Dip Recherche

Télécharger au format docx, pdf ou txt
Télécharger au format docx, pdf ou txt
Vous êtes sur la page 1sur 12

Aller au contenu

Afficher / masquer la barre latérale


Rechercher
Spécial:Recherch Rechercher Lire

Créer un compte
Outils personnels
Créer un compte
Se connecter

Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus

 Discussion
 Contributions

Navigation

 Accueil
 Portails thématiques
 Article au hasard
 Contact

Contribuer

 Débuter sur Wikipédia


 Aide
 Communauté
 Modifications récentes
 Faire un don

Outils

 Pages liées
 Suivi des pages liées
 Téléverser un fichier
 Pages spéciales
 Lien permanent
 Informations sur la page
 Citer cette page
 Élément Wikidata
 Modifier les liens interlangues

Imprimer / exporter

 Créer un livre
 Télécharger comme PDF
 Version imprimable

Langues
Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite
du titre de l’article.
Aller en haut.

Sommaire
déplacer vers la barre latéralemasquer

Début

1Terminologie

2Histoire

3Droit international privé français

Afficher / masquer la sous-section Droit international privé français

3.1Raisonnement du conflit de lois

3.1.1Qualification de la situation


3.1.2Détermination du juge compétent

3.1.2.1Règles de compétence en droit international privé


français

4Droit international privé européen

Afficher / masquer la sous-section Droit international privé européen

4.1Conflit de juridictions

4.2Conflit de lois

5Droit international privé québécois

6Notes et références

7Voir aussi

Afficher / masquer la sous-section Voir aussi

7.1Articles connexes
Basculer la table des matières

Droit international privé


44 langues

 ‫العربية‬
 English
 Español
 हिन्दी
 Bahasa Indonesia
 Bahasa Melayu
 Português
 Русский
 中文
35 de plus

 Article
 Discussion

français

 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Voir l’historique

Plus

 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Voir l’historique

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ne doit pas être confondu avec Droit international.

La mise en forme de cet article est à améliorer (avril 2019).


La mise en forme du texte ne suit pas les recommandations de Wikipédia : il faut le
« wikifier ».

Comment faire ?

Le droit international privé (sous forme d'abréviation : DIP) dans les systèmes de droit
romano-civiliste « est constitué par l'ensemble des principes, des usages ou des conventions
qui gouvernent les relations juridiques établies entre des personnes régies par des législations
d'États différents »1. Il peut en ce sens être qualifié d'« instrument de gestion de la diversité
des droits »2.

Le droit international privé a vocation à s'appliquer dans une situation de conflit de lois
nationales causé par un élément d'extranéité3 dans l'application de situations de droit privé4. Le
droit international privé vise à « régler ce conflit en faveur de l'une des lois en présence en
forgeant des instruments spécifiques à cet effet5 ». S'il s'agit de relations entre États, le droit
applicable est le droit international public. À noter que le terme "État" ne sous entend pas
uniquement des États ou des pays souverains, et peut également faire référence aux conflits de
lois entre différents États fédérés. Par exemple, le Canada étant un État fédéral dans lequel les
provinces ont la compétence pour légiférer en matière de droit privé, lorsqu'il y a conflits de
lois causés par un élément d'extranéité, on parle donc de droit international. Le terme État fait
donc référence à l'État qui possède la souveraineté dans un domaine particulier, que ce soit
l'État central ou l'État fédéré.

Le droit international privé a donc pour objectif de déterminer :

 la juridiction compétente pour trancher le litige (conflit de juridiction) ;


 la loi applicable pour trancher le litige (conflit de loi).

Le droit international privé organise aussi la reconnaissance puis l'application des décisions
juridictionnelles provenant d'un autre pays du monde (exequatur).

Contrairement à ce que pourrait laisser entendre son nom, le droit international privé n'est pas
uniforme et varie selon les pays. Ainsi il existe un droit international privé en France différent
du droit international privé en Tunisie.

Terminologie[modifier | modifier le code]

afficherCette section ne cite pas suffisamment ses sources (mai 2017).


Le droit international privé emploie une terminologie ou une interprétation propre de certains
termes. Le vocabulaire du droit international privé comprend des expressions latines (lege
fori, lex loci delicti) pour lesquelles il existe des traductions satisfaisantes en français. Par
ailleurs, le droit international privé emploie des termes spécifiques (loi de police) ou pris dans
une acception spécifique (ordre public international).

