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Bréal-sous-Montfort

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Bréal-sous-Montfort
Bréal-sous-Montfort
Église Saint-Malo de Bréal-sous-Montfort.
Blason de Bréal-sous-Montfort
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Communauté de communes de Brocéliande
Maire
Mandat
Bernard Éthoré (LR)
2020-2026
Code postal 35310
Code commune 35037
Démographie
Gentilé Bréalais
Population
municipale
6 469 hab. (2021 en évolution de +11,25 % par rapport à 2015en évolution de +11,25 % par rapport à 2015)
Densité 191 hab./km2
Population
agglomération
15 104 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 55″ nord, 1° 51′ 55″ ouest
Altitude 50 m
Min. 19 m
Max. 82 m
Superficie 33,82 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bréal-sous-Montfort
(ville isolée)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Rheu
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bréal-sous-Montfort
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Bréal-sous-Montfort
Liens
Site web www.brealsousmontfort.fr

Bréal-sous-Montfort est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Géographie

Localisation

La commune de Bréal-sous-Monfort est située à environ 15 km de Rennes sur l'axe Rennes-Lorient. Elle est traversée par un cours d'eau: le Meu. Les communes voisines sont : Saint-Thurial, Baulon, Goven, Le Verger, Mordelles.

Communes limitrophes de Bréal-sous-Montfort
Le Verger Mordelles
Saint-Thurial Bréal-sous-Montfort
Baulon Goven

Bréal-sous-Monfort n’est limitrophe de Baulon que sur une cinquantaine de mètres. Par contre, la commune n’est pas limitrophe de Chavagne dont la frontière est distante de deux cents de mètres environ.

Traditionnellement, la commune fait partie du Pays pourpre.

Géologie et relief

Hydrographie

Le Meu constitue la frontière nord-est de la commune, la séparant de Mordelles. De nombreux étangs sont situés le long du Meu. Il a plusieurs petits affluents : le ruisseau de la Roche, le ruisseau de la Chaise, le ruisseau de Rohuel, le ruisseau de la Crublais, etc.

L’étang de la Roche se trouve au sud de la commune, non loin du bourg de Goven. Il se déverse dans le ruisseau de la Roche.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 12,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 732 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,1 °C pour 1981-2010[10], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[11].

Urbanisme

Typologie

Bréal-sous-Montfort est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bréal-sous-Montfort, une unité urbaine monocommunale[15] de 6 131 habitants en 2017, constituant une ville isolée[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[18],[19].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,7 %), terres arables (34,3 %), prairies (8 %), forêts (7,4 %), zones urbanisées (4,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %), eaux continentales[Note 7] (1,7 %)[20].

Étudier le territoire

L'IGN met à disposition en ligne les outils "Géoportail" ainsi que "IGN - Remonter le temps".

  • "Géoportail" permet de localiser des lieux précis et d'utiliser différentes cartes thématiques (cadastre, limites administratives, géologie, photographies aériennes, carte de Cassini, carte d'état-major etc.) afin de situer ce lieu dans son contexte[21].
  • "IGN - Remonter le temps" : La page "Comparer" permet de comparer une carte directement avec une photographie aérienne actuelle ou du passé, une carte ancienne etc. Sur la page "Télécharger", il est possible d'étudier des photographies aériennes depuis 1947 (Pour sélectionner un secteur, cliquer sur un point jaune dans la zone jaune transparent).[22]

Le Cadastre napoléonien (mis en œuvre entre 1807 et 1848) peut être consulté sur le site des Archives départementales d'Ille-et-Vilaine. Il permet de se faire une idée de l'occupation du sol et de l'habitat à Bréal-sous-Montfort vers 1824[23].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Breal en 1154, Parochia de Breal en 1157, ecclesia de Breial en 1202[24]. D'après Hervé Abalain[25], le nom de "Bréal" a évolué depuis le mot du vieux français breuil qui viendrait du gaulois brogilo et signifierait "petit bois entouré d'une haie ou d'un mur". Pour le distinguer de Bréal-sous-Vitré, la déterminantion "sous-Montfort" a été ajoutée, peut-être avec la création de la sous-préfecture de Montfort-sur-Meu en 1800 qui a été supprimée en 1926.

