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Jean-Paul Gourévitch

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Jean-Paul Gourévitch
Jean-Paul Gourévitch en 2011.
Biographie
Naissance
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Nationalité
Activités

Jean-Paul Gourévitch, né le , est un essayiste français.

Il est principalement connu pour ses publications alarmistes sur le « coût » qu'engendrerait l'immigration au budget de la France, qui sont critiquées pour l'absence de rigueur scientifique et reprises par les militants d'extrême droite.

Biographie

Jean-Paul Gourévitch est originaire de la ville de Bou[1].

Docteur en sciences de l'information et de la communication[2], Jean-Paul Gourévitch enseigne l'image politique, ainsi que l'histoire de la littérature de jeunesse, dans plusieurs universités dont l'université de Paris XII[3],[4],[5]. Il est un spécialiste reconnu des problèmes d'image. Il est l'auteur d'essais sur l'image politique, l'éducation, de livres illustrés et de romans pédagogiques interactifs. Il a également réalisé des expositions, des jeux et des audiovisuels[6].

Expert international en ressources humaines[7],[3] et consultant international sur l'Afrique et les migrations[8],[9], spécialiste du continent noir et des phénomènes migratoires[10],[11],[12] et écrivain prolifique[réf. à confirmer][13], il publie plusieurs ouvrages consacrés à l'Afrique et aux aspects sociaux et économiques de l'immigration et de l'expatriation en France.

Le consultant international, a conduit pendant vingt ans[14] des missions sur l'Afrique pour divers institutions et organismes internationaux, dont la Banque mondiale, l'UNESCO, le ministère des affaires étrangères, le ministère des la coopération et le fonds européen[Quand ?][5],[15]. Il travaille en Afrique pendant vingt-cinq ans dans le cadre de l'aide au développement[Quand ?][3].

Jean-Paul Gourévitch séjourne trois mois par ans en Afrique noire francophone pendant une vingtaine d'années[Quand ?] et partage sa vie entre l'Afrique, Paris et Nîmes[16],[15],[17].

Critiques

Chiffrage du « coût » de l'immigration

En , une étude remise au ministère du Travail, de l’Emploi et de la Santé conduite par Xavier Chojnicki[18], propose un chiffrage du cout de l'immigration différent de celui de Gourévitch. Selon cette étude, l'immigration rapporterait chaque année 12 milliards d'euros à l'État. Cette dernière contredit ainsi les chiffre de l'étude de Gourévitch, qui en 2008, concluait à un solde négatif de plus de 26 milliards d'euros[19]. En 2012, Xavier Chojnicki publie un nouvel ouvrage dans lequel il baisse la contribution nette de l'immigration au chiffre de 3,9 milliards d'euros[20],[21],[22].

En septembre 2014, à la suite de la publication de Les Migrations pour les nuls, plusieurs journaux dont Le Monde, le Figaro, Libération, La Croix, France Info et de nombreux journaux régionaux, reprennent in extenso une dépêche de l'AFP du [23], affirmant que Jean-Paul Gourévitch est un « auteur marqué très à droite », « fréquemment cité et invité par l'extrême-droite »[24],[25],[26],[27]. Dans la même dépêche AFP, Virginie Guiraudon, directrice de recherches au Centre d'études européennes de Science Po estime que Gourévitch « manipule les chiffres », utilise « des termes qui n'ont aucune rigueur scientifique » et alimentent un « discours anti-immigrés et anti-élites qui profite à l'extrême droite »[23],[28],[29]. Selon Rue89, le livre utilise un grand nombre de sources et de termes d'extrême droite, et se révèle « un tract politique déguisé en ouvrage pédagogique »[30]. Selon le géographe, économiste et démographe Gérard-François Dumont, coauteur d'un ouvrage dénonçant l'immigration avec le militant d'extrême-droite Jean Raspail[31], l'ouvrage « ne mérite pas la levée de boucliers » et ne contient pas de « jugements de valeur correspondant à ce que l’on peut lire dans des programmes politiques de la droite »[32].

En 2019, Libération explique que l'estimation de 14 à 16 millions d'immigrés et de descendants d'immigrés en France faites par Gourévitch en 2019 est « totalement fausse ». Les chiffres de l'INSEE s'élevant seulement à 13,5 millions en 2015[33].