Histoire[modifier | modifier le code]


afficherCette section ne cite pas suffisamment ses sources (mai 2017).
Le droit romain est le premier système juridique à avoir organisé le droit international privé.
Très rapidement, les Romains ont fait la distinction entre le droit applicable à la citoyenneté
romaine et celui appliqué aux étrangers (ce droit était appliqué dans un premier temps par un
juge particulier, il a pour mission de choisir le droit applicable).

Au début du Moyen Âge, on a consacré le principe de la personnalité des lois qui implique
l’application d’une loi variable en fonction de l’origine ethnique. Cette vision des choses sera
reprise en France avec les colonies françaises.

Tout change au Moyen Âge avec l’époque féodale : les choses vont se figer à la suite de la
stabilisation des populations, l’appauvrissement des échanges. Cette fixation s’accompagne
d’un morcellement du pouvoir qui entraîne un attachement à la terre et mène à la naissance de
la notion de territoire : à la personnalité des lois va succéder le principe de la territorialité des
lois (on a la loi de son territoire).

Le passage d’un principe à l’autre va entraîner un effritement considérable qui va donner


naissance à des coutumes pour chaque territoire. À partir de là, les juristes vont réfléchir sur la
façon dont on peut articuler les différentes coutumes entre elles : D’Argentré (1519 – 1590),
président du présidial de Rennes. Il est l’un des principaux artisans de la "Nouvelle coutume
de Bretagne", source juridique applicable en Bretagne, solennellement publiée en 1580. Dans
l’esprit, il défend l’originalité du droit provincial, et lutte contre l’influence des droits français
et romain. Il part du principe qu’une coutume ne va pas avoir d’effet sur le territoire voisin. Il
va établir une distinction entre les coutumes réelles et les coutumes personnelles :

 les coutumes réelles ont une expression territorialiste ;


 les coutumes personnelles peuvent avoir une certaine extraterritorialité.

Les coutumes réelles sont les plus importantes, le domicile est le critère de rattachement
principal étant donné que la nationalité et la nation sont encore des concepts flous.

Remarque : la notion de sujet de droit n’existe pas encore (apparaît au XVIIIe) L’introduction
par d’Argentré du principe de territorialité rend le conflit de lois possible. Au fur et à mesure
de l’évolution historique de notre société, le principe de territorialité va se doubler de celui de
souveraineté. Dès lors, celui qui dit la loi est le juge saisi (loi du for). La théorie de d’Argentré
est la première théorie vraiment cohérente en France qui va toucher ensuite la Hollande et les
pays anglo-saxons. De façon beaucoup plus efficace, les frères Voet vont reprendre la théorie
de d’Argentré mais systématiquement coupler le principe de territorialité avec celui de
souveraineté. → Recherche de trouver une solution de coordination des systèmes.

Remarque : dès le Moyen Âge et parallèlement à cette vision politique se Développe une
vision économique qui voit la multiplication des sources privées grâce aux échanges entre la
Flandres et le Nord de l’Italie, qui mène notamment au développement de la lettre de change.

En Angleterre, Dicey mène une réflexion sur la théorie d’Argentré sur fond de problèmes
politiques de sa société (rattachement de la Cour d’Écosse). Il part du principe de territorialité
mais va faire un très grand pas en avant en postulant que si d’aventure un juge applique une
loi étrangère, c’est au nom des droits acquis et non de la courtoisie internationale. Cette
théorie des droits acquis a une très forte influence sur les droits anglais et Américain : le
système de la Common Law en est en effet l’héritier direct.
Les choses vont beaucoup changer au XIXe siècle : le monde change et a découvert à la suite
de la Révolution française la notion de sujet de droit. Les choses étaient mures pour que
Friedrich Carl von Savigny édite un traité en plusieurs volumes, en 1849. Une des parties de
ce traité de droit romain va changer complètement le DIP mondial en fournissant de nouvelles
bases, à tel point que certains commentateurs ont pu parler de « révolution ».

