Memoire Fin D'étude INSFP KHROUB CHA
Memoire Fin D'étude INSFP KHROUB CHA
Memoire Fin D'étude INSFP KHROUB CHA
Mémoire de fin
d’étude
Thème
Etude fonctionnelle de Pont gratteur
االهداء
بعد بسم اهلل الرحمان الرحيم والصالة والسالم على أشرف المرسلين
الحمد هلل الذي يؤتي الحكمة من يشاء ومن يؤتى الحكمة فقد أوتي خيرا كثيرا.
.نشكر اهلل الذي اعاننا على إتمام هذا العمل
نهدي ثمرة جهدنا في هذا البحث الى أمهاتنا وابائنا الذين سهروا من اجلنا
.وقدموا لنا كل الدعم للوصول الى أهدافنا
.وباسمي انا بوجالل اصالة ندعو بالرحمة على والدي رحمه اهلل
"وباسمي انا شيماء العطوى اترحم على الرجل الذي كان بمثابة ابي"عقبة
والى اخواتنا وإخواننا وكل افراد العائلة وأصدقائنا الذين قاموا بدعمنا
.وتشجعينا
Remerciements
Nous souhaiterions commencer ces remerciements en louant DIEU, l’unique sans associé. C’est par sa grâce que nous avons pu
.parachever ce modeste travail
Après cela nous tenons à remercier les responsables del’INSFP MOHAMED AYACHE-EL KHROUBqui ont investi leurs efforts
pour le bon déroulement de notre formation.
Ensuite, nous exprimons nos sentiments de gratitude aux administrateurs de GECAqui nous ont accordé l’opportunité d’accéder à
cette impressionnante entreprise.
Nous tiens à remercier vivement mon maitre de stage, Mr Ali B ; Hicham G ; Houssam.
A tout service CMR au sien de l’entreprise.
En revanche, nous adressons notre grande estime et notre profonde gratitude envers notre respectable encadreur Mr FERNIE
Mohamed qui nous a guidés durant notre projet avec rigueur et patience.
Aussi, est-il inoubliable de mentionner sur cette page de remerciement tous les autres professeurs qui nous ont enseigné durant notre
formation.
Sommaire
L’automatisme………………………………………………..1
Introduction……………………………………………………………………..1
Définition………………………………………………………………………..1
1 – Introduction………………………………………………………………………25
2 – Définition………………………………………………………………………….26
3 – 1/La herse………………………………………………………………………….27
3 – 3/L’enrouleur……………………………………………………………………31
4 – Translation……………………………………………………………………….32
5 – Le tas…………………………………………………………………………..36
7 – Le volet…………………………………………………………………………38
B - Partieélectrique
1 – Les capteurs……………………………………………………………………64
4 – Armoire électrique………………………………………………………….….72
4 – 1/ Définition……………………………………………………………………..72
4 – 1/Définition ………………………………………………………………….….84
C - Partiemécanique
Les réducteurs…………………………………………………………………….….96
1 – Introduction……………………………………………………………………...96
2 – Définition…………………………………………………………………………97
5 – Mode d’opération……………………………………………………………..103
6 – Lointain / automatique……………………………………………………......104
7 – Local automatique…………………………………………………………….104
8 – Manuel………………………………………………………………………….105
9 – Reprise opération……………………………………………………......…….106
1 – Introduction………………………………………………………………....109
2 – Définition………………………………………………………………….....109
4_MODE fonctionnement……………………………………………………….110
6-Jeu d'instructions……………………………………………………………..114
2 -LE S7 300
1 –Introduction……………………………………………………………..…....120
2- Constitutiondel’AutomateS7-300………………………………………..…120
3-Caractéristiquesdel’automateS7-300:………………………………………120
3- LogicielSTEP7
1-Introduction…………………………………………………………………....125
2-DéfinitionduSTEP7 ………………………………………………………….125
3_ Programmationdel’automateS7-300 ……………………………………….125
4-AdressagedesmodulesduS7-300……………………………………………...127
5_ Mémentos:………………………………………………………………………..128
6- Traitement du programmable la CPU………………………………………...128
7 - Créationd’unprojetSTEP7………………………………………………………….…..130
8 Configuration et paramétrage de l’automate…………………………………..134
9_ Communication ………………………………………………………………….135
I. Profibus…………………………………………………………………....136
II. Fibre obtique………………………………………………………………138
1-Introduction…………………………………………………………………….…141
2-Définition…………………………………………………………………..............141
2-Hygiène
1-Définition ……………………………………………………………….………156
Les Référence……………………………………………………………………..163
Avant propos :
Introduction :
L’automatisation est un domaine très important dans le processus industriel , les
spécialistes de ce domaine n’ont cessé de chercher a améliorer et a perfectionner des
systèmes de commande , les plus appropriés et les plus efficaces , en passant de la
logique câblée qui a montré des limites avec le développement de la complexité des
systèmes pour atteindre ces dernières années la logique programmée qui a ouvert de
large perspectives concernant les systèmes automatisés et une grande souplesse
d’utilisation .
Définition :
Automatisme :
Dispositif dans le fonctionnement ne nécessite pas l’intervention de l’homme.
Généralité :
Un système automatique et un ensemble qui après avoir reçu des instructions fournis par
l’opérateur, et agit, se substituant ainsi à l’homme ; cette substitution conduit à une plus
grand rapidité d’exécution et une meilleure régularité des résultats, tout système
automatisé comprend deux partie technologique et un opérateur humain.
L’opérateur humain est la personne chargée d’agir sur du matériel technologique divers
pour fournir les instructions permettant d’élaborer la programmation et de rester en
relation avec le système.
La partie opérative a permis de faire subir à l’objet à traiter diverses transformation , elle
reçoit commande est chargé d’enregistrer les instructions données par l’opérateur et
donner les ordres à la partie opérative afin de la faire fonctionner ; elle transmet à
l’opérateur les informations reçus de la partie opérative , à l’aide de signalisation à
l’affichage aussi l’opérateur instruit la partie commande qui ordonne la partie
opérative cette dernière rend compte à la partie commande des opérations
effectuées qui à son tour les signaux à l’opérateur.
Chapitre1
Rapport
De
Stage
1/ Introduction :
L’industrie du ciment occupe une place prépondérante dans les économies de toutes
nations puisqu’elle est la base du développement des secteurs vitaux dans l’économie de
pays.
Le ciment est un matériau de base qui se trouve dans de nombreuses applications dans le
génie civil, son utilisation est étendue dans le monde entier. Pour produire le ciment qui
est un produit a base élaboré, mais ayant pourtant un prix de vente de somme toute assez
fiable ; L’industrie cimentière a du optimiser son processus de fabrication.
Le processus de fabrication du ciment le plus utilisés et un procédé par voie sèche. Il
consiste à un mélange minutieux des matières premières, un broyage, un préchauffage, et
éventuellement un pré calcination avant d’être introduit dans le four rotatif ou se fera le
clinker.
