-abdominale et pelvienne.
C’est une tumeur du système nerveux sympathiques qui se développe à partir des
cellules primordiales du système sympathique né de la créte neurale, selon la localisation
de ces cellules d’origine on distigue : des neuroblastomes cervicaus 5%, thoracique 30%,
abdominale 60%, et pelvienne 5%
C’est la plus fréquente des tumeurs abdominales de l’enfant qui survient avant l’age de
2 ans.
C’est la seule tumeur chez l’enfant est un cancer qui peut guérir tout seul dans certains
conditions qu’on ne sait pas (régression spontannée).
CLINIQUE :
Sd tumorale : tumeur abdominale proonde dure et fixe de la région
rétropéritoniale, elle peut devenir volumineux
Anémie
Diarrhée chronique par secrétion du VIP(vasoactif intestinal peptid) responsable
d’une diarrhée profuse rebelle.
HTA par secrétion d’adrénaline et de dopamine
Sd opsomyoclonique qui associe un syndrome cérebelleux avec des mouvements
involontaires et des myoclonies oculaires.
Devant une complication telle une paraplégie due à la compression médullaire du
neuroblastome thoracique dit en sablier ( la complication la plus redoutable)
Des métastases peuvent révéler le neuroblastome dans 50% des cas : des
gonglions sus claviculaire, les douleurs osseuses et l’exophtalmie par méta
orbitaire
NB : lorsqu’on trouve un bébé qui a pas de notion de traumatisme et qui a fait des
oedèmes palpébral avec des échymoses (aspect bleuté) que ça soit uni ou bilat il faut
penser à un syndrome de Hutchinson, alors dans le site initiale de la tm on a rien cad
dans l’examen abdominal on ne trouve pas de masse faire écho abdo et TDM abdo
Paraclinique :
Echo abdo et TDM abdo d’emblée qui montrent une masse pararachidienne ou
perirachidienne surtout dans la loge rénale srt surrénale qu’ils vont préciser
l’extension de la tumeur par rapport avec les organes de voisinage.
Recherche de métastases par TDM tap, qui cherche l’extension de la maladie
BIOLOGIE :
Cette tm secréte les catécholamines (adré, nora et dopa) dont les catabolites ou les
métabolites (dégradent dans le foie et secréter dans les urines) sont retrouvé dans les
urines, dont le dosage de ces métabolites au niveau des urines fait le diagnostic de la
maladie : l’acide vanylmandélique (VMA), acide homovanylique (HVA) et dopamine
urinaire
Le seul problème qu’on a avec ces métabolites c’est qu’il nécéssite 10-15 jrs pour
avoir le résultat mais ils sont très fiable
Les neublastomes ont un oncogène (découvert récemment) qui est un gène induit la
cancérisation, qui s’appelle n-myc, alors quand on dose cet oncogène sur le plan
génétique on le trouve amplifier
Donc lorsqu’on a N-myc positif on ne fait pas de trt, c’est un patient qui va pas
répondre à la chimio
Alors que si le N-myc n’est pas amplifier donc ce neuroblastome est de bon pronostic
et le trt se fait par chimio et par la chirurgie
Stade 1 : une tm limitée à son site (on peut pas savoir le stade sans faire la chirurgie)
Donc la classification se base sur le compte rendu opératoire qui étudie la résection
complète ou incomplète et se base aussi sur le bilan d’extension avec/sans méta.
TRT :
Les moyens thérapeutiques les plus important sont la chirurgie et la chimiothérapie
1- La chirurgie exérèse : doit etre la plus complète que possible, seul garant des
guérison
2- Chimiothérapie de réduction tumorale avant la chirurgie et chimio post-
opératoire : à base de vincistine cyclophosphamide et dexorubicine(les plus
éfficace pour cette tm)
3- La raiothérapie : 20-30 Gray
4- Les indications :
La chirurgie s’adresse aux tm d’emblée résecable
La chimio est la règle pour réduire la masse tumorale et pour consolidation
après la chirurgie
La radio en cas de résidu tumoral
CONCLUSION :
Le suivi du neuroblastome se fait par les métabolites des catécholamines urinaire
Le terrain de prédilection :
CLINIQUE :
Signes urinaires à type d’hématurie
Tm abdominale
Hypertension arterielle : compression de l’artère rénale par la tm
Sx généraux à type de fievre et AEG
Examens Complémentaires :
Echo montre le siège rénale de cette tm solide
La TDM abdo visualise les limites et les rapports
TDM TAP pour bilan d’extension
Le dosage de VMA, HVA et dopamines urinaires, normaux, éliminent un neuroblastome
(le néphrob n’est pas une tm sécrétante)
Recherche de métastases : Rx pulm, écho hépatique, Rx squelette en fonction de la
clinique
Classification : se base sur l’état de la tm rompue ou non rompue, sur les métastases à
distanse et sur la bilatéralité de l’atteinte
TRT :
1- Chirurgie : néphro-urétérctomie élargie par voie classique (laparotomie) ou
coelioscopie (laparoscopie)
2- Chimio : a un grand apport srt l’actinomycine D qui donne une très bonne
réduction tumorale
3- Radio : une tm très sensible
4- Indications :
La chimio en 1er qlq soit la tm puis une chirurgie élargie et enfin une
chimio post opératoire
Radio en cas des résidus tumorales ou ruptures
Un bébé qui vient de naitre et qui a des vomissements verdatre c’est un malade de
chirurgie , il n’y a pas de trt médical
Sur le plan clinique on a des signes d’occlusion : arret des matières et des gaz, sauf que
dans le balonnement abdominales on a 2 situations :
Complications d’occlusion :
Signes de détresse repiratoire : abolition de la fct diaphragmatique
On peut avoir l’absence de méconium (le méconium est fait de 250 mg, bleu foncé
presque noir et sa qtt peut aller jusqu’à 250g dans les 24H première)
Volvulus du gréle - +
Autres
Epreuve à la sonde qu’on introduit au rectum, si cette sonde ramène des selles et des gaz
=un problème fonctionnel, ce ,’est pas organique, c’est un intestin ouvert mais ne
fonctionne pas = anomalie congénitale= penser à la maladie de Hirschsprung
QE ++++ : devant toute occlusion néonatale= réaliser un cliché TAP car chez le nouveau
né on fait pas d’ASP