Kalemba TFC
Kalemba TFC
Kalemba TFC
0. INTRODUCTION GENERALE
1. PROBLEMATIQUE
Le comportement d’un produit sur le marché change avec les mutations que
connaissent notre société. En effet, dans jadis l’offre des biens et services
influençaient la demande, c’est-à-dire l’offre, par le biais de revenu qu’il
distribue, crée sa propre demande (JB. Says, 1803). Alors qu’actuellement
l’écoulement ou l’acceptation d’un produit sur le marché dépend de sa capacité
de s’adapter aux exigences des consommateurs.
Aujourd’hui, le consommateur est devenu beaucoup plus informé et plus
exigeant, à tel point qu’il veut qu’on produit pour lui, avec lui, qu’il soit écouté
et que son avis soit pris en considération, il est devenu imprévisible, et à la
recherche d’émotions et de nouvelles expériences. Donc la communication entre
le producteur et le consommateur est devenu bilatérale.
Même si les technologies sont prometteuses du point de vue technique, rentable
de point de vue financier, elles ne sont pas toujours acceptées par les utilisateurs
(Davis et al, 1986 ; Barley, 1986). En clair, quel en soit sa performance
technologique, tout produit qui ne s’accommode aux exigences des
consommateurs n’est souvent accepté.
Ainsi, les entreprises sont appelées à innover en vue de répondre aux attentes
des consommateurs. La primauté de la satisfaction de ces derniers est à la base
de l’obtention du succès commercial et d’un avantage concurrentiel vis-à-vis de
la concurrence.
Dans sa quête de satisfaire davantage ses abonnés, la société CANAL+ a mis sur
le marché le décodeur HD. Dans ce contexte, nous estimons qu’il est opportun
d’appréhender les facteurs qui influencent les utilisateurs et les utilisateurs
potentiels dans leur décision d’accepter les décodeur HD. En étudiant les
variables qui conduisent les usagers à adopter un produit, le souci est de prévoir
les aspects sur lequel faudrait agir afin d’améliorer l’acceptation d’un produit.
D’après notre constat de terrain, cette nouvelle innovation technologie attire de
plus en plus la sympathie de ses abonnés. Et la question de recherche de notre
travail se formule de la manière suivante : quels sont les facteurs concourant à
l’acception du décodeur HD ?
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2. OBJECTIF
Notre travail vise à analyser le comportement du consommateur face à un
nouveau produit en déterminant les différents facteurs qui influence son
acceptation (son choix).
3. HYPOTHESES
L’hypothèse est une liaison anticipée entre les phénomènes ou variables d’un
concept. En d’autre terme ce sont des propositions ou des réponses anticipées
aux questions de recherche.1
Partant à la question posée à la problématique, nous envisageons les réponses
suivantes pouvant être soit affirmées, soit infirmées.
L’acceptation du décodeur HD repose sur l’utilité perçue et la facilité
d’utilisation.
Au long de notre enquête, les données récoltées feront l’objet d’une
interprétation qui va nous élucider quant aux hypothèses formulées.
4. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Dans le domaine des sciences économiques, un sujet de recherche est choisi
pour rechercher la solution d’un problème économique qui se pose au sein de la
société. Cette étude est orientée sur le comportement des consommateurs face à
un nouveau produit, cas du décodeur HD CANAL+. Il s’agit de déceler les
facteurs occasionnant ou freinant l’utilisation du décodeur HD.
La motivation de la présente étude est exprimée à travers deux types d’intérêts :
Intérêt personnel et
La pertinence scientifique
2
Professeur Sylvain SHOMBA KINYAMBA, cours, initiation à la recherche scientifique, G1 faseg, UK, 2019-
2020.
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6. DELIMITATION
Toute démarche scientifique procède fatalement par un découpage de la réalité.
Il n’est pas possible d’étudier, de parcourir tous les éléments influents jusqu’aux
extrêmes limites de la terre et jusqu’au début des temps.3
Ainsi, notre travail se limitera dans l’espace et dans le temps.
6.1. Délimitation spatiale
Ici le travail est délimité à la situation géographique où s’effectuent les enquêtes.