Positionnement politique

Jean-Paul Gourévitch est classé par certains à l'extrême droite. Il est présenté par David Doucet, auteur de La Fachosphère, comment l'extrême droite remporte la bataille du net et journaliste au magazine Les Inrockuptibles, dans une émission de France Culture en , comme un « faux scientifique »[28], ayant réussi à tromper certains grands médias avec des analyses erronées sur l'immigration[34].

Le même David Doucet dans Les Inrockuptibles en , le définit comme « le chercheur préféré de l'extrême droite », et affirme qu'il a commis des erreurs de calcul, la principale étant une erreur de 20 milliards d'euros concernant la contribution des immigrés aux recettes relatives à la protection sociale, Gourévitch ayant selon lui omis de prendre en compte les cotisations patronales assises sur les salaires des travailleurs immigrés. David Doucet relaie aussi le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste de l'extrême droite, qui déclare au sujet de Gourévitch et de ses études sur le « coût réel de l’immigration en France » : « Le monde universitaire ne lui reconnaît aucune légitimité scientifique dans ce domaine. Il n’est ni démographe ni spécialiste des questions migratoires »[35]. Dans un article publié le dans La Croix, Jean-Yves Camus affirme au contraire que Gourévitch « n’est pas de l’extrême droite », même si ce dernier fait partie des conseils de lecture proposés par le [[Rassemblement national |Front national]][36].

Pour plusieurs médias dont LCI, Jean-Paul Gourévitch est « le chouchou des milieux d'extrême droite » qui reprennent ses thèses sur les coûts de l'immigration, bien supérieurs à ceux de Xavier Chojnicki de l'université de Lille[37],[28].

Il est adepte de la théorie du grand remplacement[28].

Activités publiques

En 2010, il prend part aux « Assises sur l’islamisation de l’Europe » organisées par Riposte laïque et le Bloc identitaire[38]. En 2011, pour l'Action française[39],[35]. Il est également invité à s'exprimer, en même temps que la Cimade et d'autres organismes, au cours de la convention organisée par l'UMP sur l'immigration[24].

En 2013, il est intervenu le au Local de Serge Ayoub[40], il est interviewé par Égalité et Réconciliation de l'essayiste d'extrême droite Alain Soral. Il s'en défend : « Je suis vraiment indépendant de tout, je ne roule pour personne », en affirmant lutter contre « la désinformation », et les idées reçues « des bien-pensants de droite ou de gauche »[29].

En 2015, il prend la parole à la cérémonie d'extrême droite des Bobards d'or où il se pose en victime d'une « cabale » de l’AFP : « J’ai été poignardé dans le dos par l’AFP. On a dit que j’étais cité par l’extrême droite, mais personne n’a rappelé que j’interviens aussi pour des médias de gauche […]. La dépêche a été reprise par 51 médias différents le lendemain. Bonjour le panurgisme ». Selon Mathieu Dejean, il n'est pas seulement cité par l'extrême droite, mais est « proactif » dans ce milieu depuis plusieurs années, comme en attesterait sa présence à cette cérémonie et à d'autres[41].

Il participe en 2016 à Béziers à un rendez-vous de l'extrême droite organisé par Robert Ménard, à la table ronde sur l'immigration aux côtés d'Arnaud Folch de Valeurs actuelles, Jean-Yves Le Gallou de Polémia, Renaud Camus, et Ivan Rioufol du Figaro[42].

Principaux ouvrages et écrits

Afrique et immigration

En 1998, dans son ouvrage « immigration : la fracture légale », il établit le diagnostic de l'apparition d'une « fracture légale » entre ceux qui vivent selon les lois et ceux qui subsistent dans l’État de non-droit[43]. Dans son ouvrage, il estime à 7.8 millions l'ensemble de la population d'origine étrangère vivant en France, soit 13,5 % de la population française[44],[45].

