Etude Sectorielle Urbanisme 2019 09 05 0
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Etude Sectorielle Urbanisme 2019 09 05 0
urbanisme
et aménagement
juin 2019
AVANT-PROPOS
Les mutations permanentes de l’environnement territorial et de cialisés d’études territoriales (INSET) d’Angers, de Dunkerque,
l’action publique engagent les collectivités dans des réflexions de Montpellier, de Nancy, et de l’institut national des études
et des processus de mise en adéquation toujours plus efficiente territoriales de Strasbourg (INET).
entre les compétences de leurs agents et les conditions de mise
en œuvre des politiques publiques. Positionnés sur chacun des champs de l’action publique locale,
les pôles de compétence animent un réseau national composé
L’enjeu n’est pas seulement de suivre ces évolutions mais de les de partenaires institutionnels, d’experts, de professionnels des
anticiper. C’est pourquoi, une veille et une visée prospective des collectivités et d’acteurs internes du CNFPT.
besoins de professionnalisation sont indispensables pour penser
dans la durée une politique d’offre de service à destination des La veille sectorielle sur le lien emploi-formation est au cœur
collectivités et de leurs agents. de la mission des pôles. C’est pourquoi la production régulière
d’une étude sectorielle vient synthétiser les résultats de cette
Le CNFPT se structure pour répondre à cet impératif à travers 18 veille et contribuer aux orientations stratégiques du CNFPT et
pôles de compétence répartis au sein des instituts nationaux spé- au positionnement de son offre de service.
4 ÉTUDE SECTORIELLE Urbanisme et aménagement | JUIN 2019
1. Michèle BEGUIN et Denise PUMAIN « La représentation des données géographiques- Statistique et cartographie » ARMAND COLIN 4e ed
2. Michèle BEGUIN et Denise PUMAIN « La représentation des données géographiques- Statistique et cartographie » ARMAND COLIN 4e ed
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Les opérations d’aménagement concourent : Chacun a des compétences spécifiques. Leur bonne articulation
• au maintien, à l’extension ou à l’accueil des activités entre eux est essentielle pour le projet de territoire.
économiques ;
• au développement des loisirs et du tourisme ; Un territoire marqué par des « fractures »
• à la réalisation des équipements collectifs ; L’aménagement est source de dichotomies sur le territoire.
• au renouvellement urbain ; Dès 1947, Jean-François Gravier parlait de « Paris et son désert
• à la mise en valeur du patrimoine bâti ou non bâti et des espaces français ». S’en sont suivis les clivages entre ville et campagne,
naturels ; ville et banlieue.
• à la desserte en transports. Aujourd’hui, 95% de la population française vit sous l’influence
des villes. L’opposition territoires urbains et territoires ruraux
Une pluralité d’acteurs publics n’est plus aussi nette tant chacun est porteur d’une dynamique
L’urbanisme et l’aménagement font intervenir une pluralité propre. Néanmoins, les fractures territoriales persistent.
d’acteurs publics. L’opérateur historique est l’État. Cependant, L’accroissement des inégalités entre les territoires est de plus
la décentralisation et les diverses autres réformes ont accentué en plus marquant : disparition des services publics, difficultés
les prérogatives de toutes les collectivités territoriales et des d’accès aux soins, absence de couverture numérique, de desserte
Établissements Publics de Coopération Intercommunale (EPCI). en transports...
La généralisation du PLUI interroge alors la gouvernance des prévenir la constitution de nouveaux déséquilibres et faciliter
collectivités dans l’élaboration du document ainsi que leur mode la coordination des acteurs ».
d’association dans le pilotage de leur réalisation. Un projet de loi prévoit la création de l’Agence nationale pour la
Le Sénat5 mentionne le rôle phare des intercommunalités et des cohésion des territoires. Sa mission sera « de contribuer au déve-
régions : « Compte tenu de leur récent changement d’échelle, les loppement économique et social durable des territoires ruraux
nouvelles intercommunalités doivent jouer un rôle majeur pour et périurbains » en apportant « un concours humain et financier
organiser localement ce réseau de territoires solidaires. L’éche- aux collectivités territoriales, aux établissements publics de coo-
lon régional doit quant à lui soutenir les relais de croissance, pération intercommunale et aux organismes publics et privés ».
