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== Quelques membres ==
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* L'ancien [[Ministère des Affaires étrangères (France)|ministre des Affaires étrangères]] et [[député]] des [[Hautes-Alpes]] [[Émile Flourens]].
* [[Émile Flourens]], ancien [[Ministère des Affaires étrangères (France)|ministre des Affaires étrangères]] et [[député]] des [[Hautes-Alpes]].
* Les commandants [[Louis Cuignet|Cuignet]] et [[Émile Driant|Driant]].
* Les commandants [[Louis Cuignet|Cuignet]] et [[Émile Driant|Driant]].
* [[Maurice Talmeyr]], [[journaliste]] et [[écrivain]]<ref>Bruno Clemenceau, {{lien brisé|url=http://cahmc.u-bordeaux3.fr/clem.pdf |titre=« La République, c'est la franc-maçonnerie » }} {{pdf}}.</ref>.
* [[Maurice Talmeyr]], [[journaliste]] et [[écrivain]]<ref>Bruno Clemenceau, {{lien brisé|url=http://cahmc.u-bordeaux3.fr/clem.pdf |titre=« La République, c'est la franc-maçonnerie » }} {{pdf}}.</ref>.
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[[Catégorie:Association antimaçonnique]]
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[[Catégorie:Ancienne association ou organisme politique d’extrême droite en France]]
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[[Catégorie:Organisme fondé en 1906]]
[[Catégorie:Organisme fondé en 1906]]
[[Catégorie:Association ou organisme fondé sous la Troisième République]]
[[Catégorie:Association ou organisme fondé sous la Troisième République]]
[[Catégorie:Anti-maçonnerie en France]]

Dernière version du 13 juin 2022 à 16:31

Ligue française antimaçonnique

Cadre
Zone d’influence France
Fondation
Fondation 1906
Fondateur Paul Copin-Albancelli
Identité

La Ligue française antimaçonnique est une association antimaçonnique française fondée en 1906 et animée par Paul Copin-Albancelli.

Elle est issue de la fusion de l'Union française antimaçonnique (dirigée par Copin-Albancelli) et deux ligues créées après l'affaire des fiches par Émile Driant : la Ligue antimaçonnique, ne comprenant que des hommes, et la Ligue de Jeanne d'Arc, réservée aux femmes. Ces deux ligues étaient en fait des sociétés secrètes, avec initiation, signes spéciaux et mots de reconnaissance. La nouvelle entité prendra alors le nom de Ligue française antimaçonnique[1].

Elle éclate en 1910 et Copin-Albancelli fonde la Ligue de défense nationale contre la franc-maçonnerie[2] qui prend le contrôle du journal la Bastille. Assisté de Flavien Brenier, le commandant Louis Cuignet prend la présidence de la Ligue française antimaçonnique et en dirige la Revue antimaçonnique jusqu'en 1912.

Quelques membres

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Notes et références

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  1. « Les sociétés secrètes catholiques » (version du sur Internet Archive).
  2. « Maçonnerie et antimaçonnisme : de l'énigme à la dénonciation », revue Politica Hermetica no 4, 1990, p. 38 [lire en ligne].
  3. Bruno Clemenceau, « La République, c'est la franc-maçonnerie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF].