1260THV 1
1260THV 1
Présenté par
Devant le jury :
Année : 2015/2016
DEDICACE
Je dédie ce modeste travail :
Seifeddine.T
Je dédie ce modeste travail :
Mohamed EL-Sadik
REMERCIEMENTS
Avant tout je remercie Dieu le tout puissant de m’avoir accordé
la foi, le courage, la santé et les moyens de conception de ce
modeste travail.
Il en ressort des résultats que les mauvaises bandes sont caractérisé par un taux de
mortalités très élevés qui dépasse les 30%, une durée d’élevage longue qui peut attendre 67
jours et un poids d’abattage faible qui varie entre 1.8kg et 2.2 kg.
L’analyse des paramètres zootechniques de ces mauvaises bandes montre que ces
paramètres sont loin d’être respectés causant ainsi des mauvaises performances.
Algeria, through the development of poultry farming has greatly improved the basic
needs of the inhabitants of animal protein.
Faced with the challenges posed by trade liberalization that affects national and
global economic structures, the Algerian poultry industry pushes time monopolies poultry
agencies to a new era of private sector.
The new upstream industry structure (supply) and downstream (marketing), may
place orders on the zootechnic performance.
This is the case of our study, that affects the 60 questionnaires distributed to
veterinary practitioners, and data collected directions of agricultural services.
The objective of this study is carried out, highlighting the potential constraints of
pulpit poultry farms encountered bad bands that are characterized by a very high mortality
rate that exceeds 30% in most cases, long-term breeding who can wait 67 days and low
slaughter weight which ranged from 1.8kg and 2.2 kg.
The analysis of zootechnic broiler breeding parameters can enrich the diagnosis of
key factors and issues affecting and impeding their development.
من خالل تطوير تربية الدواجن الذي عرفته الجزائر قد تحسنت كثيرا في تغطية االحتياجات األساسية في
البروتين الحيواني.
وفي مواجهة التحديات التي تفرضها التجارة الحرة التي تؤثر على الهياكل االقتصادية الوطنية والعالمية،
وصناعة الدواجن الجزائرية تدفع وكاالت احتكار الدواجن إلى حقبة جديدة من القطاع الخاص.
هيكل الصناعة المنبع الجديد (العرض) والمصب (التسويق) ،يمكن أن تعمل بشكل مباشر على أداء تربية
الحيوانات.
ينبغي أن تركز على دراسة وضع أماكن تربية الدواجن على تحليل المعايير الفنية واالقتصادية ،التي
هي المعايير الرئيسية للنمو أو ركود األخير.
الهدف من هذه الدراسة هو تسليط الضوء على القيود المحتملة لمزارع دواجن اللحم ،من خالل توزيع
66نموذج استطالع ألطباء بيطاره.
وهو يبين نتائج خاصة بدفعات سيئة تتميز معدل وفياتها بقيم عالية جدا تتجاوز ،٪06وبمدة تربية طويلة تصل
الى 67يوم ،و وزن ذبح ما بين 8.1الى 2.2كغ.
ويظهر تحليل مؤشرات االنتاج من هذه الدفعات السيئة أن هذه المعايير هي بعيدة عن التي يجب احترامها
مما تسبب في ضعف االنتاج.
Partie expérimentale
1.Problématique : .................................................................................................................................. 33
2.Matériels et méthodes ....................................................................................................................... 33
2.1.Présentation de la région d’étude:: .............................................................................................. 33
2.2.Objectifs : ...................................................................................................................................... 35
2.3.Questionnaire : ............................................................................................................................. 35
3. Résultats : .......................................................................................................................................... 36
Conclusion : ........................................................................................................................................... 46
Recommandations :............................................................................................................................... 47
Liste des figures
FIGURES PAGE
Figure 01 : L’élevage en batterie 3
Figure 02: L’élevage au sol 4
Figure 03: Carte géographique de la wilaya de Bouira 36
Cependant si le poulet représente plus des deux tiers des quantités produites sa
progression n’a pas la même accélération spectaculaire que d’autres espèces de volaille
(dinde).Les circuits commerciaux tendent en effet à diversifier leurs offres afin d’élargir le
choix du consommateur. Pour élever le poulet d’une manière rentable il est nécessaire
d’intensifier de plus en plus sa production.
En Algérie la demande en protéine animale est sans cesse croissante alors que la
consommation de ce produit est faible et le coût d’achat élevé. Face à ce problème le
recours à la filière avicole est impératif.
En effet les volailles sont une source relativement bon marché leur production à
grande échelle est plus rapide et moins coûteuse que tout autre animal de boucherie (ovins,
caprins, bovins et camelins). Du point de vue apport nutritionnel l’avènement de l’aviculture
intensive a permis l’amélioration de la ration alimentaire en protéine animale des
populations.