Histoire

Préhistoire

Des habitations existaient probablement depuis le néolithique dans la région de Bréal-sous-Montfort. Car "l’inventaire des découvertes anciennes, trop souvent mal localisées, montre une concentration des indices d’occupation néolithique"[26], à l’est de Guer. "En revanche, seules les communes de Campel, au lieu-dit le Moulin du Rocher, et Maxent, aux Champs Haras – la Pierre droite, présentent de rares menhirs."

Plusieurs dépôts de l’Age de Bronze ont été découverts dans la région dont un à Bréal-sous-Montfort.[27]

Antiquité gauloise et gallo-romaine

Des prospections archéologiques ont révélé la présence de matériel de l’époque gauloise dès IIe et Ier siècle av. J.-C. A partir des années 1970 à 1980, des prospections aériennes ont "révélé de nombreux enclos [des époques gauloise et gallo-romaine] à fossés comblés […]" entre autres dans le secteur de Bréal-sous-Montfort. "Ces fermes, à l’origine ceinturées par des réseaux de clôtures comprenant des fossés, des talus et des palissades, renfermaient des bâtiments de petites dimensions, construits avec des matériaux périssables (bois, pisé, torchis). Les recherches aériennes montrent surtout une occupation généralisée de ces espaces privilégiés plutôt fertiles, à la fin de l’Âge du Fer"[28], ce qui correspond à la période de la Tène qui s’achève avec la conquête romaine en 56 av. J.-C. lors de la bataille du Morbihan.

A plusieurs reprises, des sites gallo-romains sur le territoire de la commune ont été prospectés à partir des années 1970-1980. De manière générale, « la découverte de nombreux sites à tuiles (tegulae, imbrices) mais également d’enclos montre une occupation particulièrement dense des vallées de l’Aff et du Meu mais aussi, dans une moindre mesure, du plateau de Guichen. » A Bréal une importante villa ainsi qu’un sanctuaire ont été identifiés au lieu-dit actuel de la Bouëxière.[29] Les résultats des prospections menées à Bréal-sous-Montfort sous l’égide de la Direction des Antiquités de Bretagne sont publiés dans un rapport en 1988[30]. Sur le territoire de Bréal-sous-Montfort, cinq sites (lieux-dits des Ponciaux, de la Bouëxière, de la Vallée Régnier, du Four Rouge et du Grand Tertre) ont été prospectés.

Lieu-dit/site précis Type de prospection Nature du site Vestiges immobiliers Vestiges mobiliers
Les Ponciaux / Le bois Guérin Au sol et aérienne Four à tuiles [?] gallo-romain Fosse, four à tuiles et briques probable Tuiles, briques, raté[31] de cuisson
La Bouëxière Au sol Villa gallo-romaine [?] Villa ( ?), murs Tuiles poteries, monnaies
La Vallée Régnier Au sol Gisement de tegulae Tuiles
Le Four Rouge Au sol Gisement de tegulae Tegulae
Le Grand Tertre Au sol Gisement de tegulae Tegulae, moellons

Une prospection inventaire a été réalisée en 1998 dans le bassin de Rennes, permettant de détecter plusieurs sites inédits. La découverte la plus importante était le site des Janiaux au nord-est de la commune, car il s'agit d'un "site gallo-romain très étendu. La présence de nombreux fragments de tubuli et de moellons laissent soupçonner la présence d’une villa"[32]


L'INRAP a révélé la présence de sanctuaires gaulois dès IIe et Ie siècle av. J.-C. ainsi qu'une occupation gallo-romaine conséquente près du site de La Bouexière, avec la découverte de deux fanum, de villas ou d'une domus, ainsi que des poteries, pièces et fresques datée d'entre le IIe et le IIIe siècle.

