Modélisation Et Commande MPPT D'un Système Photovoltaïque Autonome
Modélisation Et Commande MPPT D'un Système Photovoltaïque Autonome
Modélisation Et Commande MPPT D'un Système Photovoltaïque Autonome
Faculté de Technologie
MASTER ACADEMIQUE
Thème
Thème
Modélisation et commande MPPT d'un
système photovoltaïque autonome
- MAAMRI Chouaib
- ABADLI Hamza
نتوجه بجزيل الشكر واالمتنان الى كل من ساعدنا من قريب أو من بعيد على انجاز هذا
العمل وتذليل ما واجهنا من صعوبات ,ونخص بالذكر األستاذة المشرفة
معامير مديحة التي لم تبخل علينا بتوجيهاتها ونصائحها القيمة التي كانت عوننا لنا في
اتمام هذا البحث .
PV : Photovoltaïque.
DC : direct courrent.
EG : irradiation solaire.
Tj : température de la cellule.
Rs : Résistance série.
Remerciements
I.1 Introduction……………………………………………………………………………...….4
I.6.Module photovoltaïque………………………………………………………..………….10
I.7.Champ photovoltaïque…………………………………………………………...………..11
I.10. Conclusion………………………………...……………………………………………13
CHAPITRE II : Modélisation de système autonome
II.1.Introduction………………………………………………………………………………15
II.2.Modélisation du système…………………………………………………………..…….15
II.8.Commande de la batterie……………………………………………………………...….31
II.10.Conclusion…………………………………...……………………………………...…..33
III.7. Conclusion………………………………….…………………………………………..43
Conclusion générale…………………………………………………………………..…….45
Références bibliographiques ………………………………………………………...……..48
Liste des tableaux
Avec le développement progressif de la vie moderne, les études écologiques ont démontré
que la consommation énergétique croissante est accompagnée par une augmentation énorme
de l'émission des gaz toxiques dans l’atmosphère, ce qui cause la pollution de l'air et de l'eau.
La consommation mondiale d’électricité observée durant ces dernières décennies est
fortement liée au développement de l’industrie, du transport et des moyens de communications.
De nos jours, une grande partie de la production électrique est produite à partir de ressources
non renouvelables comme le charbon, le gaz naturel, le pétrole et l’uranium. Leur vitesse de
régénération est extrêmement lente à l’échelle humaine. Ce qui entrainera à plus ou moins
courte échéance un risque non nul d’épuisement de ces ressources. D’autant plus que la
demande ne cesse de croître et dès à présent à être supérieure à l’offre, se traduisant par exemple
par une forte fluctuation du prix mondial du pétrole.
Compte tenu de cette situation, les chercheurs et les opérateurs dans le domaine ont
commencé de s'orienter vers les sources de production renouvelable et écologique, en
exploitant les énergies propres sur la terre, comme l'énergie solaire, hydraulique, éolienne,
géothermie…etc. Ils visent à réduire au minimum la demande d'énergie provenant des sources
classiques ; en conséquence, une ville durable et propre dans son énergie, dans son climat et
même dans sa nourriture.
L'énergie solaire est générée par des moteurs thermiques ou des convertisseurs
photovoltaïques par de nombreuses technologies, notamment l'utilisation de panneaux
photovoltaïques, à travers lequel la lumière du soleil est exploitée, détournée et distribuée.
Bien que l’énergie photovoltaïque soit connue depuis de nombreuses années comme
source pouvant produire de l’énergie électrique allant de quelques milliwatts au mégawatt, il
est solution attrayante comme remplacement ou complément des sources conventionnelles
d'approvisionnement en électricité en raison de ses nombreux avantages :
La production de cette électricité renouvelable n'émet pas de gaz à effet de serre, il faut
cependant réduire l’impact environnemental de la fabrication du système.
La lumière du soleil étant disponible partout et quasi-inépuisable, l'énergie photovoltaïque
est exploitable aussi bien en montagne, dans un village isolé que dans le centre d'une
grande ville, et aussi bien au sud que dans le nord.
L’électricité photovoltaïque peut être produite au plus près de son lieu de consommation, de
manière décentralisée, directement chez l'utilisateur, ce qui la rend accessible à une
grande partie de la population mondiale.
1
Introduction Générale d’étude
L'énergie photovoltaïque est obtenue directement à partir du rayonnement du soleil. Elle peut
même se transformer en énergie électrique grâce à l'effet photovoltaïque. Les panneaux
photovoltaïques composés des cellules photovoltaïques ont la capacité de transformer les
photons en électrons. L'énergie sous forme de courant continu est ainsi directement utilisable.
Le rendement des systèmes photovoltaïques peut être amélioré par des solutions utilisant les
techniques de recherche du point de puissance maximale (dites techniques MPPT).
