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| nom = [[Fichier:Officier général francais 5 etoiles.svg|30px]] Joël Barre
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'''Joël Barre''', né le {{Date-|8 mars 1955}} à [[Millau]] ([[Aveyron (département)|Aveyron]]), est un [[ingénieur de l'armement]] [[France|français]]. Il est [[délégué général pour l'armement]] du {{Date-|9 août 2017}} au {{Date-|31 juillet 2022}}, après avoir exercé plusieurs postes dans l'armement ([[Direction générale de l'Armement|direction générale]]), l'aérospatial ([[Centre national d'études spatiales|CNES]]) et l'industrie de défense ([[Safran Aircraft Engines|Safran — Snecma]]).
'''Joël Barre''', né le {{Date-|8 mars 1955}} à [[Millau]] ([[Aveyron (département)|Aveyron]]), est un [[ingénieur de l'armement]] français. Il est [[délégué général pour l'armement]] du {{Date-|9 août 2017}} au {{Date-|31 juillet 2022}}, après avoir exercé plusieurs postes dans l'armement ([[Direction générale de l'Armement|direction générale]]), l'aérospatial ([[Centre national d'études spatiales|CNES]]) et l'industrie de défense ([[Safran Aircraft Engines|Safran — Snecma]]).


== Biographie ==
== Biographie ==
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=== Carrière ===
=== Carrière ===
Joël Barre commence sa carrière d'ingénieur de l'armement en 1979, au sein du [[laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques]] de la [[direction générale de l'Armement]]<ref name="caia">{{Article |langue=fr |auteur institutionnel=Confédération amicale des ingénieurs de l'armement |titre=Joël Barre |périodique=Le corps de l’armement, un atout pour la France. Livre cinquantenaire 1968 - 2018 Confédération amicale des ingénieurs de l'armement |date=2018 |pages=106 |lire en ligne=https://fr.calameo.com/books/005868215fe3d3558d246 |consulté le=2022-07-31}}.</ref>. Il intègre ensuite le programme du [[Air-sol moyenne portée|missile air-sol moyenne portée]] (ASMP), dont il prend la direction en 1987<ref name="javiat">{{Article |langue=fr |auteur1=Helen Chachaty |titre=Joël Barre prend les commandes de la DGA |périodique=Le Journal de l'aviation |date=2017-08-09 |lire en ligne=https://www.journal-aviation.com/actualites/37706-joel-barre-prend-les-commandes-de-la-dga |consulté le=2022-07-31 }}.</ref>. De 1988 à 1991, il participe au programme du satellite espion ''[[Helios (satellite)|Hélios]]'', et le dirige de 1991 à 1995<ref name="javiat"/>. Nommé adjoint au chef du service technique des systèmes stratégiques et spatiaux en 1995, il est ensuite architecte du système de force {{Citation|commandement, communication, conduite, renseignement}} (C3R) à la direction des Systèmes de forces et de la prospective entre février et {{Date-|septembre 1997}}<ref name="caia"/>{{,}}<ref name="presse_cnes">{{Lien web |langue=fr|titre=Nomination au CNES : Joël Barre nommé directeur général délégué |url=https://presse.cnes.fr/fr/cp-7249 |date=2013-04-10 |site=presse.cnes.fr |éditeur=Centre national d'études spatiales |consulté le=2022-07-31}}.</ref>.
Joël Barre commence sa carrière d'ingénieur de l'armement en 1979, au sein du [[laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques]] de la [[direction générale de l'Armement]]<ref name="caia">{{Article|auteur institutionnel=Confédération amicale des ingénieurs de l'armement |titre=Joël Barre |périodique=Le corps de l’armement, un atout pour la France. Livre cinquantenaire 1968 - 2018 Confédération amicale des ingénieurs de l'armement |date=2018 |pages=106 |lire en ligne=https://fr.calameo.com/books/005868215fe3d3558d246 |consulté le=2022-07-31}}.</ref>. Il intègre ensuite le programme du [[Air-sol moyenne portée|missile air-sol moyenne portée]] (ASMP), dont il prend la direction en 1987<ref name="javiat">{{Article|auteur1=Helen Chachaty |titre=Joël Barre prend les commandes de la DGA |périodique=Le Journal de l'aviation |date=2017-08-09 |lire en ligne=https://www.journal-aviation.com/actualites/37706-joel-barre-prend-les-commandes-de-la-dga |consulté le=2022-07-31 }}.</ref>. De 1988 à 1991, il participe au programme du satellite espion ''[[Helios (satellite)|Hélios]]'', et le dirige de 1991 à 1995<ref name="javiat"/>. Nommé adjoint au chef du service technique des systèmes stratégiques et spatiaux en 1995, il est ensuite architecte du système de force {{Citation|commandement, communication, conduite, renseignement}} (C3R) à la direction des Systèmes de forces et de la prospective entre février et {{Date-|septembre 1997}}<ref name="caia"/>{{,}}<ref name="presse_cnes">{{Lien web |titre=Nomination au CNES : Joël Barre nommé directeur général délégué |url=https://presse.cnes.fr/fr/cp-7249 |date=2013-04-10 |site=presse.cnes.fr |éditeur=Centre national d'études spatiales |consulté le=2022-07-31}}.</ref>.

