Exposé L'exil D'albouri

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République du Sénégal

Un peuple-Un but-Une foi


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Inspection d’Académique de Diourbel
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Inspection de l’éducation et de la formation de Diourbel
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Lycée Cheikh Mouhamadou Moustapha Mbacké de Diourbel

Exposants
NDEYE AMI DIOP
Exposé
KHADY SECK
THÉME : L’engagement dans l’exil d’Alboury
JACQUELINE SARR
(Auteur : Cheik Aliou Ndao) FATOU MBAYE
NDEYE MBAYE GUADIAGA
FATOU DIALLO
Plan MAÏMOUNA DIALLO
TOUTI SECK

INTRODUCTION NDEYE FATOU WADE


KHADIDIATOU LO
I. Présentation de l’auteur et de l’œuvre
DIOUMA DIOUF
II. Présentation des personnages
ABDOU FAYE
III. Les thèmes de l'engagement dans le roman MOUHAMED MOUSTAPHA CISSE

CONCLUSION ALIOUNE BADARA NDIAYE


NDIAKE NDIAYE
MAME DIARRA FAYE
SAYE FAYE

Professeur : M. Fall
Classe : TL’B Groupe : 04

Année scolaire
2023-2024
INTRODUCTION

"L'exil d'Albouri" est un roman captivant écrit par Cheikh Aliou Ndao, un écrivain sénégalais
contemporain. Ce roman se distingue par sa profonde exploration de thèmes tels que l'exil,
l'identité et l'engagement. Ndao, connu pour sa plume évocatrice et son engagement envers les
questions sociales et politiques, offre aux lecteurs un récit riche en émotions et en réflexions.

Dans "L'exil d'Albouri", l'engagement transcende le simple fait d'adhérer à une cause ou à une
idéologie. Il s'agit plutôt d'un acte profondément personnel et moral, où les personnages sont
poussés à agir en accord avec leurs convictions les plus profondes, souvent au prix de grands
sacrifices. L'engagement dans cette œuvre se manifeste à travers les actions des personnages,
leur lutte pour la justice et leur quête de sens dans un monde marqué par l'adversité et la
désillusion.

I. Présentation de l’auteur et de l’œuvre


1. Biographie
Cheik Aliou Ndao de son vrai nom Sidi Ahmed Alioune Cheik Ndao est une figure éminente
du Sénégal, reconnue pour sa connaissance profonde de l'histoire et des traditions de son peuple.
Né en 1933 à Karthiak près de Bignona, il a été exposé dès son jeune âge à la sagesse populaire
transmise par les anciens. Cette éducation, combinée à ses études formelles, a forgé sa
compréhension approfondie des coutumes et de l'histoire sénégalaises.

Après avoir poursuivi une partie de ses études secondaires à Dakar et en France, il a ensuite
fréquenté l'Université de Grenoble en France et l'Université de Swansea au Royaume-Uni. Sa
carrière académique l'a conduit à devenir professeur d'anglais à l'École Normale William Ponty,
une institution prestigieuse au Sénégal. Il a également partagé son expertise à l'étranger,
enseignant aux États-Unis à De Pauw University en 1972 dans l’Indiana.

Outre ses contributions à l'éducation, Cheik Aliou Ndao a également occupé des fonctions
importantes en tant que conseiller culturel auprès du président de la République du Sénégal.
Son engagement envers la préservation et la promotion de la culture sénégalaise a été un
élément clé de sa carrière, faisant de lui une voix respectée dans son pays et au-delà.

2. Bibliographie
Cheik Aliou Ndao est un écrivain polyvalent dont le talent s'étend à la poésie, au théâtre, à la
nouvelle et même au roman, avec une sensibilité particulière pour la transcription des langues
africaines. Son premier recueil de poésies, "Kairée", paru en 1964, a remporté le prix des Poètes
Sénégalais de langue française, marquant ainsi le début d'une carrière littéraire prolifique.

En 1970, il publie "Mogarienne", un autre recueil de poésies qui a sûrement contribué à


renforcer sa réputation dans le domaine de la poésie.

