REPUBLIQUE DU BENIN

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Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et
Mathématiques d’ABOMEY
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Institut Universitaire de Technologie de LOKOSSA
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DEPARTEMENT DU GENIE CIVIL

LE BULLDOZER

Sous la direction de :
RÉALISÉ PAR LE GROUPE 7 ING. THOMAS EKPO
 SOMMAIRE

INTRODUCTION

 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

 DIFFERENTES PARTIES D’UN BULLDOZER
 UTILISATION D’UN BULLDOZER
 FACTEURS INFLUENÇANT LA STABILITÉ D’UN BULLDOZER
TRAVAILLANT SUR UN TERRAIN EN PENTE
 PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER
 COUT D’ACHAT ET DE LOCATION

CONCLUSION
 INTRODUCTION

De nos jours, le niveau des travaux de terrassement et de nivellement augmente en rapport avec l’envergure des
nombreux projets de construction et on n’hésite plus à déplacer des millions de mètres cube de terre et de roches
pour la réalisation des barrages, des routes et autres ouvrages du génie civil. Ceci explique le développement
spectaculaire des matériels de construction. Aussi n’est - il donc pas nécessaire à tout intervenant du domaine du
génie civil de connaitre et de maitriser les matériels dont il doit disposer pour la réalisation des projets dans les
délais impartis ? C’est dans cette optique, que nous effectuons une étude sur le bulldozer et ses variantes qui se
trouvent être un matériel de construction très utilisé surtout dans le domaine des travaux de refoulement. Nous
présenterons donc les caractéristiques de ses engins de terrassement ainsi que l’étude de sa production horaire.
GENERALITE SUR LE
BULLDOZER
 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

Les aspects de la généralité sur le bulldozer dont nous parlerons sont : sa définition, son historique, sa description et la
présentation de certaines de ses variantes.

Le bulldozer ou ‘’ bouteur ‘’ en français, dérive de deux mots anglais, «bull» qui veut dire taureau et «dozer» qui
désigne une lame. C’est un engin monté sur un tracteur à chenilles ou à pneus, équipé d'au moins une lame d'acier
orientable à l'avant. On les appelle couramment des "bull" ou encore D4, D6, D7, D8, D9, selon la puissance de l'engin
ou encore "Caterpillar" (assimilant la marque la plus répandue, au nom de l’engin). Les tous premiers Bulldozers ont été
conçus à partir de tracteurs de ferme et furent fabriqués industriellement aux Etats Unis, à Fresno, vers 1883 et leur
concepteur se nommait James Porteous
 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

Ils ont tout d'abord été utilisés pour creuser des canaux, soulevez des barrages de terre, et faire du terrassement. Ils

ont été équipés d'un grand plat épais en métal. Ce plat (qui a obtenu sa forme incurvée plus tard), s'appelle « lame ».

Parfois le Bulldozer porte un autre ustensile d'équipement de terrassement, connu sous le nom de « racleur ». Au fils

des années, quand les hommes ont eu besoin d'équipements pour accomplir des travaux de terrassements à grande

échelle, on vit apparaître des marques de Bulldozer comme: Komatsu, Fiat-Allis, John Deere, Box, Liebherr,

Terexetle, JCB.
 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

Les premiers Bulldozers étaient bruyants, et peu puissants. Avec le temps, ils sont devenus plus grands, plus

puissants, et de plus en plus sophistiqués. Plusieurs modifications ont été apportées à cet engin au fil des années et

ils sont devenus incontournables pour tous les gros projets de constructions civiles et militaires. Le bulldozer est

monté sur un tracteur à chenilles ou à pneumatiques. Lorsqu’il est sur chenilles, on en distingue à barbotins

surélevés et à barbotins bas. Le bulldozer est également muni d’une cabine biplace, métallique, suspendue, vitrée

ou non et à revêtement de calorifugeages et d’insonorisation. Elle peut être équipée de climatiseur.

 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

La puissance de l'engin est caractérisée par celle du tracteur. Sa vitesse est de l’ordre de 3,5Km/h. L’effort de

traction que fournit le Bulldozer dépend du type de tracteur et de sa vitesse en travail. L’effort utilisable

dépendra du poids et de l’adhérence du tracteur équipé. Selon le type de tracteur les Bulldozers exercent des

pressions au sol variant de 20 à 160 kPa. La diversité des lames et leurs rôles respectifs définissent les variantes

du bulldozer. Ainsi, un bulldozer dont la lame peut s’orienter dans un plan horizontal et est destiné à pousser

d’autres engins (des scrapers en particulier) est appelé pushdozer.