Il devient ensuite directeur des programmes au [[Centre national d'études spatiales]] (CNES) de 1997 à 2001<ref>{{Lien web|titre=À la Barre de la DGA |url=https://www.forcesoperations.com/amp/a-la-barre-de-la-dga/ |date=2017 |site=forcesoperations.com |éditeur=Forces opérations blog |consulté le=2022-07-31}}.</ref>. En {{Date-|juin 2001}}, il est recruté par [[Safran Aircraft Engines]] (Snecma) en tant que directeur espace de la division moteurs fusées ; il est ensuite nommé directeur général de la division moteurs spatiaux en {{Date-|mars 2002}}<ref name="javiat"/>.


Joël Barre réintègre l'aérospatial public et le CNES en 2007, où il prend la direction du [[Centre spatial guyanais]]<ref name="presse_cnes"/>. Le {{Date-|1 juillet 2012}}, il est nommé directeur général délégué du CNES<ref>{{Lien web|titre=Attribution à Joel Barre, Directeur du CSG de la fonction de "Directeur Général Délégué" |url=http://www.electronique-mag.com/article2324.html |site=electronique-mag.com |date=décembre 2009 |consulté le=2020-11-28}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web|auteur=Marima Diallo |titre=Joël Barre est nommé directeur général du CNES |url=https://www.journal-aviation.com/actualites/22358-joel-barre-est-nomme-directeur-general-du-cnes |site=www.journal-aviation.com |date=10 avril 2013 |consulté le=2020-11-28}}</ref>.
Il devient ensuite directeur des programmes au [[Centre national d'études spatiales]] (CNES) de 1997 à 2001<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=À la Barre de la DGA |url=https://www.forcesoperations.com/amp/a-la-barre-de-la-dga/ |date=2017 |site=www.forcesoperations.com |éditeur=Forces opérations blog |consulté le=2022-07-31}}.</ref>. En {{Date-|juin 2001}}, il est recruté par [[Safran Aircraft Engines]] (Snecma) en tant que directeur espace de la division moteurs fusées ; il est ensuite nommé directeur général de la division moteurs spatiaux en {{Date-|mars 2002}}<ref name="javiat"/>.


Joël Barre réintègre l'aérospatial public et le CNES en 2007, il prend la direction du [[Centre spatial guyanais]]<ref name="presse_cnes"/>. Le {{Date-|1 juillet 2012}}, il est nommé directeur général délégué du CNES<ref>{{Lien web |langue=fr |titre=Attribution à Joel Barre, Directeur du CSG de la fonction de "Directeur Général Délégué" |url=http://www.electronique-mag.com/article2324.html |site=electronique-mag.com |date=décembre 2009 |consulté le=2020-11-28}}</ref>{{,}}<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Marima Diallo |titre=Joël Barre est nommé directeur général du CNES |url=https://www.journal-aviation.com/actualites/22358-joel-barre-est-nomme-directeur-general-du-cnes |site=www.journal-aviation.com |date=10 avril 2013 |consulté le=2020-11-28}}</ref>.
Le {{Date-|9 août 2017}}, Joël Barre succède à [[Laurent Collet-Billon]] en tant que [[Direction générale de l'Armement|délégué général pour l'armement]] et élevé aux rang et appellation d'[[Corps des ingénieurs de l'armement#Grades|ingénieur général de classe exceptionnelle de l'armement]]<ref>{{Lien web |auteur=Justine Boquet |titre=Joël Barre est nommé délégué général pour l'armement |url=https://www.air-cosmos.com/article/jol-barre-est-nomm-dlgu-gnral-pour-larmement-4308 |site=Air et Cosmos |date=09/08/2017 |consulté le=2020-11-28}}</ref>, et reconduit pour deux ans dans cette fonction en {{date-|août 2020}}<ref>{{Lien web|auteur=Michel Cabirol |titre=Joël Barre rempile à la tête de la Direction générale de l'armement |url=https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/joel-barre-rempile-a-la-tete-de-la-direction-generale-de-l-armement-855404.html |site=La Tribune |date=24-08-2020 |consulté le=2020-11-28}}</ref>. Il quitte son poste le {{Date-|2022-07-31}} et est remplacé par [[Emmanuel Chiva]].