La production journalière de l’énergie électrique issue des générateurs photovoltaïques ne
coïncide pas souvent à la consommation. Dans ce cas, au moins un élément de stockage de
l’énergie devient alors obligatoire pour assurer la continuité de la fourniture d’électricité au
client.
Dans ce mémoire, nous nous sommes intéressés essentiellement au faire la simulation système
photovoltaïque autonome, et la commande du convertisseur bidirectionnel de la batterie pour
une bonne gestion d’énergie entre le panneau et la charge.
Les buts envisagés de ce travail sont :
Des stratégies de contrôle pour les convertisseurs de puissance sont présentées afin de
protéger les équipements et de gérer les échanges de flux d’énergie entre les sources et la
charge.
Assurer, malgré les fortes variations de l'énergie produite ; le besoin de la charge en énergie
électrique une bonne qualité
La Conception d’une commande MPPT basée sur la logique floue du convertisseur DC/DC
connecté au GPV.
Le travail présenté ici est organisé en trois chapitres :
Le premier chapitre sera consacré à des généralités sur le système autonome, et
notamment le système de stockage (batterie) qui leur sera relié.
Le deuxième chapitre, on procédera à une modélisation mathématique des différentes
parties constituant le système dans le système de production hybride autonome à étudier, ainsi
que la conception de contrôleur MPPT par la logique floue afin d’extraire son point de
puissance maximale. Ensuite, nous passons à la commande de la tension du bus continu à une
valeur constante.
Dans le dernier chapitre, nous présenterons les résultats de simulation du énergétique
autonome qui constitué d’un générateur photovoltaïque et un système de stockage avec des
batteries au plomb-acide.
Enfin, on terminera notre mémoire avec une conclusion générale qui résumera l'intérêt de
notre étude.
2
Chapitre I
Généralité sur les systèmes
photovoltaïques autonome
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
I.1. Introduction
Les chocs pétroliers successifs depuis les années 70 ont démontré les risques
économiques et Géopolitiques de la production d'énergie reposant sur l'exploitation des
ressources fossiles, dont les Réserves sont mal réparties et épuisables.de plus, une grande partie
du monde ne sera sans doute jamais raccordée aux réseaux électriques dont l'extension s'avère
trop coûteuse pour les territoires isolés, peu peuplés ou difficiles d’accès. Même au sein de
l’Europe occidentale de tels "sites isolés" ne sont pas exceptionnels. Actuellement deux
milliards et demi d'habitants, principalement dans les zones rurales des pays en développement,
ne consomment que 1 % de l'électricité produite dans le monde. Compte tenu de cette situation,
les chercheurs et les opérateurs dans le domaine ont commencé de s'orienter vers les sources et
les méthodes de production renouvelable et écologique, en exploitant les énergies propres sur
la terre, comme l'énergie solaire, hydraulique, éolienne, géothermie…etc.
L’énergie photovoltaïque est l’un des enjeux de la politique énergétique du notre siècle,
qui résulte de la transformation directe de la lumière du soleil en énergie électrique, au moyen
d’une photopile. S’il est vrai que l’énergie issue du soleil semble sans limites, il n’est pas
possible de la puiser à toutes heures de la journée ni durant toute l’année, ce qui limite le rachat
du photovoltaïque. Au problème d’intermittence s’ajoute celui de la météo, souvent capricieuse,
qui rend cette source d’énergie incertaine. D’où l’importance du stockage de l’énergie solaire
pour couvrir les besoins énergétiques. Dans ce chapitre, nous effectuent un bref rappel sur le
système photovoltaïque (cellules, modules et champs) avec le stockage de l’énergie
photovoltaïque.
4
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
- La cellule photovoltaïque
C’est le courant pour lequel la tension aux bornes de la cellule est nulle .
C’est la tension pour laquelle le courant débité par la cellule est nulle.
-facteur de forme FF
-le rendement η
Les cellules monocristallines ont le meilleur rendement mais un coût élevé, du fait d'une
fabrication compliquée. Les cellules poly cristallines ont une conception plus facile et leurs coût
de fabrication est moins important, cependant leur rendement est plus faible . Les cellules
amorphes ont un faible rendement et un coût peu élevé, elles sont utilisées dans
les petits produits tels que des calculatrices solaires et les montres
Figure I.3 : Types de cellules photovoltaïques. (A) silicium monocristallin, (B) silicium poly
cristallin, (C) silicium amorphe [6].
6
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Ce système d'association est généralement le plus communément utilisé pour les modules
photovoltaïques du commerce.
7
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Comme la surface de cellules devient de plus en plus importante, le courant produit par
une seule cellule augmente régulièrement au fur et à mesure de l'évolution technologique alors
que sa tension reste toujours très faible [7].