En 2000, il publie « La France Africaine ». Dans cet ouvrage, l'auteur évalue la « France africaine » à 6 à 7 millions de personnes pour la seule métropole[46]. Pour Le Figaro Magazine, « Jean-Paul Gourévitch apporte une savante démonstration : chiffres à l'appui, loin des préjugés xénophobes ou bien-pensants »[47]. Alain Griotteray, qualifie le livre de « remarquable éssai »[48]. Pour RFI, l'auteur offre « une analyse rigoureuse »[46]. La revue internationale et stratégie remarque un essai au « ton provocateur » qui « doit cependant être salué »[49]. Le quotidien Libération Champagne parle d'« une étude passionnante et fondamentale » dans laquelle « comme toujours, Gourévitch ne juge pas, et se garde de toute opinion partisane »[50].

En 2004, il publie « La France en Afrique: cinq siècles de présence, très documenté »[15],[51] et réédité en 2006. Marianne qualifie alors Jean-Paul Gourévitch « d'auteur de la meilleure synthèse sur les rapports franco-africains »[52]. Le Monde parle d'un livre « A rebours des ouvrages sur le sujet, souvent manichéens »[10]. Le Monde diplomatique lui reproche de « faire l'impasse sur la libéralisation exigée de marchés africains et sur l'hostilité longtemps manifestée par les institutions financières internationales »[7]. Le Midi libre qualifie l'auteur de « Grand spécialiste [...] qui connait bien son sujet »[16]. Le magazine New African, évoque un livre « pas tendre avec la Françafrique »[53].

En 2007, il publie l’ouvrage Les Migrations en Europe, qui est, selon Le Figaro, une « analyse soigneusement étayée et parfaitement maîtrisée », dans laquelle se dégage notamment le fait que l'Union européenne, d'après Gourévitch, « n'a pas véritablement développé une politique commune en matière d'immigration », « face à des flux migratoires qui ne peuvent que s'intensifier ». Il estime que les migrations font partie « des grands débats de société du XXIe siècle, car les questions qu'elles suscitent interpellent l'avenir de l'Europe et du monde entier. Mais l'analyse de leurs processus est sans cesse confrontée à un discours émotionnel, ostracisant ou compassionnel, qui en limite la portée »[54].

En 2009, il publie « Les Africains de France », qui dresse le tableau des Africains installés en France. L'hebdomadaire France catholique voit dans ce livre « un chercheur rigoureux, qui n'est pas engagé dans les polémiques sur l'immigration et qui se montre [...] libre des préjugés courants »[51].

Livres de jeunesse et livres-jeux

En 2006, il reçoit un prix du livre jeunesse pour La vengeance des barbares (Bayard), qui traite des relations entre les jeunes et la police dans le Paris du XIXe siècle[13].

Jean-Paul Gourévitch écrit plusieurs ouvrages livres-jeux :

  • Dans « Comment devenir président de la République en 90 minutes », Jean-Paul Gourévitch, Michel-Antoine Burnier et Léon Mercadet, invitent les lecteurs à naviguer à travers les complexités de la politique française via un jeu interactif. Le livre propose de nombreux scenarios et itinéraires, où les décisions influencent la course à la présidence[55]. L'objectif de l'auteur est de démystifier le monde politique en s'appuyant sur son expertise en image et propagande politique[56]. Le livre est une satire qui reflète les réalités politiques avec humour et ironie, invitant le lecteur à entrer dans le monde politique par la grande porte[57].
  • « Le Labyrinthe de la Révolution Française » cible les enfants pour leur enseigner l'histoire de manière ludique. Malgré quelques critiques sur des erreurs mineures, le livre est salué pour son approche pédagogique innovante. De même, « Le Labyrinthe de l'Europe », co-écrit avec Martine Faure, vise à éduquer les adolescents sur la citoyenneté européenne à travers une aventure narrative[58],[59].
  • Le livre jeu « Le Rallye des Hautes-Alpes », soutenu par le conseil général des Hautes-Alpes, combine éducation et divertissement pour encourager les jeunes à explorer leur environnement[60]. L'ouvrage, permet aux jeunes lecteurs de devenir les héros de leur propre aventure en résolvant des énigmes et en explorant divers aspects des Hautes-Alpes, tels que l'histoire, l'économie, et la faune et la flore locales[61]. Cette collaboration entre une maison d'édition et une collectivité territoriale est une première en France[62].
  • « Le Labyrinthe du Dieu Hermès » et « Le Labyrinthe des Romains », coécrits avec Brigitte Decroix déroulent les univers de la mythologie et de l'histoire antique[63].

