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Liancourt

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Liancourt
Liancourt
L'église Saint-Martin depuis le sud-est.
Blason de Liancourt
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC du Liancourtois - la Vallée dorée
Maire
Mandat
Laëtitia Coquelle
2024-2026
Code postal 60140
Code commune 60360
Démographie
Gentilé Liancourtois, Liancourtoises
Population
municipale
6 983 hab. (2021 en évolution de −1,55 % par rapport à 2015)
Densité 1 470 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 54″ nord, 2° 27′ 58″ est
Altitude Min. 38 m
Max. 139 m
Superficie 4,75 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Creil
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont
Législatives 7e circonscription de l'Oise
Localisation
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Liancourt
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Liancourt
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Liancourt
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Liancourt
Liens
Site web https://www.ville-liancourt.fr

Liancourt est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Liancourtois et les Liancourtoises.

Géographie

Localisation

La commune est située dans le département de l'Oise, au pied du massif de Clermont et près de la rive gauche de la Brêche, à à vol d'oiseau de 8 km au nord de Creil et 53 km au nord de Paris, 30 km au sud-est de Beauvais, 5 km au sud de Clermont et 28 km au sud-est de Compiègne.

Elle se trouve dans l'aire d'attraction de Paris, dans l'unité urbaine de Creil et dans sa zone d'emploi et est la ville-centre du bassin de vie de Liancourt[I 1].

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Liancourt[1]
Bailleval Rosoy
Rantigny Liancourt[1] Verderonne
Cauffry Mogneville

Géologie et relief

Le territoire communal est délimité par la Brêche à l'ouest, par les bois de Louveaucourt et de la Cavée des Meuniers (commune de Bailleval) au nord, et par le bois de Jouart (commune de Rosoy) au nord-est. Avec les zones humides boisées du fond de la vallée de la Brêche, la commune est ainsi presque entièrement entourée de forêts. Au nord et au sud, les maisons de la ville atteignent les limites de la commune. Au nord, les dernières maisons de l'agglomération sont bâties sur le territoire de la commune de Bailleval, bien que séparées de la localité par la forêt. Au sud, le long de la RD 62, une continuité urbaine avec le hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) s'établit. À l'ouest, le long de la RD 137, la continuité urbaine avec Rantigny et Cauffry est également établie par une étroite bande de constructions, rapprochant Liancourt de sa gare située en dehors du territoire communal.

Plus d'un tiers du territoire est construit. Le centre-ville est bâti à une cinquantaine de mètres d'altitude, à peine plus que les rives de la Brêche. Jusqu'à la rivière, le terrain descend légèrement. Au nord de la RD 137 vers la gare, l'on trouve le Grand marais, et au sud, une autre zone humide avec le lieu-dit le Parc, liée au château de La Rochefoucauld. Sinon, des coteaux assez abrupts entourent la ville de trois côtés. Les pentes sont toutefois plus modérées au nord-est où un quartier résidentiel est construit en flanc de colline. Sur le plateau agricole à l'est (lieu-dit la Montagne), une altitude maximale de 139 m est atteinte.

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Liancourt.
La Brêche à Liancourt.

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Brèche, la Béronnelle[2],[Carte 1].

Liancourt est située sur la rive gauche de la Brèche qui la sépare de Rantigny. La rivière, prenant sa source à Reuil-sur-Brêche, rejoint Liancourt après avoir traversé Clermont avant de se jeter dans l'Oise à Creil. En quittant la commune de Rantigny et l'usine Saint-Gobain, la rivière sert de limite entre les deux communes. Elle longe le Grand Marais situé sur la rive gauche (commune de Liancourt) et passe sous un ancien pont ferroviaire et sous la D 37 (pont Bajac) où Cauffry se trouve sur la rive droite. Après avoir longé « le parc », lieu-dit autrefois parc du château de la Rochefoucauld, elle quitte la commune pour passer à proximité de Cauffry et de Mogneville. Elle se jette dans l'Oise à Nogent-sur-Oise[3].