Vco=VcoNp (I-4)
8
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Afin d’obtenir des puissances de quelques kW, sous une tension convenable, il est
nécessaire d’associer les modules en panneaux et de monter les panneaux en rangées de
panneaux série et parallèle pour former ce que l’on appelle un générateur photovoltaïque [9].
La caractéristique I(V) d'un générateur solaire peut être considérée comme le résultat d'une
association d'un réseau de ns*np cellules en série/parallèle (Figure I.7).
9
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Pour former des champs de manière à pouvoir satisfaire différents niveaux de besoins en
énergie
Des modules de plus en plus puissants sont disponibles sur le marché, en particulier pour
la connexion du réseau, mais il y'a tout de même une limite liée au poids et à la manipulation
[1].
10
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Ces modules sont montés sur une armature métallique qui permet de supporter le module PV
avec un angle d’inclinaison spécifique.
De nos jours, les technologies les plus émergentes dans les SEH sont les technologies
électrochimiques et principalement les systèmes de stockage d'énergie à batterie. En particulier
les trois types des batteries : plomb-acide, nickel-cadmium et lithium-ion, en raison de leurs
maturités et de leurs faibles coûts. Ils présentent la propriété de pouvoir transformer de l’énergie
chimique générée par des réactions électrochimiques en énergie électrique, sans émission de
polluants.
11
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
Elle présente plusieurs avantages, c’est la moins chère par rapport à d’autres technologies,
elle est presque entièrement recyclable (plus de 90%) et leur autodécharge est faible.
Cependant, ce genre des batteries sont sensibles aux décharges trop profondes conduisant à une
diminution importante de leur durée de vie.
(1 % par mois), cela signifie que l’énergie massique stockée est relativement bien
supérieure, caractérisée par une tension de fonctionnement élevée permettant la réduction du
nombre d’éléments pour une tension donnée et leur durée de vie élevée; Mais le coût est
beaucoup plus élevé à cause de leur fabrication qui nécessite un investissement bien supérieur
que celui des batteries au Plomb. En plus, la batterie lithium contient un pourcentage élevé de
métaux lourds et dangereux, en effet leur recyclage est compliqué et n’atteint pas la maturité.
12
Chapitre I Généralité sur les systèmes photovoltaïques autonome
- Capacité en Ampère heure Les Ampères heure d'une batterie sont simplement le nombre
d'Ampères qu'elle fournit multiplié par le nombre d'heures pendant lesquelles circule ce courant
[13].
-Température Un autre facteur qui influence la capacité est la température de la batterie et
celle de son atmosphère. Le comportement d'une batterie est spécifié à une température de 27
degrés. Des températures plus faibles réduisent leur capacité significativement. Des
températures plus hautes produisent une légère augmentation de leur capacité, mais ceci peut
augmenter la perte d'eau et diminuer la durée de vie de la batterie [14].
- La durée de vie Est le nombre de cycles charge/décharge que la batterie peut soutenir avant
de perdre 20% de sa capacité nominale [15].
I.10. Conclusion
Nous avons présenté dans ce chapitre les différentes notions qui entrent dans l'énergie
solaire et la constitution d’un système photovoltaïque et nous avons exploré le principe de
la conversion photovoltaïque et les technologies utilisées ainsi que les différents types des
cellules photovoltaïques.
13
Chapitre II
Modélisation et commande de
système photovoltaïque
autonome
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
II.1. Introduction :
Les panneaux photovoltaïques peuvent être une bonne source d'électricité mais leurs
efficacité de conversion n'est pas très élevée dont le rendement est généralement entre 12% et
20% à cause de la non linéarité de la caractéristique courant-tension qui dépend de la fluctuation
du rayonnement solaire selon la saison et les heures de la journée et au changement de la
température de la cellule et encore de la charge sur laquelle est associé. Dans ce cas la puissance
délivrée n’est pas toujours maximale et présente un seul point de fonctionnement optimal (Vopt,
Iopt). L’adaptation d’impédance entre la source et la charge est importante et la connexion
directe entre eux n’offre aucune optimisation, c’est pour cela qu’on doit associer un
convertisseur statique DC-DC piloté par une commande MPPT « Maximum Power Point
Tracking » afin de faire fonctionner le générateur à son point optimal, Nous ajoutons une
batterie afin de stocker de l'énergie électrique.
Dans ce chapitre nous présenterons les modèles de composants du système dans le cadre
de notre travail, à savoir le panneau PV, un système de stockage (batteries et convertisseur
bidirectionnel) et des convertisseurs pour interconnecter la source. L’architecture complète de
ce système est illustrée dans la figure (II.1).
