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Version du 26 novembre 2023 à 11:00
Morsalines | |
Le front de mer. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Manche |
Arrondissement | Cherbourg |
Intercommunalité | CA du Cotentin |
Statut | Ancienne commune |
Code postal | 50630 |
Code commune | 50358 |
Démographie | |
Gentilé | Morsalinais |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 34′ 22″ nord, 1° 18′ 46″ ouest |
Altitude | Min. 3 m Max. 88 m |
Superficie | 3,65 km2 |
Élections | |
Départementales | Val-de-Saire |
Historique | |
Fusion | |
Commune(s) d'intégration | Quettehou |
Localisation | |
modifier |
Morsalines est une ancienne commune française du département de la Manche et de la région Normandie.
Le , elle fusionne avec sa voisine Quettehou au sein de la commune nouvelle de Quettehou ; elle prend alors le statut administratif de commune déléguée[1],[2] qu'elle perd le .
Géographie
Morsalines fait partie de la communauté d'agglomération du Cotentin (précédemment de la communauté de communes du Val de Saire) et du parc naturel régional des Marais du Cotentin et du Bessin. Son bourg est à 2,5 km au sud de Quettehou, à 12 km à l'est-nord-est de Montebourg et à 15 km au nord-nord-est de Valognes[3].
Située entre Saire et Sinope, Morsalines n'appartient à aucun bassin important et possède donc ses propres fleuves dont le principal est le Godey[4].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Morsalin en 1040/1066[6],[7], de Morsalinis 1159/1181[7], Morsalines vers 1280[7], Morsalina sans date.
Albert Dauzat considère ce toponyme comme obscur, émet tout de même deux hypothèses autour d'un anthroponyme germanique Maur, suivi du latin salinum (« salin ») ou mieux le germanique sala (« maison »), suivi du suffixe -inum[6].
Selon François de Beaurepaire, il s'agit plus simplement de « mortes salines », c'est-à-dire « abandonnées » (à la suite d'un recul du rivage ?). Il y avait jadis de nombreuses salines sur les côtes du Cotentin[8].
René Lepelley reprend l'hypothèse de François de Beaurepaire[9], selon lui les marais salants ont été abandonnés au XIe siècle.
Remarques : il faut noter qu'aucune forme ancienne ne contient l'élément Mort-, on peut donc supposer que le [t] s'était déjà amuï au XIe siècle. En outre, la plus ancienne forme Morsalin implique que le masculin salin avait déjà le sens de « saline » au XIe siècle, or ce sens ne semble pas être attesté avant le XIXe siècle et le terme salin lui-même n'est pas mentionné avant le XVIe siècle[10]. Aussi peut-on se demander ce que signifie « salin de Maur », évoqué dans la première hypothèse. Le mot saline au sens de « marais salant » est enregistré dès le début du XIIIe siècle, c'est-à-dire antérieurement au mot salin.
Le gentilé est Morsalinais.
Histoire
Le , le roi d’Angleterre Édouard III et ses troupes accostèrent à la Hougue. Le roi passa cinq nuit, peut être dans le manoir appartenant aux moines de Montebourg, devenu le lieudit la Peintrerie[11], à Morsalines[12] où il avait établi son cantonnement afin de regrouper son armée avant de ravager le Val de Saire, incendier Barfleur et de poursuivre sa chevauchée jusqu'à Crécy[13]. Sur l'emplacement du camp d'Édouard III on édifia au XVIIe siècle un nouveau manoir, La Peinterie[13].
François Ier lors de sa visite en 1532 dans le Cotentin, logea au village et dit-on apprécia le cidre de Morsalines[14]
Sous Louis XIV, se crée un embryon de défense linéaire de la côte de la Hougue. À Morsalines on créées deux redoutes dont il ne reste plus de trace si ce n'est dans la toponymie locale avec le lieu-dit la Redoute. Elles étaient encore bien visibles sur les cartes marines de 1836[15]. La grande redoute de Morsalines datant de 1688 a été désarmée en 1856 et fut détruite par les Allemands en 1942 pour aménager une batterie[15].
En 1944, les Alliés débarquèrent en Normandie. Or c’est de Morsalines et La Pernelle que les Allemands dirigeaient l’artillerie placée en défense côtière sur la pointe de Saire, dans le cadre du mur de l’Atlantique. À la suite d'imprévus météorologiques, le débarquement américain eut lieu de manière fortuite à Utah Beach, à deux kilomètres au sud de l’emplacement programmé à Saint-Martin-de-Varreville. Cela mit les batteries de Morsalines hors de portée des attaquants et évita ainsi des pertes à l’armée américaine. Cela permit aussi à la commune d'échapper à un bombardement plus important.
Le , Morsalines fusionne avec Quettehou pour créer la commune nouvelle de Quettehou par arrêté préfectoral du [16]. Les deux anciennes communes sont devenues des communes déléguées du au .
Politique et administration
Démographie
En 2018, la commune comptait 205 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2005, 2010, 2015, etc. pour Morsalines[19]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 1]. Morsalines a compté jusqu'à 701 habitants en 1806.