L’élevage avicole dans la région du centre a connu une importance considérable en
fournissant du poulet de chair élevé localement, cependant cette filière peine à remplir ces
objectifs. Pour cela nous avons fixé comme objectif de recueillir des informations sur certaines
pratiques d’élevage vis-à-vis de la problématique posée.
CHAPITRE I :
I.1.1. Historique
Sur les vingt dernières années, l’aviculture mondiale a affiché une forte croissance, de la
production et plus encore du commerce international. L’Union européenne a cependant peu
bénéficié de cette dynamique, avec une croissance modérée de la production et un recul de
sa part de marché au plan mondial. La dynamique de la filière française est encore plus faible,
la production restant stable sur la période. Après une croissance modérée dans les années 90,
la France a en effet enregistré, sur la dernière décennie, un déclin significatif en grande partie
lié à la perte de marchés à l’exportation et à une progression constante de ses importations.
Différents indicateurs et études montrent que la filière française souffre d’un double
handicap de compétitivité vis-à-vis de ses compétiteurs des Pays-tiers et notamment du
Brésil, mais aussi vis-à-vis de ses compétiteurs européens.
L'évolution de l'investissement dans la filière poulet de chair est attirée par les
avantages suivants :
2
Tableau I : Les avantages qui ont favorisé l’évolution de l’investissement dans la filière
poulet de chaire
Filière chair.
Filière ponte.
Cet élevage a débuté pendant la première guerre mondiale aux U.S.A, il se fait en
étages. Son apparition a révolutionné la production avicole mondiale. C’est un mode
d'élevage intensif fondé sur l'entretien et l'exploitation d'animaux dans des batteries. Les
batteries sont des dispositions linéaires de cages métalliques, sur un étage ou bien
superposées sur deux ou trois étages. C'est le cas de l'élevage de poules pondeuses et de
volailles en général. Chaque cage peut recevoir un nombre variable d'animaux suivant les
normes techniques appliquées. (Belaid, 1993).
3
Figure 1 : L’élevage en batterie.
4
satisfaisante, La surface du bâtiment doit être plus importante (de l’ordre de 1000 m2).
(Surdeau et Henaff, 1979).
Avantages Inconvénients
- La technique d’élevage est simple et - La croissance est moins rapides car les
naturelle. poulets se déplacent et perdent de calories.
- Il nécessite une main d’œuvre réduite : le - Il est trop exigeant en espace car les
nettoyage et la surveillance sont faciles. bâtiments doivent être plus spacieux pour
- Il est peu onéreux en exigeant un matériel éviter le surpeuplement.
simple (abreuvoirs, mangeoires, éleveuses). - Le risque de coccidioses et autres maladies
- La présentation du poulet est meilleure. est accrue car les animaux vivent au contact
de leurs déjections
Source : Belaid, 1993
5
I.1.4. Dynamiques du marché mondial :
D’après la FAO, les échanges internationaux de volailles (hors échanges intra-
communautaires) ont atteint 13 MT en 2013, en croissance moyenne de 7 % par an sur 20
ans. Le commerce mondial est très concentré, les Etats-Unis et le Brésil sont au coude à coude
pour la place de premier exportateur mondial en volume, avec respectivement 30 % et 32 %
des échanges internationaux en 2013. En valeur, le Brésil est le leader incontesté avec 8.6
milliards USD en 2013, contre 5.5 milliards USD pour les Etats-Unis. Les ventes de l’Union
européenne atteignent juste 2 milliards USD. La place de l’Union européenne dans le
commerce international de volailles est en nette diminution depuis 15 ans, passant de 20 %
des volumes exportés en 1994 (date de la signature des accords de Marrakech) à 10 % en
2013. Les importateurs de volaille sont plus atomisés. Les principaux sont la Chine (2 MT), le
Proche et Moyen-Orient avec l’Afrique du Nord (environ 2 MT) en forte croissance, le Japon,
la Fédération de Russie et l’Union européenne. Si l’Union européenne est exportatrice nette
en volume (1.2 MT exportées en 2013 pour 750 000 T importées), elle est cependant
déficitaire en valeur depuis le début des années 2000 (déficit de 500 M€ en 2013). Les raisons
du recul de l’Union européenne sur la scène mondiale relèvent de deux raisons majeures : un
déficit de compétitivité par rapport à ses compétiteurs mondiaux et la libéralisation des
échanges internationaux dans le cadre de l’Organisation Mondiale du Commerce depuis la
signature des accords de Marrakech en 1994.(Académie d’Agriculture de France, 2014.