Un GPV présente des caractéristiques I(V) non linéaires avec des PPM. Ces
caractéristiques dépendent entre autre du niveau d’éclairement et de la température de la cellule.
De plus, selon les caractéristiques de la charge sur laquelle le GPV débite, nous pouvons trouver
un très fort écart entre la puissance potentielle du générateur et celle réellement transférée à la
charge en mode connexion directe. Afin d’extraire à chaque instant le maximum de puissance
disponible aux bornes du GPV et de la transférer à la charge, la technique utilisée classiquement
est l’introduction d’un étage d’adaptation entre le GPV et la charge comme il est présenté la
figure (II.1). Cet étage joue le rôle d’interface entre les deux éléments en assurant à travers une
action de contrôle [12]. Afin de stocker de l'énergie électrique dans une batterie pour en cas de
production d'énergie surchargée ou déchargée en cas de pénurie pour réaliser le transfert
d’énergie dans les deux sens.
15
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
le modèle le plus cité dans la littérature, le module photovoltaïque est caractérisé par son schéma
électrique équivalent qui se compose d’une source de courant qui modélise la conversion du
flux lumineux en énergie électrique, une résistance shunt Rsh est une conséquence de l’état le
long de la périphérie de la surface de la cellule, une résistance série Rs, une diode en parallèle
qui modélise jonction PN.
𝐼𝑝ℎ = 𝑝1. 𝐸𝐺. [1 + 𝑃2. (𝐸𝐺 − 𝐸𝑟𝑒𝑓) + 𝑝3. (𝑇𝑗 − 𝑇𝑗𝑟𝑒𝑓)] (II.2)
Noct−20
Tj = Ta + EG ⋅ ( ) (II.3)
800
Où :
Ta : Température ambiante.
Noct : Condition de température nominale de fonctionnement de la cellule qui est donnée par
le constructeur (45°C).
Le courant de la diode est donné par :
17
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝑞(𝑉+𝑅𝑠 ⋅𝐿)
𝐼𝑑 = 𝐼𝑠 ⋅ [exp( )] (II.4)
𝐴− 𝑛𝑘𝑇𝑗
Avec :
−𝐸𝑔
𝐼𝑠 = 𝑃4 ⋅ 𝑇𝑗3 ⋅ exp (𝑘⋅𝑇 ) (II.5)
𝑗
𝑉+𝑅s .1
𝐼sh = (II.6)
𝑅sh
Avec :
˗ EG : irradiation solaire.
˗ P1, P2, P3, P4 : Paramètres.
˗ Eref : irradiation de référence 1000 W/m².
˗ Tj : température de la cellule.
˗ Tref: température de référence 25°C.
˗ Eg : Energie de gap pour le silicium cristalline 1.12 eV.
˗ A : Facteur d’idéalité de la jonction.
˗ n : nombre de cellules en séries dans un module 72.
˗ Rs : Résistance série.
˗ Rsh : Résistance shunt.
˗ q : La charge d’électron 1,6 .10-19C.
˗ k : Constant de Boltzmann 1,38 .10-23 J/K.
18
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
génération-recombinaison (Id2). Pour envisager le cas d’une cellule solaire réelle, le circuit
équivalent doit intégrer [18] :
Une résistance série Rs, qui modélise les pertes résistives au sein de la photopile et donc
les métallisations. Une résistance parallèle Rp, modélisant les courants de fuite qui court-
circuitent la jonction (fuites par les bords de la cellule et au niveau de la jonction).
Avec
𝑞(𝑉+𝑅 ⋅𝐼
𝐼𝑑1 = 𝐼01 ⋅ [exp( 𝐴.𝑛.𝑘.𝑇𝑠 ) − 1] (II.9)
𝑗
q(V+R ⋅I
s
Id2 = I02 ⋅ [exp(2.n.A⋅k⋅T ) − 1]
j
−Eg
I01 = P04 ⋅ Tj3 ⋅ exp(k⋅T ) (II.10)
j
−EB
I02 = P14 ⋅ Tj3 ⋅ exp( )
2⋅k⋅Tj
IPh et Ish garderont les mêmes expressions que celles du modèle à une diode. Le courant total
s’écrit :
19
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
V+Rs ⋅I
I = P1 ⋅ EG ⋅ [1 + P2 ⋅ (EG − Eref ) + P3 ⋅ (Tj − Tjref )] − Rsh
−Eg q(V+Rs ⋅I
−[P04 ⋅ Tj3 ⋅ exp(k⋅T )] ⋅ [exp( A⋅n⋅k⋅T ) − 1] (II.11)
j j
−Eg q(V+Rs ⋅I
−[P14 ⋅ Tj3 ⋅ exp( )] ⋅ [exp( ) − 1]
2kTj 2.nAk⋅Tj
20
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
Un convertisseur Boost, ou hacheur parallèle, est un convertisseur statique qui convertit une
tension continue en une autre tension continue de plus forte valeur.
