Mouvement libéral (Lituanie)
Mouvement libéral de la République de Lituanie (lt) Lietuvos Respublikos liberalų sąjūdis | |
Image illustrative de l’article Mouvement libéral (Lituanie) Logotype officiel. | |
Présentation | |
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Président | Eligijus Masiulis |
Fondation | |
Siège | Vilnius (Lituanie) |
1er vice-président | Gintaras Steponavičius |
Idéologie | Centre-droit Libéralisme, conservatisme libéral |
Affiliation européenne | ELDR |
Couleurs | Orange, noir, gris |
Site web | http://www.liberalai.lt |
Présidents de groupe | |
Seimas | Algis Kašeta |
Parlement européen | Guy Verhofstadt (ADLE) |
Représentation | |
Députés | 12 / 141 |
Députés européens | 1 / 12 |
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Le Mouvement libéral de la République de Lituanie (Lietuvos Respublikos liberalų sąjūdis, en lituanien, LRLS) est un parti politique libéral lituanien, fondé en 2006 par Petras Auštrevičius.
Historique
Fondation
En , sept députés, membres de l'Union centriste et libérale (LiCS), fondée en 2003, publient un manifeste pour la transparence, la démocratie et la liberté, en forme de critique contre Artūras Zuokas, président de la LiCS. À peine trois mois plus tard, le , se réunit le congrès fondateur du LRLS, qui porte Petras Auštrevičius, l'un des sept députés, à la présidence de la nouvelle formation.
Premiers résultats
Après avoir remporté seulement 3 % des voix aux élections locales de 2007, le LRLS choisit comme président, en , Eligijus Masiulis, jeune député de 33 ans. Le mois suivant, aux élections législatives, la formation obtient 5,7 % des suffrages exprimé et 11 députés sur 141, juste devant la LiCS.
Il négocie ensuite sa participation à la coalition d'Andrius Kubilius, avec l'Union patriotique - Chrétiens-démocrates lituaniens (TS-LKD), le Parti de la résurrection nationale (TPP) et la LiCS. Le LRLS se voit attribuer les ministères des Transports, de l'Éducation, et de la Justice, ce dernier étant confié à un indépendant.
À l'occasion des élections européennes de , il remporte 7,1 % des voix et un député sur 13, contre 3,3 % et aucun siège pour la LiCS. Toutefois, aux élections locales de 2011, il se contente de 6,4 % des suffrages, un point et demi de moins que son adversaire libéral.
Le 28 octobre 2012, il obtient dix députés au Seimas en léger recul par rapport aux précédentes législatives.