Courléon
Courléon | |||||
L'église Saint-Jacques. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Maine-et-Loire | ||||
Arrondissement | Saumur | ||||
Intercommunalité | CC Saumur Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Olivier Deschard 2022-2026 |
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Code postal | 49390 | ||||
Code commune | 49114 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Courléonais | ||||
Population municipale |
140 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 10 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 28″ nord, 0° 08′ 39″ est | ||||
Altitude | 78 m Min. 57 m Max. 119 m |
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Superficie | 13,77 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saumur (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Longué-Jumelles | ||||
Législatives | 3e circonscription de Maine-et-Loire | ||||
Localisation | |||||
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Courléon est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.
Géographie
Localisation
Commune angevine du Baugeois, Courléon se situe à l'est de Vernoil-le-Fourrier, sur les routes D 106 et D 142, en limite du département d'Indre-et-Loire[1].
La commune est limitrophe de l'Indre-et-Loire.
Elle se trouve à la limite entre l’Anjou et la Touraine[2].
Le sentier de grande randonnée GR 36 passe en limite nord de la commune.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Bourgueil, Gizeux, La Breille-les-Pins, Vernoil-le-Fourrier et Noyant-Villages.
Hydrographie
Le ruisseau de Grafin, affluent du Changeon, prend sa source à l'est de la commune.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Channay/lathan », sur la commune de Channay-sur-Lathan, mise en service en 1992[9] et qui se trouve à 13 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,8 °C et la hauteur de précipitations de 710,4 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay, dans le département d'Indre-et-Loire, mise en service en 1959 et à 46 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,5 °C pour la période 1971-2000[13], à 11,7 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,2 °C pour 1991-2020[15].
Paysages
Courléon se trouve sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[16].
Milieux naturels et biodiversité
Courléon dispose d'une forêt communale d’une superficie de 300 hectares[2].
Urbanisme
Le village s'inscrit dans un territoire essentiellement rural.
Typologie
Courléon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saumur, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64 %), terres arables (24,9 %), prairies (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,7 %), zones urbanisées (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Courléon a conservé son aspect de village rural, avec une place centrale encadrée par l’église et la mairie-école[2].
Habitat et logement
En 2013 et 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 120, alors qu'il était de 114 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 57,9 % étaient des résidences principales, 34,5 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,8 % des appartements[I 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Courléon en 2018 en comparaison avec celle de Maine-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (34,5 %) très supérieure à celle du département (3,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 69,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,6 % en 2013), contre 60,3 % pour le Maine-et-Loire et 57,5 % pour la France entière[I 2].
Typologie | Courléon[I 1] | Maine-et-Loire[I 3] | France entière[I 4] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 57,9 | 90,1 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 34,5 | 3,1 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 7,6 | 6,8 | 8,2 |
Toponymie
Aimericus de Corlon en 1055, Corlium en 1207[23].
Courléon a pour origine le latin cortis, désignant un domaine agricole, associé au nom d'homme Léon[2].
Histoire
Préhistoire
Petit village déjà mentionné au XIe siècle, Courléon a des origines lointaines. Une sépulture collective du Néolithique, trouvée en 1890, en témoigne[23].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Saumur du département du Maine-et-Loire.
Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Longué-Jumelles[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Longué-Jumelles porté de 8 à 18 communes[25].
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de Maine-et-Loire.
Intercommunalité
Courléon était membre de la communauté de communes Loire Longué, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Saumur Val de Loire, dont est désormais membre la commune.
Liste des maires
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].
En 2021, la commune comptait 140 habitants[Note 7], en évolution de −6,04 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 42,1 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 74 hommes pour 72 femmes, soit un taux de 50,68 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,63 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
Sur 10 établissements présents sur la commune à fin 2010, 50 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 10 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 20 % de celui du commerce et des services et 10 % du secteur de l'administration et de la santé[36]. Trois ans plus tard, en 2013, sur 19 établissements, 42 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, aucun du secteur de la construction, 37 % de celui du commerce et des services et 16 % du secteur de l'administration et de la santé[I 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Château Notre-Dame dit Château la Touche d'Aize, des XVIIe et XIXe siècles[37].
- Prieuré de Bénédictins, prieuré cure des XVe et XVIIIe siècles[38].
- Église paroissiale Saint-Jacques, des XIIe et XIXe siècles, inscrite à l'inventaire général du patrimoine culturel[39]. À la fin du XIXe siècle, l'édifice est entièrement restauré sous l'autorité l'architecte Beignet et doté d’un clocher carré en façade[2]
Le prieuré datant du XIIIe siècle communique avec l'église romane à clocher du XIXe siècle qui présente une abside en cul de four, une nef unique, des chapiteaux, un portail et des modillons sculptés du XIIe.
- Moulin du Landreau, des XVIIIe et XIXe siècles[40].
- Tombeau le Grand Courléon, sépulture collective datant de la préhistoire[42].
- lavoir et maison des lavandières, au lieu-dit « La Beillardière[2] ».
- Monument aux morts. Pendant la Première Guerre mondiale, 14 habitants perdent la vie. Lors de la Seconde Guerre mondiale, deux habitants sont tués[43].
Personnalités liées à la commune
Pour approfondir
Bibliographie
- Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron et Pierre d'Herbécourt), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1874) (BNF 33141105, lire en ligne), p. 842-843.
- Jocelyn Mercier, Courléon (notice historique), Editions du Vieux-Logis, , 42 p.
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune de Courléon (49114) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- « Courléon » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
Site de l'Insee
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Courléon - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Courléon - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Maine-et-Loire - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Courléon (49114) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Courléon (49114), consultées le 20 juillet 2016.
Autres sources
- IGN et BRGM, Géoportail Courléon (49), consulté le 2 septembre 2012.
- « Courléon », Arts et Histoire > Villes et Villages, sur https://www.ot-saumur.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Channay/lathan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Courléon et Channay-sur-Lathan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Channay/lathan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Courléon et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Tours - Parcay-Meslay - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
- Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58 — Données consultables sur WikiAnjou.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Port 1965, p. 842.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
- « Monsieur Pierre Courrier », sur https://avis-de-deces.ouest-france.fr/, (consulté le ).
- « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
- « Courléon. Le maire Yann Pilven Le Sevellec évoque les raisons de sa démission : Yann Pilven Le Sevellec a cessé officiellement, jeudi 12 mai, ses fonctions de maire de Courléon. Il en explique les raisons », Ouest-France Le Courrier de l'Ouest, (lire en ligne, consulté le ).
- « Courléon. Conseil municipal : non réélu au poste de premier adjoint, il claque la porte », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ) « "À l’issue du Conseil municipal du 13 avril dernier, j’ai engagé une discussion avec les adjoints et conseillers afin de remettre les choses à plat. Après quelques minutes, un vote de confiance a été décidé et m’a été défavorable. Quatre ont voté contre, trois pour et un s’est abstenu ", explique le maire démissionnaire ».
- « Courléon. Olivier Deschard élu nouveau maire », Maville par Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- « Courléon. La rénovation de la maison Lefèvre à l’étude au Conseil municipal », Maville par Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
- Insee, Statistiques locales du territoire de Courléon (49), consultées le 31 mars 2013.
- « Château Notre-Dame dit Château la Touche d'Aize », notice no IA00033762, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Prieuré de Bénédictins (prieuré cure) », notice no IA00033746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Saint-Jacques », notice no IA00033742, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Moulin du Landreau », notice no IA00033759, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Menhir », notice no IA00033756, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Tombeau », notice no IA00033758, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Memorialgenweb.org - Courléon : plaques commémoratives de la mairie, consulté le 2 janvier 2013.