"L'Exil d'Albouri", sa pièce de théâtre datant de 1967, a été largement acclamée et a même
remporté le premier prix au Festival culturel panafricain d'Alger en 1969. Cette pièce, traduite
en anglais aux États-Unis, a été jouée sur de nombreuses scènes africaines et européennes,
illustrant ainsi les débuts du théâtre historique sénégalais.

Parmi ses autres œuvres théâtrales, on compte "L’Ile de Bahila", "La Case de l’or", "Le Fils de
l’Almamy", "La Décision", "Du sang pour un trône" et "Gouye Njuli un Dimanche". En 1983,
il présente "Excellence vos épouses", une autre pièce qui a sûrement captivé les spectateurs par
son intrigue et sa richesse thématique.

Sa nouvelle intitulée "Le Marabout de la sécheresse", parue en 1979, a également connu un


grand succès et est souvent étudiée dans les programmes scolaires, attestant de la profondeur
de son œuvre et de son influence dans la littérature sénégalaise.

Ndao est également connu pour son engagement en faveur de la transcription des langues
africaines, comme en témoigne son roman en wolof intitulé "Buur Tillen, le roi de la Médina",
publié dans sa langue maternelle. Sa démarche d'écriture dans une langue africaine illustre son
attachement à la préservation et à la valorisation des langues locales.

Enfin, son dernier roman, "Mbaam Dictateur", publié en wolof puis réédité en français par
Présence Africaine en 1997, témoigne de sa persistance à écrire dans sa langue maternelle tout
en continuant à être accessible à un public plus large à travers des traductions.

3. Structure de l’œuvre
La structure en neuf (9) tableaux de la pièce "L'Exil d'Albouri" offre une exploration complexe
des tensions politiques et sociales qui caractérisent le contexte de l'histoire. Chaque tableau
apporte son lot d'intrigues, de conflits et de révélations, contribuant ainsi à l'évolution du récit
et au développement des personnages principaux. Voici un résumé des principaux événements
de chaque tableau :
❖ Convocation du peuple pour le couronnement du Prince Laobé Penda :
La scène s'ouvre sur une opposition entre Beuk nek et le griot Samba. Laobé Penda est sur le
point d'être couronné prince, et le griot doit convoquer le peuple pour la cérémonie.
❖ Délibération sur la décision du gouverneur :
Le roi réunit son conseil pour discuter de la décision du gouverneur, qui a rompu un accord
avec les royaumes locaux et mobilisé ses troupes contre eux. Des tensions émergent entre les
membres de la cour, notamment entre Linguère Madjiguène et la reine Sêb Fal.
❖ Alliance avec Bourba :
Une deuxième assemblée se tient pour discuter de l'exil vers Ségou et de la formation d'une
alliance avec Bourba. Laobé Penda s'oppose à cette idée, préférant rester et se battre pour le
trône.
❖ Conspiration de Laobé Penda :
Laobé Penda complote contre le Diaraf des Esclaves, ordonnant à ses soldats de le tuer.
❖ Conversations chez la Reine Mère :
La Reine Mère partage ses expériences de vie dans la cour royale, révélant les sacrifices qu'elle
a dû consentir.
❖ Annonce de la trahison de Laobé Penda :
Samba informe le roi de la trahison de Laobé Penda, qui a pactisé avec le Gouverneur et
assassiné le Diaraf des Esclaves.
❖ Dernière réunion du roi avec le peuple :
Le roi prend une décision finale, et le peuple accepte de le suivre dans son exil plutôt que de
rester esclave.
❖ Départ en exil :
Le roi et sa suite se préparent à partir en exil, avec des réconciliations et des révélations de
dernière minute.
❖ Levé du camp et épilogue :
Bourba évoque les défis à venir lors du voyage, et l'épilogue résume le destin tragique d'Albouri
et la dispersion du peuple de Ndiandiane Ndiaye.