Dans ce chapitre on va présenter un rappel des notionsthéorique sur les étapes et le
processus de fabrication du ciment en général ainsi que la méthode utilisée dans la
société cimentière de HAMMA BOUZIANE.
Figure
1 : société de ciment Hamma Bouziane.
2/Historique de l’usine :
Dans le cadre de son plan d’investissement, l’ERCE a confié en décembre 1974 à
CREUSORT LOIR ENTREPRISES français, la réalisation de la cimenterie de
Constantine. Cette usine est implantée à 8 km nord de Constantine à une altitude
moyenne de 525 m. l’énergie électrique nécessaire à la production est fournie par deux
lignes de 60 kV. L’usine à commencé sa production en avril 1982.
3 /Présentation de l’unité :
Cimenterie DJOUAD TAHAR est une unité de PEKE crée par décret N° 82233 au
30/10/1982 d’où :
Constructeur : CLE France.
Cout global : 2.751.039.805 DA.
Superficie.
Unité 29 Ha.
Carrière calcaire 129Ha
Gisement agrile alumineuse 808Ha.
Gisement argile siliceuse 30Ha.
Capacité nominale théorique de production 1 million tonne/année.
Certification de l’usine :
La SCHB est certifié par ISO 9001 système de management qualité (SMQ)
depuis 2008 installé par l’organisme VINCOTE S.C.H.B en cours de mise
en place ISO 14001 système de management de l’environnement(SME)
4 /Situation géographique de cimenterie :
La SCHB est implanté à 6 km au nord de la ville de Constantine dans la commune
de la localité de Hamma Bouziane, elle a une altitude moyenne de 525m. La figure
1 indiquant les sites des prélèvements.
La superficie totale de la cimenterie est de 29 hectares. On y accède par la route de
Constantine/Skikda.
Téléphone 031.94.64.62/031.94.64.27
Fax 031.94.64.63/031.90.66.23
E-mail [email protected]
Effectifs Cadre : 77
Maitrise : 134
Exécution : 175
180
160
140
120
40
20
0
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Mohammed barkat
Le séchage et le broyage sont l'étape qui favorise les réactions chimiques ultérieures. Les
matières premières sont séchées et broyées très finement (de l’ordre du micron) dans des
broyeurs à boulets, ou, plus récemment, dans des broyeurs verticaux à meules, plus
économes en énergie.
Dans les deux techniques suivantes, les matières premières sont parfaitement
homogénéisées et séchées sous forme de « cru » ou « farine » ;
la voie sèche : la farine est introduite dans le four sous forme pulvérulente après
un préchauffage dans une tour à échangeurs thermiques ;
la voie semi-sèche : avant introduction dans le four, la farine est transformée en
« granules » par humidification dans des graduateurs : la farine est mélangée à de
l'eau pour avoir environ 13 % d'humidité, puis ces granules sont préchauffées
(350 °C) et décarbonatés (900 °C) avant de tomber dans le four.
Le cru est ensuite introduit dans un long four (60 à 200 m) rotatif (1,5 à 3 tr/min),
tubulaire (jusqu’à 6 m de diamètre), légèrement incliné (2 à 3 % d’inclinaison).
4/La cuisson :
La cuisson se fait à une température voisine de 1450 °C dans un four relatif, légèrement
incliné, la matière chemine lentement et préchauffée à environ 800°C dans une tour de
préchauffage constituée de quatre cyclones avant d’être introduite dans le four.
Afin d’optimiser les réactions solide -liquide dans le four, les gaz chauds circulent à
contre courant avec les matières introduites.
Ce flux de gaz entraine avec lui des poussières avant de sortir, elle est impératif de filtrer
au moyen de l’un filtrer à manche ainsi les gaz débarrassés des poussières trouvent issue
par une cheminé.
Tout au long de la cuisson, un ensemble de réactions physico-chimiques conduit à
l’obtention du clinker.
La décarbonations du carbonate de calcium (calcaire) donne de la chaux vive.
L’argile se scinde en ses constituantes silices et alumine qui se combinent à la
chaux pour former des silicates et aluminates de chaux, ce phénomène progressif
constitue la CLINKERISATION.
Figure5 : le four relatif de cuisson du clinker.
6/ Broyage de clinker :
Pour obtenir un ciment aux propriétés hydraulique actives, le clinker doit être à sont tour
broyé très finement ; ce broyage s’affecte dans des broyeurs à boulets .amènent
progressivement le ciment à l’état de fine farine, ne comportant que très peu de grains
supérieurs à 80 microns.
A la sortie du broyeur, un cyclone sépare les éléments suffisamment fins des autres qui
sont renvoyés à l’entrée du broyeur.
Figure 8 : broyage de clinker.
7/Stockage du ciment :
A la suite de broyeur, le ciment est transporté mécaniquement ou pneumatique ment vers
les silos.
Le stockage du ciment se fait dans 6 silos de capacités qui peuvent atteindre 10.000
tonnes ,18 m de diamètre et de 28m d’hauteur.
Figure 9 : les 6 silos de stockage de ciment.
8/Expédition :
Expédition est réalisé par fluidisation des fonds de silo et un ensemble d’aéroglisseurs
l’achemine vers les ensacheuses ou vers les postes de chargement en vrac.
Divers modes d’expédition sont prévus :
Sac route :( 4 postes de chargement).
Sac fer : (2 postes de chargement).
Vrac fer (2 postes de chargement).
Vrac route : (2 postes de chargement).
Figure 10 :Etapes de fabrication du ciment.
9/Les transporteurs :
Le déplacement de la matière d’une installation à l’autre s’effectue à l’aide
des transporteurs spécifique, chacun a son propre rôle. On peut distinguer : les
transporteurs mécaniques, les transporteurs à bandes, les transporteurs à vis
sans fin, les élévateurs à godés, et les transporteurs pneumatiques.
SCHB en Images
Chapitre
2
ETUDE
Descriptif
Chapitre 2 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude descriptive
1/ Choix de thème :
Suite à notre visite des différentes structure de la sociétéGICA HAMMA
BOUZIANE, et en concertation avec les techniciens de la société et notre
encadreur, il nous à été proposé le sujet de fin d’étude qui porte surLe
PONT GRATTEUR.
1/ INTRODUCTION :
Le pont-gratteur c'est une machine fabriqué par une entreprise italienne Bedeschi et font
actuellement des développements les plus récents dans la production du ciment. Nous
trouvons cette machine dans un hôle de préhomogenesation. Sonne rôle est de faciliter de
transfert la matière première à partir de Tas (stock de matière) Vers les trémies BC1 et
BC2 par des tapis convoyeur.
Figure 3 : Le pont-gratteur
Chapitre 2 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude descriptive
3-2 La chaine
ILS ‘agit d’une chaine de fer. Trouve sous le pont gratteur. Et entrain par un
grand moteur 3 Phases. Le moteur connecte avec un coupleur et la dernière
connecte avec un réducteur par des croix. La chaine contenant des godés
transféré la matière de la bas de Tas vers le Tapi 1.