 GENERALITE SUR LE BULLDOZER

Un bulldozer dont on peut faire varier l’angle d’attaque de la lame de manière à adapter l’angle de coupe ou

l’inclinaison de la paroi refoulant à la nature du travail à exécuter (excavation ou refoulement de la matière) est

appelé tipdozer. Un bulldozer dont la lame peut s’incliner dans un plan vertical perpendiculaire au tracteur et utilisé

pour l’arrachage de gros arbres et le creusement de fossé est appelé tiltdozer. Un bulldozer dont la lame peut être

orientée dans le plan horizontal par rapport à l’axe longitudinal du tracteur et utilisé pour les travaux de terrassement

et de déplacement des terres à flanc de coteau est appelé angledozer.

GENERALITE SUR LE BULLDOZER

PUSHDOZER TIPDOZER
GENERALITE SUR LE BULLDOZER

TILTDOZER ANGLEDOZER
DIFFERENTES PARTIES D’UN
BULLDOZER
DIFFERENTES PARTIES D’UN
BULLDOZER

La particularité d’un bulldozer est sa lame. Elle est assez résistante et très souvent sans excès de poids.
Elle a une capacité pouvant varier de 4 m 3 à 20m3. Sa forme permet une manipulation efficace des
matériaux. La surface intérieure de la lame doit être absolument lisse. Le tranchant amovible est en
acier spécial. Il est le plus souvent encastré dans la partie inférieure de la lame et retenue par des rivets.
Par ailleurs, il existe plusieurs formes de lames.
DIFFERENTES PARTIES D’UN
BULLDOZER
 Lame U ou Lame universelle:

Elle est dotée de larges ailes

comportant une section d’attaque
et une section de coupe, ce qui la
rend particulièrement adaptée aux
gros travaux de déplacement de
lourdes charges sur de longues
distances (les travaux de
défrichement, de mise en tas, de
chargement ou de remblayage.)
Lame S (ou Lame droite)

Elle fournit une excellente

force de pénétration et de
chargement. La lame “S”
rentre bien dans les
matériaux lourds et est
capable de déplacer les
matériaux les plus divers.
 Lame “A”

Cette lame requiert moins

de manœuvres et permet le
refoulement, le déblaiement
ou le déneigement, non
conseillée dans la roche et
les applications difficiles.
“Lame forestière en V”

Cette lame est employée à

l’abattage des arbres, pour
arracher les souches et
dégager la végétation au ras
du sol.
 DIFFERENTES PARTIES D’UN
BULLDOZER

Les deux modes de commande de levage de la lame sont le dispositif hydraulique et le dispositif de
câbles.

La pompe hydraulique du tracteur. Le montage est préférable pour deux raisons :

 Il permet de soulever et d’abaisser la lame lorsque le tracteur n’est pas en mouvement, c'est-à-dire à
moteur débrayé.

 Le bout d’arbre arrière reste disponible pour un quelconque emploi.

En cas de commande par câble, seul le poids de la lame et l’angle de coupe assurent la pénétration.
 POUR CHOISIR LE TYPE DE LAME
CONVENABLE POUR UNE OPÉRATION
DONNÉE, IL FAUT CONNAÎTRE :
Critères de choix de lame  Le type de matériau à déplacer (taille et
forme des particules, homogénéité, teneur en
d’un bulldozer eau)
 Les limitations du tracteur (la capacité de
refoulement d’une machine est fonction de
son poids et de sa puissance).
CARACTÉRISTIQUES À EXAMINER POUR LE CHOIX D’UN
BULLDOZER

Voici quelques caractéristiques à suivre pour le choix d’un bulldozer :

 mode de commande (hydraulique ou à câble)

 emplacement prévu sur le tracteur pour la pompe ou le treuil

 mode de fixation de l’équipement sur le tracteur

 méthode employée pour l’expédition : équipement monté ou non sur le tracteur en usine etc.

 interchangeabilité de plusieurs genres de lames  la barre d’attelage reste – t – elle ou non ?

 amplitude du mouvement vertical de la lame vers le haut et vers le bas

CARACTÉRISTIQUES À EXAMINER POUR LE CHOIX D’UN BULLDOZER

 montage de patins derrière la lame

 type de lame (droite ou courbe)

 éventuellement, amplitude du pivotement ou de l’inclinaison de la lame

 acier employé pour le couteau et le tranchant

 dimensions (diamètre et course) du cylindre des vérins hydrauliques et dimensions des flexibles (pour commande
hydraulique)

 diamètre et largeur du tambour du treuil de commande

 diamètre des poulies de renvoi

 diamètre et longueur du câble employé (pour commande par câble)