Le {{Date-|10 novembre 2022}}, il est nommé « délégué interministériel au Nouveau Nucléaire »<ref>{{Légifrance|base=JORF|numéro=PRMX2232176D|texte=Décret du 10 novembre 2022 portant nomination du délégué interministériel au nouveau nucléaire}}.</ref> et devient {{"|patron de l'équipe de France du nucléaire}} : aidé de Vincent Le Biez, il est chargé de superviser le projet de construction de plusieurs réacteurs nucléaires [[Evolutionary Power Reactor 2 - EPR 2|EPR2]] après les échecs de [[Centrale nucléaire de Flamanville|Flamanville]] soulevés, entre autres, par le rapport critique réalisé par [[Jean-Martin Folz]]<ref name=obs>{{Article|auteur1=Morgane Bertrand|auteur2=Caroline Michel-Aguirre|titre=Joël Barre|sous-titre=Sa Mission ? Éviter un black-out en 2035|périodique=L'Obs|numéro=3042|date=26 01 2023|pages=33-34|issn=0029-4713|consulté le=4 03 2023}}
Le {{Date-|9 août 2017}}, Joël Barre succède à [[Laurent Collet-Billon]] en tant délégué général pour l'armement et élevé aux rang et à l'appellation [[Corps des ingénieurs de l'armement#Grades|ingénieur général de classe exceptionnelle de l'armement]]<ref>{{Lien web |auteur=Justine Boquet |titre=Joël Barre est nommé délégué général pour l'armement |url=https://www.air-cosmos.com/article/jol-barre-est-nomm-dlgu-gnral-pour-larmement-4308 |site=Air et Cosmos |date=09/08/2017 |consulté le=2020-11-28}}</ref>, et reconduit pour deux ans dans cette fonction en août 2020<ref>{{Lien web |langue=fr |auteur=Michel Cabirol |titre=Joël Barre rempile à la tête de la Direction générale de l'armement |url=https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/joel-barre-rempile-a-la-tete-de-la-direction-generale-de-l-armement-855404.html |site=La Tribune |date=24-08-2020 |consulté le=2020-11-28}}</ref>. Il quitte son poste le {{Date-|2022-07-31}} et est remplacé par [[Emmanuel Chiva]].
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== Distinctions ==
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== Références ==
== Notes et références ==
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[[Catégorie:Naissance en mars 1955]]
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[[Catégorie:Naissance à Millau]]
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[[Catégorie:Élève de l'École polytechnique]]
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[[Catégorie:Officier de la Légion d'honneur promu en 2018]]
[[Catégorie:Commandeur de l'ordre national du Mérite]]
[[Catégorie:Commandeur de l'ordre national du Mérite]]
[[Catégorie:Ingénieur français du XXe siècle]]
[[Catégorie:Ingénieur français du XXIe siècle]]

Dernière version du 19 mai 2024 à 23:02

Joël Barre
Joël Barre en décembre 2017 lors d'un discours à l'École polytechnique
Fonctions
Délégué interministériel au nouveau nucléaire (d)
depuis le
Délégué général pour l'Armement
-
Biographie
Naissance
Voir et modifier les données sur Wikidata (69 ans)
Millau (Aveyron)Voir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Autres informations
A travaillé pour
Grade militaire
Distinctions

Joël Barre, né le à Millau (Aveyron), est un ingénieur de l'armement français. Il est délégué général pour l'armement du au , après avoir exercé plusieurs postes dans l'armement (direction générale), l'aérospatial (CNES) et l'industrie de défense (Safran — Snecma).