Figure 7 : la chaine
3-3 L’enrouleur :
C'est un cylindre qui contient un fil qui permet a la machine de transférer son
alimentation aves elle lorsque le déplacement gauche et droite.
Figure10 : L'enrouleur
3-4/Translation :
C'est la partie responsable du déplacement de pont gratteur sur le chemin de fer et sa
longueur et de 300 mètres dans chaque direction, Tous les 25 mètres nous trouvons des
Cames pour découvrir l'emplacement et la position du pont gratteur par des FDC (fin de
course) au champ magnétique. Le pont gratteur se déplace a deux vitesses. Dans le travail
(Works) : il marche a petit vitesse avec des motrices petites vitesses commande par un
variateur de vitesse. Dans le cas de déplacement de Tas 1 a tas 2 (Travail) : il passe très
vite avec des motrices Grandes vitesses et freiné avec électro frein.
3-5/ Le Tas :
La matière viens à le hôle de préhomogenesation C'est un mélange. De trois Constitution
Général a l'argile rouge, I ‘argile brune et le calcaire. Cette mélange s'appelle le Cru et
entrer dans le hôle par le stockeur a façon homogène ce qui crée un stock s'appeler Le
Tas.
Figure 15 : Le Tas
Chapitre 2 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude descriptive
Figure 18 : volet
Chapitre 2 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude descriptive
I. Etude technique
A- Partie puissance
1-Le moteur asynchrone triphasé :
1-1/Introduction :
Les moteur asynchrones triphasés représentent plus de80% du parc moteur
électrique. Ils sont utilisés pour transformer
l’énergieélectriqueenénergiemécaniquegrâceàdesphénomènesélectromagnétiqu
es.
C’est une machine robuste, économique à l’achat et ne nécessitant que
Peu de maintenance. De plus, la vitesse de rotation est presque
Sur une large plage de puissance.
1_2 /Schéma de principe : Figure1
MOTEUR ASYNCRON
1-3Constitution
Laboiteàbornes
Lerotor
Clavette
Plaqueà
Joint Borne
Roulement Cartes
Le stator
Flasque
Figure2
Chapitre 3 ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Figure3
Chapitre 3 ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Référence
Figure4 Moteur
Constructeur
Service
N° série
Masse
Indice de
protection
Intensité Nom
C'est sur la plaque à bornes située dans la boite à bornes, que sont raccordés les
enroulements du moteur.
C'est également sur cette plaque que vient de raccorder l’alimentation du m moteur.
U1 V1 W1
Masse W2 U2
Enroulement V2
Cliquez sur
Masse Masse
li’mage
Connexion des enroulements
1-7Couplage :
Le couplage des enroulements statorique permet de faire fonctionner les moteurs
asynchrones sous deux tensions. Il est fonction de la tension du réseau et de la tension
que peuvent supporter les enroulements.
Le couplage est réalisé par une connexion, à l'aide de barrettes, sur la plaque à bornes.
1-8 Méthode :
Repérer la plaque signalétique sur laquelle le constructeur a indiqué les caractéristiques
du moteur.
Extraire les indications se reportant à la tension admissible par le moteur asynchrone
ainsi que les couplages possibles.
Figure 6
Figure 7
Exemple de positionnement
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــétude technique et fonctionnelle
Figure10
Les caractéristiques
Figure11
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــétude technique et fonctionnelle
2-2 Moteur grand vitesse de translation
Figure12
Les caractéristiques
Figure13
Figure15
Figure16
Les caractéristiques
Figure17
Figure18
Les caractéristiques :
Figure19
Il y’a plusieurs des variateurs utilisé dans cette usine et le principe dans ce thème
est Le variateur de vitesse ABB ACS550 base de tension.
Numéro de série
Numérodesérie
Codetype
FIGURE
4
Le variateur de vitesse est composé essentiellement :
D’un redresseur qui, connecté à une alimentation triphasée (le réseau), génère
une tension continue à ondulation résiduelle (le signal n'est pas parfaitement
continu). Le redresseur peut être de type commandé ou pas,
D’un circuit intermédiaire agissant principalement sur le « lissage » de la
tension de sortie du redresseur (améliore la composante continue). Le circuit
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Figure 5
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
A- L'accélération contrôle:
Le profil de la courbe de démarrage d'un moteur d'ascenseur est avant tout lie au confort
des utilisateurs dans la cabine. Il peut être soit linéaire ou en forme de s. Ce profil ou
rampe est la plupart du temps ajustable en permettant de choisir le temps de mise en
vitesse de l'ascenseur.
B- La décélération contrôlée:
Les variateurs de vitesse permettent une décélération contrôlée sur le même principe que
l'accélération. Dans le cas des ascenseurs, cette fonction est capitale dans sens où l'on ne
peut pas se permettre de simplement mettre le moteur hors tension et d'attendre son arrêt
complet suivant l'importance du couple résistant (le poids du système cabine/contre-poids
varie en permanence); Il faut impérativement contrôler le confort et la sécurité des
utilisateurs par le respect d'une décélération supportable, d'une mise à niveau correcte,
On distingue, au niveau du variateur de vitesse deux types de freinage
En cas de décélération désirée plus importante que la décélération naturelle, le freinage
peut être électrique soit par renvoi d'énergie au réseau d'alimentation, soit par dissipation
de l'énergie dans un système de freinage statique.
En cas de décélération désirée moins importante que la décélération naturelle, le moteur
peut développer un couple moteur supérieur au couple résistant de l'ascenseur et
continuer à entraîner la cabine jusqu'à l'arrêt.
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
C- La variation et la régulation de vitesse:
Parmi les fonctionnements classiques des variateurs de vitesse, on distingue
La variation de vitesse proprement dite où la vitesse du moteur est définie par une
consigne d'entrée (tension ou courant) sans tenir compte de la valeur réelle de la vitesse
du moteur qui peut varier en fonction de la charge, de la tension d'alimentation, ... On est
en boucle « ouverte » (pas de feedback)
Sur la plupart des variateurs de vitesse, il est possible d'inverser automatiquement le sens
de marche. L'inversion de l'ordre des phases d'alimentation du moteur de l'ascenseur
s'effectue :
Soit par inversion de la consigne d'entrée,
Soit par un ordre logique sur une borne,
Soit par une information transmise par une connexion à un réseau de gestion.
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Figure : 1
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
1-3 / Les principaux composants d'un capteur
Un capteur est constitué de trois composants principaux :
(1) La zone sensible contient la technique sensorielle, qui repose sur une technologie
donnée. Grâce à la diversité des technologies disponibles, vous pouvez choisir la
technologie de capteurs adaptée à votre application.
(3) La sortie de signal contient l'électronique, qui est reliée avec un système de
commande.