4. Résumé de l’œuvre
Alors que le Prince Laobé Penda signe un pacte avec le gouverneur, trahissant ainsi son propre
peuple, le royaume du Djolof se retrouve plongé dans une tourmente sans précédent. La
décision de Laobé Penda divise non seulement sa famille mais aussi l'ensemble de la cour et de
l'armée. Bourba, son frère et héritier désigné, se trouve confronté à un dilemme déchirant : doit-
il rester fidèle à son sang malgré la trahison de son frère, ou doit-il s'allier avec les autres rois
pour défendre le royaume contre l'envahisseur ?
Laobé Penda, convaincu que sa décision est la seule voie vers la paix et la prospérité pour le
Djolof, s'efforce de persuader les membres de la cour de le suivre. Son charisme et sa rhétorique
passionnée attirent à lui une partie de l'armée, mais il se heurte à l'opposition farouche de
certains fidèles au roi Albouri, qui voient en Laobé Penda un traître à la lignée des Ndiaye.
Pendant ce temps, la Reine Mère Mam Yay et la Linguère Madjiguène, femmes de caractère et
de sagesse, sont confrontées à un choix difficile : rester aux côtés de leurs maris et défendre le
royaume jusqu'au bout, ou accepter l'exil pour protéger leur famille et leur peuple de l'esclavage.
Leur soutien moral est crucial pour le roi Albouri et Bourba dans cette période de crise.
Tandis que les tensions montent et que les esprits s'échauffent à la cour, le griot Samba, fidèle
messager du roi, apporte des nouvelles troublantes : le prince Laobé Penda a signé un pacte
secret avec le gouverneur, scellant ainsi le destin tragique du royaume. Laobé Penda, malgré
ses intentions nobles, est aveuglé par son désir de préserver sa propre vie et sa position de
pouvoir.
Face à cette trahison, le roi Albouri prend une décision difficile mais nécessaire : il ordonne la
fuite du royaume pour échapper à l'emprise de l'envahisseur. Accompagné de sa fidèle épouse,
la Reine Sêb Fal, et de ses proches conseillers, le roi entreprend un voyage périlleux à travers
des terres hostiles, avec pour seul espoir de trouver refuge auprès des rois alliés.
Mais le destin tragique du royaume du Djolof ne s'arrête pas là. Alors qu'ils tentent de fuir, le
fils du roi, Bouna, est capturé et envoyé à l'école des otages, un sort terrible réservé aux enfants
des rois vaincus. Le roi Albouri, bien que vaillant jusqu'au bout, trouve la mort au combat,
laissant derrière lui un royaume déchiré et des sujets dispersés à travers les terres lointaines.
Malgré ces épreuves déchirantes, l'espoir demeure. Les héritiers du royaume du Djolof,
dispersés mais jamais brisés, portent en eux la flamme de la résistance. Ils savent que tant qu'il
y aura un souffle de vie, l'esprit du Djolof ne mourra jamais. Et peut-être, un jour, le royaume
renaîtra de ses cendres, plus fort et plus uni que jamais.

II. Présentation des personnages


Le Roi Albouri Ndiaye : Il naquit en 1842 à Thial. Le dramaturge a pour projet une œuvre de
mythe. Albouri ou « Bourba » est le Roi du Djolof, et vit à Yang yang sa capitale. Il est présenté
comme un combattant courageux, mais aussi comme un roi plein de sagesse. Il posé, calme
comme tout bon roi. Aussi dans les moments de crise, il propose de « réfléchir en paix » avant
de prendre une décision. Après un long séjour à la Cour du Cayor, Albouri retourne dans son
royaume en 1875 et s’empara du pouvoir, où il prit le titre « Bourba ». Après l’annexion du
Cayor, les français le trouvent gênant et le chassent en 1890. En fait, dans cette intrigue, il
question de son exil pour conserver l’honneur de sa lignée en lui évitant la soumission. Il va se
joindre aux troupes d’Ahmadou. Il mourut loin de son pays, vers le Niger.
Le Prince Laobé Penda : Tout comme son frère, il est courageux, et d’ailleurs il considère le
combat comme un devoir, ce qui lui a valu la récompense du roi son frère. Contrairement à son
frère, Laobé Penda est spontané, impulsif et fougueux. Avare en parole, il est un homme
d’action. Le roi le connaît trop bien pour dire de lui qu’il « est très irréfléchi quelquefois »
(p.55). Et le Diaraf de Thingue dit de lui la même chose : « Trop de précipitations, Laobé Penda
» (p.58). Aussi a-t-il tenu coûte que coûte à combattre pour la protection du trône. Mais contre
toute attente, il va pactiser avec le gouverneur, en se soumettant.