Moyen Âge

Bréal est mentionnée pour la première fois en 1152, dans un acte de Jean de la Grille, évêque de Saint-Malo, qui faisait don de l'église de Bréal au chapitre cathédral de Saint-Malo[33].

Le prieuré Sainte-Madeleine dépendait de l'abbaye de Paimpont. Bréal avait le statut de ville au Moyen Âge, ce qui lui donnait le droit de haute justice. La ville possédait son auditoire et sa prison. La seigneurie de Bréal proviendrait peut-être d'un démembrement de la baronnie de Lohéac. Les nombreux manoirs et les maisons à pan de bois du bourg témoignent du développement médiéval de Bréal.

Époque moderne

Le 13 août 1532, François dauphin de France, fils de Claude de France et François Ier passèrent la nuit à Bréal. Le lendemain, il fut couronné duc de Bretagne à Rennes. Les armes de la commune de Bréal reprennent celles de François.

Époque contemporaine

En 1860, Bréal devient Bréal-sous-Montfort.

Héraldique

Blason Blasonnement :
Écartelé, au premier et au quatrième d’or à un dauphin d’azur, allumé et oreillé d’argent, au deuxième et au troisième d’hermine plain.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1848 1850 Théodore du Boberil    
1850 1852 Hippolyte de Farcy de la Ville du Bois    
1852 1855 Hippolyte Alliou    
1855 1863 Jérôme Mallet    
1863 1871 Joseph Perret    
1871 1888 Olivier du Boberil    
1888 1902 Roger du Boberil    
avant 1913   M. du Boberil    
Les données manquantes sont à compléter.
? 1964
(décès)
Olivier du Boberil    
1964 [34],[35]
(décès)
Félix Berthelot   Ancien maréchal-ferrant
[36] [37]
(démission)
Jean Bossard CNIP Réélu en 1977
[38]
(décès)
François du Boberil DVD Réélu en 1983
[39] Joseph Durand DVD Agriculteur retraité
Président de la CC de Brocéliande (2001 → 2008)
En cours Bernard Ethoré DVD puis LR Réélu en 2020
Cadre retraité de l'industrie automobile
Président de la CC de Brocéliande (2016 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Équipements et services publics

Transports

Infrastructures et activités

  • Deux salles de sport
  • Courts de tennis couverts
  • Deux terrains de football Herbe et synthétique
  • Soccer extérieur (football, basket)
  • Terrain de Baseball
  • System Jeunes
  • McDonald's
  • Créperie L'Atelier (Crêpes réalisées avec des produits locaux)
  • Carrefour Market
  • Cinéma La Bobine, cinéma associatif, équipé de deux salles 3D
  • Le jardin de Brocéliande est un parc floral avec jeux et activités.

Établissements scolaires

Publics

  • École maternelle Pierre Leroux[40]
  • École élémentaire Pierre Leroux[41]
  • Collège Françoise Élie[42]

Privé sous contrat

  • École Sainte-Jeanne d'Arc (maternelle et élémentaire)[43]

Privé hors contrat

  • 1, 2, Tree School[44]

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[46].

En 2021, la commune comptait 6 469 habitants[Note 8], en évolution de +11,25 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1352 1172 1522 2562 1962 1982 1332 1582 271
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2392 2582 1862 1702 1852 2522 2282 2722 186
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1282 1262 1171 7571 8211 8121 7931 7441 731
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6161 7712 5183 1173 3993 8254 4844 5775 216
2017 2021 - - - - - - -
6 1316 469-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports

  • En baseball, l'équipe des Black Panthers joue à un bon niveau avec plusieurs joueurs jouant en équipe de Bretagne ou bien sélectionnés en équipe de France
  • En football, le GJ (Groupement Jeunes) entre Bréal-sous-Montfort, Chavagne, Saint-Thurial permet de faire jouer plusieurs équipes dans chaque catégories.
  • Un championnat du Monde de moto trial a lieu au terrain bréalais de Cossinade tous les cinq ans (normalement) mais aussi des championnat de France et de Bretagne. Toutes ces épreuves sont dirigées par l'association loi 1901 de l'ACL de Bréal.

