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Il est le fils de Fritz Burren, agriculteur, et de Marianne Mosimann<ref name=":0" />.
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Il se marie avec Berta Traschel, fille de Friedrich, agriculteur<ref name=":0" />.
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=== Études et parcours professionnel ===
=== Études et parcours professionnel ===
Après l'école normale protestante du Muristalden à [[Berne]] (1875-1878), Fritz Burren enseigne à [[Köniz]] de 1878 à 1880, puis séjourne en [[Suisse romande]]. Il est maître, puis directeur au Muristalden de 1880 à 1883<ref name=":0" />.
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Friedrich Bürren incarne le [[conservatisme]] [[protestant]] des années 1880. D'un profond sentiment religieux ([[piétiste]]), il s'intéresse surtout à la [[politique sociale]]. Les points forts de son activité parlementaire sont les réformes de l'assistance publique, la création d'une [[assurance-vieillesse et survivants]] et d'une [[Assurance maladie en Suisse|assurance maladie]] et accidents, ainsi que la loi fédérale sur les fabriques<ref name=":0" />.
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==Références==
== Références ==
{{Crédit d'auteurs|externe|source=https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/004452/2003-04-16|titre=Fritz Burren|auteur=Peter Stettler (trad. : Pierre-G. Martin)}}
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Dernière version du 7 juin 2024 à 19:58

Fritz Burren
Illustration.
Portrait de 1911.
Fonctions
Conseiller national
Membre du Conseil-exécutif du canton de Berne
Département Assistance publique et cultes
Député au Grand Conseil bernois
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Köniz
Date de décès (à 66 ans)
Lieu de décès Berne
Nationalité suisse
Parti politique Parti conservateur protestant bernois
Profession instituteur
journaliste

Fritz Burren, né le à Köniz (originaire de Berne et de Rüeggisberg) et mort le à Berne, est un journaliste et une personnalité politique suisse, membre du parti conservateur protestant.

Il siège au Conseil-exécutif du canton de Berne, à la tête du département de l'assistance publique et des cultes, de 1908 à 1927 et au Conseil national de 1914 à 1926.

Origines et famille

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Fritz Burren naît le à Mittelhäusern (de), localité de la commune de Köniz, dans le canton de Berne. Il est originaire de Berne et de Rüeggisberg, dans le même canton[1].

Il est le fils de Fritz Burren, agriculteur, et de Marianne Mosimann[1].

Il se marie avec Berta Traschel, fille de Friedrich, agriculteur[1].

Études et parcours professionnel

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Après l'école normale protestante du Muristalden à Berne (1875-1878), Fritz Burren enseigne à Köniz de 1878 à 1880, puis séjourne en Suisse romande. Il est maître, puis directeur au Muristalden de 1880 à 1883[1].

Il est par ailleurs rédacteur aux Emmentaler Nachrichten (de) de 1884 à 1889, puis rédacteur en chef du Berner Tagblatt jusqu'en 1908[1].

Il meurt le à Berne, à l'âge de 66 ans[1].

Parcours politique

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Friedrich Bürren dans les années 1920
Portrait de 1927.

Fritz Burren siège au Conseil de ville de Berne (législatif) de à et au Grand Conseil du canton de Berne de à [1].

Il est membre du Conseil-exécutif du canton de Berne de à , où il dirige le département de l'assistance publique et des cultes[1].

Il siège au Conseil national du au [2]. Il y est d'abord l'unique représentant de la minorité conservatrice de son canton. Leader, avec Ulrich Dürrenmatt, du parti conservateur protestant bernois (Volkspartei), il préconise la fusion, après 1918, avec le Parti des paysans, artisans et bourgeois récemment fondé[1].

Profil politique

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Friedrich Bürren incarne le conservatisme protestant des années 1880. D'un profond sentiment religieux (piétiste), il s'intéresse surtout à la politique sociale. Les points forts de son activité parlementaire sont les réformes de l'assistance publique, la création d'une assurance-vieillesse et survivants et d'une assurance maladie et accidents, ainsi que la loi fédérale sur les fabriques[1].

Références

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  1. a b c d e f g h i et j Peter Stettler (trad. Pierre-G. Martin), « Fritz Burren » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  2. « Biographie de Fritz Burren », sur le site de l'Assemblée fédérale suisse.

Liens externes

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