Sur la figure (II.6) est illustré le schéma du hacheur boost à liaison directe, composé de
l’interrupteur commandé S, de la diode d’anti-retour D, et du dipôle de stockage (Lpv, Cdc).
L’évolution en fonction du temps est basée sur les équations des éléments de stockage (Lpv,C
dc), et peut être représenté par une écriture d’état linéaire (2-17), ayant comme paramètre le
rapport cyclique ⍺
𝑋 = 𝐴x + Bu (II.14)
21
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝐼𝑝𝑣
Où : x : vecteur d’état ; 𝑋 = [ ] et u : entrée de commande ; u = Vpv
𝐿𝑑𝑐
Remarque:
𝛼𝑀𝑃𝑃𝑇 𝑉𝑃𝑉
𝐿𝑃𝑉 =
∆𝐼𝑃𝑉 𝑓𝑃𝑊𝑀
L’inductance disponible dans laboratoire utilisée pour les expérimentations a une valeur de
300mH et possède une résistance série (Rpv) de 1.7 Ω.
Séquences de fonctionnement et équations d’état :
22
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝑑𝐼𝑃𝑉
Vpv−Lpv − 𝑅𝑃𝑉 𝐼𝑃𝑉 = 0 (II.15)
𝑑𝑡
1 𝑉𝑑𝑐
𝑉𝑑𝑐̇ = 𝐶 (II.16)
𝑑𝑐 𝑅𝑐ℎ
En considérant le courant Ipv et la tension de sortie Vdc comme variables d’état, l’équation
(II.17) modélise la première séquence, et qui peut être réécrite implicitement dans (II.18)
𝑅𝑝𝑣
̇ 0 𝑋
1
[𝑋1] = [ 𝑝𝑣
𝐿
] [ 1 ] + [𝐿𝑝𝑣] 𝑉𝑝𝑣 (II.17)
𝑋2̇ 0
1 𝑋2
𝑅𝑐ℎ 𝐶𝑑𝑐
0
𝑋̇ = 𝐴1 𝑋 + 𝐵1 𝑉𝑃𝑉
{ Avec : 𝐷1 = [0 1] (II.18)
𝑦 = 𝐷1 𝑋
Dans la suite du manuscrit, Rch représente l’impédance d’entrée du côté du deuxième étage
de conversion ; identifiée par :
𝑉𝑑𝑐
𝑅𝑐ℎ = (II.19)
𝐼𝑐ℎ
Dans cette phase, l’interrupteur S est bloqué. Il en résulte un transfert de l’énergie accumulée
dans la bobine vers le condensateur Cdc (figure II.8). De manière analogue les équations (II.21),
(II.19) définissent le comportement dynamique du convertisseur pour cette séquence :
𝑑𝐼𝑃𝑉
𝐿𝑝𝑣 = 𝑉𝑝𝑣 − 𝑅𝑝𝑣 𝐼𝑝𝑣 − 𝑉𝑑𝑐 = 0 (II.20)
𝑑𝑡
23
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝑑𝑉𝑃𝑉 𝑉𝑑𝑐
𝐶𝑝𝑣 = 𝐼𝑝𝑣 − (II.21)
𝑑𝑡 𝑅𝑐ℎ
Ou :
𝑅 1
̇ − 𝐿𝑝𝑣 −𝐿 𝑋
1
𝑋1
[ ] = [ 1 𝑝𝑣 𝑝𝑣
] [ 1 ] + [𝐿𝑝𝑣 ] 𝑉𝑝𝑣 (II.22)
𝑋2̇ −𝑅
1 𝑋2
𝐶𝑑𝑐
0
𝑐ℎ 𝐶𝑑𝑐
𝑋̇ = 𝐴2 𝑋 + 𝐵2 𝑉𝑃𝑉
{ (II.23)
𝑦 = 𝐷2 𝑋
Modèle moyen
A partir des équations (II.22) et (II.19), on peut déduire l’équation d’état pour toute la période,
qui consiste en fait, à une sommation des deux écritures d’état, pondérées par le rapport cyclique
⍺:
1−𝛼 1
𝑋1̇ = 𝐿 𝑋2 + 𝐿 𝑢
𝑝𝑣 𝑝𝑣
{ 1−𝛼 1
(II.25)
𝑋2̇ = 𝑋1 − 𝑋2
𝐶𝑑𝑐 𝑅𝑐ℎ𝐶𝑑𝑐
Dans le cas du hacheur utilisé pour adapter la tension aux bornes du générateur PV, le
transfert d’énergie s’effectue dans un seul sens, de la source (générateur PV) vers le bus
continu.
