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[[Marine brésilienne]] : 160 missiles Mistral sont livrés entre 1994 et 1997 pour équiper le [[NAeL Minas Gerais|porte-avion Minas Gerais]] selon le [[Institut international de recherche sur la paix de Stockholm|SIPRI]]<ref>{{Lien web |titre=Arms transfer database |url=https://armstransfers.sipri.org/ArmsTransfer/CSVResult |site=armstransfers.sipri.org |consulté le=2024-03-29}}</ref>. En 2015, le navire français ''[[TCD Siroco|Siroco]]'' équipés de trois systèmes SIMBAD est vendu à la marine brésilienne et renommé ''Bahia''<ref>{{Lien web |langue=fr-FR |prénom=Laurent |nom=Lagneau |titre=Vendu au Brésil, le TCD Siroco deviendra le NDM Bahia |url=https://www.opex360.com/2015/09/11/vendu-au-bresil-le-tcd-siroco-deviendra-le-ndm-bahia/ |site=Zone Militaire |date=2015-09-11 |consulté le=2024-03-29}}</ref>.
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Version du 29 mars 2024 à 15:52

Mistral
Mistral (missile)
Missile Mistral lors du défilé militaire du 14 juillet 2014.
Présentation
Type de missile missile sol-air à très courte portée
Constructeur MBDA
Coût à l'unité 300 000 €
Déploiement 1988
Caractéristiques
Moteurs Moteur à poudre (2 étages)
Masse au lancement 18,7 kg[1]
Longueur 1,80 m[2]
Diamètre 90 mm[2]
Envergure 180 mm
Vitesse supérieure à Mach 2,7[1]
Portée plus de 6 km[2]
Altitude de croisière 3 000 m[1]
Charge utile kg[1] d'hexolite, billes de tungstène
Guidage infrarouge passif[2]
Précision 93 % SSKP[N 1],[1]
Détonation fusée de proximité ou impact
Plateforme de lancement Fantassin, hélicoptère, navire

Le missile transportable anti-aérien léger « Mistral » est un missile sol-air très courte portée (« SATCP »), ou MANPADS en anglais, de conception « tire et oublie », infrarouge passif. Il est utilisé dans une grande variété de systèmes d’armes ayant pour objet la défense antiaérienne à basse et très basse altitude.

Il est fabriqué par Matra (devenue MBDA), sa première version a été mise en service dans l'armée française en 1989.

Missile

Le missile est long de 1,80 m[2] et pèse 18,7 kg[1] — dont 3 kg de charge explosive. Sa vitesse est supérieure à mach 2,7 (soit 926,1 m/s) et sa portée supérieure à six kilomètres : il peut atteindre une cible au sol à une distance de 6 000 mètres et une cible aérienne (hélicoptère ou avion volant à max. Mach 1,2) à 3 000 mètres d'altitude. Le guidage autodirecteur est de type tire et oublie guidé par un autodirecteur infrarouge passif (le missile se guide en fonction des sources de chaleur).

Le départ du missile est extrêmement bruyant (supérieur à 140 dBA, s'entendant à plusieurs kilomètres) et nécessite des protections auditives. En , son taux de réussite, sur 4 500 tirs réels, était de 96%[3].

Sa première version (S1) a été livrée en 1989, la deuxième version (M2) en 1997 ; elle a été développée pour être adaptée à l'hélicoptère Tigre[4]. Une troisième version « rénovation à mi-vie » est développée en 2010[5]. Appelé F3, elle est exportée pour la première fois en Estonie en [6]. Cette version dénommée Mistral 3 a une portée de 7 km contre un engin cible subsonique[7].

La maîtrise d’œuvre est assurée par MBDA[1] (anciennement Matra BAe Dynamics). D’autres entreprises interviennent pour des parties du missile :

La production de Mistral était de 20 unités par mois en 2022, 30 par mois en 2023, avec un objectif de 40 par mois en 2025[10].

Système d'arme

Le système d’origine est composé du missile avec son lanceur et d’un poste de tir portable et réutilisable sur lequel le tireur est assis, appelé Trépied (Se posant directement sur l’épaule, le Stinger et le SAM 16 n'ont pas de poste de tir). Le temps de rechargement du lanceur est de 30 secondes[11].

Le Trepied comprend un viseur clair, un calculateur et éventuellement une caméra thermique, un interrogateur ou une aide à la désignation[12] : couplé au radar d'alerte Samantha, le Mistral peut détecter des aéronefs à une distance max. de 15 km et verrouiller la cible en 3 secondes (5 secondes sans pré-alerte).