Économie
À la fin du XIXe siècle, les familles du Rivage vivent de la pêche embarquée ou à pied[22].
Lieux et monuments
Le rivage
Morsalines a donné son nom à la baie située à l'ouest de la Hougue.
Le rivage de la commune est contigu à celui de Quettehou. Il est en partie bordé d'habitations, villégiatures cossues, dont certaines sont inspirées par l'esthétique balnéaire normande, mais étrangère au Cotentin, ou d'anciennes maisons de pêcheurs réhabilitées[23]. Il offre un panorama sur la presqu'île de la Hougue et son fort. Son littoral a attiré de nombreux peintres tels qu'Antoine Guillemet, Georges Moteley, Marie-Joseph Iwill ou Maurice Pigeon[23]. En 1905, Charles Frémine décrivait ainsi son rivage, avec ses « rudes assises de granit, des murs de forteresses, des amas de galets, tout un noir pêle-mêle de madriers, de pieux et de brise-lames » et la trame d'un « dédale de ruelles sablonneuses, de cours à canards, de passage enchevêtrés »[13].
L'estran est particulièrement étendu à cet endroit (2 km environ), et on peut, par grandes marées, traverser la baie à pied. On y trouve divers fruits de mer et notamment des coques, des bigorneaux et des couteaux. La baie de Morsalines fait également l'objet d'ostréiculture, mais les parcs sont localisés en dehors des abords du rivage.
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Le rivage à marée basse.
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Le rivage à marée haute.
L'église Notre-Dame
L'église Notre-Dame dépend, aujourd'hui, du doyenné de Valognes-Val-de-Saire. Son clocher à encorbellement sans flèche et qui a l'aspect d'un donjon pourrait avoir eu une fonction défensive. Il daterait du XIe ou XIIe siècle, mais serais sans doute contemporain de celui de Quettehou (fin XVe siècle)[15] et a été modifié au XVIIe siècle.
Le chœur et la nef datent du XVIIe siècle.
La construction de la chapelle du Rosaire remonte à 1674. Cette chapelle a été voûtée en 1682. Des travaux ont été effectués de 1668 à 1704 sous le pastorat de Jean Touzard, curé de Morsalines. En 1740, d’importants travaux de restauration ont encore été effectués : une partie du mobilier, des chapelles latérales ainsi qu'une chapelle pour la sacristie ont été ajoutés. Ces travaux ont été entrepris sous le pastorat du curé de Morsalines, Nicolas Massieu.
L’église est inscrite aux monuments historiques depuis 1994[24]. La commune et l'association de sauvegarde de l'église de Morsalines ont entrepris des travaux de restauration dans les chapelles du Rosaire et Sainte-Barbe, dans le chœur et la nef. À l'intérieur, le retable est classé au titre objet aux monuments historiques[25]. Il fut exécuté en 1740.
Sur les côtés, se trouvent deux statues en terre cuite de Valognes, l’une de saint Blaise l’autre de saint Maur. Les autels des deux chapelles sont remarquables. Au-dessus de l’autel, une statue polychrome de sainte Barbe veille sur sa chapelle. Cette statue du XVe siècle en pierre est également classée[26].
On peut voir, gravées dans la pierre à l'extérieur de l’église, des représentations de navires. Ces graffitis marins datent du XVIIe ou XVIIIe siècle. Certains sont gravés sur la clôture du cimetière. Le plus grand se trouve sur le contrefort d’un pilier de l'entrée du cimetière donnant sur l'avenue de la Peinterie et représente une caravelle (XVIe)[27]. Ces graffitis constitueraient des ex-votos correspondant à une demande de protection ou à une action de grâce à la suite d'un sauvetage en mer, au retour d’un long voyage…
La Peinterie
Cette ferme-manoir date du XVIIe siècle, elle possède une échauguette sur la maison d'habitation et une autre sur une dépendance. Dans la cour de l'habitation se trouve un puits fontaine couvert qui daterait de la construction antérieure. Elle est construite sur le site d'un ancien manoir, dépendant de l'abbaye de Montebourg, où le roi anglais Édouard III aurait établi son camp après son débarquement à la Hougue en 1346[13],[28].
La redoute
Morsalines comportait jadis un ensemble de deux redoutes actuellement détruites, et dont ne subsistent que les soubassements. Ces restes ont servi aux Allemands durant la Seconde Guerre mondiale pour y établir un des bunkers de la batterie de Morsalines. Les redoutes étaient de petits ouvrages fortifiés édifiées sous Louis XIV qui servaient à la surveillance et la défense des côtes. Plusieurs redoutes existaient entre Morsalines et Quinéville. La grande redoute bâtie en 1688 sera désarmée en 1856 et rasée par les allemands en 1942[15].
Les batteries de Morsalines
Durant la Seconde Guerre mondiale, la batterie de la Pinoterie située à une altitude de 80 m[29] à flanc de colline, au nord du phare actuel où se trouvait un poste de direction de tir, construite dès 1941, était la plus ancienne de la côte orientale du Cotentin. Elle se composait de six pièces françaises de 155 mm datant de la Première Guerre mondiale, installées à l’air libre sur des aires bétonnées. En raison de leur portée, elles pouvaient atteindre le secteur de Varreville, où les Américains avaient choisi de débarquer.