Dans le cas du Hacheur utilisé pour la charge/décharge des batteries, le courant électrique doit
être réversible. Ainsi, pour réaliser le transfert d’énergie dans les deux sens, un hacheur
survolteur et un hacheur dévolteur ont été associés comme l’indique la Figure (II.9) [24].
24
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝑑𝑖𝑏𝑎𝑡
𝑉𝑏𝑎𝑡 = 𝐿𝑏𝑎𝑡 (II.26)
𝑑𝑡
𝑑𝑖𝑏𝑎𝑡
𝑉𝑏𝑎𝑡 = 𝐿𝑏𝑎𝑡 + 𝑉dc (II.27)
𝑑𝑡
25
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
𝑑𝑖𝑏𝑎𝑡
𝑏𝑎𝑡 = 𝑉𝑏𝑎𝑡 − (1 − 𝛼)𝑉dc (II.27)
𝑑𝑡
26
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
27
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
En résumé, le suivi du PPM : est réalisé au moyen d'une commande spécifique nommée
MPPT qui agit essentiellement sur le rapport cyclique du convertisseur statique (CS) pour
rechercher et atteindre le PPM du GPV. Il existe plusieurs principes de fonctionnement des
commandes MPPT plus ou moins performantes basées sur les propriétés du GPV [28] [29] [30].
Ces dernières années, les contrôleurs par logique floue (FLC) sont largement utilisés pour
la recherche du point MPP. La théorie de la logique floue permet la modélisation et le traitement
rigoureux d’information imprécise, incertaine et subjective, permettant d’approximer des
fonctions non linéaires. C’est donc une théorie tout à fait adaptée au problème d’optimisation
que nous avons à traiter dans ce paragraphe. En revanche, la connaissance parfaite et complète
du système PV par l’opérateur pour l’établissement des règles d’inférences est très nécessaire.
[31]
Logique floue basée sur des variables floues dites variables linguistiques à valeurs
linguistiques dans l’univers du discours U .Chaque valeur linguistique constitue alors un
ensemble flou de l’univers du discours.
En logique classique
Si p Alors q
p vrai Alors q vrai
En logique floue
Si (X est A) Alors (Y est B)
• La variable floue X appartient à la classe floue A avec un degré de validité μ(x0)
28
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
∆e NG NP ZE PP PG
NG PG PG PG PP ZE
NP PG PG PP ZE NP
ZE PG PP ZE NP NG
PP PP ZE NP NG NG
PG ZE NP NG NG NG
La variable linguistique assignée à ∆α, dépend des différentes combinaisons entre e et ∆e. Par
exemple, si les variables d’entrée (e et e), ont comme valeur PG et ZE correspondant à un
point de fonctionnement très éloigné du PPM, d’après la table de vérité la valeur donnée à la
variable de sortie ∆α est NG, ce qui implique une forte variation négative du rapport cyclique
pour atteindre le PPM. En résumé, les variations du rapport cyclique dépendent de la différence
de position entre le point de fonctionnement et le point optimum. Ainsi, dès que ce dernier
s’approche du PPM, les incréments appliqués à ∆α s’affinent jusqu’ à atteindre le PPM. La
29
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
figure (3.5) est illustrée respectivement les sous- ensembles floues de l’erreur et de la variation
d’erreur, ainsi que de la variable de sortie
L’inférence est une étape qui consiste à définir un rapport logique entre les entrées et la sortie.
En effet, des règles d’appartenance vont être définies pour la sortie comme ça était fait pour les
entrées.
Enfin, il nous faut réaliser l’opération inverse de la fuzzification, ici nous devons calculer une
valeur numérique compréhensible par l’environnement extérieur à partir d’une définition
floue est c’est le but de la défuzzification.
Figure (II.14): Les fonctions d’appartenance pour les variables d’entrées et la sortie
La conception du régulateur flou, type Mamdani, utilisé comme algorithme MPPT, passe par
la synthèse de quatre étapes : fuzzification, base des règles, inférence floue et défuzzification,
comme le montre la figure (II.15):
30
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
Le contrôleur MPPT flou proposé, possède deux entrées et une sortie. Les deux variables
d’entrées du FLC sont l’erreur e et la variation de l’erreur (Δe) prélevées à chaque pas
d’échantillonnage, et la sortie (Δα) représente l’incrément du rapport cyclique.
𝑑𝑝
𝑒 = 𝑑𝑉 (II.28)
L’hacheur réversible en courant est contrôlé à l’aide d’un correcteur basé sur la théorie de
Lyapounov, dont le SGE génère le courant de référence Іbat ref .En fait, la régulation en courant
de la batterie permet de verrouiller les deux interrupteurs du convertisseur bidirectionnel.