Séance du 7 mai)
6
I.2. La filière chaire en Algérie
Il y a deux types :
a) L’élevage au sol :
a) 1- L’élevage intensif :
L'aviculture intensive nécessite le recours à une force de travail qualifiée et la mise en
œuvre d'un investissement substantiel en capital, pour l'acquisition des équipements et des
consommations intermédiaires. Les spécialistes soulignent, notamment, l'importance des
aliments et des équipements industriels pour ce type d’activité.(Chambon, 1985).
C'est une aviculture "hors-sol" en ce sens qu'elle se développe en rupture avec les
systèmes de culture de l'exploitation agricole. C'est une activité spécialisée dont les processus
de réduction relativement maîtrisés - reposent sur des techniques standardisées
(alimentation, conduite des élevages, matériel biologique sélectionné et protection médico-
sanitaire)et une mécanisation plus ou moins poussée, qui sont à l'origine du niveau élevé des
performances techniques. Celles-ci sont liées à l'utilisation efficiente des intrants et lecontrôle
strict des conditions sanitaires, qui poussent à l'édification d'ateliers de taille relativement
importante. (Malassis, 1979).
Il se fait pour le poulet de chair soit pour les grands effectifs. Il a pris sa naissance en
Algérie avec l'apparition des couvoirs au sein des structures du ministère de l'Agriculture et
de la Révolution Agraire (M.A.R.A.) qui a créé l'O.N.A.B et l'O.R.AVI. (O.R.AVI.E, 2004).
a) 2- L’élevagefermier ou extensif :
L'élevage fermier évoque l'idée d'une activité liée au fonctionnement de l'exploitation
agricole ou de la ferme.
L'ITAVI note, par ailleurs, que la notion de production avicole fermière est sous tendue
par un élevage rationnel, c'est à dire appliquant une conduite d'élevage bien définie et qui
doit permettre de répondre à un objectif précis de commercialisation. (Le Douarin, 1988).
7
L'aviculture fermière est, en ce sens, une aviculture extensive caractérisée par un
faible niveau des investissements pour les infrastructures, l'équipement et l’alimentation.
Certain sauteurs parlent, dans cette optique, d'aviculture rurale ou villageoise, pour nommer
un modèle avicole extensif particulièrement répandu sur les continents Africain et Asiatique.
(Le Douarin, 1988).
b) L’élevage en batterie
Cet élevage qui a été introduit nouvellement en Algérie se fait pour les poules
pondeuses. Il est beaucoup plus coûteux par rapport au premier. L'élevage du poulet convient
très bien au climat Algérien. L'état dans le cadre de sa politique de la relance économique
encourage au maximum les éleveurs et les coopératives à pratiquer cet élevage, pour
diminuer l'importation des œufs de consommation et des protéines animales. (Belaid, 1993).
C'est au cours du deuxième plan quadriennal (1974 – 1977), que l'on a assisté à
l'émergence d'une politique avicole axée essentiellement sur la filière chair intensive ;
En 1981 ce fut la création de l'O.R.AVI (Office Régional d'Aviculture) dans les trois
régions du pays : Est – Centre – Ouest ; et ce pour impulser une nouvelle dynamique au
secteur avicole, et depuis on assiste à un véritable développement qualifié de secteur avicole
industriel. (Nouri et Coll., 1996).
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Durant la décennie (1980 – 1990), le nombre d'élevages avicoles en Algérie a
enregistré un accroissement, à la faveur des politiques avicoles initiées par l'état et,
particulièrement favorables au capital privé. (Nouri et Coll., 1996).
Les élevages du poulet de chair sont le fait d'une catégorie dominante d'ateliers dont
la taille moyenne se situe entre 2000 et 5000 sujets. Les bâtiments avicoles sont, sauf rares
exceptions, de type « clair » à ventilation statique, faiblement isolé et sous équipés
correspondants à des investissements n'excèdent guère 500000 DA. (Nouri et Coll., 1996).
Une étude menue par l'institut technique des petits élevages pour fournir des
nouvelles approches explicatives à cet état, elle cherche pour objectifs :
- d'estimer l'écart à la productivité biologique optimale permise tant par les conditions
technico-économiques nationales que par celles des pays dont les filières ont atteint, un
niveau d'industrialisation relativement avancé (cas de la France) ;
- d'identifier les facteurs déterminants du niveau des performances techniques des ateliers
de poulet de chair en Algérie.(Kaci, 2001).