La Linguère Madjiguène : Elle est la sœur du roi Albouri. C’est une femme forte de caractère
et une guerrière.

La Reine Sêb Fall : Elle est princesse de naissance. Albouri l’a choisie lui-même comme
épouse de la Cour royale du Cayor. Elle est très jeune, aussi est-elle capricieuse. Mais en fait
elle ne fait que réclamer son droit de femme, de rester femme. Pour cette raison, elle refuse
d’être comme sa belle-sœur Linguère Madjiguène.

La Reine Mère Mam Yay : C’est la mère d’Albouri. Elle est très compréhensive, surtout vis-
à-vis de son fils le roi. Elle fut auprès de Biram son défunt époux une épouse docile, exemplaire.

Beuk Nek : Il est le bras droit fidèle de Bourba. Il fait partie de la race des grands guerriers.
D’ailleurs c’est lui qui va prendre la tête de l’arrière garde du roi et infligé une petite défaite à
l’armée de Laobé Penda et les Sofas du gouverneur.

Samba : Il est le griot attitré du roi Albouri. Il incarne le syncrétisme religieux, et ne s’en cache
pas. Loin d’être hypocrite comme le lui crache Beuk nek, il passe pour quelqu’un qui n’a pas
peur de dire la vérité. Il n’a pas besoin d’être présenté puisqu’il le fait : « Pourtant, qui ose se
vanter d’avoir le quart de mon savoir ? » lance-t-il Beuk nek.

Le Diaraf de Thingue : Il gouverne la province de Thingue. C’est un autre combattant de


l’armée du roi. Il est consulté par le roi sur les épineux problèmes d’Etat. Mais il se rangera du
côté de Laobé Penda. Il sera tué par le bataillon de Beuk nek.

Le Diaraf de Varhôh : Il gouverne Varhôh, là où se trouve la cavalerie de l’armée du Djolof.


Comme le Diaraf de Thingue, il soutiendra le Prince Laobé Penda.

Ardo : C’est un chef guerrier peulh. Très lucide pour comprendre le Bourba, mais il va se ranger
du côté du Prince.

Le Diaraf des Esclaves : C’est le seul à soutenir le roi Albouri, et jusqu’à le payer de sa vie en
le servant comme espion.
III. Les thèmes de l'engagement dans le roman
1- L'exil comme catalyseur de l'engagement
L'exil exerce un impact profond sur les personnages principaux de "L'Exil d'Albouri", les
confrontant à des défis personnels, sociaux et politiques. Pour certains, comme Laobé Penda,
l'exil représente une épreuve de leadership et de loyauté envers leur peuple. La pression de
prendre des décisions cruciales dans un contexte hostile pèse lourdement sur leurs épaules,
mettant à l'épreuve leur caractère et leur détermination.

Pour d'autres personnages, l'exil signifie la perte de leur statut social et de leurs privilèges, les
obligeant à réévaluer leur identité et leur place dans le monde. Leur voyage vers l'inconnu les
confronte à des dilemmes moraux et existentiels, les poussant à redéfinir leurs valeurs et leurs
objectifs de vie.

L'exil est étroitement lié à l'engagement politique, social et culturel des personnages, souvent
en tant que catalyseur de leur prise de conscience et de leur action. Confrontés à l'injustice et à
l'oppression, les personnages se voient contraints de s'engager dans la lutte pour leurs droits et
leur dignité. L'exil devient ainsi le moteur de leur engagement, les incitant à se battre pour un
changement social ou politique significatif.

