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À la mort de [[Marcel Dassault]] en 1986, Franc, qui ne travaille plus pour ''Pilote'' depuis l'année précédente, se consacre dans ''(À suivre)'' à la bande dessinée politique : ''Cohabitation'' en 1986-1988, ''Le Journal de présidentielles'' en 1988, l'éphémère ''Succession'' en 1989. L'auteur abandonne tout travail formel recherché pour privilégier l'efficacité. |
À la mort de [[Marcel Dassault]] en 1986, Franc, qui ne travaille plus pour ''Pilote'' depuis l'année précédente, se consacre dans ''(À suivre)'' à la bande dessinée politique : ''Cohabitation'' en 1986-1988, ''Le Journal de présidentielles'' en 1988, l'éphémère ''Succession'' en 1989. L'auteur abandonne tout travail formel recherché pour privilégier l'efficacité. |
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=== Diversification et éloignement de la bande dessinée === |
=== Diversification vers le cinéma et éloignement de la bande dessinée === |
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Dès le début des années 1980, Régis Franc, commence à diversifier ses activités. Passionné de [[cinéma]], il co-scénarise deux films de [[Danièle Dubroux]], puis en réalise lui-même un en 1989, présenté à [[Festival de Cannes|Cannes]] en 1990 dans la sélection « Perspectives du cinéma français » sous le nom ''Toutes les femmes se ressemblent'' puis sorti en salle en janvier 1991 sous le nom ''[[Mauvaise Fille (film, 1991)|Mauvaise fille]]''. Sans être mauvaise, la critique n'est cependant pas conquise<ref>[[Jacques Siclier]], « Mauvaise fille », dans ''[[Le Monde]]'', 27 janvier 1991</ref>. L'expérience est un échec relatif, et Franc revient à la bande dessinée, publiant dans ''(À suivre)'' de 1991 à 1993, ''[[Taty, Princesse de Neuilly]]'', où la femme de Marcel et son neveu [[beat Generation|beatnik]] servent dorénavant de support à la critique sociale. De 1994 à la fin des années 1990, il publie ensuite ses bandes dessinées dans ''[[Elle (magazine)|Elle]]''. |
Dès le début des années 1980, Régis Franc, commence à diversifier ses activités. Passionné de [[cinéma]], il co-scénarise deux films de [[Danièle Dubroux]], puis en réalise lui-même un en 1989, présenté à [[Festival de Cannes|Cannes]] en 1990 dans la sélection « Perspectives du cinéma français » sous le nom ''Toutes les femmes se ressemblent'' puis sorti en salle en janvier 1991 sous le nom ''[[Mauvaise Fille (film, 1991)|Mauvaise fille]]''. Sans être mauvaise, la critique n'est cependant pas conquise<ref>[[Jacques Siclier]], « Mauvaise fille », dans ''[[Le Monde]]'', 27 janvier 1991</ref>. L'expérience est un échec relatif, et Franc revient à la bande dessinée, publiant dans ''(À suivre)'' de 1991 à 1993, ''[[Taty, Princesse de Neuilly]]'', où la femme de Marcel et son neveu [[beat Generation|beatnik]] servent dorénavant de support à la critique sociale. De 1994 à la fin des années 1990, il publie ensuite ses bandes dessinées dans ''[[Elle (magazine)|Elle]]''. |
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=== Régis Franc écrivain === |
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Revenant en 2000 au cinéma pour le scénario de ''[[Trois huit (film)|Trois Huit]]'', il abandonne la bande dessinée et se consacre à l'écriture. Son premier roman, ''Du beau linge'', paraît en 2001. |
