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Le 11 janvier 2024, elle devient [[Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse (France)|ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse]] au sein du [[gouvernement Gabriel Attal]], tout en conservant son portefeuille de [[Ministère des Sports (France)|ministre des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Remaniement : un hyperministère avec l’Éducation et les sports pour Amélie Oudéa-Castéra |url=https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/education-et-sports-un-hyper-ministere-pour-amelie-oudea-castera-2045870 |site=Les Échos |date=2024-01-11 |consulté le=2024-01-11}}.</ref>.
Le 11 janvier 2024, elle devient [[Ministère de l'Éducation nationale et de la Jeunesse (France)|ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse]] au sein du [[gouvernement Gabriel Attal]], tout en conservant son portefeuille de [[Ministère des Sports (France)|ministre des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques]]<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Remaniement : un hyperministère avec l’Éducation et les sports pour Amélie Oudéa-Castéra |url=https://www.lesechos.fr/politique-societe/societe/education-et-sports-un-hyper-ministere-pour-amelie-oudea-castera-2045870 |site=Les Échos |date=2024-01-11 |consulté le=2024-01-11}}.</ref>.


Le lendemain, le journal [[Mediapart]] identifie un possible [[conflit d'intérêts]] en révélant que les trois enfants de la ministre sont scolarisés au collège [[Collège Stanislas (Paris)|Stanislas]], établissement privé catholique<ref>{{Lien web |langue=fr |prénom=Mathilde Goanec, David Perrotin, Ilyes |nom=Ramdani |titre=La ministre de l’éducation a choisi un établissement privé ultra réac pour ses enfants |url=https://www.mediapart.fr/journal/politique/120124/la-ministre-de-l-education-choisi-un-etablissement-prive-ultra-reac-pour-ses-enfants |site=Mediapart |date=2024-01-12 |consulté le=2024-01-12}}.</ref> car l' établissement fait l'objet d'une enquête administrative lancée en {{Date|2=mai|3=2023}}. Plusieurs titres de presse ont mis en cause la vision sexiste, homophobe et autoritaire de l'enseignement qui y est prodigué<ref>{{Lien web |langue=fr|titre=Lycée Stanislas : le ministère ouvre une enquête après des accusations d’homophobie et sexisme |url=https://www.leparisien.fr/paris-75/lycee-stanislas-le-ministere-ouvre-une-enquete-apres-des-accusations-dhomophobie-et-sexisme-09-05-2023-VHW3RU6NDZDNVJ3AHDSQYPE2BI.php |site=leparisien.fr |date=2023-05-09 |consulté le=2024-01-12}}.</ref>. La ministre déclare y avoir mis son fils aîné du fait de nombreuses absences dans le public{<ref name=>Article par ''[[Les Echos]]'' le 13 janv. 2024 [https://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/absences-de-professeurs-amelie-oudea-castera-attise-la-colere-des-syndicats-denseignants-2046156] </ref>{{,}}<ref name="cbpm"/> mais l'enseignante de celui-ci en petite section de maternelle affirme n'avoir jamais été absente<ref name="cbpm"/>, le motif réel étant selon elle de sauter une classe<ref name=>Article par Damien Renoulet le 15/01/2024 sur ''[[RTL]]'' [https://www.rtl.fr/actu/politique/oudea-castera-selon-liberation-la-ministre-aurait-menti-sur-la-scolarisation-de-ses-enfants-dans-le-prive-7900341246] </ref>{{,}}<ref name="">Article par Guillaume Descours et Caroline Philippe, le 15/01/2024 sur ''[[RMC]]'' [https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/education/on-souhaite-des-excuses-la-rencontre-entre-les-syndicats-et-amelie-oudea-castera-s-annonce-delicate_AV-202401150206.html] </ref> {{,}}<ref name="cbpm"/>{{,}}<ref name=>" Amélie Oudéa-Castéra : la version d’une ancienne prof de son fils qui dément celle de la ministre" par l'AFP le 15 Janvier 2024 dans ''[[La Voix du Nord]]'' [https://www.lavoixdunord.fr/1418894/article/2024-01-15/amelie-oudea-castera-la-version-d-une-ancienne-prof-de-son-fils-qui-dement-celle] </ref>. Plusieurs parents d'élèves de la même classe, sans lien avec la ministre, affirment que les remplacements étaient faits<ref name="cbpm">{{Lien web |langue=fr |prénom=Cécile |nom=Bourgneuf |prénom2=Pauline |nom2=Moullot |titre=La défense d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants fragilisée par l’ancienne institutrice de son fils |url=https://www.liberation.fr/societe/education/la-defense-damelie-oudea-castera-sur-la-scolarisation-de-ses-enfants-fragilisee-par-lancienne-institutrice-de-son-fils-20240114_N6FZBCOSOBCNPPS3J5EYLYE7WM/ |site=[[Libération (journal)|Libération]] |consulté le=2024-01-15}}</ref>. Malgré les déclarations de la professeure, la ministre maintient la version des absences d'enseignants pour justifier le passage d'un établissement public à un établissement privé<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |titre=Amélie Oudéa-Castéra : l'ancienne institutrice de son fils affirme n'avoir jamais été absente, la ministre maintient sa version |url=https://www.francetvinfo.fr/sports/amelie-oudea-castera/enfants-d-amelie-oudea-castera-scolarises-dans-le-prive-l-ancienne-institutrice-de-son-fils-affirme-n-avoir-jamais-ete-absente_6304461.html |site=Franceinfo |date=2024-01-15 |consulté le=2024-01-15}}</ref>.
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Les syndicats d'enseignants protestent contre les propos de la ministre jugés provocateurs<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Indignation des syndicats après les propos d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants dans le privé |url=https://www.tf1info.fr/politique/indignation-des-syndicats-apres-les-propos-de-la-ministre-de-l-education-nationale-d-amelie-oudea-castera-sur-la-scolarisation-de-ses-enfants-dans-le-prive-2282541.html |site=TF1 INFO |date=2024-01-13 |consulté le=2024-01-14}}</ref>.
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== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 15 janvier 2024 à 16:52