5. Hervé MAUREY et Louis-Jean de NIC OLAY au nom de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat:
Aménagement du territoire : plus que jamais une nécessité (rapport d’information) 31 mai 2017
6. LOI n° 2017-86 du 27 janvier 2017 relative à l’égalité et à la citoyenneté
7. LOI n° 2018-727 du 10 août 2018 pour un état au service d’une société de confiance
8. LOI n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique
9. Décret n° 2018-617 du 17 juillet 2018 portant modification du code de justice administrative et du code de l’urbanisme (parties réglementaires)
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10. LOI n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové
11. LOI n° 2018-1021 du 23 novembre 2018 portant évolution du logement, de l’aménagement et du numérique
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Tendre vers une ville économe, saine, inclusive et • de la mobilisation du foncier public ;
résiliente • de la mixité sociale et intergénérationnelle ;
• de la reconquête des centres villes ;
Après des années de pratiques conduisant à la consommation,
• de la mobilité active pour tous.
à outrance, des terres agricoles au profit de projets d’aména-
Le bien-être des habitants est aujourd’hui mieux pris en compte
gement (logements, infrastructures…), la prise de conscience
dans l’aire urbaine. La nature en ville y contribue, avec plus de
de l’épuisement des ressources naturelles et de la nécessité de
biodiversité, de végétalisation et le développement de l’agri-
les préserver s’est installée. Elle se traduit dans la lutte contre
culture urbaine. L’impact de l’urbanisme sur la santé est enfin
l’étalement urbain et la fin de l’artificialisation et de l’imperméa-
davantage considéré dans les projets d’aménagement et dans
bilisation du foncier agricole.
les documents de planification. Les Évaluations d’Impacts sur
Sauvegarder les terres nourricières, préserver la biodiversité et
la Santé (EIS) se généralisent bien que cette prise de conscience
lutter contre les inondations liées à l’imperméabilisation des
touche encore davantage les professionnels de la santé que les
sols sont les principaux objectifs du Plan Biodiversité 201812.
urbanistes.
La lutte contre l’étalement urbain en conciliant aménagements
Face au réchauffement climatique et aux risques naturels et
urbains et besoins de logements s’inscrit dans des dynamiques
technologiques, les villes doivent s’adapter et être davantage
d’urbanisme durable en faveur de :
résilientes De nouveaux défis attendent les villes pour que les
• la densité urbaine ;
collectivités territoriales et les urbanistes, intègrent davantage
• du renouvellement urbain ;
la culture du risque.
• de la reconquête des friches urbaines ;
du développement d’un territoire ». Il en émane des « cartes- Dans ce contexte, la modélisation et la simulation des stratégies
support à la participation et des cartes-produit de la partici- d’aménagement en 3D se développent et le recours à l’intelli-
pation »16. gence artificielle et aux algorithmes commence à émerger. Essen-
Certaines collectivités n’hésitent pas à introduire du numérique tiellement proposées par des start-up, ces nouveaux services
dans les procédures d’urbanisme réglementaire comme pour permettent « de tester, scénariser, comparer, challenger les futurs
l’élaboration ou la modification du PLU. Le digital facilite aussi le possibles d’un territoire »18. Ils deviennent de précieux outils
débat public et l’implication des citoyens. Selon Nicolas Douay17 d’aides à la décision.
« l’impact du numérique se traduit par une évolution des instru- Le numérique a un impact considérable sur l’aménagement de
ments participatifs de la planification ». Ces nouvelles interac- la ville, sur les métiers et sur la manière de concevoir la ville et
tions constituent de nouvelles formes d’expression qui tendent en associant une pluralité d’acteurs. La transition numérique
vers un urbanisme coopératif ou collaboratif. devient un sujet de fond à intégrer dès l’amont du projet. Elle offre
aussi de nombreuses opportunités pour transformer la pratique
Le développement des villes intelligentes de l’aménagement par la sphère publique.