Joël Barre est diplômé de l'École polytechnique en 1974, et de l'Institut supérieur de l'aéronautique et de l'espace (Supaéro) en 1979. Il intègre le Corps des ingénieurs de l'armement à sa sortie de l'École polytechnique.

Joël Barre commence sa carrière d'ingénieur de l'armement en 1979, au sein du laboratoire de recherches balistiques et aérodynamiques de la direction générale de l'Armement[1]. Il intègre ensuite le programme du missile air-sol moyenne portée (ASMP), dont il prend la direction en 1987[2]. De 1988 à 1991, il participe au programme du satellite espion Hélios, et le dirige de 1991 à 1995[2]. Nommé adjoint au chef du service technique des systèmes stratégiques et spatiaux en 1995, il est ensuite architecte du système de force « commandement, communication, conduite, renseignement » (C3R) à la direction des Systèmes de forces et de la prospective entre février et [1],[3].

Il devient ensuite directeur des programmes au Centre national d'études spatiales (CNES) de 1997 à 2001[4]. En , il est recruté par Safran Aircraft Engines (Snecma) en tant que directeur espace de la division moteurs fusées ; il est ensuite nommé directeur général de la division moteurs spatiaux en [2].

Joël Barre réintègre l'aérospatial public et le CNES en 2007, où il prend la direction du Centre spatial guyanais[3]. Le , il est nommé directeur général délégué du CNES[5],[6].

Le , Joël Barre succède à Laurent Collet-Billon en tant que délégué général pour l'armement et élevé aux rang et appellation d'ingénieur général de classe exceptionnelle de l'armement[7], et reconduit pour deux ans dans cette fonction en [8]. Il quitte son poste le et est remplacé par Emmanuel Chiva.

Le , il est nommé « délégué interministériel au Nouveau Nucléaire »[9] et devient « patron de l'équipe de France du nucléaire » : aidé de Vincent Le Biez, il est chargé de superviser le projet de construction de plusieurs réacteurs nucléaires EPR2 après les échecs de Flamanville soulevés, entre autres, par le rapport critique réalisé par Jean-Martin Folz[10]. Ainsi, il doit directement chapeauter et contrôler les actions d'EDF, mais également des autres intervenants tels Framatome, Orano ou le CEA[10]. Sa proximité avec Luc Rémont le nouveau patron d'EDF, avec qui il a travaillé dans les années 1990, lui apporte un gage de bonne communication pour ses projets[10].

Distinctions

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Publication

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Notes et références

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  1. a et b Confédération amicale des ingénieurs de l'armement, « Joël Barre », Le corps de l’armement, un atout pour la France. Livre cinquantenaire 1968 - 2018 Confédération amicale des ingénieurs de l'armement,‎ , p. 106 (lire en ligne, consulté le ).
  2. a b et c Helen Chachaty, « Joël Barre prend les commandes de la DGA », Le Journal de l'aviation,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  3. a et b « Nomination au CNES : Joël Barre nommé directeur général délégué », sur presse.cnes.fr, Centre national d'études spatiales, (consulté le ).
  4. « À la Barre de la DGA », sur forcesoperations.com, Forces opérations blog, (consulté le ).
  5. « Attribution à Joel Barre, Directeur du CSG de la fonction de "Directeur Général Délégué" », sur electronique-mag.com, (consulté le )
  6. Marima Diallo, « Joël Barre est nommé directeur général du CNES », sur www.journal-aviation.com, (consulté le )
  7. Justine Boquet, « Joël Barre est nommé délégué général pour l'armement », sur Air et Cosmos, (consulté le )
  8. Michel Cabirol, « Joël Barre rempile à la tête de la Direction générale de l'armement », sur La Tribune, (consulté le )
  9. Décret du 10 novembre 2022 portant nomination du délégué interministériel au nouveau nucléaire.
  10. a b et c Morgane Bertrand et Caroline Michel-Aguirre, « Joël Barre : Sa Mission ? Éviter un black-out en 2035 », L'Obs, no 3042,‎ , p. 33-34 (ISSN 0029-4713)
  11. Décret du 15 mai 2015 portant promotion et nomination
  12. Décret du 23 avril 2002 portant promotion et nomination
  13. Décret du 2 juillet 2018 portant promotion en faveur des militaires appartenant à l'armée active
  14. Décret du 30 décembre 2011 portant promotion et nomination