En nous concernant, l’affermissement de notre étude est centré dans la ville de
Mbanza-Ngungu.
6.2. Délimitation temporelle
Pour raison d’efficacité des données, dans le temps, nous parcourons de l’année
2019 à l’année 2022.
7. OSSATURE DU TRAVAIL
En outre de l’introduction générale et de la conclusion, nous allons parcelliser
notre travail comme suit :
Cadre théorique, chapitre premier ;
Cadre de l’étude, chapitre deuxième ;
Cadre empirique, chapitre troisième.
4
GABRIELA IBANESCU (2011) « Facteurs d'acceptation et d'utilisation des technologies d'information »,
Université du Québec à Montréal, pg 22-
P a g e | 10
Utilité perçue
Facilité d’utilisation
perçue
5
BATOTELE SELEMANI P. & DZAKA-KIKOUTA T. (2022) «Concurrence ou complémentarité entre
Multinationales de télécommunication et sociétés de transfert d’argent en contexte de la République
Démocratique du Congo», Revue Internationale du Chercheur «Volume 3 : Numéro 3», pg 258.
P a g e | 11
L'attitude est déterminée dans le modèle TAM par j'influence directe de l'utilité
perçue et de la facilite d'utilisation, avec des poids relatifs déterminables par
régression:
A =U + EOU
Les deux déterminants ont des effets directs, positifs, Davis s'appuyant sur les
recherches passées qui ont confirmé empiriquement l'existence et le sens de ces
deux relations6.
Le TAM se diffère de la théorie de la raison actionnée premièrement par
l'absence des normes subjectives comme antécédent de l'attitude. Et
deuxièmement sur sa difficulté d’expliquer l’utilité d’un produit à l’aide d’un
nombre limité d’item. Ces différenciations expliquent la limite du TAM.
Le modèle du TAM 2 propose de répondre à ces limites en intégrant cinq
facteurs qui vont permettre de mieux expliquer l’utilité perçue d’un produit : la
norme subjective, l’image du produit, sa pertinence dans la tâche à réaliser, la
qualité du résultat et la démonstration du résultat (Venkatesh et Davis, 2000). De
même, le TAM a été l’objet d’un troisième approfondissement théorique dans
lequel six facteurs ont été ajoutés comme prédicteurs de la facilité d’utilisation
perçue : l’auto-efficacité du système, la perception d’un contrôle externe du
système, l’anxiété ressentie vis-à-vis du système, l’amusement qu’il suscite, la
joie ressentie et l’utilisabilité objective du produit (Venkatesh et Bala, 2008).
Grâce à ces deux améliorations, le pouvoir prédictif du TAM 2 atteint les 40%
de variance de l’intention d’usage (Legris et al., 2003) et les 56% pour le TAM
3 (Venkatesh et Bala, 2008).
Malgré ces améliorations, le modèle du TAM et ses dérivés ont un problème
quant aux résultats qu’ils affichent7.
6
GABRIELA IBANESCU (2011), op.cit.
7
Damien Dupré. L’influence de produits innovants sur l’émotion des utilisateurs : une approche multi-
componentielle. Psychologie. Université Grenoble Alpes, 2016. Français.
P a g e | 12
1.1. Historique
L’idée de créer une ville en ce lieu a été initié par le colonel Albert Thys, car le
climat est favorable aux européens, et une eau de source d’une bonne qualité.
Cet espace portait le nom de NSONA-NGONGO en 1904, et en 1934 elle prend
le nom de Thysville en mémoire de l’initiateur du projet. Après les années 34
cette entité porta de nouveau le nom de Mbanza-Ngungu, qui est aujourd’hui
une ville du Kongo Central sur le plan administratif. Elle est située le long de
ligne de chemin de fer (Matadi-Kinshasa). Cette cité compte environ plus de
100.000 habitants et elle est la troisième ville du Kongo-Central après la ville de
Matadi et de Boma.