CARACTÉRISTIQUES À EXAMINER POUR LE CHOIX D’UN BULLDOZER

 longueur totale tracteur et lame (lame placée à angle droit, pour l’angledozer)

 largeur de la voie du tracteur pour lequel est prévu le bulldozer

 marques et modèles des tracteurs sur lesquels peut être monté l’équipement

 poids de l’engin complet, avec ou sans la pompe ou le treuil de commande

UTILISATION D’UN
BULLDOZER
 UTILISATION D’UN BULLDOZER

Les modèles sur chenilles sont bien adaptés aux travaux en terrains meubles, mais les vitesses de

déplacement étant faibles, ces engins ne sont rentables que sur des déplacements courts (inférieur à

100 m). Les modèles sur roues, sont plus indiqués sur de longues distances, ils sont cependant plus

rares. Le bulldozer est employé sur une grande échelle pour le déboisement, le déchiffrage et le

débroussaillement des terrains vierges.

 UTILISATION D’UN BULLDOZER

Les principaux domaines d’utilisation sont les suivantes :

 travaux de route et de construction

 travaux hydrauliques

 carrières, mines

 usages divers

Quelque soit l’opération, il convient de s’assurer au préalable que le tranchant de la lame est en bon état. Il faut retourner la
lame à temps, recharger le métal due à la soudure électrique et changer le couteau en temps utile. Un défaut d’entretien
réduit non seulement l’efficacité de l’engin, mais il peut encore provoquer des dommages à la lame principale et entraîner
d’importants frais de réparation.
 UTILISATION DU BULLDOZER

Pour assurer un état de bon fonctionnement du bulldozer il faut :

 Eviter les vitesses trop élevées et éviter de heurter un obstacle de plein fouet ;

 Utiliser la boulonnerie appropriée ;

 Serrer les boulons au couple normal et les vérifier régulièrement ;

 Remplacer les bords et embouts avant que l’usure n’entame la partie qui les supporte et n’engendre des coûts élevés ;

 Vérifier souvent toutes les pièces, leur fixation et leur usure ;

 Après environ cent heures de travail, il faut faire la vidange, contrôler les huiles de vérin, nettoyer les filtres à air.
FACTEURS INFLUENÇANT LA STABILITÉ D’UN
BULLDOZER TRAVAILLANT SUR UN TERRAIN
EN PENTE
 FACTEURS INFLUENÇANT LA STABILITÉ D’UN
BULLDOZER TRAVAILLANT SUR UN TERRAIN EN PENTE

Lorsqu’un Bulldozer travaille sur un terrain en pente, certains facteurs influencent sa stabilité. Au nombre de
ceux-ci, on peut citer :

 Sa vitesse de roulement : plus la vitesse est grande, plus les forces d’inertie tendent à réduire la stabilité
du tracteur.
 La nature du sol : Les remblais en terre récemment déposée risquent de s’affaisser sous le poids du
tracteur. Sur une roche dure, le tracteur risque de glisser latéralement.
 Les Charges portées : Si elles sont excessives, elles peuvent occasionner le patinage des chaînes, et
augmenter l’inclinaison du tracteur. En outre, la chaîne la plus basse risque de « creuser » le sol.
 FACTEURS INFLUENÇANT LA STABILITÉ D’UN
BULLDOZER TRAVAILLANT SUR UN TERRAIN EN PENTE

 Les équipements tractés : ces équipements peuvent réduire le poids portant sur la chaîne la plus haute.
Pour une stabilité optimale, tous les équipements tractés doivent être maintenus le plus près possible du
sol.

 La hauteur de la barre d’attelage : avec une barre donnant un attelage plus haut, le tracteur est moins stable
qu’avec la barre normale.

 La largeur des patins : avec des patins plus larges les chaînes risquent moins de « creuser » le sol
et le tracteur est plus stable.
PRODUCTION HORAIRE D’UN
BULLDOZER
PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER

La production horaire du bulldozer s’évalue en deux étapes que sont :

la production horaire théorique et la production horaire réelle ou pratique.

 PRODUCTION HORAIRE D’UN
BULLDOZER

Production horaire théorique

Cette méthode utilise des formules préétablies et tient compte des caractéristiques de l’engin et celles du sol à
déplacer c’est à dire :
 La puissance du tracteur
 Le type et la capacité de la lame
 La durée du cycle
 Les caractéristiques géologiques et géotechniques du sol
 La méthode de travail Le machiniste.
 La distance de mise en charge et de poussage (la distance économique pour le déplacement de matériau est
100m).
PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER

Puissance (KW) Capacité (m3) Distance de transport

(m)

300 – 400 20 250 – 1800

225 – 300 12 140 – 1200

150 – 225 8 100 – 800

100 – 150 6 70 – 600

50 – 100 4 50 – 400

Tableau1 : Puissance, capacité et distance de transport.