Économie

Culture locale et patrimoine

Développement urbain

Bréal-sous-Montfort s'est développé à partir du xiie siècle autour de l'actuelle rue du Calvaire reliant l'église paroissiale Saint-Malo et la chapelle priorale (chapelle d'un prieuré) Sainte-Madeleine d'origine romane, disparue aujourd'hui ; un calvaire a été érigé en 1859 a cet endroit, sur la place de la Madeleine. Le réseau rayonnant de rues et les ruelles étroites autour de l'église ainsi que quelques maison en pan de bois témoignent de la période médiévale quand Bréal a obtenu le statut d'une ville et possédait un droit de haute justice.

Une meilleure situation économique, permet à la ville de construire en 1859 sur la place Saint-Malo des halles, aujourd'hui détruites, une mairie-école (école de garçons) à l'emplacement de l'actuel hôtel de ville. En 1864, le cimetière est déplacé de la place Saint-Malo à l'endroit actuel. En 1898, une gare ferroviaire est construite au nord de la ville (actuelle rue de la Gare), reliant Bréal-sous-Montfort a Rennes, Guer et Redon, mais fermée un demi-siècle plus tard.

Le dynamisme commercial du début du XXe se traduit par l'existence de "22 cafés, 10 épiceries, 4 boucheries, 5 cordonniers, 1 sabotier, 3 tailleurs, 4 forgerons, 1 cordier, 1 tisserand et bien d´autres métiers disparus." [49]

Lieux et monuments

Modèle:Message galerie

Monuments historiques

Bréal-sous-Montfort compte quatre monuments historiques :

Bâtiments inventoriés

La "Plateforme ouverte du Patrimoine (POP)" du Ministère de la culture inventorie 670 bâtiments[58] dans la commune. Sur le site de la région de Bretagne, on peut consulter "L'inventaire du patrimoine culturel en Bretagne", qui a recensé 87 œuvres[49] dans la commune. Parmi ces éléments du patrimoine, on peut signaler :