Figure : 3
2-2/ Fin de course moustache :
Les fins de course ont un rôle équivalent à celui des détecteurs inductifs ou
photoélectriques pour la détection de présence ou de passage dans les équipements
d'automatismes. Ils sont utilisés dans des applications très variées en raison de leurs
nombreuses qualités: sécurité de fonctionnement (fiabilité des contacts, manœuvre
positive d'ouverture), grande précision (fidélité sur les points d'enclenchement de 0,1 à
0,01 mm selon les modèles), courant nominal thermique (6 A pour deux contacts),
immunité naturelle aux perturbations électromagnétiques, convivialité (mise en ouvre
simple, fonctionnement "visible").
FIGURE 4
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
2-3/Capteur de rotation :
Le capteur de rotation c'est un capteur inductif, Les capteurs inductifs sont des capteurs
produisant un champ magnétique à leur extrémité, et qui permettent de détecter n'importe
quel objet conducteur situé à une distance dépendante du type de capteur. Si un matériau
conducteur se trouve dans la zone d'action du capteur, celui-ci sera automatiquement
détecté.
Figure 5
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Figure -6
2/ Codeur rotatif incrémental :
La périphérie du disque du codeur est divisée en "x" fentes régulièrement réparties. Un
faisceau lumineux se trouve derrière ces fentes dirigé vers une diode photosensible.
Chaque fois que le faisceau est coupé, le capteur envoie un signal qui permet de connaître
la variation de position de l'arbre. Pour connaître le sens de rotation du codeur, on utilise
un deuxième faisceau lumineux qui sera décalé par rapport au premier. Le premier
faisceau qui enverra signal indiquera aussi le sens de rotation du codeur.
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Principe :
La lumière émise par une diode électroluminescente passe à travers un disque en rotation
solidaire de l'axe du moteur comportant des marques fixes transparentes ou opaques. Le
signal délivré se présente alors comme une succession d'impulsions (en fait un signal
carré), dont la périodicité est représentative de la vitesse .
Figure7
3/ Domaine d’application
Mesure de distance, niveau, volume et réflexion de gaz liquéfiés dans des
réservoirs de stockage métalliques ou en béton, ainsi que des tubes
tranquillisants.
(verre-métal)
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
4- Armoire électrique:
4-1/ Définition :
Les armoires électriques sont des boitiers robustes utilisés pour protéger les
composants électriques ou électroniques et les appareillages de commutation.
Les armoires électriques protègent ainsi l'alimentation électrique contre l'eau,
la poussière et la chaleur, mais aussi contre le vandalisme par des personnes
non autorisées.
FIGURE 9
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
L’armoire de pont gratteur
FIGURE 9-1
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Figure : 1
2 Relais d’arrêt d’urgence :
Les relais de sécurité sont des appareils qui réalisent des fonctions de sécurité. Une
fonction de sécurité vise à atténuer, en cas de danger, des risques existants à un niveau
acceptable par des mesures adaptées. Les fonctions de sécurité possibles sont les
suivantes : Boutons poussoirs et l’arrêt s d’urgence.
Figure : 2
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
3 Relais d'interface :
C'est un relais électromécanique est un organe électrique permettant de dissocier la partie
puissance de la partie commande : il permet l'ouverture et la fermeture d'un circuit
électrique par un second circuit complètement isolé (isolation galvanique) et pouvant
avoir des propriétés différentes.
Figure : 3
4 Le transformateur :
Un transformateur est un appareil électrique passif conçu pour convertir le courant
alternatif d'une tension à un autre par induction magnétique. Il peut être conçu pour
augmenter ou abaisser les tensions et fonctionne sur le principe d'induction magnétique.
Primaire
Secondaire
I1 . U2
I2 U2
Symbole de transformateur
Figure : 4
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
5 Alimentation stabilise :
Une alimentation stabilisée est un dispositif électronique, utilisant un éventuel
redressement à l'aide de diodes suivi d'un filtrage capacitif, permettant le réglage de la
tension. Dans version de la boratoire, elle est généralement conçue pour fonctionner en
générateur idéal de tension et de courant.
Figure 5
6- Le contacteur :
Fonctionnement d'un contacteur Elle génère un champ magnétique et la partie
mobile de son armature est attirée contre la partie rigide. En fonction du
modèle, les contacts se ferment ou s'ouvrent.
Figure 6
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
7 / Le disjoncteur magnétothermique
Le disjoncteur magnétothermique associe dans un même appareil le dispositif bilame et
le dispositif magnétique. Il est donc capable d'interrompre tous les défauts de la
surcharge jusqu'au court-circuit par ouverture du circuit.
Figure 7
Figure : 10
10 Temporisateur :
Dispositif qui sert à programmer le démarrage ou l'arrêt d'un dispositif électrique
FIGURE 11
11 Le disjoncteur
C’est un appareil électromécanique de connexion qui permet de couper le courant d'un ou
plusieurs circuits en cas de surintensité ou surcharge, a pour but de protège.
FIGURE 12
Chapitre 3 :ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــ Etude technique et fonctionnelle
12 Arrêt d’urgence :
En automatique, l'arrêt d'urgence provoque une mise hors énergie des actionneurs, l'arrêt
immédiat de tout processus en cours et informe l'automate de cette situation. L'automate
est programmé par une séquence spéciale qui permet au retour du courant de se trouver
en mode non critique et sécurisé pour les opérateurs.
Figure : 13
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
1Définition :
Définition d'IHM. HMI en anglais pour "human machine interface", ou IHM en français
pour "Interface homme machine" Une Interface Homme-Machine (IHM) est une
interface utilisateur permettant de connecter une personne à une machine, à un système
ou à un appareil. Ce terme définit globalement n'importe quel dispositif permettant à un
utilisateur d'interagir avec un appareil en milieu industriel. Une Interface Homme-
Machine (IHM) HMI est une interface utilisateur permettant de connecter une personne à
une machine, à un système ou à un appareil. Ce terme définit globalement n'importe quel
dispositif permettant à un utilisateur d'interagir avec un appareil en milieu industriel.
L'interfaçage fait appel aux 3 principales fonctions d'interactions humaines: Le toucher
(commande par boutons, écrans tactiles, claviers, pavés numériques) Le regard
(surveillance et contrôle sur écran, supervision de colonnes lumineuses) l'écoute (alarmes
sonores, bips) Les appareils HMI en milieu industriel permettent de surveiller et / ou de
contrôler les équipements auxquels ils sont reliés à travers un automate (programmable
ou non). Les fonctions sont: Réglages Contrôle commande Surveillance et supervision
Stockage d'historiques Passerelle intelligente.
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
C. Partie mécanique :
Les réducteurs :
1 -Introduction :
Un réducteur de vitesses est un mécanisme largement utilisé dans la vie courante et
notamment dans le monde de l'automobile ou plus généralement dans tous les types
d'engins
Motorisés (aérospatial, aéronautique, robotique, fabrication des
machines-outils etc..).
Figure : 1
Figure 2
5-2Réducteur de la chaine :
Figure : 2
Figure : 3
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Ensuite :
Mode Mode Opération de conduite
fonctionnement control
C’est un mode de maintenance et de déplacement en
fin de tas :
BEDESCHI JONCTION
Approvisionnement BOX
JB
PAL T 160/28+5
Panneau De Commande
Local
LCP
Rapports :
Le CCR est relié à
Récupérateur avec les signaux parallèles.