Depuis la munition est intégrée dans plusieurs lanceurs :

  • les SADRAL et SIMBAD sont embarquées sur des bâtiments de la marine nationale,
  • système ASPIC sur véhicule Peugeot P4 de l’armée de l’air (retiré du service en date de 2019[13]),
  • montage PAMELA sur véhicule ACMAT ou TRM 2000 pour l’armée de terre,
  • Multi Purpose Combat Vehicle : Renault Sherpa 3 équipé de quatre Mistral[14]. Développé depuis 2006, 6 en service depuis 2011 dans le 54e régiment d'artillerie français, première exportation fin 2013[15].
  • système AATCP pour les hélicoptères Gazelle et Tigre HAP pour l’armée de terre[4],
  • lanceur SADRAL pour la Marine (poste de tir à 6 missiles semi-automatique)[2].

Ces systèmes sont développés par MBDA (sauf PAMELA et ASPIC qui sont développés par Thales)[2].

Le Mistral peut également s’utiliser dans le cadre du programme plus global Maillage anti-aérien des radars tactiques contre hélicoptères et aéronefs à voilure fixe (MARTHA)[16].

Wikimedia Commons présente d’autres illustrations sur les missiles Mistral.

Pays utilisateurs


Entre 1988 et début 2012, plus de 16 000 missiles Mistral ont été vendus ou commandés. Ils sont utilisés à cette date par 24 pays dans le monde[17],[18], en , un total de 32 pays en ont acquis - certains l'ayant depuis retiré du service[19]-; certains équipements (ATLAS, ALBI) sont destinés uniquement à l’export[20].

Drapeau de l'Arabie saoudite Arabie saoudite

Armée de terre saoudienne: 700 missiles Mistral 1 sont livrés en 1991 et 1992[21].

Garde Nationale d'Arabie Saoudite: 1 000 Mistral 2 livrés entre 2007 et 2010. Entre 2013 et 2015, 1 000 nouveaux Mistral 2 sont livrés, ils sont destinés à êtres montés sur Renault Sherpa 3 et sont appelés MPCV (pour Multi Purpose Combat Vehicule) [22],[23]. Des missiles VL MICA sont commandés en 2013 pour remplacer au moins une partie des Mistral saoudiens[24].

Marine royale saoudienne: 80 missiles Mistral 2 livrés en 2016 et 2017[25]. Il sont destinés à équiper les deux systèmes SIMBAD-RC des deux bâtiments ravitailleurs de classe Boraida saoudiens dont la modernisation est décidée en 2013[26].

Drapeau de l'Autriche Autriche

Bundesheer : 63 ou 76 lanceurs avec 500 missiles Mistral 1 sont livrés entre 1993 et 1996[27].

En 2022, la rénovation de 24 lanceurs et la commande de 200 Mistral 3 est décidé pour un montant de 158 millions d'euros. Il est annoncé en février 2024 que des Mistral 3 seront intégrés à 36 tourelles Skyranger 30 destinées à équiper un nombre équivalent de blindés Pandur EVO[28].

Drapeau de la Belgique Belgique

Composante Terre : 142 lanceurs (dont 24 ATLAS) avec 858 missiles Mistral 1 sont intégrés au bataillon d’Artillerie de Brasschaat (1 004 missiles selon le SIPRI). Les Mistrals sont livrés entre 1991 et 1995 et mis en service de 1993 à 2017, le dernier tir du missile par les belges ayant lieu le 11 mai 2017. En 24 ans de service, 643 missiles sont tirés[29],[30], avec un taux de réussite de 86%[31].

En 2010, 25 missiles Mistral sont vendus à l'Estonie, tandis que selon le SIPRI 25 sont cédés à l'Ukraine en 2023 en raison de l'invasion Russe de l'Ukraine[32].

La volonté belge de regagner une capacité de défense sol-air est annoncé en octobre 2020, un premier peloton équipé de mistral étant prévu dès 2023[33]. Le 20 juin 2023, la Belgique signe une lettre d'intention pour des Mistral 3 conjointement avec quatre autres pays européens, pour un total de 1 000 missiles[34].

Drapeau du Botswana Botswana

Forces de défense botswanaises : 14 lanceurs avec 140 missiles Mistral sont livrés entre 2018 et 2020[35][36]. Au moins une partie de ces missiles sont destinés à être intégrés sur VBL ALBI[37].