Bien que cette époque ait vu naissance de l'Office National des Aliments de Bétail
(O.N.A.B) en 1969 qui avait la charge de promouvoir la production animale au sens large
et de réguler des viandes, le développement avicole était approché en terme d'amélioration
de la production fermière, pour la fourniture de protéines à moindre coût et de valorisation
des sous-produits fermiers. (Ferrah, 1996; Ould Zaouch, 2004 et Beloum, 2000).
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En effet, c'est dans un large mouvement de restructuration dont l'objectif était
demaîtriser la gestion d'un secteur devenant trop lourd à gérer - compte tenu de
sesdimensions- que l' O.N.A.B, a été divisé en trois offices publics spécialisés en
avicultureindustrielle (ORAC, ORAVIE et ORAVIO) ;
Ces offices avaient la mission de développer l'aviculture dans leurs régions d'origine en
collaboration avec un ensemble de partenaires promus dans la foulée derestructuration des
années 80, tel que l' ONAPSA crée par le décret n° 82-33 du 23 janvier 1982 suivie du transfert
de la fonction de distribution sur les CASSAP (Décret n° 82-34 du 23 Janvier 1982) et les
COOPAWI.(Ferrah A., 2004).
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I.2.3.5Les filières avicoles dans les réformes économiques (1990-2002)
Les filières avicoles évoluent depuis 1990 dans un environnement caractérisé par la
mise en œuvre de réformes économiques dans le sens du passage d'une économieplanifiée à
une économie de marché.Elles subissent, par ailleurs, les effets du PAS appliqué durant
lapériode 1994-1998. Ces réformes progressent dans le sens du désengagement de l’État de
lasphère économique et du renforcement de son rôle de régulateur et de puissance publique.
Au plan des structures, la filière avicole a connu, depuis 1997, une restructurationprofonde
dans le sens de l’émergence d’entreprises et de groupes intégrés (aliments du bétail,
reproduction du matériel biologique, abattage). Une étape importante a été franchie dans ces
ans avec l’intégration de l’ensemble des offices impliqués dans la production avicole au
seindu holding public «Agroman » (sphère des décisions stratégiques). C’est ainsi que les
unitésde production des offices (ONAB et groupes avicoles) ont été érigées en 27 filiales sous
l’égide de groupes industriels régionaux (GAO, GAE, GAC) dont l’actionnaire principal
n’estautre que l’ONAB. Ce dernier exerce, en outre, les fonctions de centrale d’achat au profit
desentreprises de la filière, l’OAIC s’étant définitivement désengagées de la filière avicole
alorsque l’ONAPSA a été dissolvent ;
Ces réformes consacrent le désengagement de l’État de la gestion directe
del’économie (y compris de la sphère agroalimentaire). Elle a induit une complexification du
fonctionnement des filières avicoles avec l’apparition d’opérateurs privés impliqués dans le
commerce extérieur (Importation de facteurs de production) et dans la production du
matérielbiologique. Ceci complique davantage la gouvernance et la régulation de ces filières,
et ced’autant plus qu’elles font l’objet depuis l’an 2000, d’un soutien financier dans le cadre
duplan national du développement agricole (PNDA). L’objectif visé par ce dernier étant le
développement de la production agricole en vue de préparer l’agriculture au nouveau
contexterégional et international. (M.A. Nouad. Mars 2007).
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Plan national de développement agricole (PNDA)
Appliqué depuis l’année 2000 par circulaire 332 du 18 juillet 2000 portantstratégie de
mise en œuvre du plan national de développement agricole. Convention entrele MADR et la
CNMA, relative à la mise en œuvre financière des programmes dedéveloppement du secteur
agricole soutenu par FNRDA.(MADR, Mars 2003).
Il apporte un soutien d'aide aux agriculteurs de production végétales, animales à la
mise en niveau et la modernisation de leurs équipements et installation à la valorisation des
productionsagricoles.
En ce qui concerne les aviculteurs cette aide financière est de 30 % du montant total de leurs
investissements ci-après:
• Aide à l'acquisition des poussins de chair
• L'acquisition du matériel d'élevage correspondant
• Création des ateliers d'abattage. (MADR, Mars 2003).
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• Diffuser les techniques d'utilisation de l'aliment fabriqué.
• Déterminer, avec les offices avicoles, les plans d'approvisionnement et
decommercialisation des aliments et doivent de ce fait estimer les besoins des régions.
• Participer avec les services et les organismes compétents aux programmes derecherche
en matière de techniques nouvelles d'alimentation et de promotion de laqualité.