  • le moulin de la Roche, XIXe siècle, sur la route de Goven près de l'étang de la Roche entre les lieux-dits de Lohon et de la Roche[59] ;
  • Une vingtaine de manoirs et châteaux subsistent aujourd'hui sur le territoire de la commune, une dizaine de ces édifices ont été détruits depuis le relevé fait par Paul Banéat à la fin des années 1920[60],[61],[62].
    • Le manoir de Molant : Siège de haute justice seigneuriale, le manoir est construit à la fin du XIVe siècle pour la famille Levêque, seigneurs de Molant. La charpente a été datée par dendrochronologie des années 1380-1390[63],[64]. Des charpentes de la fin du XIVe siècle ne subsistent que celles de la salle. Celle au dessus du cellier est datée par dendrochronologie de 1771 ce qui correspond à l’agrandissement du manoir vers l’ouest. La charpente au-dessus de la chambre seigneuriale est encore plus récente : les traces d’outils, les bois utilisés et la technique constructive s’apparentent à n’en pas douter à une réalisation du XIXe siècle[65] ;
    • Le logis-porte du manoir de Bernial : première moitié du XVe siècle dont seule est conservée la façade nord, côté cour. Il a été remanié au XVIe siècle (ouvertures hautes)
    • Le manoir de la Haye Fossard (XVe siècle)
    • Le manoir de la Provostais (XVe siècle)
    • Le manoir de Cayer, construit au XVe siècle, manoir mentionné aux Laroche en 1427 puis aux de la Tournerais en 1513
    • Le manoir à l'entrée du bourg, route de Saint-Thurial (XVe siècle)
    • Le manoir, 4 rue de Goven. Logis en majeure partie du XVIe siècle ; il possédait une tour arrière qui a été greffée à l'aile en retour d'équerre datable d'une deuxième campagne de construction de la fin du XVIIe siècle.
    • Chapelle du manoir d'Ossac (1540)
    • Le logis du manoir des Nouettes. Il est bâti en poudingue de Montfort, de teinte mauve, et en calcaire blond pour l'encadrement de la porte. Au centre du fronton est gravée la date de 1576. Il est mentionné en 1427.
    • L'entrée et le logis du manoir de la Blanchardais. Le bâtiment existait déjà en 1513, mais les bâtiments subsistants ont été réalisés principalement du XVIIe siècle au XIXe siècle
    • Le logis du manoir de la Folie. Un ancien manoir existait au XVe siècle. Le logis actuel date du XVIIIe siècle ou du XIXe siècle.
    • Le château de la Haute Forêt (1857)
    • Resoul, vestiges d'un manoir
  • L’église Saint-Malo. Une première église est mentionnée en 1152.[66] L'édifice actuel remonte pour sa partie la plus ancienne au XIVe siècle , mais a connu plusieurs campagnes de construction au XVIIe siècle et au XIXe siècle, ce qui explique son style hétéroclite, ce qui est vrai également pour son mobilier. Les baies de la façade ouest et celle du transept nord ont été réalisées en 1936.Les éléments les plus anciens sont conservés dans la chapelle nord, qui était l'ancienne chapelle prohibitive (réservée) des seigneurs de Molant.[67] L'église abrite une statue en bois de chêne représentant le "Christ aux liens"[68].

Patrimoine naturel et jardins

Site géologique remarquable

Slumps La Planchette Bréal-sous-Montfort
Plis dans les bancs de siltites du Brioverien qui pourraient correspondre a des slumps - La Planchette (sud de Breal-sous-Montfort)

Sur le chemin reliant les lieux-dits de la Planchette et de la Ténéhais, à une centaine de mètres au Nord de la Planchette, le promeneur peut observer cette formation géologique remarquable. Il s’agit probablement d’un slump. Les couches correspondent à une succession de bancs silto-gréseux (roches formées de siltites et de grès). Les bancs (couches) inférieurs sur une hauteur d’un mètre environ ont été déformés, probablement par un glissement sous-marin alors que les sédiments étaient encore gorgés d’eau et cette partie de la Bretagne immergée[69]. Ces roches se sont formés au Briovérien (fin de l'Ediacarien, début du Cambrien inférieur) c’est-à-dire il y a 540 millions d’années environ[70].

Jardins

Les jardins de Brocéliande labellisé en 2005 de "Jardin remarquable" par le Ministère de la culture[71] ;

Contes populaires

À la fin du XIXe siècle, « La Revue des Traditions populaires » a publié des « Contes, Devinettes, Formulettes, Chansons etc. Recueillis à Bréal-sous-Montfort »[72]. L'accès à ce document est libre (consultation et téléchargement) sur le site Gallica de la Bibliothèque Nationale de France (BNF).

L’éditeur, Rodolphe Le Chef[Note 9], présente ces textes ainsi :

La plupart de ces contes m'ont été narrés en 1892 et 1893, par Marie Allain, femme Boisramé, sexagénaire, née à Bréal-sous-Montfort. Je me suis appliqué à les reproduire tels qu'ils m'ont été répétés, en conservant non seulement les tournures de phrases mais encore les mots patois. Les lecteurs de la Revue auront ainsi une idée exacte du langage des paysans de ce pays. Ce recueil contient des passages quelque peu rabelaisiens, que mes lecteurs voudront bien me pardonner. ([72]p. 569)

Le recueil présente d’abord quinze « Contes », d’une longueur de quelques dizaines de lignes, pour les premiers, à peine dix en ce qui concerne les derniers. Parmi ceux-là, on trouve :

