Jacques Mézard
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| Jacques Mézard | |
| Illustration. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation | |
| En fonction depuis le (7 ans, 4 mois et 22 jours) |
|
| Président | Emmanuel Macron |
| Gouvernement | Philippe |
| Prédécesseur | Stéphane Le Foll |
| Sénateur du Cantal | |
| – (8 ans, 7 mois et 16 jours) |
|
| Élection | 21 septembre 2008 |
| Prédécesseur | Roger Besse |
| Président du Groupe RDSE au Sénat | |
| – (5 ans, 7 mois et 16 jours) |
|
| Élection | |
| Prédécesseur | Yvon Collin |
| Président de la CA du Bassin d'Aurillac | |
| En fonction depuis le (23 ans, 6 mois et 20 jours) |
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| Réélection | 18 septembre 2008 30 mars 2014 |
| Conseiller général du Cantal Élu dans le Canton d'Aurillac 4 | |
| – (14 ans, 6 mois et 3 jours) |
|
| Prédécesseur | Jean-Philippe Maurs |
| Successeur | Philippe Maurs |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Aurillac |
| Parti politique | PRG Groupe: RDSE |
| Profession | Avocat |
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Jacques Mézard, né le à Aurillac, est un homme politique français. Membre du Parti radical de gauche, il est sénateur du Cantal depuis septembre 2008 et ministre de l'Agriculture depuis le .
Biographie
Avocat honoraire, conseiller municipal d'Aurillac et président de l'agglomération du bassin d'Aurillac, il est élu sénateur du Cantal le [1] et président du groupe RDSE en .
Fin , il prend l'initiative de réunir les signatures de parlementaires nécessaires pour soumettre au Conseil constitutionnel le contrôle de la conformité à la constitution de la loi réprimant « la contestation de l'existence des génocides reconnus par la loi », loi de caractère général, mais concernant en particulier le génocide arménien ; le recours est signé par 82 parlementaires émanant de divers groupes politiques. Le , cette loi est jugée contraire à la constitution par le Conseil constitutionnel[2].
Son fils, Maximilien, ancien assistant parlementaire de Jean-Michel Baylet, a été conseiller technique chargé de la justice et des institutions au cabinet d'Anne-Marie Escoffier, ministre déléguée chargé à la Décentralisation.
Le , il obtient 13 voix au premier tour de l'élection du président du Sénat.
Il soutient Emmanuel Macron, candidat du mouvement En marche !, pour l'élection présidentielle de 2017[3].
Le , il devient ministre de l'Agriculture du gouvernement Édouard Philippe.
Mandats électifs
- Sénateur, président du groupe Rassemblement démocratique et social européen
- Conseiller municipal d'Aurillac, conseiller communautaire et président de la Communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac
Anciens mandats
- Adjoint au maire d'Aurillac
- Conseiller général du Cantal (élu dans le canton d'Aurillac 4)
Voir aussi
Articles connexes
- Communauté d'agglomération du bassin d'Aurillac
- Élections sénatoriales de 2008 dans le Cantal
- Élections sénatoriales de 2014 dans le Cantal
- Liste des sénateurs du Cantal
Liens externes
Notes et références
- Sénatoriales 2008 dans le Cantal sur le site du Sénat
- « Le sénateur qui a surpris Sarkozy », La Montagne, 2 mars 2012.
- [1]
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