• Assurer une mission d'assistance technique à l'égard des structures.(Kaci, 2001)
b) Groupements avicoles:
c) Coopératives avicoles :
Selon l’alliance coopératives internationale (ACI) en 1996 : Une coopérative est une
association autonome de personnes volontairement réunie, pour satisfaire leurs aspirations
et besoins économiques ;
Actuellement ces organisations sont en totalité autonomes, elles
assurentessentiellement les facteurs de l’approvisionnement des éleveurs en facteurs de
production(matériels biologiques, aliments, produits vétérinaires et équipement).
Ces coopératives s’approvisionnent en poulettes démarrées des centres
avicoles(offices) et produits vétérinaires auprès de l’institut pasteur. (kaci, 2001)
14
d) L’institut pasteur :
Il est chargé principalement de l’importation des vaccins et de leurs distributions
aux coopératives avicoles.
Aujourd’hui, ces abattoirs sont regroupés en société par action (SPA) à chaquerégion, on
parle ainsi de société des abattoirs de centre (SAC) de l’Est (SAE), de l’ouest(SAO). Ils assurent
l’abattage, et la commercialisation des viandes blanches.(Ferah, 2004)
Ce sont des grossistes qui assurent généralement toutes les fonctions, en démarrant
de lacollecte du poulet vif à sa livraison au détaillant et à la boucherie sous sa
formetransformée abattue ;(Ferah, 2004)
Ils sont représentés par les hôpitaux, les cous, les prisons, l'armée nationale,…etc.
15
f) Détaillants privés rôtisseries et restaurants :
L'une des caractéristiques de ces commerçants de détail concerne leur activité quiest
atomistique et proliférant, ce qui rend difficile leur contrôle (Ferah, 1996 et Oueld el Zaouch
2004)
16
Chapitre II :
Ils sont en général des bâtiments clairs, car la lumière solaire peut entrer par les
ouvertures plus ou moins vitrées. (Ed. Solar; 1983).
Il y a les bâtiments clairs (vitrés) et les bâtiments dit obscurs, où la seule source de
lumière est la lumière électrique, il faut alors supprimer toute lumière parasite en utilisant
des capots extérieurs devant les ventilateurs et les ouvertures des secours.
16
II.1.2 Installation du bâtiment :
L'effet néfaste d'un site inadapté pour différentes raisons, excès ou insuffisance de
mouvements d'air, humidité….etc. (Le Menec, 1988)
II.1.2.3 Orientation :
L'orientation des bâtiments doit être choisie en fonction de deux critères :
1-Le mouvement du soleil :
On a intérêt à orienter les bâtiments selon un axe Est-Ouest de façon à ce que les
rayons du soleil ne pénètrent pas à l'intérieur du bâtiment ;
2- La direction des vents dominants :
L'axe du bâtiment doit être perpendiculaire à celle-ci pour permettre une meilleure
ventilation. (Petit, 1992).
En Algérie l'orientation doit être Nord-Sud pour éviter l'exposition aux vents du Nord
froids en hiver et du Sud chauds en été. (Pharmavet, 2000).
17
Lorsque ces deux conditions ne sont pas compatibles, la position par rapport aux vents
sera privilégiée. Lorsqu'on construit une série de bâtiments, il faut veiller à ce que le vent ne
souffle pas directement de l'un dans l'autre. (Petit, 2001).
II.1.2.4. Isolation :
L’isolation concerne le sol, les parois, et la toiture. (ITAVI, 2001).
Elle a pour but de rendre l’ambiance de ce dernier la plus indépendante possible des
conditions climatiques extérieures, et doit permettre par conséquence :
II.2.1 La température :
C’est un des principaux facteurs d'ambiance ă prendre en considération en Algérie. En
effet, les fortes chaleurs que l'on enregistre durant l'été, parfois accentuées par le sirocco,
vent du sud dessèchent, posent un problème particulier ;
La volaille est assez tolérante vis-à-vis des variations de températures, elle redoute les
écarts de température trop, brusques, car au-delà des températures de bien être la
consommation d’aliment diminue ; induisant une unité de poids. (Bellaoui, 1990).
18
La température doit être maîtrisée en particulier, il faut la contrôler durant les
premiers jours de vie du poussin, ce jeune animal ne règle lui-même la température de son
corps qu’à l’âge de 5 jours et il ne s’adaptera véritablement aux variations de températures
qu’à partir de deux (2) semaines. (Surdeau et Henaff, 1979).