Pour les acteurs de l’urbain, l’introduction des Technologies de
l’Information et de la Communication (TIC) est génératrice de Les drones
nouvelles manières de gérer, de gouverner, de façonner et de Les drones s’invitent dans les collectivités. A ce jour, leurs uti-
vivre les villes. On parle de « Smart City » ou « Ville Intelligente », lisations restent ponctuelles voire anecdotiques. Dans les pro-
qui selon Nicolas Douay, « font partie des concepts dominants chaines années, leur utilisation sera de plus en plus importante
de la production urbaine contemporaine ». Les objectifs visés comme nouveau moyen d’appréhension des espaces tant pour
sont l’optimisation des coûts, l’organisation du bien-être et de la communication, la prévention des risques naturels, la gestion
la qualité de vie des habitants. Le numérique est aussi appré- du patrimoine…
hendé comme une opportunité pour les villes moyennes et les
territoires ruraux, parfois en décroissance, pour renouveler leur
attractivité.
19. LOI n° 2014-366 du 24 mars 2014 pour l’accès au logement et un urbanisme rénové
20. LOI n° 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République
21. LOI n° 2014-58 du 27 janvier 2014 de modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles
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charge du Fond Européen Agricole pour le Développement Dans ces organisations, les besoins d’externalisation sont pré-
Rural (FEADER), c’est notamment le cas en région Bourgogne sents sur des sujets très pointus ou nouveaux qui nécessitent un
Franche-Comté.. fort niveau d’expertise. Des besoins d’externalisation peuvent
L’organisation hiérarchique est plus regroupée que que dans les également émerger pour respecter une contrainte calendaire
métropoles, avec en moyenne 4 directions. imposée par les élus qui imposerait une charge de travail trop
Les profils des agents en région se distinguent des profils déjà importante pour l’équipe en place.
présentés. En effet, a contrario des Métropoles ou des Conseils
départementaux, peu, voire pas d’universitaires issus des disci- Un agent pluridisciplinaire
plines Aménagement et Urbanisme occupent des postes d’enca- Ce contexte est fréquent pour des petites communautés de com-
drement. On retrouve principalement des profils administratifs : munes, communes de tailles modestes, des syndicats mixtes. Un
ENA, École des Ponts et Chaussées, Polytechnique ou Sciences à trois agents portent l’ensemble des missions d’une manière
Po. Les universitaires présents, ont généralement suivi un par- souvent très transversale : suivi du Plan Local d’Urbanisme Inter-
cours juridique. communal (PLUi), du Programme Local de l’Habitat (PLH), de
la Trame Verte et Bleue…
Une direction de l’urbanisme et de l’aménagement Les profils des agents sont très variés. Selon leur âge, le niveau
regroupant un ensemble de techniciens de diplôme varie. Il est constaté que la jeune génération recrutée
Cette organisation se retrouve dans les communautés d’agglo- a bien souvent un profil universitaire alors que les agents plus
mération de taille moyene ou des communautés de communes âgés sont moins diplômés. Leurs compétences ont été acquises
de taille importante comptabilisant plus ou moins 50 000 habi- par l’expérience et au gré de diverses formations.
tants ainsi que dans les communes de taille moyenne d’environ Les agents sont souvent directement placés sous la responsabi-
20 000 habitants. lité du DGS. Ils sont rarement en situation d’encadrement et très
Dans ce type d’organisation, sont présents quelques techniciens souvent en prise direct avec les élus, notamment, le Président
pluridisciplinaires en planification, aménagement du territoire, ou le Maire et le Vice-président ou l’adjoint au Maire délégué à
et plusieurs instructeurs-gestionnaires des autorisations d’urba- l’urbanisme.