Liste des ouvrages publiés

Littérature jeunesse

Autres objets culturels

  • Jeu de l'oie de Clément Marot, avec son livret, 1996
  • Jeu de cartes Jean Cocteau, Frédéric Douin, 2020, [pertinence contestée]

Notes et références

  1. « L'image, support de propagande politique », La république du centre,‎ 11-12/03/2000
  2. La Représentation comparée de l'enfant dans l'imagerie politique et dans l'imagerie publicitaire, thèse de 3e cycle en sciences de l'information et de la communication, soutenue à l'université Paris 4 en 1981 [1] [2].
  3. a b et c « Jean-Paul Gourévitch », sur Evene.fr (consulté le ).
  4. Denis-Constant Martin (dir.), Sur la piste des OPNI (Objets politiques non identifiés), Éd. Karthala, 2002, p. 8 (ISBN 2-84586-288-1).
  5. a et b « "Les migrations pour les nuls" écrit par un Nîmois », MidiLibre.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  6. « Débat: "la France sera africaine" », Midi Libre,‎
  7. a et b Augusta Conchiglia, « L'afrique au-delà des idées reçues », Le Monde Diplomatique,‎
  8. « Jean-Paul Gourévitch: «Sur l’immigration, les chiffres sont manipulés» », sur Le Figaro, (consulté le )
  9. « L’immigration coûte plus qu’elle ne rapporte », sur Le Figaro, (consulté le )
  10. a et b « La France en Afrique, Cinq siécles de présence : vérités en mensonges », Le monde, Le monde des livres,‎ (lire en ligne)
  11. La lettre A « Questions à Jean-Paul Gourévitch », La lettre A, 30 juin 2006 "Jean-Paul Gourévitch est expert international en ressources humaines, spécialiste de l'Afrique et de l'immigration.
  12. « Sarkozy 2012 : la diagonale du fou - 15/10/2010 », sur La Lettre, (consulté le )
  13. a b et c C.H., « La France en Afrique : cinq siècles de présence », Nice-Matin,‎
  14. « Réquisitoire contre le gaspillage de l'aide française », Paris Match,‎
  15. a b et c S.L., « Ni blanc ni noir », L'Est Républicain,‎
  16. a b et c Muriel Plantier, « Livre : La France en Afrique : ni tout blanc ni tout noir », Midi libre,‎
  17. Muriel Plantier, « La France en Afrique : ni tout blanc ni tout noir », Midi libre, no 22 119,‎ , p. 6
  18. X. Chojnicki, C. Defoort, C. Drapier, L. Ragot et H. Rapoport, Migrations et protection sociale : étude sur les liens et les impacts de court et long terme, 2010 [PDF]
  19. « Les 5 plus gros mensonges sur l'Afrique », sur Slate Afrique, (consulté le )
  20. Xavier Chojnicki et Lionel Ragot, On entend dire que... L'immigration coûte cher à la France: Qu'en pensent les économistes ?, Editions Eyrolles, , 128 p. (ISBN 978-2212553789)
  21. « Protection sociale et immigration: les chiffres contre les clichés », sur L'Express, (consulté le )
  22. Dominique Baillard, « Aujourd'hui l'économie - L’immigration sans effet sur les comptes de la Sécurité sociale », sur rfi.fr, (consulté le ).
  23. a et b « Un auteur marqué très à droite rédige "Les Migrations pour les nuls" », AFP, (consulté le )
  24. a et b « « Les Migrations pour les nuls » : une pédagogie très marquée à droite », Le Monde,
  25. « Un auteur marqué très à droite rédige «Les Migrations pour les nuls» », sur 20 minutes, (consulté le )
  26. « Un auteur marqué très à droite rédige « Les Migrations pour les nuls » », Libération, (consulté le )
  27. « Edition: un auteur marqué très à droite rédige "Les Migrations pour les nuls" », L'Express, (consulté le )
  28. a b c et d « VRAI OU FAUX. L'immigration coûte-t-elle 54 milliards d'euros à la France chaque année, comme l'affirme la députée RN Gisèle Lelouis » Accès libre, sur Franceinfo, (consulté le )
  29. a et b « "Les Migrations pour les nuls" rédigé par un auteur très marqué à droite », sur Franceinfo, (consulté le )
  30. Nolwenn Le Blevennec, « « Migrations pour les nuls » : derrière le livre pédago, un tract politique », Rue89,