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Sous l'impulsion de [[Paul Otchakovsky-Laurens]], il décide en 1999 de se consacrer à l'écriture<ref bame=cosnard2022>{{Lien web|auteur=Denis Cosnard |site=[[lemonde.fr]] |date=2023.11-5 |titre=Régis Franc : « Je n’arrive pas à me réjouir de quoi que ce soit » |url=https://www.lemonde.fr/livres/article/2023/11/05/regis-franc-je-n-arrive-pas-a-me-rejouir-de-quoi-que-ce-soit_6198332_3260.html}}.</ref>. Après un dernier scénario de cinéma en 2000 (''[[Trois huit (film)|Trois Huit]]''), il livre en 2001 son premier roman, ''Du beau linge'' ([[Éditions Robert Laffont|Robert Laffont]]). Suivent ''Une blonde blessée qui par un soir d'été'' ([[éditions Julliard|Julliard]], 2004), ''Ceux qui m'attendent'' ([[Éditions Balland|Balland]], 2007), ''Un grand oiseau blanc avec une chemise'' ([[Éditions Fayard]], 2011), ''London Prisoner : Scènes de la vie d'un Français à Londres'' (Fayard, 2012), ''Jamais les papillons ne voyagent'' (Fayard, 2014). |
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En 2022, il livre aux [[Presses de la Cité]] « un livre émouvant et superbe mêlant texte, bande dessinée, fusain, peinture et photo<ref bame=cosnard2022>{{Lien web|auteur=Denis Cosnard |site=[[lemonde.fr]] |date=2022-10-27 |titre=Régis Franc croque un siècle de vies à la ferme |url=https://www.lemonde.fr/livres/article/2022/10/01/la-mort-de-spirou-la-ferme-de-montaquoy-shibumi-toonzie-nos-choix-de-bd_6143913_3260.html}}.</ref> » : ''La Ferme de Montaquoy'', consacré à la ferme de sa belle-famille. L'année suivante, poursuivant dans cette veine autobiographique, il revient sur la vie de ses parents dans le texte ''Je vais bien'' (Presses de la Cité), sur lequel il travaillait depuis 2014 et le décès de son père<ref name=cosnard2023 />. |
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== Régis Franc, « chroniqueur d'une société immobile » == |
== Régis Franc, « chroniqueur d'une société immobile » == |
Version du 6 novembre 2023 à 07:03
Régis Franc (né à Lézignan-Corbières le ) est un auteur de bande dessinée, cinéaste et écrivain français.
Révélé par ses bandes dessinées au milieu des années 1970 dès ses premières publication dans Charlie Mensuel et Pilote, il acquiert une assez large audience à la fin des années 1970 avec le strip quotidien Le Café de la plage publié dans Le Matin de Paris.
Dans les années 1980, il fait les beaux jours d'(À suivre) avec des séries mettant en scène la vie politique des années Mitterrand. Il délaisse peu à peu la bande dessinée à partir du milieu des années 1990 pour se consacrer à l'écriture et au cinéma. Pour Patrick Gaumer, c'est un « conteur hors pair »[1].
Biographie
Des débuts rapides
Sachant dessiner dès son plus jeune âge, mais avant tout passionné par l'écriture, le cinéma et l'humour en général[2], Régis Franc s'oriente tout d'abord, après un baccalauréat technique[3], vers la publicité et dirige, de 1972 à 1975, une agence de communication parisienne[4]. Désireux de changer de milieu et, surtout, de moins travailler, il décide de se lancer dans la bande dessinée en 1975[5], en publiant une nouvelle dans Pilote puis des bandes dessinées dans cette revue ainsi que Charlie Mensuel.
L'originalité de son graphisme, très dépouillé et efficace, comme de sa narration, qui joue sur les lectures parallèles (plusieurs fils narratifs se suivent dans les cases) de sa mise en scène (les personnages, animaux anthropomorphiques, évoluent dans des décors fixes, comme au théâtre[6]) et de ses thèmes (il privilégie la critique sociale douce ou les « tranches de vie » montrant des personnages solitaires et désabusés à une époque où la majorité des jeunes auteurs présentent de la science-fiction ou des bandes dessinées post-soixante-huitardes sans originalité[7]), cette originalité, donc, le fait très rapidement remarquer et il devient, dès 1976, un auteur régulier du Pilote de Guy Vidal. Il est, en 1978, « une des révélations [des] deux dernières années »[8].