nisme qui sont tous sous la direction d’un cadre directement
sous la responsabilité du directeur général des services de la La singularité des systèmes d’information géographique
collectivité. Dans ces diverses organisations, certains agents ont des compé-
Il est aussi très fréquent d’avoir des agents mutualisés entre tences en géomatique. Généralement, il s’agit d’une compétence
l’EPCI et la ville principale du territoire. D’une manière générale complémentaire et non principale. Bien souvent, lorsqu’un réfé-
la direction regroupe une dizaine ou quelques dizaines d’agents. rent SIG existe, il est rarement rattaché à l’urbanisme et à l’amé-
Ce sont très souvent et en plus grand nombre des instructeurs- nagement. En revanche, il est fréquemment affecté à des services
gestionnaires des autorisations d’urbanisme. Ce sont des spécia- supports comme les ressources, la logistique ou l’informatique.
listes alors que les chargés de mission pluridisciplinaires sont Parfois, il peut encore être directement rattaché à la direction
plus généralistes. générale des services.
Entre l’agent et le DGS, il n’y a bien souvent qu’un responsable
de service. Les niveaux hiérarchiques, sont moins nombreux
mais se démultiplient selon taille de la collectivité.
Un fort impact de la transition numérique sur le - de l’émergence de nouveaux profils tels que chargé de mission
métier d’instructeur gestionnaire des autorisations ou chef de projet, d’instructeur gestionnaire des autorisations
d’urbanisme, pour lesquels il n’existe pas ou peu de formations
d’urbanisme
diplômantes ;
Le numérique touche profondément le champ professionnel de - d’un épuisement du marché de l’emploi (c’est notamment
l’urbanisme et de l’aménagement. Tous les métiers sont concer- le cas pour les instructeurs-gestionnaires des autorisations
nés, à des échelles diverses et des niveaux variables. Cependant, d’urbanisme) ;
à court terme, la plus nette évolution concernera le métier d’ins- - d’une raréfaction des postes mis en recrutement.
tructeur-gestionnaire des autorisations d’urbanisme avec la S’ajoutent à ces difficultés de recrutement des problématiques
dématérialisation des procédures. Elle impactera les relations à d’accès à la formation continue pour les agents de certaines
l’usagers, les compétences, la structuration des services… petites collectivités (communes et intercommunalités). Ces dif-
ficultés proviennent du nombre restreint de jours alloués à la
Des difficultés de recrutement et d’accès à la formation formation, mais aussi d’une charge de travail des agents qui leur
Certaines collectivités éprouvent des difficultés à recruter en permet difficilement de se rendre en formation.
raison : Contradictoirement, ce sont ces mêmes collectivités qui dis-
- d’un possible manque d’attractivité de leur territoire ; posent d’un moindre capital de connaissances et de compétences
- des disparités de rémunération d’une collectivité à l’autre ; au regard des profils de leurs agents.
- du vivier présent ou pas selon les bassins de formation, de Par ailleurs, dans bien des collectivités et pour des raisons bud-
personnes disposant d’une formation initiale sur le domaine gétaires, le non-remplacement des agents partant en retraite
de l’urbanisme et de l’aménagement ; entrainent une réorganisation des missions et un alourdissement
des charges de travail.
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Pistes d’actualisation et d’évolution des fiches métiers du répertoire des métiers territoriaux
Effectifs au 31/12 /2012 Répartition statutaire Cat A Cat B Cat C Autres (en %)
44,3
74,3
34,2 19,5
4,0
2
2 % d’agents à temps non complet de l’urbanisme et de l’aménagement
80,5 % d’agents titulaires Directeur ou directrice de l’urbanisme 65,4 24,7 8,2 1,7
et de l’aménagement durable
(75,2 % dans la FPT)
Chef ou cheffe de projet foncier, 73,5 19,7 3,1 3,7
58,3 % de femmes urbanisme et aménagement
(60,6 % dans la FPT) Responsable des affaires 41,1 47 11 0,9
immobilières et foncières
Instructeur ou instructrice des 3,4 48,3 47 1,3
autorisations d’urbanisme
Chef ou cheffe des systèmes 56,5 34,2 8,1 1,2
d’information géographiques
Départements 8,8 %
Régions 2,4 %
Nous tenons à remercier tous les participants pour leur coopération et pour la qualité de leurs contributions.
