Hostun
Hostun | |||||
Avenue des Marronniers. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Bruno Vitte 2020-2026 |
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Code postal | 26730 | ||||
Code commune | 26149 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Hostunois, Hostunoises | ||||
Population municipale |
1 029 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 56 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 02′ 25″ nord, 5° 11′ 55″ est | ||||
Altitude | Min. 196 m Max. 1 133 m |
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Superficie | 18,24 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Vercors-Monts du Matin | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | hostun.fr | ||||
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Hostun est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
Localisation
Hostun est situé à 15 km à l'est de Romans-sur-Isère.
Eymeux | Eymeux La Baume-d'Hostun |
La Baume-d'Hostun | ||
Jaillans | N | Rochechinard | ||
O Hostun E | ||||
S | ||||
Jaillans Beauregard-Baret |
Beauregard-Baret | Rochechinard Beauregard-Baret |
Relief et géologie
Sites particuliers[1] :
- Bramefam (1010 m) ;
- Col des Cordeliers (987 m) ;
- Col des Marchands (954 m) ;
- les Grands Essarts (993 m).
Géologie
Hydrographie
La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
- le Bessey ;
- Ravin de Laya ;
- Ravin des Coulères.
Climat
Urbanisme
Typologie
Hostun est une commune rurale (car elle fait partie des communes peu ou très peu denses) au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
La commune est hors attraction des villes[5],[6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,7 %), terres arables (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (16,9 %), cultures permanentes (4,4 %), mines, décharges et chantiers (3,1 %), prairies (2,7 %), zones urbanisées (1,7 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Quartiers, hameaux et lieux-dits
Site Géoportail (carte IGN)[1] :
- Boulogne
- Flandrin
- la Chardonnière
- la Fournache
- la Grange des Prés
- la Grange Neuve
- la Maison Blanche
- la Roche
- la Teppe
- le Bessey
- le Château
- le Dégoutoux
- le Pertus
- le Pouet
- les Actes
- les Arbods
- les Berthonnettes
- les Bruyères
- les Cognets
- les Combes (nord)
- les Combes (sud)
- les Coqs
- les Diacques
- les Fauries
- les Ferrands
- les Fraisses
- les Guerbys
- les Marchands
- les Merles
- les Perrets
- les Perrières
- les Perrots
- les Plats
- les Royannais
- les Seilles
- les Tortelons
- les Vignons
- le Verger
- Mottet
- Noyeratte
- Perdriot
- Pré des Fourmis
- Saint-Benoît
- Saint-Martin
- Saint-Maurice
- Trappet
Logement
Projets d'aménagement
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D 125, D 125a, D 325, D 425 et D 532[1].
L'autoroute A 49 passe au nord-ouest de la commune ; le péage le plus proche est sur la commune voisine de La Baume-d'Hostun[1].
Risques naturels et technologiques
Risques sismiques
Autres risques
Toponymie
Attestations
Dictionnaire topographique du département de la Drôme[8] :
- XIe siècle : mention de l'église Saint-Martin : Sanctus Martynus ecclesia Ostum (cartulaire de Romans, 226).
- 1170 : Osteon (cartulaire des hospitaliers, 6).
- 1178 : Osteu (cartulaire de Léoncel, 27).
- 1195 : Ostiun (cartulaire de Léoncel, 58).
- 1202 : Ostaeu (cartulaire des hospitaliers, 51).
- 1207 : Ostehum (cartulaire des hospitaliers, 62).
- 1214 : Austeun (cartulaire des hospitaliers, 46).
- 1215 : Oustau (cartulaire des hospitaliers, 77).
- 1232 : Hostium (cartulaire de Léoncel, 111).
- 1238 : mention du château : castrum Augustidini (Gall. christ., XVI, 114).
- 1240 : mention du château : castrum de Hosteun (cartulaire de Romans, 370).
- 1249 : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini d'Austeu (cartulaire de Léoncel, 162).