 Tracteur Lame Lame Lame en
En calculant la puissance requise et la puissance orienta- droite U (V.cu)
ble (V.cu)
utilisable, on peut évaluer la durée du cycle. La
(V.cu)
capacité de la lame, c’est-à-dire la quantité de
D9 7,3 11,5 17,5
matériau que la lame peut refouler, doit aussi être D8 5,3 8,0 10,8
considéré pour évaluer la production d’un bulldozer. D7 3,8 4,7 -
D6 2,4 2,8 -
Le tableau ci- contre donne les capacités de lames
D4 1,3 1,9 -
pour les différents modèles de bulldozers.

Tableau 2 : Quantité maximale de matériaux

foisonnés refoulés par un bulldozer.
 Ces chiffres doivent être
corrigés pour évaluer la Matériau Coefficient de
quantité de matériau en place. retrait
Le tableau suivant donne le Roche 0,50
coefficient de retrait de Argile humide 0,70
différents matériaux pour le Terre naturelle 0,80
bulldozer. Sable 0,90

Tableau 3 : Coefficient de retrait

 PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER

Connaissant ces facteurs, on peut déterminer la production horaire en m 3 (V.cu) de terre en place.

Production = (Efficience)×(m³/ cycle)

Durée du cycle

Généralement la production horaire théorique se calcule en rendement horaire théorique donné par la formule suivante :

R = Q × nombre de cycle
 PRODUCTION HORAIRE D’UN
BULLDOZER

NB : Il est à retenir que :

 Durée du cycle de l’opération (Dc) o Dc = temps variables + temps fixes

 Temps variables = temps que met l’engin pour le transport chargé + temps de retour à vide.

 Temps fixes = temps de chargement + temps de déchargement.

 Efficience : c’est la durée du travail effective dans une heure. Elle s’exprime en min/h.
 PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER

Production horaire pratique :

Elle peut être déterminée par trois méthodes. La troisième qui est empirique, est la plus facile à
appliquer.
Méthode d’observation
On procède comme suit :
 Chronométrer le travail et mesurer le profil en travers du déblai pour obtenir la production en
volume en place par unité de temps.
 Chronométrer le travail et mesurer le profil en travers du remblai pour obtenir la production en
volume foisonné par unité de temps.
 PRODUCTION HORAIRE D’UN BULLDOZER

Méthode de pesée du volume refoulé par passe.

On fait un chronométrage du travail, et on pèse le volume refoulé puis les charges de godet de la
chargeuse.
Méthode de mesure de la charge de la lame.
Elle consiste en ce qui suit :
 Excaver la charge et la refouler jusqu’à une zone de niveau, puis arrêter.
 Relever la lame directement au-dessus du tas, et avancer légèrement au moment où la lame se relève.
 Marcher en arrière pour se dégager du tas.
 PRODUCTION HORAIRE D’UN
BULLDOZER

 Mesurer la hauteur moyenne (H) du tas.

 Mesurer la largeur moyenne (W) du tas.

 Prendre la mesure de la plus grande longueur (L) du tas.

 Pour calculer la charge de la lame, on procède de la façon suivante :

 Calculer la charge en m3 foisonné = Cf x H x W x L

 Déterminer la charge en m3 en place = m3 foisonné x facteur de chargement.

 Enfin, pour calculer la production horaire pratique, on divise cette charge en m 3 en place, par la durée du cycle.
COUT D’ACHAT ET DE LOCATION
 COUT D’ACHAT ET DE LOCATION

TRACTEURS A CHENILLES
Marques Type Prix hors taxe

FIATALLIS FD20 42.990.481 F CFA

CATERPILLAR D7G 47.487.479 F CFA

CATERPILLAR D7 64.763.600 F CFA
CATERPILLAR D6 3.4250.000F CFA
 COUT D’ACHAT ET DE LOCATION

Le Société du Matériel des Travaux Publics (SMTP) dispose pour les locations des
bulldozers de D7G et D6.

 Pour le D7G, le coût de la location journalière est de 340.560 FCFA hors

carburant, hors conducteur

 Pour le D6, le coût de la location journalière est de 213.840 F CFA, hors

carburant, hors conducteur.
 CONCLUSION

Généralement, la réalisation de tous travaux de BTP fait appel à de nombreux engins mécaniques parmi

lesquels figure le Bulldozer qui est un matériel indispensable des travaux de terrassement. En fonction de son

équipements, il peut être utilisé dans l’exécution de plusieurs tâches à savoir : le nivèlement, le défonçage, le

ripage. Notons que lorsque sa lame peut effectuer des mouvements angulaires, on l’appelle soit angledozer,

soit tiltdozer, tipdozer. Toutefois, l’utilisation des matériels de construction ne permet pas de s’en passer des

efforts manuels.
Merci pour votre attention !