4_PANNEAU DE COMMANDE LOCAL DE MACHINE(LCP)
Fonction principales :
Commande des cycles de fonctionnement de la machine :
Commande des moteurs
Commande de système anticollision de décaleur et récupérateur
Rapports :
Le tableau est relié à :
CCR avec les signaux parallèles.
5- Modes D’opération
Le choix de fonctionnement automatique ou manuel est localement sur le machines ;
conseil électrique.
Le choix du fonctionnement local ou à distance est effectué par CCR
Quand le changement le mode par le sélecteur de mode de fonctionnement (manuel ou
automatique), cycle de fonctionnement sera dégagement
Les combinassions possibles d’opérations admises par les machines sont :
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Ensuite
MODE L’information Changement Entretien Empilement Opérations
pour De pile Conduit
l’éxternalinte
By :
6-LOINTAIN –AUTOMATIQUE
Signification de : Les travaux à la machine dans le cycle automatique avec des
commandes de Cycle *de* Start ; et cycle de *Stop ; donné par CCR.
Fonctionnement PLC
Tous les commutateurs de limite de cycle et de sureté
Les boutons de secours sur la machine
Les lampes de signalisation du conseil électrique sur la machine
Commande de système anti-collision
Tous les signaux de cycle venant de CCR ne fonctionnent pas :
Tous autres boutons sur le conseil électrique sur la machine
7- LOCAL AUTOMATIQUE
Signification de : Les travaux à la machine dans le cycle automatique avec des
commandes de Cycle *de* Start ; et cycle de *Stop ; donné par le panneau de poussée
sur le conseil électrique sur la machine .fonctionnement PLC.
Tous les commutateurs de limite de cycle et de sureté
Les boutons de poussée de cycle sur le conseil électrique sur la machine.
Les boutons de secours sur la machine
Commande de système anti-collision
Les lampes de signalisation du conseil électrique sur la machine
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
Ne fonctionnent pas :
Tous autres boutons sur le conseil électrique sur la machine
Le cycle de signale venir du CCR (excepté mode local / à distance ; arrête
d’urgence et collision)
8 _ MANUEL
Signification de : tous les mouvements simples peuvent être exécutes sous la
responsabilité complète de l’opérateur avec des instructions donnée par le panneau à
bouton -poussoir du conseil coordonnée de machine ;
Fonctionnent PLC
Tous les commutateurs de limite de sureté
Les boutons de secours sur la machine
La lampe de signalisation de conseil électrique sur la machine
Les boutons de poussée de panneau de commande local sur la machine.
Ne fonctionnent pas :
Tous les commutateurs de limite de cycle
Les signaux de cycle venant de CCR
9- Reprise Opérationnelle
Après que le récupérateur ait été placé au début de la nouvelle pile à reprendre et après
que le signal de « début » a été récup, le cycle de repriseprocède comme suite :
Début à chaine.
Début à râteau.
Début fonctionnement.
La machine démarre dans la grande vitesse pour excentrer la basse production due à la
section plus petite de la pile. La vitesse sera réduite automatiquement avec des étapes
mises en tête pour atteindre la vitesse normale dans la correspondance /automatique et
par LCP quand dans LOCAL/AUTOMATIQUE
Chapitre 3 : ـــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــEtude technique et fonctionnelle
LES
AUTOMATE
PROGRAMMABLE
INDUSTRIELLE
LES API
Chapitre 4 : ــــــــــــــــــــــــــــles automates programmables industrielle
I. Les automates programmables industrielles (Les api):
1_ Introduction:
-2Définition:
-4Modedefonctionnement:
Principalementsonrôleconsisteàfourniràlapartieopérativedesinstructionsafind’
exécuteruntravailprécis,
Les entrées auxquelles sont accordés les capteurs, qui fournissent les
informations relatives à l’équipement ou au procédé à commander ou à
contrôlé
L’unité arithmétique et logique, ou un tiède traitement qui réalise les
instructions logiques (ET, OU…) et arithmétiques (addition, comptage).
Une console déprogrammation, intégrée ou non à la machine, servant
Introduire les instructions «utilisateur» en instruction exécutables par
l’automate.
Les sorties qui émettent les ordres élaborés par l’unité de traitement
vers les actionneurs (contacteurs, électrovannes….etc.).
L’alimentation ainsi que les divers circuits annexes.
Mémoire Interface
Bus
Programme(EPROM) Sorties
Données(RAM)
Unité Centrale
Accumulateur Registre 1
Unité Arithmétique Et Logique
Compteur ordinal Registre 2
Décodeur Registre n
Alimentation électrique
Figure3:Architecture interne d’un API
A Processeur:
- Unité logique (UL), qui traite les opérations logiques ET, OU…
- Unité arithmétique et logique (UAL) traitants les opérations de
temporisation de comptage et de calcul
- Un accumulateur, représentant le registre de travail, dans le
quel se range une donnée ou un résultat.
- Un registre d’instructions, qui contient durant le temps de
traitement, l’instruction à exécuter.
B_ Mémoire
Une mémoire est conçue sous forme d’un circuit électrique complexe,
permettant de stocker des données binaires, ces dernières peuvent être lues
par l’automate.
On distingue deux types de mémoires:
Sous forme de boîtiers, comportant des touches de fonctions numériques, une visualisation,
et un dispositif de sécurité, elles sont destinées aux personnel spécialistes du procédé etnonde
l’automate, et leur offre la possibilité d’agir sur certains paramètres
- Forçage des entrées/sorties.
- Modification de constantes, temporisations et compteur.
- Exécution de partie de programme.
- Chargement de programme en mémoires à partir de disquettes ou disques.
6-Jeu d'instructions:
Le processeur peut exécuter un certain nombre d'opérations logiques; l'ensemble des
instructions booléennes des instructions complémentaires de gestion de programme (saut,
mémorisation, adressage..) constitue un jeu d'instructions.
Sur une ligne de programme, on trouve systématiquement un code d’instruction, suivi
éventuellement de l'adresse de l’opérande (variable) sur laquelle s'applique l’opération.
Le matériel, le logiciel et les services annexes, ainsi que le nombre d’entrées, et de sorties du
procédé a automatisé par l’API.
Suivant ces règles, les critères essentiels pour le chois d’un API sont
- Les compétences de traitement du processeur (vitesse, opération…etc.)
- La qualité du service après vente.
- Le type et le nombre des entrées/sorties nécessaires.
FIGURE 4 / FESTO FPC 405 : Architecture modulaire : carte de base, carte processeur,
carte de motorisation, cartes E/S. programmation sur PC.
A-Langage de Programmation:
Désigne essentiellement les différent est ethniques et symboles utilisés, et la manière dont
issante groupés, afin de programmer l’API.
Il est facile, comparé aux autres langages de programmation, son nomes t’inspiré d’une
méthode graphique, servant à décrire les circuits à relais des armoires de commande, il est
appelé aussi schéma à contact. (CONT).