Lorsque Le Matin de Paris est lancé en 1977, ses dirigeants font appel à Régis Franc pour réaliser un « strip » quotidien ; celui-ci, désireux de toucher un public plus large que celui des gros lecteurs de bande dessinée, accepte sans hésiter[9]. Le Café de la plage, que l'auteur réalise tout en continuant à publier abondamment dans Pilote, lui permet de s'essayer à ce nouveau mode narratif – le « strip » –, tout en conservant les caractéristiques habituelles de ses travaux (malgré le format, les histoires offrent une double narration). Très à la mode tout à la fin des années 1970, Franc plaît au public parisien cultivé, voire « snob » par ses références ironiques à la littérature (Proust, Fitzgerald), son originalité narrative[10] et son ton distancié. Cette originalité tend cependant à décliner au fil du temps, et Franc va quitter l'expérimentation pour des formes narratives comme génériques plus balisées[11].
Les années 1980 : Régis Franc, pilier d'(À suivre)
Il rejoint en 1981 la revue (À suivre), où il crée, lors de la nationalisation du groupe industriel Marcel Dassault, Tonton Marcel au travers duquel il fustige les travers égomaniaques des grands dirigeants. D'une forme plus classique (gaufrier régulier, narration à un seul niveau, seul l'anthropomorphisme et le dépouillement persistent), cette série confirme la volonté de Franc de continuer à créer des bandes dessinées proches de l'actualité.
À la mort de Marcel Dassault en 1986, Franc, qui ne travaille plus pour Pilote depuis l'année précédente, se consacre dans (À suivre) à la bande dessinée politique : Cohabitation en 1986-1988, Le Journal de présidentielles en 1988, l'éphémère Succession en 1989. L'auteur abandonne tout travail formel recherché pour privilégier l'efficacité.
Diversification vers le cinéma et éloignement de la bande dessinée
Dès le début des années 1980, Régis Franc, commence à diversifier ses activités. Passionné de cinéma, il co-scénarise deux films de Danièle Dubroux, puis en réalise lui-même un en 1989, présenté à Cannes en 1990 dans la sélection « Perspectives du cinéma français » sous le nom Toutes les femmes se ressemblent puis sorti en salle en janvier 1991 sous le nom Mauvaise fille. Sans être mauvaise, la critique n'est cependant pas conquise[12]. L'expérience est un échec relatif, et Franc revient à la bande dessinée, publiant dans (À suivre) de 1991 à 1993, Taty, Princesse de Neuilly, où la femme de Marcel et son neveu beatnik servent dorénavant de support à la critique sociale. De 1994 à la fin des années 1990, il publie ensuite ses bandes dessinées dans Elle.
Régis Franc écrivain
Sous l'impulsion de Paul Otchakovsky-Laurens, il décide en 1999 de se consacrer à l'écritureErreur de référence : Paramètre invalide dans la balise <ref>
. Après un dernier scénario de cinéma en 2000 (Trois Huit), il livre en 2001 son premier roman, Du beau linge (Robert Laffont). Suivent Une blonde blessée qui par un soir d'été (Julliard, 2004), Ceux qui m'attendent (Balland, 2007), Un grand oiseau blanc avec une chemise (Éditions Fayard, 2011), London Prisoner : Scènes de la vie d'un Français à Londres (Fayard, 2012), Jamais les papillons ne voyagent (Fayard, 2014).
En 2022, il livre aux Presses de la Cité « un livre émouvant et superbe mêlant texte, bande dessinée, fusain, peinture et photoErreur de référence : Paramètre invalide dans la balise <ref>
» : La Ferme de Montaquoy, consacré à la ferme de sa belle-famille. L'année suivante, poursuivant dans cette veine autobiographique, il revient sur la vie de ses parents dans le texte Je vais bien (Presses de la Cité), sur lequel il travaillait depuis 2014 et le décès de son père[13].