Le quartier LOMA
Le quartier Disengomoka
Le quartier NOKI
Le quartier Colonel Ebeya
A. Quartier Ngungu
Ce quartier se trouve au centre de la ville de Mbanza-Ngungu. Il comporte 24
avenues quadrillées en cellules. Il comprend cinq écoles secondaires, quatre
écoles primaires, une école d’enseignement médical, l’hôpital général de
référence de NSONA-NKULU, le camp militaire lieutenant-colonel Bilolo et le
camp policier, ainsi que la prison centrale. On retrouve aussi le premier stade de
football de la ville de Mbanza-Ngungu.
Ce quartier est limité au Nord par le groupement de LUVAKA, à l’Est par le
quartier LOMA, au Sud par le quartier Disengomoka et à l’Ouest par le quartier
NOKI.
B. Quartier Révolution
C’est la juridiction la plus peuplée de la ville de Mbanza-Ngungu et la plus
étendue par rapport aux autres. Elle est limitée au Nord et au Sud par le quartier
Ngungu.
Il est constitué de sept cellules et de Septante-cinq avenues. Ce quartier est
menacé par des érosions de grande envergure.
C. Quartier Disengomoka
C’est un plateau érodé, borné au Nord par le quartier Ngungu, à l’Ouest par
celui de NOKI et à l’Est par le secteur BOKO. Le quartier est composé de 5
cellules et 66 avenues, il est le deuxième le plus peuplé après le quartier
Révolution.
Ce quartier est également menacé par des érosions de grande envergure. Il est
traversé par la voie ferrée de la SCPT (ex ONATRA) et on y trouve quelques
institutions telles que l’ancienne caisse d’épargne (LUYMAS), une organisation
non gouvernementale (APRODEC) … il y a aussi la présence des écoles comme
le complexe scolaire de la CBFC (ville haute), ITC BADIKA etc. et la
polyclinique Maman MPAMBA.
P a g e | 14
E. Quartier Noki
Le quartier NOKI est composé de six cellules et de plus de 38 avenues. Situé à
l’Est de la ville. Il est le siège des institutions du District des Cataractes et du
Territoire de Mbanza-Ngungu notamment le bureau de district, le bureau du
Territoire ainsi que le Tribunal de Grande Instance et autres.
Ce quartier est borné au Nord par les quartiers Ngungu et Disengomoka, à l’Est
par là le village Mbamba, à l’Ouest par le quartier Ngungu et au Sud par le
village KIDIAKI.
P a g e | 15
F. Quartier Loma
C’est un quartier fort accidenté et déchiqueté par des érosions, une partie est
dans la vallée, il est fortement menacé par le ravin de KITOKO NSUNGA après
l’armée du salut. Dans sa partie basse se trouvait le projet de vulgarisation des
techniques rizicoles (PVTR) par le chinois ; mais ce projet avait été abandonné
depuis le dernier pillage.
1 DISENGOMO 10450 8205 9100 9200 36958 817 1160 600 620 3197 40155
KA
2 NGUNGU 3213 3080 3767 3767 13592 182 288 330 597 1397 14989
3 NOKI 2875 3174 3531 3203 13083 308 397 361 398 1494 14577
4 REVOLUTIO 10014 12637 17199 21002 60852 915 1320 1526 1495 5256 66108
N
5 LOMA 6091 6924 8591 8271 28588 253 410 255 445 1369 32284
TOTAL 33973 35286 43406 48137 160802 2475 3605 3072 3555 12707 173509
Le graphique ci-dessus nous montre que cette population est inégalement répartie dans la ville. En effet, il ressort de ce
graphique que le quartier Révolution est plus peuplé de la population totale de la ville, suivis du quartier Disengomoka,
Loma, Ngungu, noki et en fin Ebeya. Cette inégalité est due à la différence d’étendue qu’on les différents quartiers.