Pour certains, l'exil représente une opportunité de redéfinir leur identité culturelle et de
promouvoir leur patrimoine dans un contexte nouveau. Ils utilisent leur expérience d'exil
comme un moyen de sensibiliser les autres à leur culture et de renforcer leur engagement envers
leur communauté d'origine.

Face à l'exil, les personnages de "L'Exil d'Albouri" adoptent diverses stratégies pour faire face
à leurs défis et maintenir leur engagement. Certains choisissent la voie de la résistance active,
en organisant des manifestations ou en mobilisant des soutiens politiques pour défendre leurs
droits.

D'autres optent pour des approches plus discrètes, en s'engageant dans des actions de résistance
culturelle ou en utilisant des réseaux clandestins pour promouvoir leurs idéaux. Quelle que soit
la stratégie choisie, les personnages font preuve de détermination et de courage dans leur lutte
pour la justice et la liberté.

En fin de compte, l'exil agit comme un révélateur des caractères et des convictions des
personnages, les poussant à explorer les limites de leur engagement et de leur résilience dans
des circonstances extrêmes. C'est dans ces moments de crise que leur véritable nature se révèle,
façonnant leur destinée et leur héritage pour les générations à venir.

2- Engagement politique : lutte pour la justice et la liberté


Dans "L'Exil d'Albouri", l'engagement politique des personnages se manifeste à travers leur
lutte pour la justice et la liberté. Confrontés à l'oppression et à l'injustice, ils se dressent
courageusement contre les forces qui cherchent à les asservir. Laobé Penda et d'autres
protagonistes utilisent leur voix et leur influence pour mobiliser le peuple et défendre leurs
droits fondamentaux. Leur engagement politique se traduit par des actions concrètes visant à
renverser les régimes tyranniques et à instaurer un ordre plus juste et équitable.

3- Engagement social : solidarité avec les opprimés et les démunis


En plus de leur lutte politique, les personnages de la pièce témoignent d'un engagement social
profond envers les opprimés et les démunis. Face à l'adversité, ils font preuve de solidarité
envers ceux qui souffrent et sont marginalisés. Leur compassion et leur empathie les poussent
à agir en faveur des plus vulnérables de la société, en offrant un soutien matériel, émotionnel et
moral. Leur engagement social se traduit par des actes de générosité, d'entraide et de résistance
face à l'injustice sociale.

4- Engagement culturel : préservation de l'identité et des traditions culturelles


Parallèlement à leur lutte politique et sociale, les personnages de "L'Exil d'Albouri" manifestent
un fort engagement culturel envers la préservation de leur identité et de leurs traditions.
Conscients de l'importance de leur patrimoine culturel, ils s'efforcent de le préserver et de le
transmettre aux générations futures. Leur engagement culturel se manifeste par la promotion de
la langue, de la musique, de la danse et d'autres expressions artistiques propres à leur
communauté. Ils considèrent la préservation de leur culture comme un acte de résistance contre
l'assimilation et la domination culturelle.

CONCLUSION

En combinant ces formes d'engagement - politique, social et culturel - les personnages de la


pièce incarnent la lutte pour la justice, la solidarité et la préservation de l'identité culturelle.
Leur détermination à défendre leurs convictions malgré les obstacles et les sacrifices démontre
la puissance de l'engagement humain face à l'adversité.
Nous avons exploré comment l'exil agit comme un déclencheur de l'engagement, influençant
profondément les personnages principaux. Nous avons observé comment leur expérience de
l'exil les pousse à réévaluer leurs valeurs et à affronter des défis politiques, sociaux et
personnels. Nous avons également examiné comment cet exil est intimement lié à leur
engagement politique, social et culturel, les incitant à lutter pour la justice, la solidarité et la
préservation de leur identité culturelle. En conclusion, nous avons souligné l'importance
cruciale de l'engagement dans la compréhension de l'œuvre, offrant une réflexion sur ses
implications plus larges dans notre société contemporaine et suggérant des pistes d'analyse
futures.

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