- 1263 : de Octuduno (cartulaire de Léoncel, 212).
- 1266 : mention du château : castrum d'Auteu (cartulaire de Léoncel, 225).
- 1293 : Outuon (inventaire des dauphins, 1708).
- 1293 : mention de l'église Saint-Martin : ecclesia Sancti Martini de Æstuno (cartulaire de Saint-Robert, 12).
- 1294 : Housteunum et Houstadunum (inventaire des dauphins, 1707 et 1709).
- 1300 : mention du château : castrum de Hosteduno (inventaire des dauphins, 1709).
- 1300 : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini Hostunduno (cartulaire de Saint-Robert, 19).
- 1327 : mention du château : castrum Austheduni (inventaire des dauphins, 42).
- 1334 : Ostedunum (inventaire des dauphins, 232).
- 1334 : mention du château : castrum Ostoduni (inventaire des dauphins, 48).
- 1359 : Hostendunum (cartulaire de Romans, pièces just., 19).
- XIVe siècle : mention du prieuré Saint-Martin : prioratus Sancti Martini de Hostuduno (pouillé de Valence).
- XVe siècle : mention du prieuré : prioratus Hosteduni (pouillé de Valence).
- XVe siècle : mention du château : Ostuns (terrier de Parnans).
- 1430 : Otun (doc. inédits, 359).
- 1515 et 1540 : mention de la paroisse : cura Hosteduni (rôle de décimes).
- 1584 : Aultun (mémoires d'Eustache Piémond, 193).
- 1630 : Autung (archives de la Drôme, E 793).
- 1666 : Autun (archives de la Drôme, E 2428).
- 1891 : Hostun, commune du canton de Bourg-de-Péage, dont le chef-lieu est au village de Saint-Martin-d'Hostun.
Étymologie
Le toponyme est vraisemblablement issu du gallo-latin Augustus et -dunum[réf. nécessaire].
- Cf. Augustodunum (Autun, dans le Morvan), cité fondée durant le règne d'Auguste (son nom signifie « la forteresse d'Auguste » (voir article dun).
Histoire
Antiquité : les Gallo-romains
L'étymologie August- et -dunum laisse supposer une implantation gallo-romaine[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
La seigneurie[8] :
- Au point de vue féodal, Hostun était une terre (ou seigneurie) du fief des dauphins.
- La plus grande partie appartient dès le XIIIe siècle à une famille de son nom.
- Les Hostun acquièrent le reste des Chevanas, des Guélin de Rochechinard et d'autres coseigneurs.
- 1615 : les biens de la branche ainée des Hostun passent (par mariage) aux Lionne.
- 1713 : Hostun est vendu au maréchal de Tallart. Ce dernier avait déjà obtenu, en 1712, l'érection en duché (sous le nom d'Hostun) des terres de la Baume-d'Hostun, la Motte-Fanjas, Oriol-en-Royans, Saint-Jean-en-Royans, Saint-Just-de-Claix, Saint-Martin-le-Colonel, Saint-Nazaire-en-Royans et Saint-Thomas en duché, sous le nom d'Hostun. Il y fit donc entrer la terre d'Hostun, ainsi que celle d'Eymeux.
- 1715 : le maréchal obtient l'élévation du duché en duché-pairie
- 1755 : faute d'héritier mâle, le duché d'Hostun passe (par héritage) aux Sassenage.
- Il passe (par mariage) aux Bruck, aux Talarn et aux Bérenger, peu de temps avant la Révolution.
1789 (démographie) : 134 chefs de familles[8].
Avant 1790, Hostun était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du ressort de la justice du duché-pairie d'Hostun dont le siège était à Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à saint Martin, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît connu dès 1248 et placé en 1293 dans la dépendance du prieuré Saint-Robert-de-Cornillon, près de Grenoble. Le titulaire de ce prieuré était collateur et décimateur dans la paroisse d'Hostun[8].