Amélie Oudéa-Castéra
Illustration.
Amélie Oudéa-Castéra en 2017.
Fonctions
Ministre de l'Éducation nationale de la Jeunesse, des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques
En fonction depuis le
(11 mois et 3 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Gabriel Attal
Gouvernement Attal
Prédécesseur Gabriel Attal (Éducation nationale)
Elle-même (Sports)
Ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques

(1 an, 7 mois et 22 jours)
Président Emmanuel Macron
Premier ministre Élisabeth Borne
Gouvernement Borne
Prédécesseur Roxana Maracineanu (ministre déléguée)
Successeur Elle-même
Biographie
Nom de naissance Amélie Claire Castéra
Date de naissance (46 ans)
Lieu de naissance Paris 14e (France)
Nationalité Française
Parti politique RE
Conjoint Gustavo Kuerten (1997)
Frédéric Oudéa (depuis 2006)
Famille Patrice Duhamel (oncle)
Alain Duhamel (oncle)
Diplômée de Université Panthéon-Sorbonne
IEP de Paris
ESSEC
ENA
Profession Haute fonctionnaire
Ministres français des Sports

Amélie Oudéa-Castéra, née Amélie Castéra le dans le 14e arrondissement de Paris, est une haute fonctionnaire et administratrice de société française, magistrate à la Cour des comptes puis directrice générale de la Fédération française de tennis. Elle a eu durant son adolescence un début de carrière de joueuse de tennis professionnelle.

Le , elle est nommée ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques dans le gouvernement Élisabeth Borne. Le , elle est nommée ministre de l'Éducation nationale et conserve également le ministère des Sports qu'elle administre depuis mai 2022.

Biographie

Famille

Amélie Claire Castéra naît le dans le 14e arrondissement de Paris du mariage de Richard Castéra, directeur de Publicis et haut fonctionnaire, et de Dominique Duhamel, directrice des ressources humaines[1],[2]. Elle est la nièce du médecin Jean-François Duhamel, des journalistes politiques Alain et Patrice Duhamel[3] et Nathalie Saint-Cricq[4].

Le , elle épouse Frédéric Oudéa, futur président-directeur général de la Société générale puis de Sanofi. De ce mariage naissent trois garçons[2],[5].

Début de carrière sportive

Durant son adolescence, Amélie Castéra a gagné en 1992 le tournoi de l'Orange Bowl. Elle a joué à Roland-Garros, en Australie, à Wimbledon, à l'US Open, contre Martina Hingis, et Lindsay Davenport. Elle atteint pour meilleur classement une 251e place en simple le 8 mai 1995. Elle met un terme à sa carrière en afin de se consacrer à ses études et alors qu'elle n'obtient pas une qualification espérée[6].

Formation

Après des études au lycée Victor-Duruy (Paris, 7e) puis au lycée Jean-de-La-Fontaine (Paris, 16e) elle poursuit des études supérieures à Paris. Elle obtient une maîtrise en droit à l'université Panthéon-Sorbonne ; elle est diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris qu'elle intègre en 1996[7][source insuffisante] et de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC)[2][réf. à confirmer].