P a g e | 18
La ville n’a aucune grande entreprise capable d’embaucher un grand nombre des
travailleurs et pouvant distribuer des salaires élevés. C’est ce qui explique en
partie la faiblesse des revenus de la population de cette ville. Il y a l’absence
d’un pôle de croissance capable d’exercer des effets d’entrainement sur d’autres
secteurs de l’économie. Les grandes activités sont :
L’activité d’entretien et réparation des locomotives de la SCTP (ex
ONATRA) ;
L’agence de la REGIDESO qui distribue de l’eau à travers la cité de
Mbanza-Ngungu, dont l’administration est située sur l’avenue Sainte-
Thérèse dans le quartier Ngungu. Station d’exploitation se situe à
LOMA ;
P a g e | 19
b. La culture vivrière
Cette culture fournit des produits alimentaires destinés principalement à la
population locale. Les principales cultures vivrières sont : le manioc (aliment de
base de la plus grande partie de la population), le maïs, l’arachide, le sésame, la
feuille de gazelle
La ville de Mbanza-Ngungu est juste pourvue d’une seule banque, allusion faite
à FBN Bank (ex BIC) cette institution s’affirme aujourd’hui comme le
partenaire privilégié de la banque centrale de la RDC qui lui confie la
responsabilité de caissier de l’Etat jadis, la plupart des opérations bancaires
passaient à la banque congolaise du commerce extérieur, une institution
publique mais qui par la suite a été liquidée.
SERAÖ ; - CRUZ ;
MENDES ; - MAWOMBO ;
FERNANDES ; - PEK.
LOPES ;
P a g e | 21
MARQUES ;
BRAVO ;
VELO ZO ;
DOUARTE ;
CARDOSO ;
SOCOPO ;
JVL ;
En guise de cela, nous disons que ces derniers resteront toujours dans la
mémoire de ceux qui avaient connu cette belle époque, caractérisée par
l’abondance des biens et services.
Plus tard, une nouvelle génération des compatriotes et originaires, conduite par
le trio de choc constitué de :
DOMBAZI ZIKUMVALA ;
DOKOLO SANU et
KISOMBE KIAKU MUISI
Ils ont pris la relève pour apporter un nouveau souffle aux activités socio-
économique dans cette ville de Mbanza-Ngungu.
Les données récoltées ont fait l’objet d’un dépouillement et nous avons procédé
par la suite d’une analyse statistique descriptive qui nous a permis de chiffrer
ces données et de les présenter sous forme des tableaux, et d’une analyse
inférentielle en utilisant notamment le test de khi-carré.
En effet, le test de khi-carré permet de vérifier l’existence des relations entre les
variables et les profils de l’enquête. Les hypothèses de ce test se présentent
comme suit :
L’hypothèse nulle H0 : les deux variables ne sont pas en relation.
L’hypothèse alternative notée H1 : les deux variables sont en relation.
(O−E)²
Pour ce faire, on calcule la statistique suivante : khi-carré = ∑ avec O la
E
fréquence observée et E la fréquence espérée.
P a g e | 23
Salarié 26 26,0
Etudiant 5 5,0
Total 100 100,0
Source : notre enquête
Ce tableau nous montre que sur les 100 ménages enquêtés, 31% sont au
chômage, 38% sont indépendant, 26% sont des salariés et 5% sont des étudiants.
100000-200000 35 35,4
200000-300000 10 10,1
300000-400000 5 5,1
500000 et plus 2 2,0
Total 99 100,0
Source : notre enquête
Il ressort de ce tableau que sur les 100% des ménages enquêtés, 47% ont un
revenu inférieur à 100000, 35,4 ont un revenu compris entre 100000-200000,
10,1 ont un revenu copris entre 200000-300000, 5,1% ont un revenu compris
entre 300000-400000 et 2% ont un revenu de 500000 et plus.