  31. Didier Desrimais, « Quelle Marianne dans trente ans ? », sur causeur.fr, (consulté le )
  32. Atlantico, « “Les migrations pour les Nuls” ne mérite pas ses critiques », sur Atlantico, (consulté le )
  33. Cédric Mathiot, « Y a-t-il quatre fois plus d'immigrés et descendants d'immigrés qu'il y a vingt ans, comme entendu sur Sud radio? », sur Libération (consulté le )
  34. « L'univers très secret des banques », sur France Culture, (consulté le ).
  35. a et b « Jean-Paul Gourévitch, le chercheur préféré de l’extrême droite »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Les Inrockuptibles, .
  36. « Le Front National se met à lire ses adversaires d’hier », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  37. « "Les Migrations pour les Nuls" : un auteur trop proche de l'extrême droite ? », sur tf1info.fr, (consulté le ).
  38. Didier Arnaud, « Les anti-islam sans voile », sur Libération, (consulté le )
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  40. « « Migrations pour les Nuls » : un auteur trop proche de l’extrême droite ? », sur L'Obs, (consulté le )
  41. Mathieu Dejean, « Bobards d’or : l’extrême droite fait le plein sur la critique des médias - Les Inrocks », sur lesinrocks.com, (consulté le ).
  42. « Durant trois jours, Béziers sera un laboratoire de l'extrême-droite », sur midilibre.fr, (consulté le ).
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  44. Veziane de Vezins, « L'immigration dopée par la famille », Le Figaro,‎
  45. Yung Famy, « Immigration : les vrais chiffres », Le Figaro Magazine,‎
  46. a et b Geneviève Goëtzinger, « La société français en voie d'africanisation? », Radio France Internationale - Médias France Intercontinentale, no 336,‎
  47. Ghislain de Montalembert, « De l'immigration à l'invasion », La Figaro Magazine,‎
  48. Alain Griotteray, « La France africaine », Le Figaro Magazine,‎ , p. 44
  49. Irchad Razaaly, « La France africaine », La revue internationale et stratégique,‎ , p. 191-192
  50. « La France Africaine », Libération Champagne,‎
  51. a et b Claudine Uzerche, « Sociologie : Les Africains de France », France catholique,‎
  52. Patrick Girard, « Géopolitique France-Afrique : pour en finir avec les clichés et les idées reçues », Marianne,‎
  53. Muhamed Junior Ouattara, « Ces français contre la Françafrique », New African - Le magazine de l'Afrique,‎
  54. Annet Sauty de Chalon, « Les migrations en europe », sur Le Figaro Magazine, Le Figaro, (consulté le ).
  55. Thierry Guérin, « Comment devenir président de la République ? », La République du Centre,‎
  56. J.-H. Wolfsohn, « Comment devenir président de la République en 90mn », US Université Syndicale,‎
  57. « Michel-Antoine Burnier "un nouveau peut faire un malheur" (sous article : Président en 90 minutes », L’évènement du jeudi,‎
  58. « Ces orléanais qui écrivent pour les enfants », Les Nouvelles d’Orléans, no 504,‎ , p. 26
  59. « Devenir citoyen européen en lisant », La République du Centre,‎
  60. G.A., « Connais-tu ton département ? », Le Dauphiné libéré,‎
  61. « La Rallye des Hautes-Alpes - Connais-tu ton département ? », Alpes et Midi,‎
  62. M.D., « Le Rallye des Hautes-Alpes », Le sillon alpin,‎
  63. « Le Labyrinthe du Dieu Hermès et Le Labyrinthe des Romains », Le club RETZ de l'école et de la vie modernes, no 17,‎ , p. XIII
  64. Christophe Ayad, « La génération de Sarkozy sera plus pragmatique », Libération,‎
  65. L.R., « Recommandation de lecture : La France en Afrique cinq siècles de présence: vérités en mensonges », Bulletin côte d'Azur,‎ , p. 14
  66. « Interventions militaires et services secrets, un livre dit sa vérité aux français et à leurs amis africains », afriqueeducation.com,‎

Voir aussi

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Articles connexes

Liens externes