Carrière professionnelle

Ancienne élève de la promotion Léopold-Sédar-Senghor de l'École nationale d'administration (au même titre qu'Emmanuel Macron)[8],[9], Amélie Castéra est nommée en 2004 à la Cour des comptes[10],[11],[12]. Elle y exerce notamment les fonctions de rapporteur près la CDBF[13]. Conformément à son ancienneté, elle est promue auditrice de 1re classe en [14] puis conseillère référendaire en [15][source secondaire nécessaire].

En 2008, elle quitte la Cour des comptes pour être nommée chargée de mission auprès du directeur général du groupe Axa[12]. Elle restera fonctionnaire en disponibilité, membre du corps des magistrats de la Cour des comptes, jusqu’à sa démission le [16][source secondaire nécessaire]. La même année, elle intègre le cercle des « Young Leaders » de la French-American Foundation-France[17].[pertinence contestée] Elle évolue au sein du groupe Axa, où elle devient en 2010 directrice de la planification stratégique, puis en 2011 directrice marketing, marque, service et digital d'Axa France[2].

En 2009, elle est nommée au conseil d'administration du Centre national pour le développement du sport [18],[12].

En 2018, investie dans l'association « Sport dans la ville »[19], elle est cofondatrice[20] et présidente de l'association « Rénovons le sport français »[21]. Elle est alors pressentie pour devenir directrice générale de l'Agence nationale du sport, présidée par le conseiller-maître à la Cour des comptes Jean Castex[12], mais elle décline la proposition[22],[23] et rejoint le groupe Carrefour en tant qu’administratrice en . Après dix ans de disponbilité, elle démissionne alors de la fonction publique[16][source secondaire nécessaire]. En , elle est nommée directrice e-commerce, data et transformation digitale du groupe[24]. Elle perçoit alors une rémunération de 1,4 million euros par an[25].

En , elle est nommée présidente du Comité d'audit de Paris 2024[26], poste auquel elle est remplacée le par Patricia Langrand[27].[source secondaire nécessaire]

Personnalité de l'écosystème du commerce en ligne[28], Amélie Oudéa-Castéra est élue « Femme du digital 2020 »[29].

Amélie Oudéa-Castéra est membre de l'association « Ensemble pour un autre tennis », liste d'opposition soutenue par Gilles Moretton, candidat au poste de président de la Fédération française de tennis (FFT)[30].[source secondaire nécessaire] Gilles Moretton ayant été élu président de la FFT le , Amélie Oudéa-Castera est nommée directrice générale le , en remplacement de Jean-François Vilotte[1],[31]. Elle souhaite notamment faire vivre le stade Roland-Garros toute l'année[3]. Elle perçoit une rémunération de 35 000 euros nets par mois[32].

Amélie Oudéa-Castéra est administratrice de la société française Plastic Omnium depuis 2014[33] et de la société d'investissement Eurazeo depuis 2018[34].[source secondaire nécessaire]

Parcours politique

Ministère des Sports

En , son nom circule pour entrer au gouvernement, comme ministre des Sports[35],[36] puis de nouveau en 2018, en remplacement de Laura Flessel[37]. Il réapparaît en 2022 après la réélection d'Emmanuel Macron[38],[39].

Le , elle est nommée ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques au sein du gouvernement Élisabeth Borne[40].

Son mandat de ministre est marqué par d'importantes polémiques et de nombreuses affaires qui touchent les hautes sphères du sport français, que ce soit dans le football avec la FFF (les affaires Noël Le Graët), le rugby avec la FFR (l'affaire Laporte-Altrad) et le Comité d'organisation de la Coupe du monde de rugby France 2023 (les affaires Claude Atcher), ainsi que les Jeux Olympiques avec le CNOSF (diverses polémiques autour de la présidence occupée par Brigitte Henriques)[41] ou encore le tennis avec la FFT (le président Gilles Moretton accusé de corruption et détournement de biens publics, plainte depuis classée sans suite). La ministre a notamment incité au départ des dirigeants incriminés de la FFF et de la FFR[42]. Cela se produit le 27 janvier 2023 pour Bernard Laporte[43] et le 28 février 2023 pour Noël Le Graët[44]. En décembre 2022, Médiapart révèle qu’elle percevait plus de 35 000 euros nets par mois du temps où elle était directrice générale de la FFT[45], autant que chez Carrefour, alors que la ministre avait parlé d'une rémunération trois fois inférieure[45].