Drapeau du Brésil Brésil

Marine brésilienne : 160 missiles Mistral sont livrés entre 1994 et 1997 pour équiper le porte-avion Minas Gerais selon le SIPRI[38]. En 2015, le navire français Siroco équipés de trois systèmes SIMBAD est vendu à la marine brésilienne et renommé Bahia[39].

Drapeau du Brunei Brunei

Forces royale terrestre de Brunei : 48 missiles Mistral sont livrés en 1999, puis 24 nouveaux missiles sont livrés en 2005 et 2006[40].

Marine Royale du Brunei : deux navires [41]

Pays utilisateurs de Mistral (non exhaustif)
Nations Nombre de missiles Date de commande Date de livraison
France
Autriche 500 1993 entre 1993 et 1996
Arabie saoudite 700 1989 entre 1991 et 1992
Belgique (Première commande) 714 1988 entre 1991 et 1995
Belgique (Seconde commande) 290 1991 entre 1993-1994
Brésil 160 1994 entre 1994 et 1997
Botswana 14 lance-missiles 2016[42] 2016
Chili 750 1989 entre 1991 et 1997
Chypre 90 1988 1989
Corée du sud 984 1992 entre 1993 et 1997
Émirats arabes unis (Première commande) 24 1986 1990
Émirats arabes unis (Seconde commande) 500 1988 1993 - 1994
Espagne 840 1991 entre 1992 et 1997
Finlande 540 1989 entre 1990 et 2002
Gabon 60 1985 1988
Hongrie nc nc nc
Norvège 400 1990 entre 1992 et 1997
Pakistan 100 1991 entre 1994 et 1995
Qatar 500 1990 entre 1992 et 1996
Estonie depuis 2009[43]
Nouvelle-Zélande 12 lance-missiles 1999[44]
Serbie 40 lance-missiles 2020 2021
Ukraine ~100 2022[45]
Croatie[46] 2022
Arménie 2023

En 2005, l'armée de terre française alignait 210 lanceurs et l'armée de l'air 60, soit 270 au total. Ce chiffre devait passer à 204, soit la perte de 66 lanceurs après la réorganisation en cours en 2011. L'armée de l'air abandonnant ce système d'armes et l'artillerie devant posséder dix batteries sol-air : quatre au sein de l'unique régiment spécialisé, le 54e régiment d'artillerie et six autres réparties à raison d'une batterie dans chacun des régiments d'artillerie de six brigades (mécanisées, légères blindée, parachutiste et de montagne). Chacune de ces batteries a trois sections à six postes de tir chacune - soit dix-huit postes de tir Mistral par brigade. La batterie aéroportée (35e RAP) devait conserver quatre sections, soit 24 postes de tir. Le 54e RA à Hyères devrait fournir deux groupements sol-air à deux batteries pour le compte de chacune des deux brigades blindées. La formation se passe sur simulateur et un tir réel n'est effectué qu’une fois par an sur cible télécommandée à partir de l’Ile du Levant ou du centre d’essais de Biscarrosse. Mais si au , on comptabilisait 226 postes de tir, au , on en compte 186[47]. Entre 2012 et 2015, l’armée française commande 2 050 exemplaires du missile RMV Mistral, chiffre revu à 580 dans la loi de programmation militaire 2009-2014[5].

En 2009, la CIA a tenté d'acquérir discrètement des missiles Mistral appartenant à l'armée chypriote, car le renseignement américain n'était jusqu'à présent pas parvenu à s'en procurer[48].

En avril 2022, la Norvège fournit une centaine de missiles à l'armée ukrainienne dans le cadre de l'aide à l'Ukraine dans sa lutte contre l'invasion par la Russie[45] ; 5 postes de tirs et des centaines de missiles sont également livrés par la France[49],[50].