Tableau n°12 : répartition des enquêtés selon la variable suivre les programmes
en différés
L’utilisation du nouveau Fréquence Pourcent
décodeur me permet de age
suivre les programmes valide
différés
Valide absolument 17 31,5
d'accord
D'accord 13 24,1
plutôt d'accord 11 20,4
Aucune opinion 12 22,2
Plutôt en 1 1,9
désaccord
Total 54 100,0
Source : notre enquête
Ce tableau nous montre que sur les 100% des ménages qui utilisent le décodeur
HD, 31,5% sont absolument d’accord de suivre leurs programmes en différé,
24,1% sont d’accord, 20,4% sont plutôt d’accord, 22,2% n’ont pas d’opinion et
1,9% sont plutôt en désaccord
Tableau n°17 : répartition des enquêtés selon la variable avoir toutes les
conditions
J’ai toutes les conditions Fréquence Pourcentage
nécessaires valide
Valide absolument 20 37,0
d'accord
D'accord 30 55,6
plutot d'accord 4 7,4
Total 54 100,0
Source : notre enquête
Ce tableau nous montre que sur les 100% des ménages qui utilisent le décodeur
HD, 37% sont absolument d’accord d’avoir toutes les conditions nécessaires
pour l’utilisation du décodeur, 55,6% sont d’accord et 7,4% sont plutôt d’accord
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 1,382a 4 ,047
Rapport de 1,388 4 ,846
vraisemblance
Association linéaire ,134 1 ,714
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 4 cellules (40,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de 1,41.
P a g e | 32
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiq
ue
(bilatérale)
khi-carré de Pearson ,147a 1 ,701
Correction pour ,031 1 ,861
b
continuité
Rapport de ,148 1 ,701
vraisemblance
Test exact de Fisher
Association linéaire ,146 1 ,702
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 0 cellules (0,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de 16,92.
b. Calculée uniquement pour une table 2x2
P a g e | 33
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 4,844a 3 ,084
Rapport de 4,981 3 ,173
vraisemblance
Association linéaire 4,527 1 ,033
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 2 cellules (25,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de 2,35.
P a g e | 34
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 4,306a 3 ,230
Rapport de 4,370 3 ,224
vraisemblance
Association linéaire 3,214 1 ,073
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 4 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de 2,35.
P a g e | 35
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 10,793a 3 ,013
Rapport de 12,311 3 ,006
vraisemblance
Association linéaire ,337 1 ,562
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 4 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique
minimum est de ,47.
P a g e | 36
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 8,240a 4 ,083
Rapport de 9,377 4 ,052
vraisemblance
Association linéaire 7,364 1 ,007
par linéaire
N d'observations 99
valides
a. 5 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,95.
P a g e | 37
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 10,553a 3 ,014
Rapport de 11,458 3 ,009
vraisemblance
Association linéaire 7,339 1 ,007
par linéaire
N d'observations 100
valides
a. 4 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,47.
P a g e | 38
Tests du khi-carré
Valeu ddl Significat
r ion
asymptot
ique
(bilatéral
e)
khi-carré de 1,482 1 ,223
a
Pearson
Correction pour ,036 1 ,849
b
continuité
Rapport de 1,823 1 ,177
vraisemblance
Test exact de
Fisher
Association 1,455 1 ,228
linéaire par
linéaire
N d'observations 54
valides
a. 2 cellules (50,0%) ont un effectif théorique
inférieur à 5. L'effectif théorique minimum est
P a g e | 39
de ,41.
b. Calculée uniquement pour une table 2x2
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 1,732a 2 ,421
Rapport de 2,019 2 ,364
vraisemblance
Association linéaire 1,325 1 ,250
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 3 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,11.
P a g e | 40
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson ,946a 3 ,814
Rapport de 1,331 3 ,722
vraisemblance
Association linéaire ,714 1 ,398
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 6 cellules (75,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,02.
P a g e | 41
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 3,213a 4 ,523
Rapport de 2,908 4 ,573
vraisemblance
Association linéaire ,106 1 ,744
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 6 cellules (60,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,02.
P a g e | 42
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 2,420a 3 ,490
Rapport de 2,478 3 ,479
vraisemblance
Association linéaire 1,619 1 ,203
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 6 cellules (75,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,02.
P a g e | 43
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 1,019a 3 ,097
Rapport de 1,405 3 ,704
vraisemblance
Association linéaire ,752 1 ,386
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 6 cellules (75,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,02.
P a g e | 44
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 1,601a 2 ,449
Rapport de 1,919 2 ,383
vraisemblance
Association linéaire ,329 1 ,566
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 3 cellules (50,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,11.