E0.0
E0.1
C-Logigramme(LOG) :
Il est inspirée l’algèbre de Boole; il est facile de passer du diagramme en échelle au
logigramme, mais l’inverse s’avère difficile.
& ≥1
Opération Opération
ET
OU
D- Langage Liste:
La représentation est telle que, l’instruction qui est l’unité de base du
programme est constituée d’une opération et d’un opérande.
UE0.0 O E0.0
UE0.1 O E0.1
=A0.0 =A0.0
Conclusion:
2 –Constitution de l’AutomateS7-300:
L’automateS7-300possède:
Des CPU de différents niveaux de performances
Des Modules de signaux pour Entrées/Sorties «TOR» et analogique, ainsi que des
Modules de fonction pour les différentes fonctions technologiques
Une possibilité de mise à niveau par MPI
Une le regur réduite des Modules, permettant un gain de place au montage
Une structure compacte, lui permettant le placement aux milieux exigus.
3-Caractéristiquesdel’automateS7-300:
L’automateS7-300estspécifiéparlescaractéristiquessuivantes:
Gamme diversifiée de la CPU.
Gamme complète du module.
Possibilitéd’exécutionjusqu’à32modules.
Bus de fond de paneraient green module.
Possibilité dé mise en rées aux avec MPI, PROFIBUS ou INDUSTRIAL ET
HERNET.
Raccordement central de la PG avec accès tous les modules.
Liberté démontage au différent emplacement
Configurationetparamétrageàl’aidedel’outilconfigurationmatériels.
PlusieursautomatesS7-300peuventcommuniquerentreeuxauxmoyensd’uncâble-
busPROFIBUSpouruneconfigurationdécentralisée.
4-ModularitéduS7-300:
ParmilescaractéristiquesessentiellesduS7-300, le fait qu’il est disposé d’une
vaste gamme de Modules.
Figure2 :exempledeCPUS7-300
Figure-3:CâbleMPI
C-Carte Mémoire:
D-La pile:
LeS7-300 peut être alimenté avec une tension de 24 vcc, cette dernière est
assurée via le module d’alimentation pardon version de la tension Secteur
380/220Vác
Les capteurs, actionneurs et voyants lumineux qui demandent plus de
24v ,sont alimentés par des blocs d’alimentation ou transformateurs
supplémentaires.
BLOC
220/380v(AC) 24v(DC)
D’ALIMENTATION
Figure-4
AuniveauduS7-300,lemoduledesimulationoffredifférentesfonctions:
Lasignalisationd’étatdessignauxdesortiespardesLED
Lasimulationdessignauxdescapteursà based’interrupteur
e- Modulesdecommunication:
f- Consoledeprogrammation:
Permetla saisieletraitement etla sauvegardedes données machines, et les
donnéesconcernantledéroulementduprocessus.
Figure-5:Consoledeprogrammation
1 Introduction:
Les automatesprogrammableseffectuent des taches d’automatisation traduites
sousformedeprogrammed’applications.L‘utilisateurdéfinitlamanièredont ‘automate
doitcommanderl’installation par une suited’instructions. Le programme doit être écrit dans
unlangagedéterminéavecdes règles définies pour que l’automate puisse l’exécuter, pour
celalelogicielepus performantal’exécutiondecestachesesteSTEP7.
2-_DéfinitionduSTEP7 :
3-Programmationdel’automateS7-300 :
LaprogrammationdesautomatesdelafamilleS7sefaitparla console
deprogrammationouparPCetsousunenvironnementWINDOWS.
VialelangagedeprogrammationSTEP7.
LelogicielSTEP7offrelesfonctionssuivantespourl’automatisation:
Configurationetparamétragedumatérieletdelacommunication.
La création et la gestion des projets
Lagestiondesmnémoniques.
LacréationdesprogrammespourdessystèmesciblesS7.
Lechargementdesprogrammesdanslessystèmescibles.
Letestedel’installationd’automatisation
Possibilité d’extension grâce aux applications proposées par
l’industrie logicielleSIMATIC
Onadeuxtypesd’adressage:
Adressage lié à l’emplacement : il s’agit du mode d’adressage par défaut, c’est-à-dire que le
step7 effectue à chaque numérod’emplacement une adresse de défautdemodèle fixé à
l’avance.
Adressage libre : dans ce mode d’adressage, il faut effectuer à chaque mode une
Adresse de votrechoix, pourvuqu’elle soit continue dans la plage d’adressespossible
De laCPU.
A -L’adressagedesmodulesliéal’emplacement:
Dans le cas de cet adressage, (adressage par défaut), une adresse de début de module
estaffectéeàchaquenumérod’emplacementsurleprofilésupport(châssis).
B- L’adressageabsoludesmodulesdesignaux:
Ce type d’adressage est nécessaire pour adresser les voies des modules de signauxdansle
programme utilisateur. Chaque sortie possède une adresse absolue déterminée par
laconfigurationmatérielle.
Il ya deux modules :
AdressagedesmodulesTOR:
L’adressage d’une entrée ou d’une sortie est constitué d’une adresse d’octet et
d’uneadressedebit.
L’adressaged’octetdépenddel’adressededébutdemodule.
L’adressagedebitestindiqué surlemodule.
Lafigure(II-8)illustreunexempled’adressageabsoluoudirect.
Adressagedesmodulesanalogiques:
L’adressaged’unevoied’entréeousortieanalogiqueesttoujoursuneadressedemot.
L’adressedelavoiedépenddel’adressededébutdemodule.Silepremiermoduleanalogique
occupel’emplacement 4, l’adresse de début par défaut est 256. L’adresse dedébut de
chaquemodule
Chapitre 4 : ــــــــــــــــــــــــــــles automates programmables industriel
D’entrée et de sortie analogique d’un module d’E/S analogique on lamême adresse dedébut.
Figure.7:exempled’adressageabsolud’unmoduleTOR.
5-Mémentos:
Les mémentos sont utilisés pour les opérations internes à l’automate pour
lesquellesl’émissions d’un signale n’est pas nécessaire. Les mémentos sont des bistables
servant àmémoriser les états logiques 0 ou 1.
Chaqueautomateprogrammabledisposed’un grandnombredemémentos (S7-300disposede
2048 bits de mémentos). On programme ces derniers comme des sorties. En
casdepannedelatensiondeservice,lecontenue sauvegardédansles mémentosestperdu.
Chapitre 4 :ــــــــــــــــــــــles automates programmables industriel
6- TraitementduprogrammeparlaCPU:
A-Programmelinéaire:
Dans le traitementlinéaire du programme, les instructions sont traitées par l’unité
decommandedansl’ordredans lequel ellessontstockéesdanslamémoire du
programme.Lorsquela fin du programme (BE) est atteinte, le traitement du programme
reprend depuis ledébut.
Letempsrequisparl’appareilpouruntraitementdetouteslesinstructionsestappelé
« Temps cycle ». Le
traitementlinéaireduprogrammeestgénéralementutiliséPourdescommandes simples, de
volume peu importantet peut être réaliséau moyen d’unseul blocd’organisation(OB).