Ministère de l'Éducation nationale, de la Jeunesse, des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques

Le 11 janvier 2024, elle devient ministre de l'Éducation nationale et de la Jeunesse au sein du gouvernement Gabriel Attal, tout en conservant son portefeuille de ministre des Sports, des Jeux olympiques et paralympiques[46].

Le lendemain, le journal Mediapart identifie un possible conflit d'intérêts en révélant que les trois enfants de la ministre sont scolarisés au collège Stanislas, établissement privé catholique[47] car l' établissement fait l'objet d'une enquête administrative lancée en . Plusieurs titres de presse ont mis en cause la vision sexiste, homophobe et autoritaire de l'enseignement qui y est prodigué[48]. La ministre déclare y avoir mis son fils aîné du fait de nombreuses absences dans le public[49],[50] mais l'enseignante de celui-ci en petite section de maternelle affirme n'avoir jamais été absente[50], le motif réel étant selon elle de sauter une classe[51],[52] ,[50],[53]. Plusieurs parents d'élèves de la même classe, sans lien avec la ministre, affirment que les remplacements étaient faits[50]. Malgré les déclarations de la professeure, la ministre maintient la version des absences d'enseignants pour justifier le passage d'un établissement public à un établissement privé[54].

Les syndicats d'enseignants protestent contre les propos de la ministre jugés provocateurs[55] car constituant selon eux « une déstabilisation » de l'école publique[56].