Notes et références

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Notes

  1. Single-Shot Kill Probability, probabilité de toucher en un seul coup.

Références

  1. a b c d e f et g (en) « Mistral 2 », sur www.mbda-systems.com (consulté le ).
  2. a b c d e f et g « Mistral, Fiche technique », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  3. « MBDA prêt à livrer ses premiers véhicules MPCV en configuration sol-air », sur Zone Militaire, (consulté le ).
  4. a et b « Mistral, Présentation », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  5. a et b « Projet de loi de finances 2014, Mission Défense, Programme Équipement des forces, projet annuel de performances, justification au premier euro », sur performance-publique.budget.gouv.fr.
  6. « Mistral F3 et Milan pour l’Estonie », sur strategic-bureau.com (consulté le ).
  7. « Le missile MBDA Mistral 3 se fait un drone », sur Air et Cosmos (consulté le ).
  8. « Systèmes Avioniques & Navigation : Guidage > Senseurs », sur www.sagem-ds.com (consulté le ).
  9. « Mistral, Architecture industrielle », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  10. Martin Pereira, « La production de poudre pour les obus d’artillerie bientôt relocalisée en France », sur Le Point, (consulté le ).
  11. https://www.defense.gouv.fr/terre/equipements/artillerie/systeme-d-arme-sol-air-mistral
  12. « Mistral, Equipements et munitions », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  13. Jean-Marc Tanguy, « Viper au point, l'armée de l'air équipe ses patrouilles », sur Le Mamouth, (consulté le ).
  14. « MBDA Unveils Multi Purpose Combat Air Defense Vehicle », Defense Talk, (consulté le ).
  15. « Mystery Order for Multi Purpose Combat Vehicle », Armed Forces International, (consulté le ).
  16. « Martha, Présentation », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  17. « Un Mistral à la une… - FOB », sur FOB - Forces Operations Blog, (consulté le ).
  18. (en) « Home », sur SIPRI (consulté le ).
  19. « La Serbie commande des missiles sol-air MISTRAL 3 auprès de MBDA », sur Zone Militaire, (consulté le ).
  20. « Mistral, Pays équipés », sur www.ixarm.com (consulté le ).
  21. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  22. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  23. « Mystery Order for Multi Purpose Combat Vehicle: Armed Forces Int. News », sur archive.wikiwix.com (consulté le )
  24. « Défense : trois nouveaux contrats export dans l'escarcelle de MBDA », sur La Tribune, 2013-10-03cest14:35:00+0200 (consulté le )
  25. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  26. « Les industriels français vont moderniser les bâtiments saoudiens du programme Sawari I | Mer et Marine », sur www.meretmarine.com, (consulté le )
  27. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  28. Nathan Gain, « Du Mistral à bord des futurs Pandur EVO autrichiens », sur FOB - Forces Operations Blog, (consulté le )
  29. Marie-Madeleine Courtial, « La reconstruction d’une artillerie antiaérienne au sein de la Composante Terre débutera en 2023 », sur À l'Avant-Garde, (consulté le )
  30. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  31. (en) Nicholas Fiorenza, « Belgium phases out Mistral », sur janes.com, (consulté le )
  32. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  33. « La reconstruction d’une artillerie antiaérienne au sein de la Composante Terre débutera en 2023 », sur À l'Avant-Garde, (consulté le ).
  34. Marie-Madeleine Courtial, « La Belgique fait l’acquisition de missiles sol-air Mistral avec d’autres pays européens », sur À l'Avant-Garde, (consulté le )
  35. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  36. « Armement : mais qu'a vendu la France au Botswana en 2016 ? », sur La Tribune, 2017-07-10cest06:56:00+0200 (consulté le )
  37. (en-GB) Alain Henry de Frahan, « Botswana receives large quantities of French military equipment Mistral Mica missiles | June 2020 News Defense Global Security army industry | Defense Security global news industry army 2020 | Archive News year », sur Army Recognition, (consulté le )
  38. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  39. Laurent Lagneau, « Vendu au Brésil, le TCD Siroco deviendra le NDM Bahia », sur Zone Militaire, (consulté le )
  40. « Arms transfer database », sur armstransfers.sipri.org (consulté le )
  41. (en) « Brunei to induct ex-Singapore Fearless-class patrol boats », sur Janes.com (consulté le )
  42. Michel Cabirol, « Armement : mais qu'a vendu la France au Botswana en 2016 ? », sur La Tribune, (consulté le ).
  43. « Estonia orders Mistral SHORAD systems », sur Air & Cosmos (consulté le ).
  44. (en) « Mistral Air Defence Missile », sur New Zealand Artillery, (consulté le ).
  45. a et b « La Norvège donne des missiles antiaériens à l'Ukraine », sur Le Figaro, (consulté le )
  46. « boursorama.com/actualite-econo… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  47. « Question N° : 47350 de M. François Cornut-Gentille (Union pour un Mouvement Populaire - Haute-Marne) », sur Assemblée nationale, (consulté le ).
  48. « Câble diplomatique américain 09STATE52499 », sur www.wikileaks.ch (consulté le ).
  49. « En direct, guerre en Ukraine : la France dresse pour la première fois l’inventaire des armes fournies à Kiev », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  50. « En Ukraine, la défense terrestre et anti-aérienne de Kyiv s'organise », Air et Cosmos,‎ (lire en ligne, consulté le ).