Tableau V : Température d’élevage
Chauffage par élevage Chauffage d’ambiance
Âge en jour Température au Température dans la Température dans la
bord de l’éleveuse zone de vie zone de vie
0–1 38 °C 28 – 29 °C 31 – 33°C
2–7 34 °C 28 °C 31 – 32°C
8 – 14 32 °C 28 °C 29 – 31 °C
15 – 21 29 °C 28 °C 28 – 29 °C
22 – 28 22 - 28 °C 22 – 28°C
29 – 35 21 – 22 °C 21 – 22 °C
Après 35 18 - 21 °C 18 – 21°C
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Tableau VI : Recommandations concernent les limites des taux d’humidité relative
dans les bâtiments de poulet de chaire
II.2.3. La ventilation :
A poids égal un oiseau a besoin de 20 fois plus d'air qu'un mammifère la ventilation
doit permettre un renouvellement de l'air suffisamment rapide mais sans courant d'air. Elle
doit également permettre le maintien d'une température constante. Elle joue dans tous les
cas un rôle important dans le maintien de la qualité de la litière (maintien d'une litière
sèche) et la bonne santé respiratoire des oiseaux. (Laouer, 1987).
II.2.3.1. Objectifs :
- fournir l’oxygène nécessaire ;
- évacuer l’air vicié par des gaz produits au niveau de la litière : NH3, CO2, H2S
- évacuer la vapeur d’eau de la respiration des animaux et l’eau des fèces ;
- éliminer les poussières ;
- extraire la chaleur excédentaire. (M. Jacquet 2007.)
Elle est considérée comme naturelle parce qu’elle utilise les phénomènes physiques
qui régissent le déplacement des masses d’air. (Gerade, 2000).
Le système le plus simple, la ventilation est assurée par les mouvements naturels de
l'air à l'intérieur du poulailler. La ventilation verticale est réalisée par des fenêtres et la
ventilation horizontale est obtenue à l'aide de trappes placées sur les façades. (Bellaoui,
1990).
20
b) Ventilation dynamique :
L’objectif principal est la maitrise des débits d’air quelques que soient les conditions
climatiques (vent, température, pression atmosphérique) et les phases de fonctionnement.
(Bigdutchmann, 2007).
C’est une ventilation forcée faisant appel à des ventilateurs électriques de débit
connu et qui aspirent l’air frais et pur vers l’intérieur et rejettent l’air vicié vers l’extérieur. Il
existe deux types de ventilation :
b) -1. La ventilation par surpression :
Consistant à introduire de l’air neuf pulsé dans le bâtiment à L’aide des ventilateurs ;
b) – 1. La ventilation par dépression :
L’air est retiré du bâtiment par des ventilateurs travaillant en extraction ; c’est la plus
utilisée à l’heure actuelle. (Sauveur, 1988 ; ITAVI, 2001).
Le système de ventilation dynamique présente quelques avantages indéniables :
- Possibilité de mieux maîtriser la mise en dépression de l’air à l’intérieur du bâtiment ;
- Son fonctionnement est indépendant des conditions climatiques extérieures. (ISA, 1995).
II.3.1. La litière :
La litière isole le poussin du contact avec le sol et absorbe l’humidité des fèces qui
sera ensuite évacuée par la ventilation. L’enquête menée sur 90 élevages en 1982 – 1983 par
Le Turdu, Droin et Toux a montré une relation étroite entre les performances techniques et
la qualité de la litière. (ITAVI, 2001).
- Doit être souple, bien aérée et propre ne contenant pas de moisissures ou de corps
étrangers comme les clous.
- Doit être traitée plusieurs fois de suite par 60 g de superphosphates de chaux /m²
pour enlever les mauvaises odeurs et fixer l’ammoniac. (Belaid, 1993).
- Doit être suffisamment épaisse (7,5 -10 cm), un peu plus en hiver, un peu moins en
été. (Petit, 1991).
21
- Elle ne doit être ni trop sèche, ni trop humide. (Quemeneur, 1988).
- Les abreuvoirs automatiques qui sont de deux sortes : soit linéaires à niveau
constant, ou bien ronds suspendus ;
Quant aux mangeoires, elles seront également suffisamment nombreuses, et ne
seront pas situées trop près des points d’eau de façon à rester sur une zone de litière
toujours sèche. (ITAVI, 2001).
22
Tableau VII : Matériel d’alimentation pour les poulets standards
c) Éleveuse électrique :
Elle est sans combustible et possède une grande souplesse d’utilisation ainsi qu’une
adaptation facile et d’un entretien facile.
23
Plusieurs types d’éleveuses électriques sont possibles :
Eleveuse directe : Les matériels de chauffage utilisant l’énergie électrique directement
à la demande. Quel que soit leur l’utilisation ;
Eleveuse par accumulation : L’énergie électrique est ici uniquement utilisée en heures
creuses (22 heures du soir à 6 heures du matin) ; la chaleur accumulée pendant la nuit
étant restituée durant la journée ;
Eleveuse mixte : Associant le chauffage par accumulation avec un appoint électrique
directement utilisable. (Surdeau et Henaff, 1979).