XV - Le prêtre qui revient dire la messe L'église d'un certain endret (endroit) était éclairée toutes les netées (nuits). Un homme résolut d'aller y voair (voir) : c'était un prêtre qui était condamné à revenir parce qu'il avait omis de dire une messe promise. Tout était préparé pour la célébration de la messe : ‘Qui veut répondre ma messe ? dit-il.’ L'homme s'offrit tout en tremblant. Dès que sa messe fut terminée, le prêtre lui dit qu'il aurait une place de gardée conte lu (auprès de lui) dans le ciel. ([72] p. 577)

Suivent une trentaine de « Proverbes et Dires », dont cet exemple :

« Quand la charte (charrette) est vessée, on voait le biau cheminée (est versée, on voit le beau chemin). » ([72] p. 577)

Quatre « Formulettes » (Couplets en forme de comptine), sont présentés après, voici un exemple :

Aujourd'hui saint Crespin

Mon cousin

Que les cordonniers s'y frisent

Pour aller voair Catin

Duiguedin

Qu'a chié dans sa chemise. ([72] p. 580)

Le recueil termine avec une vingtaine de « Croyances et superstitions diverses » : Voici deux exemples :

Pour se rendre invisible, il faut mettre un chat noir à bouillir, en prendre les os, aller les brûler au pied d'une croaix et en porter la cendre sur l'autel pendant la messe sans être vu du prêtre qui la dit. - (Cela se fait à une certaine époque que je ne puis indiquer). Pour faire marché (pour conclure un marché) avec le diable, il faut un champ à trois cornières (angles), entouré de chemins. On s'y rend à ménuit avec une poule naire (à minuit avec une poule noire) et on fait le tour du champ en disant : « qui veut acheter ma poule ? » Bigette (Satan) se présente et paie le prix convenu ; il donne toute l'argent que l'on veut, à condition qu'il se parera (qu'il s'emparera) de vous à une époque fixée. ([72] p. 581)

Festival

Depuis 2008, chaque fin août se tient le festival du Roi Arthur (excepté en 2010 et 2020). Dans ce festival plusieurs groupes se sont succédé dont les Fatals Picards, Raggasonic, Elmer Food Beat, Shaka Ponk, N&SK, Les Ramoneurs de menhirs, Naive New Beaters , Pierre Perret , Koba la D et Angèle

Personnalités liées à la commune

  • Giuseppe Tribus, peintre-décorateur tyrolien (1901-1960) ayant habité et décoré le bourg en 1958. Il a peint l'étang de la Roche en 1959. Il allait souvent au café de Mordelles où il a peint de nombreux tableaux. Il allait en vendre d'autres à la Place des Lices à Rennes.

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean-Yves Lefevre, Bréal-sous-Montfort. Étude démographique 1740-1789, Rennes, 1984, 79 p., (Archives d'I&V - Mémoire 2 J 389).
  • Paul Banéat, Le département d'Ille-&-Vilaine. Histoire, archéologie, monuments, Rennes, Librairie moderne J. Larcher, 1927, 4 vol.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Cet auteur a publié en 1895 plusieurs articles au sujet de la culture populaire en Ille-et-Vilaine dans la "Revue des traditions populaires". Voir le catalogue de la BU de l'Université Rennes 2 : https://rechercher.bu.univ-rennes2.fr/primo-explore/search?query=any,contains,%22Rodolphe%20Le%20Chef%22&search_scope=default_scope&vid=33UDR2_VU1&lang=fr_FR&offset=0

Références

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    « Samedi, le Conseil municipal de Bréal-sous-Montlort a procédé à l’installation de nouveaux conseillers municipaux [...] Puis, l'assemblée a élu le successeur de M. Félix Berthelot, ancien maire, décédé. Il s'agit de M. Jean Bossard [...] ».
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