TP Commerce International
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INTRODUCTION
Certes, Toute théorie est fonction d’une expérimentation d’un domaine quelconque
dans le temps et dans l'espace. Ceci et confronté par le changement des méthodes ou
pratiques dans le fonctionnement des organisations.
C'est ainsi qu'il était évident après l’étude du cours de théorie et pratique du commerce
international, de procéder par une recherche dont la thématique traite sur « les
inconvénients de l’intégration de la RDC à la zone de libre-échange SADEC » qui nous
permettra de concilier la théorie à la pratique.
C'est dans cet ordre d’idées que nous aborderons ce sujet dans la partie suivante pour
apporter la lumière.
Hormis l’introduction et la conclusion,
➢ la première partie portera sur la SADEC
➢ La seconde partie parlera des inconvénients de l’intégration de la RDC à la zone
de libre-échange SADEC.
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1.3. Historique
Nous tenons à signifier que la SADEC a été précédé par plusieurs organisations avant
sa création en 1980. C’est ainsi que nous procédons à la présentation des dates ayant
marquées l’histoire jusqu’à la création de la SADEC :
2. la supposition que cela réduirait les coûts en confiant les projets à des administrations
préexistantes ;
En 1994 : fin du régime d’apartheid et l'Afrique du sud fait son adhésion à la SADEC.
De 1995 jusqu’en 2005 : quatre pays signent leurs entres dans l’organisation :
✓ La Maurice (1995)
✓ La RDC (1998)
✓ Les Seychelles (1998)
✓ Le Madagascar (2005)
En 2003 adoption de deux plans stratégiques indicatifs à long terme (15ans). L'un pour le
développement de la région (RISDP, Régional Inactive Strategic Development plan), et l'autre
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pour les questions de politique, défense et de sécurité (SIPO, Strategic Indicative Plan of the
Organ). La mise en application de ces orientations dont prerries à ce jour dans 24 protocoles
notamment commerce, finance et investissement, gestion des fleuves transfrontaliers et
nationaux …
En août 2017 : marque l’adhésion des Comores lors du 37ème sommet des chefs d’États
et de gouvernement de la SADEC les 19 et 20 août à Pretoria.
En août 2020 : 40ème sommet des chefs d’États et de gouvernement, organisé, virtuellement
par le Mozambique, lors duquel les participants ont adopté la vision 2050 pour l’avantage
d’intégration régionale.
La SADEC c'est doté d'institutions calquées en grande partie sur le modèle européen.
▪ Président sortant
▪ Président actuel
▪ Le futur président
La SADEC est la placée sous l’autorité d'une troïka tournante des chefs d’État pour une durée
d'un an.
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Il est composé du ministre de chaque Etat membre chargé du suivi des finances et des
affaires étrangères, le conseils à la charge de superviser le processus et le fonctionnement de
la SADEC, à la mise en œuvre effective des politiques de l’organisation et de préparer les
réunions du sommet.
De manière générale, le conseil se réunit deux fois par ans. En début d’année pour discuter le
budget de l’organisation et en août, à la veille du sommet annuel de la SADEC.
Créé pour rompre avec la logique sectorielle qui prévalait avant la restructuration de
2001 (conseils des ministres, le comité intégré des ministres (ICM) compose de 2 à 4
ministres de chaque État membre en fonction l'ordre du jour adopté il se réunit une fois par
pour orienter, superviser et coordonner au ministre politique les activités dans les différents
secteurs. En outre, des sous-comités sectoriels se réunissent sur une base ad hoc pour
approfondir certaines questions.
1.4.5. Secrétariat
Créé Après la restructuration de 2001, les comités nationaux de la SADEC (SNES) ont la
responsabilité dans chaque État membre de contribuer à l’élaboration et superviser leurs
transpositions au niveau national.
➢ Afrique du sud.
➢ Angola.
➢ Botswana.
➢ Comores.
➢ Lesotho.
➢ Madagascar.
➢ Malawi.
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➢ Maurice
➢ Mozambique
➢ Namibie
➢ République démocratique du Congo.
➢ Seychelles
➢ Eswatini
➢ Tanzanie
➢ Zambie
➢ Zimbabwe.
1.4.7. Langue.
➢ L’anglais
➢ Le français
➢ Le portugais.
1.5. Mission de la SADEC
Ce qui signifie, dans le contexte de notre explication que des Etats autonomes se réunissent au
sein d’un plus grand ensemble.
En ce qui concerne notre sujet ayant pour champ empirique la RDC, la RDC notre pays
a adhéré à la SADEC pour multiplier ses stratégies au développement du pays et accélérer le
développement économique en vue d’améliorer le bien-être de la population. Recourant au
modèle d’équilibre général calculable dynamiquement adapté à l’économie du pays pour le
développement.
La ZLECLAF est un vieux projet. Selon les objectifs du Traite d’Abuja de 1991, le
processus d’intégration de l’Afrique devait être achevé par la création de la Communauté
économique africaine selon une approche séquentielle en six étapes de 34 ans. La ZLECLAF
vise la réduction des tarifs douaniers pour 90 % des produits et la mise en place d’un marché
libéralisé des services entre les Etats membres de l’UA.
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Vue cet angle, les 80 millions de congolais seront considérés comme un grand marché de
consommateur pour les pays à fort potentialité industrielle (Kenya, Ethiopie, RSA, Angola et
Egypte). La Bralima a dû fermer son usine de production de bière à Boma lorsque le marché
de Lufu a été ouvert. Imaginons des tels scenarii sur l’ensemble de la RDC, nous risquons de
tuer le marché local pour consommer les produits extérieurs.
Il en est de même pour la circulation des personnes, les congolais circulent difficilement
l’intérieur du pays à cause soit des problèmes liés aux infrastructures soit alors à cause de cout
exorbitant (Kinshasa-Lubumbashi).
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Mettre en place une politique de l’industrialisation du pays. Accélérer la mise en place des
zones économiques industrielles. Établir un état de droit.
Nous devons redéfinir nos emboutions et opter pour des partenariats stratégiques. Qu’il
s’agisse d’un accord bilatéral ou multinational, c’est la RDC qui doit d’abord gagner.
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CONCLUSION
Il importe dans la mesure du possible de passer en revue la démarche suivie pour la
réalisation des objectifs poursuivis dans notre recherche. Comme tout travail qui se veut
scientifique, notre préoccupation était de détecter les incontinents de l’intégration de la
République Démocratique du Congo à la zone de libre-échange SADEC.
Après avoir mené la recherche, nous nous sommes rendu comptes que les
inconvénients que fait face la RDC après son intégration à la zone de libre-échange SADEC
sont :
Comme toute chose a un début et une fin, nous voici arrivé au terme de notre travail qui
cadre avec le cours de « théorie et pratique du commerce international.
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BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. buabua, t. (2013). intégration des Etats africains au sein de l'union africaine. lubumbashi.
2. Friedrich. (2007). guide facile sur l'intégration regionale . paris.
II. MEMOIRES