De la Révolution à nos jours
En 1790, Hostun devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans comprenant les municipalités de Hostun, Beauregard, Crispalot, la Baume-d'Hostun et Saint-Nazaire-en-Royans. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Bourg-de-Péage, formant (en 1891) deux paroisses dites de Saint-Martin et de Saint-Maurice[8].
Le vieux village d'Hostun était situé en hauteur. Au cours des XVIIIe et XIXe siècles, l'habitat commence à descendre et à s'établir dans la plaine, au lieu-dit Saint-Maurice.
En 1839, le curé proposa le déménagement de la paroisse, d'autant que la vieille église était en piteux état. Cela provoqua la révolte des habitants du haut village, conduits par un bourgeois voltairien, ce qui bloqua le conseil municipal pendant dix ans.
En 1847, le prêtre fut chassé de son presbytère.
La révolution de février 1848 permit la nomination d'un nouveau prêtre et le début des travaux. Le parti haut incendia le chantier, puis se détermina à passer au calvinisme. Une maîtresse d'école protestante fut nommée.
Pour éviter de tout perdre, l'évêque créa deux paroisses.
Finalement, en 1864, un débat public permit la résolution du conflit[9].
Politique et administration
Tendance politique et résultats
Administration municipale
Liste des maires
Rattachements administratifs et électoraux
Politique environnementale
La commune dispose d'une déchèterie[11],[1].
Finances locales
Jumelages
Population et société
Démographie
En 2021 , la commune d’Hostun comptait 1029 habitants.
Au XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Les autres chiffres sont des estimations[réf. nécessaire].
Services et équipements
Enseignement
Santé
Manifestations culturelles et festivités
- Fête communale : dimanche de la mi-Carême[14].
- Les Hostunois organisent plusieurs jours de festivité dont un corso de chars décorés avec des fleurs de papier. Autrefois les conscrits fabriquaient leur char et défilaient sur l'avenue des Marronniers[réf. nécessaire].
- La commune est composée de deux hameaux qui ont chacun un président. Ces derniers distribuent les spécialités régionales à la mi-Carême[réf. nécessaire].
- Fête patronale : 22 septembre[14].
Loisirs
Sports
Médias
Cultes
Économie
Agriculture
En 1992 : céréales, vergers, bovins, caprins[14].
- La noix de Grenoble (Appellation d'Origine Contrôlée)[réf. nécessaire].
- Aviculture[réf. nécessaire].
- Coopérative agricole[14].
- Produits locaux : les bugnes et le foujou (fromage à tartiner à base de tomme de chèvre)[réf. nécessaire].
Industrie
- Carrières de kaolin[14] et de sable exploitées par une seule entreprise, la Sibelco, d'origine belge et exploitant de nombreuses carrières dans le monde. Elle emploie une trentaine de personnes sur le site d'Hostun, quartier Les Merles[réf. nécessaire].
Tourisme
Le tourisme est une activité en plein essor sur la commune, l'hébergement rural sous forme de gîtes ou de chambres d'hôtes offrant une centaine de lits sur la commune[réf. nécessaire].
Revenus de la population et fiscalité
Emploi
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le Mottet : Motte castrale, emplacement du château médiéval d'Hostun rasé[16].
- Château féodal Saint-Martin : remanié[14].
- Château de la croix avec mâchicoulis du XVe siècle[réf. nécessaire].
- Maisons anciennes à Saint-Martin[14].
- Vierge du Mottet[réf. nécessaire].
- Crèche populaire sous verre (objet classé)[14].
- Église Saint-Maurice du XIXe siècle à Saint-Maurice[14].
- Église Saint-Martin d'Hostun. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 1978[17].
Patrimoine culturel
- Orchestre d'harmonie des « Enfants d'Hostun »[réf. nécessaire].