Recherche du développement des échanges internationaux : Il est très ancré sur le droit
romain et son idée est qu’il y a une communauté de pensée en Europe, une communauté de
civilisations, de système économique. Il en déduit qu’il faut trouver une méthode de
résolution des conflits qui soit stable, non contestée, sécurisante et acceptable dans un monde
en voie d’internationalisation.

Il ne faut pas s’inquiéter[style à revoir] de l’autorité qui pose la règle mais il faut trouver la solution
la plus raisonnable en procédant à « l’analyse de chaque type de rapport de droit pour lui
appliquer la loi la plus conforme à sa nature propre et essentielle ». « Il convient de
déterminer pour chaque classe de rapport de droit le domaine auquel il appartient, c’est-à-dire
le siège du rapport de droit ».

Cette construction savinienne va être appliquée à la règle de conflit de loi et ce système


conflictuel va s’étendre partout dans le monde. En effet, dans ce dernier cas, le préjudice subi
par un individu implique le plus souvent un coût médical qui, dans le cadre du droit
international privé, met la sécurité juridique de l’individu en danger, certains États
indemnisant de façon moindre le préjudice subi au sein de leur système de responsabilité
délictuelle interne. La contestation américaine va venir de la responsabilité délictuelle en
matière d’accident. La règle de conflit de loi en la matière est la lex loci delicti (Littéralement
« la loi du lieu du délit »). C’est ainsi que la « théorie des points de contacts » américaine est
née et a initié un mouvement de conflit car la règle de conflit abstraite ne prend pas en compte
tous les éléments politiques d’une situation.

Droit international privé français[modifier | modifier le


code]
Article détaillé : Droit international privé en France.

Raisonnement du conflit de lois[modifier | modifier le code]

La méthode du conflit de lois dite méthode conflictuelle présente trois caractéristiques. D'une
part la méthode conflictuelle est dite indirecte, en ce qu'elle ne permet pas de trancher le litige
au fond. Elle permet simplement de désigner la loi applicable au litige. On dit aussi que la
règle de conflit est bilatérale, car son but est de déterminer la loi applicable à un rapport de
droit considéré. Enfin, la règle de conflit est censée être neutre en ce qu'elle ne prend pas
partie pour l'une ou l'autre des lois potentiellement applicables à un rapport de droit considéré,
elle se contente de choisir laquelle est la plus adaptée à régir la situation.

Qualification de la situation[modifier | modifier le code]

L'opération de qualification est le «classement de la question posée dans une catégorie de


rattachement: statut personnel, statut réel, contrat, responsabilité délictuelle 6». L'opération de
qualification n'est du reste, pas exclusive au droit international privé. Elle irrigue tous les
domaines du droit. Par exemple, en droit civil il est nécessaire de qualifier un contrat pour
déterminer son régime et en droit pénal il faut qu'une infraction soit qualifiée pour que le
prévenu soit condamné.

Avant l'avènement du droit international privé européen, la question du conflit de


qualifications se posait. Les juridictions françaises ont eu à connaître de cette problématique à
l'occasion de l'affaire dite Caraslanis. Les faits étaient les suivants: un mariage civil avait été
célébré en France, entre un homme de nationalité grecque et une femme française. Les
relations entre les époux se détériorent jusqu'à ce qu'une juridiction française prononce le
divorce. Le mari, Caraslanis soutient que les époux n'ont en réalité jamais été mariés, car le
droit grec imposait la célébration par un prêtre orthodoxe pour que le mariage soit valide. Le
droit international privé français en matière de mariage, imposait que chaque époux doive
respecter les conditions de fond établies par leur loi personnelle pour valablement se marier.
Les conditions de forme étant régies par le règle du locus regit actum (la loi du lieu de l'acte)
qui était la France. Ainsi en l'espèce, pour que le mariage soit valide, l'époux grec devait
remplir les conditions de fond établies par la loi grecque et l'épouse française devait remplir
les conditions de fond établies par la loi française. C'est pourquoi l'époux soutenait que le
mariage n'avait jamais eu lieu en l'espèce, car l'exigence tenant à la célébration par un prêtre
orthodoxe était considérée comme une condition de fond par la loi grecque. Or, la loi
française elle, qualifiait une telle exigence de condition de forme qui n'avait donc pas
vocation à s'appliquer puisque la loi régissant la forme était la loi française. C'est là que
résidait le conflit de qualification, le juge français devait-il qualifier cette condition de
condition de fond (selon la conception grecque) ou de condition de forme (selon la conception
française) ?