On définit l’erreur du courant de la batterie comme suit :
̇ − 𝐼𝑏𝑎𝑡̇ 𝑟𝑒𝑓
𝑒̇ = 𝑖𝑏𝑎𝑡 (II.30)
1
𝑉= 𝑒2 (II.31)
2
𝑉̇ = 𝑒̇ 𝑒 (II.32)
𝑉 = −𝐾3 𝑒 2 (II.33)
D’où, on aura:
𝑒̇ = −𝐾3 𝑒 (II.34)
31
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
On choisit une constante positive K3 pour assurer la négativité de V, et faire converger l’erreur
vers zéro. Dans cette condition, on détermine la commande (la tension aux bornes de la bobine
VL) à partir de l’équation dynamique de la bobine de l’hacheur :
𝑑𝑖𝑡
𝑉𝐿 = 𝐿𝑏𝑎𝑡 (II.35)
𝑑𝑡
𝑉𝑒 = 𝑉𝑏𝑎𝑡 − 𝑉𝐿 (II.37)
𝑉
𝛼𝑏𝑎𝑡 = 1 − 𝑉 𝑒 (II.38)
𝑑𝑐
La tension du bus continu V𝑉𝑑𝑐 est influencée par les variations du courant de sortie du
convertisseur DC/DC 𝐼𝑝𝑣𝑠 qui est l’image des changements du rayonnement solaire
(température, ensoleillement).
Pour identifier les paramètres de contrôle et de perturbation ; c’équation exprime l’état de la
tension du bus :
32
Chapitre II Modélisation et commande de système photovoltaïque autonome
II.10. Conclusion:
Dans ce chapitre, nous avons modélisé notre système qui constituée par des panneaux
photovoltaïques, une batterie de stockage et des convertisseurs statiques (convertisseur DC-DC)
en étudiant leurs principes de fonctionnement, qui considèrent la partie la plus importante et la
plus délicate de cette étude. Cette modélisation nous permettra de prédire les performances du système
une fois les approches de commande suggérées au chapitre suivant sont appliquées. Nous consacrée
dans ce chapitre à l’explication de principe de recherche du MPP et enfin l’algorithme MPPT
basé sur la logique floue qui est un algorithme robuste et efficace .
33
Chapitre III
Résultat de la simulation de
système autonome
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
III.1. Introduction :
Ce chapitre décrit les résultats de simulation d'une source autonome composée d'un
générateur PV (en tant que source principale) avec une batterie (en tant que source auxiliaire)
et une charge DC sont connectés via des convertisseurs de puissance et une liaison CC.
L'objectif principal est de concevoir un système de commande pour contrôler efficacement la
puissance des différentes sources. Pour tester l'efficacité des différentes techniques de contrôle
impliquées, les résultats de la simulation sont tracés et commentés.
Les caractéristiques 𝐼𝑃𝑉 (𝑉𝑃𝑉 ) 𝑒𝑡 𝑃𝑃𝑉 (𝑉𝑃𝑉 ) sont représentées dans les figures suivantes :
4
Ipv(A)
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
Vpv(v)
Figure (III.01) : Caractéristiques I-V du module photovoltaïque
La figure (III.01) représente la caractéristique I-V d’un module photovoltaïque pour les
conditions standards d’ensoleillement et de température.
On constate que la caractéristique I-V se comporte comme une source de courant constant
dans la partie horizontale et comme un générateur de tension dans la partie verticale. On note
aussi qu’il existe toujours un point de puissance maximale, située sur le coude de la
caractéristique.
35
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
6
1000W/m2
Courant d'un module PV (A)
5
800W/m2
4
600W/m2
3
400W/m2
2
200W/m2
1
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
Tension d'un module PV (V)
180
Puissances d'un module PV(w)
160
1000W/m2
140
120
800W/m2
100
80 600W/m2
60
400W/m2
40
20
200W/m2
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
Tension d'un module PV (V)
D’après les résultats donnés par la figures 2.4, nous remarquons que les valeurs du courant
de court-circuit et de la puissance sont directement proportionnelles avec l’intensité
d’éclairement ; tandis que la tension en circuit ouvert est légèrement variée.
Pour une température qui change de de 25°C à 100°C avec un pas 25 et Pour un
éclairement constant, on peut voir que la variation de la tension est plus grande que celle du
courant. La tension d'un module solaire est inversement proportionnelle avec la température.