Régis Franc, « chroniqueur d'une société immobile »
Les récits de Franc publiés dans Pilote et Le Matin (1975-1985) se distinguent de la bande dessinée d'alors par une saturation de références directes (personnages, textes des bulles) ou indirectes (multiplicité des points de vue empruntée au roman-fleuve de l'entre-deux-guerres) prises hors du champ de la bande dessinée (peinture, littérature, cinéma), et qui dépassent la simple valeur humoristique de la parodie pour servir « à des fins narratives extrêmement élaborées »[14] : comme chez Flaubert, la saturation de détails fait oublier la structure globale du récit et naître une impression d'enlisement, de vanité profonde — la difficulté d'être est mise au jour[15]. Cet écrasement des personnages est marqué, notamment, par l'absence de chute de ces histoires et par la profusion des phylactères, qui vont jusqu'à envahir l'espace[14], ou par l'impossibilité de lire de manière satisfaisante des récits où différents niveaux narratifs sont présents sans hiérarchisation à l'intérieur de chaque case[11].
Œuvre
Bandes dessinées
Dans des périodiques
- Illustrations et nouvelles dans Pilote, 1975-1985[16]
- 85 récits courts dans Pilote, Dargaud, 1976-1985
- Récits courts, gags et illustrations dans Charlie Mensuel, 1976-1980, 1984
- Le Voyage, dans Charlie Mensuel, Éditions du Square, 1976
- Trois récits courts dans L'Écho des savanes, 1976 et 1980
- 996 strips du Café de la plage, dans Le Matin de Paris, 1977-1980
- Cinq récits courts de Gontran et Julot, automobiliste, dans Pilote, 1978-1979
- Cette nuit fut la plus douce, dans Pilote, 1980
- 51 récits courts de Tonton Marcel, dans (À suivre), 1981-1986[Note 1]
- Récits courts et illustrations dans (À suivre), entre 1981 et 1992
- Six récits courts d’Eden-cinéma, dans Première, 1981-1982
- 11 récits courts de Cohabitation, dans (À suivre) 1986-1988
- 5 récits courts du Journal des présidentielles, dans (À suivre), 1988
- 22 récits courts de Taty, Princesse de Neuilly, dans (À suivre), 1991-1993
- Récits courts dans Elle à partir de 1994.
Albums
- Le Café de la plage, Le Matin de Paris, 1977
- Monroe stress, Le Matin, 1978
- Rose à l'arête, Le Matin, 1979
- L'Arrivée, L'auteur, 1980
- L'Arrivée 2, L'auteur, 1981
- Nouvelles histoires, Dargaud, coll. « Pilote », 1978
- Souvenirs d'un menteur, Dargaud, 1979
- Nuits de Chine, Dargaud, 1982
- Sunset Corridor, 1983, édition Dargaud
- Tonton Marcel, Casterman, coll. « Les Romans (À suivre) » :
- Tonton Marcel, capitaine d'industrie, 1983
- Tonton Marcel, génie du siècle, 1985
- Tonton Marcel, roi de l'opposition, 1986
- Le Marchand d'opium, Dargaud, 1984
- Cohabitation, Casterman, 1987
- Bonjour ma chérie, Casterman, 1988
- Le Café de la plage (édition intégrale), Casterman, 1989
- Marius & Olive, Casterman, 1991
- Taty, princesse de Neuilly, Casterman, 1993
- Fin de siècle - La bande dessinée de Elle, Filipacchi, 1998
- La Ferme de Montaquoy : Qui court la campagne trouve le chemin, Presses de la Cité, coll. « La Cité graphique », 2022 (ISBN 978-2-258-19993-4). Cet ouvrage alterne bande dessinée, texte illustré et photographies[18].
Littérature
- Du beau linge, Robert Laffont, 2001 (ISBN 2-221-09324-0).
- Une blonde blessée qui par un soir d'été, éditions Julliard, 2004 (ISBN 2-260-01654-5).
- Ceux qui m'attendent, Éditions Balland, 2007 (ISBN 978-2-35315-041-0).
- Un grand oiseau blanc avec une chemise, Éditions Fayard, 2011 (ISBN 978-2-213-65612-0).