II.4.1.1 Le nettoiement :
Le nettoyage de bâtiment d’élevage consiste :
24
à grande eau l’extérieur du bâtiment pour éviter la contamination. (Castanig, 1979 et
Laouer, 1987).
Faire sortir la litière, le raclage et grattage du sol, des murs et des plafonds à l’aide
d’une brosse métallique usée si possible d’un aspirateur,
Nettoyer à fond le sol, les murs et le plafond à l’eau chaude fortement javellisée.
(Laouer, 1987 ; C.N.P.A, 1986 et Bellaoui, 1990).
II.4.1.2. La désinfection :
La désinfection comporte certes la lutte contre les bactéries et autres parasites, mais
également la lutte contre les insectes en apparence inoffensive. (LAOUER, 1987).
La réduction des contaminations microbiennes peut être intensifiée si l’effet d’un
nettoyage est complet par celui de substances chimiques susceptibles de détruire pas
contact des germes d’infection, il ne faut pas mélanger certains produits à des agents
alcalins : de nature alcaline, sous peine de destruction de la matière active insecticide ; Eviter
de pulvériser ces produits sur les parties basses des murs : ils pourront être la cause
d’intoxications pour les jeunes poussins ;
Les fissures et anfractuosités diverses du local doivent être spécialement visées lors de la
désinsectisation. (Castanig, 1979).
Les désinfectants ont plusieurs natures et leur choix dépend de leur action
démontrée en laboratoire et de leur mode d’application et des objets à traiter ; on signale
que presque tous les désinfectants irritent plus au moins la peau, le bromure de méthyle est
toxique et ne doit être utilisé que par un personnel entraîné, son danger n’est pas grave
lorsqu’on en est averti et qu’on observe les règles concernant le port de masques et des
vêtements de protection. (Laouer 1987).
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restent, toujours dans les locaux c’est bien nettoyés soient-ils, les éléments pathogènes ne
peuvent vivre qu’aux dépens de leurs hôtes naturelles : les volailles. Au contraire, en
absence d’hôtes possibles, le cycle des parasites est coupé, ils s’éteignent faute de matière,
la seule façon de s’en d’embarrasser est de laisser les locaux vides pendant le plus
longtemps possible. (Azzouz H., 2001).
Les intervalles de repos minimum sont de l’ordre de 15 jours pour des poulets de
chair. (Castanig, 1979).
Le vide sanitaire joue plusieurs rôles :
• Il permet le séchage des locaux.
• Il permet d’effectuer des réparations nécessaires et de bien préparer l’arrivée de la
nouvelle bande.
• Il permet de lutter contre les rongeurs.
• Il permet enfin de disposer d’un peu de temps pour compléter la formation du
personnel. (Laouer ,1987).
A la fin du vide sanitaire et quelques jours avant l'arrivée des poussins préparer la
poussinière pour la réception des poussins (C.N.P.A, 1986). A ce moment la première
nécessité convient de nettoyer avec soin le local, le désinfecter et vérifier les éleveuses.
(Castanig, 1979 Et Laouer, 1987).
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Les modèles les plus courants en Algérie sont :
Les éleveuses à gaz et les éleveuses à mazout. (C.N.P.A, 1986).
• Installer les cercles de carton autour des éleveuses. Le poussin d'un jour est très
fragile et il exige une température élevée. Pour garder la température de l'éleveuse
homogène ;
• On installe des cercles autour de cette source de chaleur ;
• La hauteur d’éleveuses doit être 80cm environ de la surface du sol. (Fedida, 1996.
C.N.P.A, 1986).
Etendre une litière à l’intérieur du cercle : la litière composée de paille hachée aux
copeaux de bois sans sciure ou un mélange des deux, L’épaisseur varie selon la saison :
En été 5 à 8 cm ;
En hiver 10 à 15 cm. (Laouer, 1987 ; C.N.P.A ,1986 et Bellaoui, 1990, Surdeau
et Henaff, 1979)
Mais avant l’installation de la litière et l’arrivée des poussins, procéder à une fumigation par
formol pour une meilleure efficacité de la désinfection fermer bien le bâtiment et laisser agir
le gaz pendant plusieurs heures, après la fumigation il faut bien aérer le local. (Laouer, 1987
et C.N.P.A ,1986).
II.4.3 La densité :
La densité d’élevage est déterminée par certain nombre de paramètres qui peuvent
être des facteurs limitant l’humidité ambiante, capacité d’obtenir une température et des
conditions d’ambiance correctes. Il est parfois nécessaire de réduire la densité pour
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maintenir soit une litière correcte, soit une température acceptable. La densité de
peuplement est de 10 poulets/ m². (Fadida, 1996 et Nouri, 2002).