180
Puissance d'un module PV (w)
160
25°c
140 50°c
120
75°c
100 100°c
80
60
40
20
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
Tension d'un module PV (w)
Figure(III.04) : Caractéristiques puissance-tension pour différent
6
Courant d'un module PV (A)
25°c
3
100°c 75°c 50°c
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45
Tension d'un module PV (V)
températures
Figure(III.05) : Caractéristiques courant-tension pour différents températures
37
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
38
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
39
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
D’après les figures (III.8 ; III.9 et III.10) On constate que le module PV fonctionne à
puissance maximale (Pmax) correspondant à une valeur maximale du courant (Imppt =6.5 A)
et de tension (Vmppt=70V) recherchée par l’algorithme de type MPPT flou (voir chapitre 3).
40
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
De (t=0-4s) : on remarque que la puissance fournie par charge est supérieur à la puissance de
GPV, alors dans ce cas la batterie se décharge de 0.6% à 0.3% afin de couvrir la demande da la
charge.
De (t=4-6s) : La demande de la charge est inférieur à la puissance délivrée par le GPV. L’excès
alors est utilisé pour charger les batteries, à cet effet le courant de la batterie devient négatif.
De (t=6-9s) : On voit bien que la charge est alimentée seulement par le GPV, car la demande
de la charge égale à la puissance délivré par de GPV. Donc le courant de la batterie sera
constant.
41
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
De (t=9-12s) : Ce cas est similaire à l’état de (t=0-4s), où la puissance fournit par le GPV est
inférieure à celui demandé par la charge, dans ce cas le manque sera compensée par la batterie.
La figure (III.15) présente l’état de charge des batteries. On constate bien que l’état de
charge augmentent en cas de charge et diminuent en cas de décharge.
42
Chapitre III: Résultat de la simulation de système autonome
La figure (III.16) montre l’allure de la tension du bus continu. On constate que cette
tension est bien régulée et que la réponse suit sa référence sans dépassement, ni erreur statique
(avec un temps de réponse de 0.001s), ce qui prouve l’efficacité du contrôleur choisi.
III.7. Conclusion
Ce chapitre a été est consacré à la présentation des résultats de simulation pour un
système énergétique autonome qui constitué d’un générateur photovoltaïque et un système de
stockage avec des batteries au plomb-acide. Le contrôleur MPPT à logique floue introduit est
autorisé d’extraire la puissance PV maximale disponible avec moins oscillation autour de
l'optimum, quelle que soit la variation de la charge ou la variation l’éclairement. La stratégie
proposée distribue la régulation de la tension du bus DC entre les différentes sources en fonction
des besoins de la charge.
43
CONCLUSION GENERALE
CONCLUSION GENERALE
Conclusion générale
45
CONCLUSION GENERALE
46
Références bibliographiques
Références bibliographiques
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carte Arduino uno » 5 Mémoire Master, Université Kasdi Merbah Ouargla, 2016.
[2]: TOUIL Nacer Eddine '« Modélisation et Simulation d'un Système Photovoltaïque »
Mémoire de Master, Université Echahid Hama Lakhderd El-Oued, 2015.
[4] : Martin A. Green, Keith Emery, Yoshihiro Hishikawa, Wilhelm Warta, and Ewan Dunlop.
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24(7) :905–913, July 2016. 1, 2, 14, 15, 16, 17, 89, 90, 110, 11
[11] : Anas el Atmi « Conception et réalisation d'un régulateur solaire sous Labview à base de
microcontrôleur » Pour l‟obtention du diplôme de Master, Systèmes Microélectroniques, de
Télécommunications et de l‟Informatique Industrielle 2014.
[12] : M.Belerbi « Contribution à l‟étude d‟un générateur solaire pour site autonome » thèse de
doctorat Es-sciences, Université Mohamed Boudiaf-Oran 10.09. 2015
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basé sur un moteur synchrone à aimants permanents», Mémoire de Magister de l’Université,
2014.
[20] : Yann Riffonneau, «gestion des flux énergétiques dans un système photovoltaïque avec
stockage connecté au réseau – Application à l’habitat », Thèse de doctorat de l’Université de
JOSEPH FOURIER, soutenue le 23 octobre 2009.
49
Références bibliographiques
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électrique urbain – dimensionnement et tests de cyclage », Thèse de doctorat de l’ECOLE
CENTRALE DE LILLE, soutenue publiquement le 03/06/2013.
[24] : Ionel Vechiu, «modélisation et analyse de l’intégration des énergies renouvelables dans
un réseau autonome », Thèse de doctorat de l'université du Havre, Soutenue le 15 décembre
2005.
[32] : AYACHE Ismaïl et CHIKHAOUI Ahmed “Optimisation des intégrations des énergies
renouvelables dans les réseaux de transport”, Mémoire de Master de l’Université de Larbi
Tebessi,2018-2019.
50
Références bibliographiques
51