Citations littéraires
Des membres de la Maison d'Hostun sont cités dans des œuvres littéraires :
- Dans le roman de Guy Allard, Un tournoi à Romans en 1484 (1673), deux membres de la maison d'Hostun figurent parmi les participants au tournoi, notamment Charles d'Hostun dont on apprend qu'il se rendit à Rochechinard pour rencontrer Djem, rival malheureux de son frère Bajazet II dans la succession de leur père, le sultan ottoman Mehmed II.
- Catherine de Bonne, épouse de Roger d'Hostun, marquis de la Baume-d'Hostun, est citée dans la correspondance de Madame de Sévigné et les Mémoires de Roger de Bussy-Rabutin.
- Dans sa correspondance, madame de Sévigné accorda une place de choix à Roger de Bussy-Rabutin, son cousin. Cependant, dès 1668, le ton de l'échange se tend à cause du portrait désagréable que Bussy fit de sa cousine dans son Histoire amoureuse des Gaules. Cependant, il avait de l'estime pour sa cousine et aurait préféré qu'elle ne lise pas ce texte qui était alors à l'état de manuscrit. Dans ses Mémoires, Bussy expliquera qu'il eut l'imprudence de laisser ce manuscrit à madame de la Baume, en 1662, alors qu'il lui rendait visite au couvent de la Miséricorde, à Lyon, où son mari la tenait enfermée afin de mettre un terme à ses écarts de conduite. Bussy céda à sa demande et lui laissa lire le manuscrit. Contrairement à sa promesse, madame de la Baume le recopia et plusieurs exemplaires du manuscrit finirent ainsi par circuler. L'un atterrit entre les mains de madame de Sévigné qui, dans sa lettre du , raconte l'événement : Il y eut des gens qui me dirent en ce temps-là : « J'ai vu votre portrait entre les mains de Madame de la Baume, je l'ai vu ». Je ne réponds que par un sourire dédaigneux, ayant pitié de ceux qui s'amusaient à croire à leurs yeux. « Je l'ai vu », me dit-on encore au bout de huit jours, et moi de sourire encore. [...] Et je demeurai cinq ou six mois de cette sorte, faisant pitié à ceux dont je m'étais moquée. Enfin le jour malheureux arriva où je vis moi-même, et de mes propres yeux bigarrés, ce que je n'avais pas voulu croire. Si les cornes me fussent venues sur la tête, j'aurais été moins étonnée.
Patrimoine naturel
Personnalités liées à la commune
- La Maison d'Hostun, notamment Camille d'Hostun (1652-1728) qui deviendra maréchal de France (1703), duc d'Hostun (1712), pair de France (1715) et président de l'Académie des sciences (1724). Ce militaire prendra notamment part à la bataille de Blenheim () lors de la guerre de Succession d'Espagne.
- Philippe Clave (1916-1996), issu d'une des vieilles familles du village : général d'armée, gouverneur militaire de Paris de 1973 à 1975.
- Jacques Terpant (né à Hostun, en 1957) : illustrateur et auteur de bandes dessinées. Il réside à Hostun.
Héraldique, logotype et devise
Blason | De gueules à la croix engrêlée d'or[18]. |
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Détails | Armoiries de la maison d'Hostun, ayant tenu la localité à fief pendant plusieurs siècles. Adopté par la municipalité. |
Annexes
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel
- Hostun sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- https://www.geoportail.gouv.fr/
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 177 (Hostun).
- Peter M. Jones, Quelques formes élémentaires de la vie religieuse dans la France rurale (fin XVIIIe et XIXe siècles, Annales, Économies, Sociétés, Civilisations. Volume 42, no 1, 1987, p. 97-99.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
- https://www.valenceromansagglo.fr/fr/au-quotidien/dechets/les-decheteries/hostun-l-ecanciere.html.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Hostun.
- Le Monde merveilleux des Lutins - Le Monde des Lutins : https://mondedeslutins.fr/ consulté le 27 avril 2022.
- « Le village d'Hostun - Commune d'Hostun », sur hostun.fr (consulté le )
- « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Hostun (Drôme) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).