Le logement des officiers devait se situer probablement dans l'ancien fort de Grenneville (Crasville)[29].
Assez astucieusement camouflée, la batterie échappa longtemps à l’attention des Alliés, mais finit par subir en un bombardement dévastateur qui détruisit ou endommagea la moitié de ses canons. Elle fut alors déplacée en retrait.
En raison de cette nouvelle position et du fait que les Américains, par erreur, prirent pied le sur une plage située deux kilomètres au sud de l’endroit prévu, la batterie de Morsalines ne put en rien entraver les opérations de débarquement. Devenus inutiles sur place, ses canons furent transportés à l’intérieur de la forteresse de Cherbourg.
Au lieu-dit la Redoute, à l'emplacement de la grande redoute de Morsalines (1688), subsistent les vestiges d'un blockhaus[15].
Le phare des Arquets
Situé dans les prés, à 800 mètres du rivage et à 70 mètres d'altitude, il fut reconstruit en 1955 un peu plus à l'est après la destruction lors de la Seconde Guerre mondiale par les Allemands de l'ancien phare qui servait de repère pour l'aviation alliée[15].
Le phare de Morsalines participe au balisage de la rade de Saint-Vaast-la-Hougue. Il est accroché à la colline un peu en retrait de la côte. Sa lanterne peinte en vert est disposée de manière excentrée au sommet d'une tour octogonale blanche en béton armé.
La hauteur de sa tour est de 13 mètres. Sa portée est de 11 milles pour le secteur blanc et de 8 milles pour les secteurs rouges et verts. Il forme avec le feu du fort de la Hougue un alignement pour accéder à la baie de Morsalines.
Ancienne ligne de chemin de fer
La gare de Morsalines était une halte de l'ancienne ligne de Valognes Montebourg à Saint-Vaast et à Barfleur (déclassée). Le tracé de la voie est encore partiellement visible, l'ancien bâtiment de la route de la Baie est devenu une habitation privée.
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L'ancienne gare de Morsalines.
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Vue actuelle.
Autres lieux et monuments
Croix de chemin dite la Petite Croix (XIXe siècle), croix de cimetière (XVIIe siècle), et graffiti dans le cimetière représentant un navire (XVIIIe siècle) et lavoir.
Patrimoine disparu
Trois moulins étaient situés sur le territoire communal.
Personnalités liées à la commune
À partir de 1881, le peintre Antoine Guillemet a représenté de nombreuses fois la baie de Morsalines. Le peintre Adolphe La Lyre a lui aussi produit quelques tableaux représentant le rivage de Morsalines.
Le tableau de Félix Buhot intitulé Morsalines se réfère également à la commune.
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La Lyre, Morsalines, descente vers la grève.
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Félix Buhot, Morsalines.
Voir aussi
Bibliographie
- Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 154.
- René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 424.
- Maurice Lecœur (photogr. Christine Duteurtre), Val de Saire, Isoète, , 173 p. (ISBN 978-2-9139-2076-7), p. 58-59.
- Edmond Thin, Le Val de Saire : Trésors d'un jardin du Cotentin sur la mer, Éditions OREP, , 165 p. (ISBN 978-2-915762-82-2), p. 51-55.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Résumé statistique de Morsalines sur le site de l'Insee
- Morsalines : Histoire, légendes et cartes postales
Notes et références
Notes
- Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
Références
- Altitudes, coordonnées, superficie : répertoire géographique des communes 2012 (site de l'IGN, téléchargement du 24 octobre 2013)
- « RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
- « Mariage entre Morsalines et Quettehou : c'est oui », sur ouest-france.fr, 20 septembre 201 8 (consulté le ).
- Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
- Sandre, « Fiche cours d'eau le Godey(I4--0200) ».
- « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Guénégaud, .
- François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p. 164.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 151.
- Site du CNRTL : étymologie de salin.
- André Plaisse, La grande chevauchée guerrière d'Édouard III en 1346, Cherbourg, Éditions Isoète, , 111 p. (ISBN 2-905385-58-8), p. 44.
- Gautier 2014, p. 424.
- Thin 2009, p. 52.
- Delattre, 2002, p. 154.
- Thin 2009, p. 53.
- « RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
- « Morsalines (50630) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
- Nom officiellement enregistré par la préfecture : « Liste des maires de la Manche au 8 avril 2014 » [PDF], sur manche.gouv.fr, préfecture de la Manche (consulté le ).
- Date du prochain recensement à Morsalines, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
- Thin 2009, p. 29.
- Thin 2009, p. 51.
- « Église », notice no PA00132689, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Retable du maître-autel, lambris de revêtement des portes de la sacristie », notice no PM50000729, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- « Statue : Sainte Barbe », notice no PM50000728, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Thin 2009, p. 27.
- Lecœur 2009, p. 59.
- Thin 2009, p. 23.