II.4.4 L’alimentation :
Il convient d’apporter aux poussins et aux poulets une alimentation très équilibrée de
façon à avoir un rendement maximum dans le temps le plus court possible. Cette
alimentation est considérée à la fois l’un des principaux facteurs explicatifs des
performances d’élevage et le premier poste des coûts de production. (ITAVI, 2001).
Elle apporte à l’animal les matériaux nécessaires à sa structure et à son
fonctionnement permettant le renouvellement de la matière vivante et l’activité des tissus,
en apportant les matériaux et en permettant la production de l’énergie, par ses principes
immédiats. (Lesbouyries, 1965).
28
physiologique et sanitaire de l’adulte. Le poulet de chair est l’espèce dont les besoins sont
les mieux connus parce que les plus étudiés. (Larbier et Leclercq, 1992).
Les éléments nutritifs que l’on doit apporter dans la ration sont : (L’énergie ; La
matière azotée totale ; Les acides aminés ; Les minéraux ; Les Oligo–éléments ; Les
vitamines). (ITAVI, 2001), (Rochefrette, 1974).
Il est important de fournir aux poussins les éléments nutritifs qui leur sont
indispensables, de ce point de vue, les besoins en matières protéiques ont une grande
importance. L'aliment est distribué à volonté sous forme de farine dans des plateaux de
premier âge, et à partir du 4éme au 10émé jour, l'aliment sera distribué dans des petites
mangeoires linières. (Larbier M, Leclercq B.,1992).
2. Alimentation de croissance:
La période de croissance des poulets de chair s'étend du 11ème au 40ème jour de
leur vie. Les poussins restent dans le parquet jusqu'à l'âge de 15 jours où les cercles seront
éliminés et toute la surface est occupée. (Larbier M , Leclercq B.,1992).
3. Alimentation de finition:
Cette période s'étend du 41ème jusqu'à la date de l'abattage la commercialisation.
Les poulets sont alimentés et abreuvés de la même manière que pendant la période de
croissance, pendant ils reçoivent un aliment de finition. (Larbier M , Leclercq B.,1992).
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4- 14ème jour de l’élevage : il reste encore d’aliment démarrage; l’ajouter à
l’aliment croissance.
II.4.5.1 Hygiène :
L’hygiène permet, en limitant les risques de maladie, de conserver les animaux en
bonne santé et de les faire vivre dans un environnement favorable à leur développement.
L’hygiène est l’ensemble des règles mises en œuvre pour conserver les animaux en bonne
santé. En élevage avicole, il est impossible de réussir sans application rigoureuse des règles
de l’hygiène. Dans les unités modernes qui rassemblent un nombre toujours plus élevé
d’animaux. Toute erreur est immédiatement sanctionnée, quel que soit l’apparition d’une
maladie toujours par des baisses de performance et une diminution de la productivité.
(Bellaoui, 1990).
Règles d’Hygiène :
Avant la réception des poussins de suite après l’enlèvement d’une bande, il faut ::
• Procéder au lavage, nettoyage complet et rigoureux général des bâtiments après avoir
sorti tout le matériel, la litière et respect du vide sanitaire.
• Limiter les contacts avec l’extérieur pour réduire les risques de contamination.
• Assurer une ventilation suffisante et régulière entretenir et protéger les litières de
l’humidité.
• Réduire les conséquences néfastes des excès de chaleur et des variations brutales de
température par un ensemble de dispositions appropriées (ventilation, isolation, apports
vitamines périodiques dans l’eau de boisson). (Bellaoui, 1990).
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II.4.5.2. Prophylaxie :
La prophylaxie est un ensemble de mesures mises en œuvre pour prévenir la ou les
maladies contagieuses en limitant la diffusion ou pour suivre l’extension. La prophylaxie
repose sur les mesures sanitaires (hygiéniques) mais aussi sur des mesures médicales
(utilisation les substances médicamenteuses ou bien sur l’association des deux à la fois
médicaux sanitaires. (Fedida, 1996).
L’installation d’un autoluve, il est fait de la même manière qu’un pédiluve mais plus
volumineux ou espace contenant un désinfectant pour désinfecter les véhicules venant du
dehors et du dedans de l’exploitation, (Laouer, 1987 et Fedida, 1996).
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La prévention est constante par la protection de l’élevage contre les « chocs »
provoqués sur les animaux et contre les porteurs de microbes indésirables : visiteurs,
insectes, chiens, chats, rats ou autres animaux de basse-cour. (Fedida, 1996).
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