Notes et références

  1. a et b Robin Richardot, « Qui est Amélie Oudéa-Castéra, la directrice générale du tennis français », sur Le Monde, (consulté le )
  2. a b c et d Who's Who in France, édition 2015, p. 1707.
  3. a et b Philippe Bertrand, « Roland-Garros 2021 : Amélie Oudéa-Castera monte au filet », sur Les Échos, (consulté le )
  4. Camille Sánchez, « Nathalie Saint-Cricq : son étonnant lien de parenté avec une ministre d’Élisabeth Borne », sur aufeminin.com, (consulté le ).
  5. Éric Collier et Nicolas Lepeltier, « Amélie Oudéa-Castéra, une ministre des sports très affairée », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  6. Sophie Dorgan, « Amélie Oudéa-Castera « AOC » dans son domaine », L'Équipe,‎ , p. 31.
  7. « Amélie Oudéa-Castéra », sur La Jaune et la Rouge (consulté le ).
  8. « Tout savoir sur Amélie Oudéa-Castéra », sur CNews, (consulté le ).
  9. Mathieu Larnaudie, Les Jeunes Gens, Éditions Grasset, (ISBN 978-2-24681-509-9, présentation en ligne)
    Enquête sur la promotion Senghor de l'ENA.
  10. Arrêté du 9 avril 2004 portant affectation aux carrières des élèves de la promotion 2002-2004 « Léopold Sédar Senghor » de l'Ecole nationale d'administration ayant terminé leur scolarité au mois de mars 2004, élèves issus des concours externe, interne et troisième concours.
  11. Décret du 14 mai 2004 portant nomination (Cour des comptes).
  12. a b c et d Nicolas Lepeltier, « Amélie Oudéa-Castéra, une proche de Macron au ministère des sports et des Jeux olympiques et paralympiques », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  13. Décret du 19 août 2004 portant nomination de rapporteurs près la Cour de discipline budgétaire et financière.
  14. Décret du 3 octobre 2005 portant nomination (Cour des comptes).
  15. Décret du 20 avril 2007 portant nomination (Cour des comptes).
  16. a et b Décret du 25 juin 2018 portant réintégration et radiation des cadres (Cour des comptes) - Mme OUDÉA-CASTÉRA (Amélie).
  17. « Amélie Oudéa-Castéra », sur clubdigital.fr (consulté le ).
  18. Arrêté du 7 octobre 2009 portant nomination au conseil d'administration du Centre national pour le développement du sport.
  19. Philippe Desmoulins, « Amélie Oudéa-Castéra (E99), les valeurs au cœur », sur le site de l'association des anciens élèves de l'École supérieure des sciences économiques et commerciales, (consulté le ).
  20. Sophie Dorgan, « Amélie Castera prône une fusion des circuits ATP et WTA », sur L'Équipe, (consulté le ).
  21. Julien Reboullet, « Amélie Castera : « Qu'on ait une culture du numéro 1 » », sur L'Équipe, (consulté le ).
  22. R. P., « Amélie Oudéa-Castera ne sera pas la directrice générale de l'agence nationale du sport », sur L'Équipe, (consulté le ).
  23. Simon Virot, « Permettre aux jeunes qui ont une passion de la vivre », sur Le Bien public, (consulté le ).
  24. Carole Bellemare, « Amélie Oudéa-Castera (Groupe Carrefour) », sur Le Figaro, (consulté le ).
  25. « 500 000 euros : Amélie Oudéa-Castéra justifie son salaire à la tête de la Fédération française de tennis », sur Capital.fr,
  26. « Communiqué Paris 2024 – Comités d’audit et d’éthique », sur Comité régional olympique et sportif Île-de-France, (consulté le ).
  27. « Communiqué de presse de Paris 2024 » [PDF], sur Paris 2024, (consulté le ).
  28. « Les digital doers - ceux qui font le e-commerce », sur podcast.ausha.co (consulté le ).
  29. « Amélie Oudea-Castera (Carrefour) est élue "femme du digital 2020" », sur ecommercemag.fr, (consulté le ).
  30. « Liste des membres du conseil d'administration », sur association « Ensemble pour un autre tennis » (consulté le ).
  31. « Amélie Oudéa-Castéra nommée Directrice Générale de la FFT », sur Fédération française de tennis (FFT), (consulté le ).
  32. Laurent Mauduit, « L’indécente rémunération versée à la ministre des sports par la Fédération française de tennis », sur Mediapart,
  33. « Gouvernance », sur Plastic Omnium (consulté le ).
  34. « Amélie Oudéa-Castera, Membre indépendant du Conseil de Surveillance d'Eurazeo », sur eurazeo.com (consulté le ).
  35. Sandrine Lefèvre, « Et si le futur ministre des Sports était l'un d'eux ? », sur Le Parisien, (consulté le ).
  36. Sophie Dorgan, « Amélie Castera-Oudéa candidate pour être ministre des Sports », sur L'Équipe, (consulté le ).
  37. Yannick Vely, « Qui pour remplacer Laura Flessel au ministère des Sports ? », sur Paris Match, (consulté le ).
  38. « Tony Parker et Amélie Oudéa-Castéra parmi les noms cités pour remplacer Roxana Maracineanu au poste de ministre des Sports », sur L'Équipe, (consulté le ).
  39. « Les Français favorables à un ancien sportif au ministère des Sports », sur Le Point, (consulté le ).
  40. Félix Gabory, « Qui est Amélie Oudéa-Castéra, la nouvelle ministre des Sports ? », sur RMC Sport, (consulté le ).
  41. Romain Métairie, « Dans le sillage de la FFF, ces autres instances du sport français dans la tourmente », sur Libération (consulté le ).
  42. « Affaire Le Graët : Amélie Oudéa-Castéra, la ministre qui s’impose à la tête des Sports », sur Europe 1 (consulté le ).
  43. « Bernard Laporte démissionne de la présidence de la Fédération française de rugby », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. « Noël Le Graët démissionne de son poste de président de la Fédération française de football », sur Franceinfo, (consulté le ).
  45. a et b « L’indécente rémunération versée à la ministre des sports par la Fédération française de tennis », sur Médiapart, (consulté le ).
  46. « Remaniement : un hyperministère avec l’Éducation et les sports pour Amélie Oudéa-Castéra », sur Les Échos, (consulté le ).
  47. Mathilde Goanec, David Perrotin, Ilyes Ramdani, « La ministre de l’éducation a choisi un établissement privé ultra réac pour ses enfants », sur Mediapart, (consulté le ).
  48. « Lycée Stanislas : le ministère ouvre une enquête après des accusations d’homophobie et sexisme », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  49. Article par Les Echos le 13 janv. 2024 [1]
  50. a b c et d Cécile Bourgneuf et Pauline Moullot, « La défense d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants fragilisée par l’ancienne institutrice de son fils », sur Libération (consulté le )
  51. Article par Damien Renoulet le 15/01/2024 sur RTL [2]
  52. Article par Guillaume Descours et Caroline Philippe, le 15/01/2024 sur RMC [3]
  53. " Amélie Oudéa-Castéra : la version d’une ancienne prof de son fils qui dément celle de la ministre" par l'AFP le 15 Janvier 2024 dans La Voix du Nord [4]
  54. « Amélie Oudéa-Castéra : l'ancienne institutrice de son fils affirme n'avoir jamais été absente, la ministre maintient sa version », sur Franceinfo, (consulté le )
  55. « Indignation des syndicats après les propos d’Amélie Oudéa-Castéra sur la scolarisation de ses enfants dans le privé », sur TF1 INFO, (consulté le )
  56. Article dans Radio France Bleue [5]

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