Groupe de travail des professionnels • Conseil départemental du Val d’Oise
Olivier BANASZACK, chef des services à la direction Urbanisme • Grand Angoulême
et territoires Service Géomatique • Les 2 Alpes
Olivier CHOPIN, urbaniste, Agence Hauts de France, AUDDICE • Métropole Aix Marseille
URBANISME • Morlaix communauté
• Pays Dunois
Grégoire FEYT, enseignant chercheur, laboratoire PACTES,
• PETR Ternois 7 Vallées
Métropole de Strasbourg
• Région Auvergne Rhône-Alpes
Elise LADRUELLE, chargée de mission, Association Française • Région Grand Est
pour l’Information Géographique (AFIGEO) • Syndicat mixte du SCOT de la Vallée de la Drôme
Vincent LE GRAND, maître de conférences à l’université de Caen • Syndicat mixte Ouest Cornouaille
et consultant en droit de l’urbanisme • Syndicat mixte pays cœur de Flandre
Julie MARCHAND, co-fondatrice de l’agence CONNAIXENS • Syndicat mixte pays vallée de la Sarthe
Valérie MATHIAS-HUSSON, géographie urbanisme, agence • Syndicat mixte SCOT Nord Isère
d’urbanisme de Dunkerque, AGUR
Anne-Laure NEVOUX, responsable du service d’urbanisme de Groupe de travail CNFPT
Flers Agglo
Virginie BAUDEL, INSET de Dunkerque
Bernadette NOURY, formatrice en urbanisme
Magali BEAU, INSET, de Dunkerque
Emmanuel PIN, directeur SIG, Metz Métropole
Marie-Claude BONJOUR-DARMAGNAC, délégation Aquitaine
Christian QUEST, Mission Etalab et Open Street Map France
Eliane BORDMANN, délégation Alsace-Moselle
Caroline RIGAUD, Fédération Nationale des Conseils
Dominique BOUTIN, INSET de Dunkerque
d’Architecture, d’Urbanisme et d’Environnement (FNCAUE)
Delphine COPIN, délégation Nord – Pas-de-Calais
Fabien ROUX, urbaniste OPQU, responsable de l’agence Hauts
de France, AUDDICE URBANISME Christine COUTURE, INSET de Dunkerque
Joseph SALAMON, directeur du développement territorial, Michaël DEFRANCQ, INSET de Dunkerque
Conseil départemental des Hauts-de-Seine Bruno GEMIN, délégation Pays de Loire
Jean-Philippe STREBLER, maître de conférences associé à Mathilde GUINE, délégation Languedoc-Roussillon
l’université de Strasbourg, directeur du pôle d’équilibre territorial Karine HEDE, INSET de Dunkerque
et rural (PETR) de Sélestat Sarah JAMES, délégation Auvergne
Emmanuèle JUPILLAT-TOBITT, délégation Provence-Alpes-
Collectivités associées Côte d’Azur
Ont été associées à l’enquête conduite entre juillet et septembre Sylvie LAMI, INSET de Dunkerque
2018 pour les besoins de cette étude sectorielle : André LECHIGUERO, délégation de Mayotte
• Agglomération du Grand Paris Sud Florence MARTIN, délégation Ile-de-France
• Communauté de communes de Calvi Balagne Olivia NEURAY, INSET de Dunkerque
• Communauté de communes de la Haute Saintonge Vincent PSALMON, délégation Bourgogne
• Communauté de communes du Grésivaudan Arlette PUJAR, délégation de Martinique
• Communauté de communes Hérault Méditerranée Anne RODIERE, délégation Midi-Pyrénées
• Commune d’Avignon Marie TAVERNIER, INSET d’Angers
• Commune de Lyon Mathilde VANDERRUSTEN, INSET de Dunkerque
• Commune de Mûrs-Érigné
Marie-Christine VIALE, délégation Normandie-Caen
• Commune de Nanterre
• Commune de Poissy Isabelle VICQ, INSET de Nancy
• Commune de Sommières Samir YACCOUBI, INSET de Dunkerque
Publication réalisée par la direction générale adjointe chargée du développement de la formation - direction
de l’observation prospective des emplois, des métiers et des compétences