En France, la Cour de cassation a décidé à cette occasion que la qualification devait s'opérer
lege fori, c'est-à-dire selon les conceptions de la loi du for (le for étant la juridiction saisie de
l'affaire). Ainsi, le juge français a qualifié la condition invoquée par l'époux Caraslanis de
condition de forme, conformément aux conceptions de l'ordre juridique français7. À ce titre,
les époux n'étaient donc pas tenus de célébrer leur mariage devant un prêtre orthodoxe pour
que celui-ci soit valide, la loi régissant la forme de l'acte étant la loi française et non la loi
grecque en vertu de la règle locus regit actum.

Aujourd'hui, la qualificaiton lege fori est résiduelle en droit français. En effet, l'essentiel du
droit international privé est désormais d'origine européenne qui impose des qualifications
dites «autonomes», afin de s'assurer de l'application uniforme du droit international privé sur
tous les États-membres. Par exemple, la Cour de Justice des Communautés Européennes,
s'agissant du champ d'application de la convention de Rome de 1980, a jugé en 1992 que la
matière contractuelle se définissait comme celle dans laquelle il existait un engagement
librement assumé d'une partie envers une autre8. Cette qualification posée par la Cour est
autonome en ce que les juridictions nationales, faisant application du droit international privé
européen, doivent se plier à la qualification dégagée par la Cour, indépendamment des
qualifications retenues en droit interne.

Détermination du juge compétent[modifier | modifier le code]

Les règles de conflit de juridictions ont pour but de déterminer la juridiction compétente, dans
un différend présentant des éléments d'extranéité, justifiant l'application du droit international
privé.
Règles de compétence en droit international privé français[modifier | modifier le code]

Dans un premier temps, le droit français se désintéressait totalement des litiges entre étrangers
en considérant que l'extranéité des parties constituait un motif d'incompétence pour les
juridictions françaises. Cette conception est abandonnée progressivement, notamment par un
arrêt dit « Scheffel » rendu par la Cour de cassation en 1962 par lequel les juges ont considéré
que « l'extraneité des parties n'est pas une cause d'incompétence des juridictions françaises 9 ».
Cet arrêt est aussi remarquable en ce qu'il a posé un principe général pour déterminer la
compétence internationale des juridictions françaises qui doit se déterminer « par extension
des règles de compétence territoriale interne9 ».

Droit international privé européen[modifier | modifier le


code]
Article détaillé : Droit international privé européen.

L'avènement de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) puis de la


communauté économique européenne (CEE) et enfin celui de l'Union européenne a permis
une harmonisation du droit international privé des différents États-membres dans certains
domaines particuliers du droit, comme les obligations contractuelles, les obligations
alimentaires ou encore les mariages.

Conflit de juridictions[modifier | modifier le code]

Le droit positif en vigueur au sein de l'Union européenne en matière de conflit de juridictions


est issu du règlement (UE) n°1215/2012 dit «Bruxelles I bis». Ce règlement est applicable à la
matière civile et commerciale, bien que certaines matières soient explicitement exclues de son
champ d'application comme les litiges liées à l'état ou à la capacité des personnes, à l'arbitrage
ou encore à la sécurité sociale10.

Conflit de lois[modifier | modifier le code]

Sous l'impulsion du droit communautaire, une grande partie du droit international privé des
États-membres de l'Union européenne a été harmonisé. L'application des règles de droit
international privé nationales est devenue dès lors plus marginale.

Droit international privé québécois[modifier | modifier le


code]
Article détaillé : Compétence territoriale en droit québécois.

En droit québécois, le livre dixième du Code civil du Québec est consacré au droit
international privé. Pour déterminer si les tribunaux québécois sont compétents pour entendre
un litige, il faut d'abord se demander si le litige comporte ou non un élément d'extranéité, au
sens où l'entend l'arrêt Dell Computer Corp. de la Cour suprême du Canada. Un élément
d'extranéité signifie qu'un aspect du litige a un quelconque rapport avec une juridiction
étrangère. S'il y a un élément d'extranéité, les règles de livre dixième du Code civil vont
trouver application. L'art. 3134 C.c.Q. énonce le principe général que les autorités
québécoises sont compétentes lorsque le défendeur a son domicile au Québec. L'art. 3148
C.c.Q. est l'article le plus important du Code civil en matière de compétence territoriale. Il
énonce les cas explicites où les autorités québécoises sont compétentes.