1ereinstruction
2emeinstruction
3emeinstruction
Figure.8 : Programmelinéaire
B- Programmestructuré ;
Pour les tâches d’automatisation de grande envergure, le programme peut être devisé
enblocsdeprogrammeordonnésparfonctions plus petiteset faciles a manier. Ceci
présentel’avantagede pouvoirtesterséparémentetdeles
regrouperenuneseulefonctionpourl’exécution.
Les blocs duprogrammedoiventêtre appelés vialesinstructions d’appelde blocs(ALLxx /
UCxx / CCxx). Si lafin d’un blocestdétectée, letraitementdu
programmesepoursuitdansleblocappelant.
Lastructureduprogrammeestreprésentéedansla Figure9
OB1 FB1
CallFB1
UCFC1
FC1
PourcréerunprojetSTEP7ondisposed’unecertainelibertéd’action,eneffetnousav
onsdeuxsolutionspossibles :
Solution1:commencerparlaconfigurationmatérielle.
Solution2:commencer par la création de programme.
Les schéma suivant (figure IV-12) illustre les deux solutions possibles lors de la
conception d’une solution d’automatisation
Figure-12: Schéma illustrant les deux solutions possibles pour la programmation
Toutes fois il est recommandé de commencer par la configuration matérielle pour les
installations qui contiennent beaucoup d’entrées et de sorties, l’application de la
configuration matérielle de STEP7présente l’avantage de la sélection automatique des
adresses. Si on commence par la création de programme, il faudra rechercher les adresses en
fonction des constituants choisies, dans ce cas on n’a pas bénéficié de la
Fonction d’adressage automatique de STEP 7.
3- En cliquant sur l’icône suivant ,la fenêtre suivante apparaît, elle nous permet de
choisir la CPU.
PournotreprojetnousavonschoisilaCPU314.
Figure14: Fenêtre de choix
Figure.15 :choixdesBlocsàutilisésetdelangage.
6_ Encliquantsursuivant,lacréationdeprojetapparaîtpourlenommer.
Projetnassetyaz
Figure16 :nominationduprojet
7_Oncliquesurcréer,lafenêtresuivanteapparaît
Figure-.17:vue descomposantsd’unprojetS7.
La gestion des fichiers en STEP 7 s’effectue avec ‘SIMATIC Manager’. Ici il est possible
par exemple de copier les blocs de programme ou d’appeler d’autres traitements avec
d’autres outils en cliquant avec la souris. L’utilisation correspond aux standards habituels
WINDOWS. (Donc on a entre autres la possibilité de faire apparaître un menu contextuel sur
chaque composant par un bouton droit de la souris).
EnSTEP7, chaque projet est stocké dans une structure fixe prédéfinie
Dans les répertoires ‚Station SIMATIC 300’ et ‚CPU’ on met en place la conception
matérielle du SPS. En conséquence, on voit toujours un tel projet d’un point de vue de son
matériel.
Les programmes sont enregistrés dans les répertoires suivants:
Blocs/AP-
off*1:
Ici sont stockés les blocs de
données (OB, FB, FC, SFB,
SFC, DB etc.).
Mnémoniqu
CPU:
e/SY*1:
Ici sont insérés
ProgrammeS7: Ici sont stockées
lesprogrammesS7etles Ici sont gérés les programmes les listes
Partenaires de liaison utilisateur (Blocs/AP-off*1),les mnémoniques
tableaux mnémoniques pour l’adressage
en
mnémonique.
réseau(Liaisons/CO*1)
.
Figure.18 : répertoire de la station SIMATIC et de la CPU.
8 _ Configuration et paramétrage de l’automate:
L’automateprogrammableindustriel(APÏ)estunoutiladéquatpourlessolutionsd’a
utomatisation,etconduitdesprocédésdel’industrievulesavantagessuivants:
Modificationduprogrammefacileaeffectuéparrapportaunelogiquecâblée.
Enormespossibilitésd’exploitation.
Fiabilitéprofessionnelle.
Samodularitéluipermetderéaliserdesfonctionsdiverses.
Il offre une bonne sécurité pour les procédés et pour lui-même (le
chien de garde,les alarmes).
9_ Communication:
L'automate S7-300 dispose l'automate $7-300 dispose de différentes interfaces de
communication : - Modules de communication pour la connexion aux systèmes
de bus AS-Interface, PROFIBUS et PROFINET /Industriel Ethernet.
- Module de communication pour les liaisons point -à-point.
- Interface multipoint MPI, intégrée à la CPU : la solution économique pour le
branchement des systèmes d'automatisation SIMATIC S7/C7.
III. Profibus
Figure 1
1-Introduction
En 1987, en Allemagne, 21 entreprises et institutions (parmi lesquelles Siemens)
s'associent pour travailler sur un projet appelé Field bus». Le but était de développer un
bus de terrain à communication série ce jour dans l'industrie, on trouve essentiellement
deux variantes:
• Profibus-DP (Decentralized Peripherals) est utilisé pour connecter des équipements
actifs et des détecteurs à un contrôleur central dans des applications de production
industrielle. Le bus proposé en standard un certain nombre de moyens de diagnostic.
• Moins répandu, Profibus-PA (Process Automation) est utilisé pour des équipements de
mesure et de surveillance; il est particulièrement conçu pour les zones à risques
(d'explosion notamment). La couche physique est conforme à IEC 61158-2, permettant
d'alimenter les instruments connectés via le bus tout en limitant les courants qui
permettraient un risque
3 - Principe:
Une fibre optique est un conducteur optique constitué d’un premier milieu,
d'indice de réfraction n 1 appelé cœur, entouré d'un second milieu, d'indice de
réfraction n 2 inférieur à n 1, appelé gaine du manteau Comme nous le verrons
plus tard il existe de type de fibres optiques:
Fibre optique monomode,
Fibre optique multi mode.
Chapitre
5
Hygiène
Sécurité
Chapitre 5 ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــhygiène Sécurité
1-la sécurité
1- Introduction
-Les entreprises appelées à travailler, sur un des chantiers prévus à l’article I ci-dessus,
doivent, avant toute intervention sur ces chantiers, remettre au maître d’ouvrage, un plan
d’hygiène et de sécurité
-Le plan d’hygiène et de sécurité est un document qui indique, de manière détaillée, pour
tous les travaux que l’entreprise exécute directement ou qu’elle sous-traite :
- Les mesures prévues au stade de la conception du projet comme dans les différentes
phases de son exécution, pour assurer la sécurité des travailleurs, compte tenu des
techniques de construction employées et de l’organisation du chantier ;
- Les mesures prévues pour assurer l’hygiène des lieux de travail et de celle des locaux
destinés aux travailleurs.
2- Définition
La sécurité, c’est l’ensemble des mesures techniques, médicales et organisationnelles qui
a pour but de protéger la vie des travailleurs « physique et morale » et sauvegarder l’état
du matériel.