- London Prisoner : Scènes de la vie d'un Français à Londres, Éditions Fayard, 2012 (ISBN 978-2-213-65611-3).
- Jamais les papillons ne voyagent, Fayard, 2014 (ISBN 978-2-213-68139-9).
- Je vais bien, Presses de la Cité, 2023 (ISBN 978-2-258-19995-8).
Cinéma
- 1984 : Les Amants terribles en tant que co-scénariste avec Danièle Dubroux (réalisatrice)
- 1987 : La Petite Allumeuse en tant que co-scénariste avec Danièle Dubroux
- 1991 : Mauvaise fille (présenté à Cannes en 1990 sous le nom Toutes les femmes se ressemblent) en tant que réalisateur
- 1993 : Le Silence de l'été en tant qu'acteur
- 2001 : Trois Huit en tant que co-scénariste avec Olivier Dazat et Philippe Le Guay
Musique
- La Fosse, opéra-bouffe d'Un drame musical instantané en tant que librettiste (in cd L'Hallali), 1987
Prix
- 1977 : Prix du meilleur espoir du festival d'Angoulême[19]
- 2015 : Prix Mottart de l'Académie française pour Jamais les papillons ne voyagent[20]
Notes et références
Notes
- Ainsi qu'une histoire en 1997 pour le dernier numéro. BDoubliées.
Références
- Gaumer (2004), p. 309.
- Franc (1978), p. 9.
- Franc (1984), p. 6.
- Sauf précisions, pour toute la biographie, la référence principale est Gaumer (2004)
- Franc (1978), p. 3.
- Léturgie (1978), p. 5.
- Franc et Léturgie (1978), p. 4-6.
- Léturgie (1978), p. 3.
- Franc (1978), p. 4.
- Numa Sadoul, « Le Numa-Numa frappeur », dans Schtroumpfanzine no 16, janvier 1978, p. 15.
- Peeters (1984), p. 26.
- Jacques Siclier, « Mauvaise fille », dans Le Monde, 27 janvier 1991
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- Dellisse (1984), p. 13.
- Dellisse (1984).
- Pour cette sous-partie : BDOubliees ; Groensteen, Marmonnier, Niffle et Van Cauwenbergh (1984).
- Francis Lambert, « Régis Franc : Histoire immobiles et Récits inachevés », (À suivre), no 1, , p. 99-101.
- Erreur de référence : Balise
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incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nomméescosnard2022
- Thierry Groensteen et collectif, Primé à Angoulême : 30 ans de bande dessinée à travers le palmarès du festival, Angoulême, Éditions de l'An 2, , 103 p. (ISBN 2-84856-003-7).
- Voir sur academie-francaise.fr.
Annexes
Bibliographie
Articles de revues, dictionnaires, collectifs
- Luc Dellisse, « Une duplicité stratégique », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 57, , p. 11-13
- Patrick Gaumer, « Régis Franc », dans le Larousse de la BD, Larousse, Paris, 2004
- Benoît Peeters, « Une Exploration interrompue », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 57, , p. 24-26
Dossiers
- « Dossier Régis Franc », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 57, , p. 6-36
Interviews
- Régis Franc (int. Jean Léturgie), « Régis Franc », dans Schtroumpfanzine no 15, , p. 3-10
- Régis Franc (int. Thierry Groensteen), « Entretien avec Régis Franc », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 57, , p. 6-10
Bibliographies de ses ouvrages
- Régis Franc sur le site BDoubliées
- Michel Béra, Michel Denni, Philippe Mellot, BDM Trésors de la bande dessinée, Éditions de l'Amateur, Paris, 2004
- Thierry Groensteen, Christian Marmonnier, Frédéric Niffle et Franz Van Cauwenbergh, « Bibliographie de Régis Franc », dans Les Cahiers de la bande dessinée no 57, , p. 35-36 et 97
Liens externes
- Ressources relatives à la bande dessinée :
- Ressource relative à la littérature :
- Ressource relative aux beaux-arts :
- (de + en) Artists of the World Online
- Ressource relative à l'audiovisuel :
- (en) IMDb