« Dans les actions personnelles à caractère patrimonial, les autorités québécoises sont
compétentes dans les cas suivants:

1° Le défendeur a son domicile ou sa résidence au Québec;

2° Le défendeur est une personne morale qui n’est pas domiciliée au Québec mais y a un
établissement et la contestation est relative à son activité au Québec;

3° Une faute a été commise au Québec, un préjudice y a été subi, un fait dommageable s’y est
produit ou l’une des obligations découlant d’un contrat devait y être exécutée;

4° Les parties, par convention, leur ont soumis les litiges nés ou à naître entre elles à
l’occasion d’un rapport de droit déterminé;

5° Le défendeur a reconnu leur compétence.

Cependant, les autorités québécoises ne sont pas compétentes lorsque les parties ont choisi,
par convention, de soumettre les litiges nés ou à naître entre elles, à propos d’un rapport
juridique déterminé, à une autorité étrangère ou à un arbitre, à moins que le défendeur n’ait
reconnu la compétence des autorités québécoises. »

Notes et références[modifier | modifier le code]


1. ↑ Serge Braudo, « Définition de Droit International Privé » [archive], Dictionnaire du droit privé, sur
http://www.dictionnaire-juridique.com [archive] (consulté le 14 mars 2014)
2. ↑ Dominique Bureau et Horatia Muir Watt, Le droit international privé, Paris, PUF, 2009, p. 1
3. ↑ Exemple : différences de nationalités des personnes en cause
4. ↑ Exemple : divorce
5. ↑ Sandrine Clavel, HyperCours : Droit international privé, Dalloz, octobre 2018, 5e éd. (ISBN 978-2-
247-18489-7), p. 3
6. ↑ Thierry Vignal, Droit international privé, 4e édition, SIREY, septembre 2017 (ISBN 978-2-247-
17631-1), Page 65
7. ↑ Cour de cassation chambre civile, 22 juin 1955, Caraslanis.
http://interjurisnet.eu/html/dip/civ1_22_06_55.pdf [archive]
8. ↑ CJCE; 1992, Jakob Handte & Co. GmbH contre Traitements mécano-chimiques des surfaces SA.
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/HTML/?uri=CELEX:61991CJ0026&from=FR
[archive]
9. ↑ Revenir plus haut en : a et b Cour de cassation, 1ère chambre civile, 1962, Scheffel. [archive]
10. ↑ Article premier du règlement Bruxelles I bis: «1. Le présent règlement s’applique en matière civile et
commerciale et quelle que soit la nature de la juridiction. Il ne s’applique notamment ni aux matières
fiscales, douanières ou administratives, ni à la responsabilité de l’État pour des actes ou des omissions
commis dans l’exercice de la puissance publique (acta jure imperii)

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Articles connexes[modifier | modifier le code]

 Société québécoise de droit international


 Paul Lerebours-Pigeonnière

[masquer]
v·m
Systèmes juridiques
 Common law
 Droit civil
 Droit coutumier
 Droit religieux

 Portail du droit
 Portail des relations internationales

<img src="//fr.wikipedia.org/wiki/Special:CentralAutoLogin/start?type=1x1" alt="" title=""


width="1" height="1" style="border: none; position: absolute;" />
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?
title=Droit_international_privé&oldid=187463415 ».
Catégorie :

 Droit international privé

[+]
Catégories cachées :

 Article à wikifier depuis avril 2019


 Article à wikifier/Liste complète
 Article manquant de références depuis mai 2017
 Article manquant de références/Liste complète
 Portail:Droit/Articles liés
 Portail:Relations internationales/Articles liés

 La dernière modification de cette page a été faite le 26 octobre 2021 à 19:55.


 Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution,
partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez
les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas
de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner
la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation
de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

 Politique de confidentialité
 À propos de Wikipédia
 Avertissements
 Contact
 Version mobile
 Développeurs
 Statistiques
 Déclaration sur les témoins (cookies)

Vous aimerez peut-être aussi