3- Identification des risques lors des travaux
LES RISQUES LIES LORS DES TRAVAUX:
A- Travaux en hauteur :
1-1/Les risques liés aux Travaux en hauteur sont :
-Chute de personnes
- Chute des objets
- Le renversement de l'échafaudage
- L'exposition aux dangers environnants avant évacuation
- La manutention de matériels et de matériaux lourds et encombrants
Ces risques sont identifiés suite à :
- Utilisation des moyens de fortune : planche sur les conduites, chaise, empilement d'objets
divers, élévation sur fourches/chargeur élévateur.
4-1-1Description :
Risques liés à la charge manutentionnée : chute, heurt, renversement, heurt ligne
électrique ou aux moyens de manutention : rupture, défaillance si :
-Utilisation d'un moyen de manutention mal adapté.
- Déplacement sans visibilité suffisante dans des zones exiguës
- Mauvais état de sol, charge mal répartie ou trop élevée
- Le fouettement des élingues ou le balancement du crochet risque de provoquer des
accidents.
- Grutier, conducteur des chariots élévateurs, rondier, mécanicien Usine, installations.
4-1-2 Mesure de prévention et moyens :
Utilisation des mayens de manutention conformes : élingue professionnel
- Mettre en place un système d'inspection.
- Vérifier l'état des accessoires de manutention : crochet, élingue, anneaux.
- Définir le bon élinguagé et vérifier les fixations des charges
- Le personnel utilisateur des moyens de manutention doit être reconnu apte (habilité) et
n'est permet qu'avec les équipements de travail.
- Utilisation des bons platelages pour la stabilisation de la grue (patins et appuis).
- (une seule Application des signaux de commande personne qui commande).
-Ne jamais déplacer la grue en charge.
Chapitre 5 :ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــhygiène Sécurité
Le métier de soudure peut être très exigent, il dépend beaucoup de la variété des activités
des lieux et des équipements à souder. il peut s'exercer en atelier ou en chantier, en
position debout ou plus malaisée. Le travail de la soudure est parfois réalisé dans des
conditions difficiles :
-espace confiné
-bruit important
-Accès difficile
-Température élevée
- Encombrement des matériels
Le soudage expose le corps humain à un certain nombre de risques qu'il importe de faire
connaitre aux utilisateurs.il faut en connaitre les causes afin de choisir les moyens de
protection.
- Lésion de la cornée par projection de métal.
C- Les risques liés au soudage au chalumeau :
L'oxygène est stocké à 200 bars, l'acétylène à 1,5 bar et le propane aux environs de 6 bars
(à la température des ateliers). Les forces en jeu sont considérables. Ne jamais serrer ou
desserrer les raccords sous pression. Tous les équipements sont conçus et assemblés pour
supporter ces pressions. Leur démontage et leur réparation ne doivent être effectués que
par des personnel agrées par le fabricant.
b- Les risques dus aux projections :
Le seuil d'apparition de la surdité professionnelle est fixé par les hygiénistes à 90 dB(A).
Poste de travail et lieu:
II se révèle de façon soudaine et brutale et se traduit par : un incendie, une explosion, des
brûlures, des asphyxies, des intoxications aiguës, des réactions dangereuses
2 -La maladie professionnelle
-- Maladies de l'appareil respiratoire (pneumoconioses, asthmes.)
- Maladies de la peau et des muqueuses (irritations, ulcérations, eczémas)
-Cancers cutanés
3- Poste de travail et lieu :
Les chimistes, les agents de la gestion de stock ; Laboratoire chimique, laboratoire
physique, magasin du stockage des produits chimiques
Chapitre 5 :ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــhygiène Sécurité
9- Risque électrique
Ce risque peut causer des lésions ou la mort par le choc électrique ou brûlure pouvant
résulter:
* du contact de personnes avec des parties actives, c'est à dire des parties normalement
sous tension (contact direct)
* des parties qui sont devenues actives accidentellement en particulier à cause d'un défaut
d'isolement (contact indirect)
* de l'approche de personne au voisinage de partie actives, particulièrement dans la
catégorie haute tension.
* du rayonnement thermique ou de phénomènes tels que la projection de particules
En fusion et les effets chimiques dus à des courts-circuits, surcharges, etc.
Il peut également occasionner des chutes de personnes (ou d'objets lâchés par ces
personnes), dues à l'effet de surprise provoqué par ces chocs électriques
1- Poste de travail et lieu :
Suite à :
* Le non qualification du personnel intervenant.
* Défectuosité et /ou la non conformité du matériel électrique.
* Non respect des consignes de sécurité.
Chapitre 5 :ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــhygiène Sécurité
Gant :
Pour tous travaux présentant des risques pour les mains (manutention, utilisation de
produits, dangereux, soudage…)
Figure8 : gant de sécurité
FIGURE 9 : GENOUILLÈRE
Conclusion
Pour toute entreprise de réalisation d’un projet d’un délai de plus de 6 mois et
d’un effectif de plus de 20 ouvrier, est tenue d’établir un PHS. Lorsque
l’employeur ou le sous-traitant a établi son plan, il doit avant toute intervention
sur le chantier le soumettre pour avis : aux représentants des travailleurs, au
médecin du travail de l’entreprise, et à l’organisme de prévention des risques
professionnels dans les activités du bâtiment, des travaux publics et de
l’hydraulique (OPREBATPH)
Chapitre 5 :ــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــــhygiène Sécurité
Service intervention
2
Actions curatives
FIGURE 1
FIGURE 2
FIGURE 3
FIGURE4
FIGURE 5
FIGURE 6
Référence
Les titres Les références
Organigramme de la Document de la cimenterie
cimenterie
SCHB
Figure 1 : le pont gratteur Opérateur de salle de commande
Le Moteur Asynchrone http://moteurasynchrone triphasé lycées –
triphasé ac-rouer.fr »site2 PDF
Identification de variateur 1 http://www hydroqueb.com.com
2 Livre acs550-01.08 –A8
Les capteurs Figure de capteur
W : http://wikipidia »capteur.com
Level-Radar BM 70A 7OP Livre de la cimenterie
Level-radar BM 700 70A 70P
Automate programmable Mémoire de fin étude
industriel Université Mouloud Mammeri de tizi
1- Choix d’API ouzo.
2- Création d’un projet
step7
Conclusion
Après une formation théorique au sien d’INSFP de EL KHROUB et le stage pratique au
niveau de la cimentier HAMMA BOUZIAN.
Nous tenons à exprimer nos satisfactions personnelles car ce projet nous a permis
d’approfondir nos connaissances dans la spécialité de l’automatisme.
Nous travaux pour la réalisation de notre thème c’est déroulé convenable suivant
le plan de travail tracé par l’encadreur.
Cette étude est sur le pont gratteur fait la description des éléments de ce pont et le
principe de fonctionnement et sur l’étude fonctionnelle et technique.
A la fin nous remercions toutes personnes qui nous a aidé dans notre stage qui ce
soit les gens de SCHB ou nos professeurs et on espère que notre travail plaira à tout le
monde merci.