P a g e | 45
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 5,094a 4 ,278
Rapport de 3,680 4 ,451
vraisemblance
Association linéaire 1,838 1 ,175
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 6 cellules (60,0%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,07.
P a g e | 46
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 1,732a 2 ,421
Rapport de 2,019 2 ,364
vraisemblance
Association linéaire 1,388 1 ,239
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 4 cellules (66,7%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,07.
P a g e | 47
Tests du khi-carré
Valeur ddl Significatio
n
asymptotiqu
e
(bilatérale)
khi-carré de Pearson 2,420a 6 ,877
Rapport de 2,478 6 ,871
vraisemblance
Association linéaire 1,061 1 ,303
par linéaire
N d'observations 54
valides
a. 10 cellules (71,4%) ont un effectif théorique inférieur à 5.
L'effectif théorique minimum est de ,02.
P a g e | 48
CONCLUSION
La mondialisation des marchés, la concurrence, l’évolution et le progrès
technologique expliquent l’importance que l’on accorde sur le comportement
des consommateurs. Nous avons essayé à travers ce travail dont l’intitulé est
« le comportement du consommateur face à un nouveau produit : cas du
décodeur HD », d’analyser les facteurs concourant à l’acceptation de ce
décodeur.
Nous avons eu recourt à la technique documentaire et celle du questionnaire
d’enquête, qui nous a permis la collecte des informations afin d’atteindre les
objectifs fixés.
Au cours de notre enquête, les données recueillies ont fait l’objet d’une analyse
uni-variée qui nous a permis d’élaborer les tableaux de fréquence et d’une
analyse bi-variée qui nous a permis de vérifier la dépendance entre les variables
à travers le test du Khi-carré.
Ainsi, ces données nous a permis aussi de répondre à notre question de
recherche qui est de savoir les facteurs qui concourent à l’acceptation du
décodeur HD, en affirmant ou en infirmant notre hypothèse soulevé.
Les résultats de nos analyses nous montrent que :
53% sur les 100% des ménages enquêtés utilisent le décodeur HD.
La facilité d’utilisation influence l’acceptation du décodeur HD au seuil
de 10%.
En outre, nous avons constaté que l’acceptation du décodeur HD est aussi
influencée par :
- la variable âge au seuil de 5% ;
- la variable catégorie socio-professionnel au seuil de 10% ;
- la variable état-civil au seuil de 5% ;
- la variable revenu mensuel au seuil de 10% ;
- la variable dépenses moyennes au seuil de 5%.
De ce qui précède, nous confirmons que l’acceptation d’un nouveau produit sur
le marché repose avant tout sur l’utilité perçue de la clientèle vis-à-vis de ce
produit et de la facilité d’utilisation.
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Bibliographie
f. Quartier Loma…………………………………………………………...12
1.3. Situation démographique…...……………………………………12
1.3.1. Population………….……………………………………………...…12
1.4. Situation socio-économique……..………………………………15
1.4.1. Situation sociale……………………….……………………………..15
1.4.2. Situation économique……………..………………………………….15
1.4.2.1. L’Agriculture de la ville de Mbanza-Ngungu…….........................16
a. La culture maraîchère………………………………………….………...16
b. La culture vivrière………….……………………………………………16
1.4.2.2. Les institutions financières……………….……………………….16
1.4.2.3. Les Marchés………………………………………………………17
CHAPITRE 3. CADRE EMPIRIQUE………………………..………………..18
3.1. RAPPEL METHODOLOGIQUE ET PRESENTATION DES
TABLEAUX DE FREQUENCE………………...………………………....18
3.1.1. RAPPEL METHODOLOGIQUE ……………………………..……18
3.1.1.1. Echantillon et questionnaire………………………………….…...18
3.1.1.2. Méthodes d’analyses…………………...………………...………..18
3.1.2. ANALYSES UNIVARIEES…………………..…………..………...19
3.2. ANALYSES BIVARIEES.……………….......………………….........27
CONCLUSION………………………..………………………………………44
BIBLIOGRAPHIE……......…………………………………………………..45