La Béronnelle, affluent de la rive gauche de la Brêche prenant sa source à Erquery, passe également sur le territoire communal. Devenant parallèle à la Brêche à partir du village de Breuil-le-Sec, elles forment un marais ininterrompu entre leur lit sur plus de 7 km. Arrivant de Bailleval, comme la Brêche, la rivière, après avoir traversé plusieurs étangs, pénètre dans la commune après son passage sur la D 630 (entre Liancourt et Rantigny). Elle passe au lieu-dit de « la Fontaine Malade » et longe le Grand Marais situé sur sa rive droite avant de passer sous la D 137 où elle rejoint le lieu-dit du Parc. Puis, elle rejoint Mogneville où elle se jette dans la Brêche avant le moulin de Sailleville[4].

De plus, la commune possède trois mares : dans le Parc, avenue Louis-Aragon ; à proximité de la rue Josiane-Mouton, à l'ouest et dans le lieu-dit du Parc, au sud-ouest.

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 492 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Brêche. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du Bassin Versant de la Brèche (SMBVB)[5].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 681 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 8 km à vol d'oiseau[8], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

Typologie

Au , Liancourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].

Elle appartient à l'unité urbaine de Creil[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[13],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 1].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (43,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (40,5 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (35,1 %), terres arables (32,6 %), forêts (23,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (0,3 %)[14].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 983, alors qu'il était de 2 808 en 2016 et de 2 715 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 91,2 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 50,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 47,8 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Liancourt en 2021 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,8 %) par rapport au département (2,4 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Liancourt en 2021.
Typologie Liancourt[I 3] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 91,2 90,5 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,8 2,4 9,7
Logements vacants (en %) 8 7 8,1

Voies de communication et transports

Le rond-point de l'Île-de-France.

Liancourt est desservie indirectement par la RD 1016 Paris - Creil - Clermont - Amiens, aménagée en voie express sur sa section de Creil à Clermont. La RD 1016 passe à 2 km à l'ouest du centre-ville, l'échangeur le plus proche se trouvant sur la commune voisine de Cauffry. Trois routes départementales passent par le centre de Liancourt :

  • la RD 62 de Breuil-le-Sec à Nogent-sur-Oise par la vallée de la Brêche arrive de cette première commune par le hameau de Louveaucourt (commune de Bailleval), puis franchit une intersection avec la RD 630 (rejoignant Rantigny) et la rue Pasteur quand elle pénètre sur le territoire communal. Une déviation (avenue Louis-Aragon) évitant la rue Pasteur passe au sud-ouest de la ville et rejoint le rond-point d'Île-de-France, où elle croise la RD 137 et se poursuit par l'avenue du même nom puis par l'avenue Pierre-Bérégovoy. La route quitte la commune à la hauteur du hameau de Mognevillette (commune de Mogneville) ;
  • la RD 137, route allant de la RD 37 (Maimbeville) à la RD 44 (Noailles), arrive de Catenoy d'où l'on peut rejoindre Compiègne. Par la montagne de Liancourt, elle descend dans la vallée de la Brêche par la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers. Elle traverse la place du Duc-de-La-Rochefoucauld puis passe par la rue Victor-Hugo. Arrivée au rond-point d'Île-de-France, elle croise la RD 62 et rejoint Rantigny et Cauffry par l'avenue Albert-Ier. Par l'une de ces deux communes, on peut rejoindre par un échangeur la voie express de la R D1016 (voir ci-dessus). La RD 137, après Cauffry, se dirige vers Mouy ;
  • la RD 29, route de Liancourt à Pont-Sainte-Maxence, débute de la rue des Arts-et-Métiers où elle passe par la rue Jule- Michelet et quitte la commune pour traverser Angicourt.

Une variante de la RD 137 existe sous la forme de la rue du Général-Leclerc, entre la colonne des Arts et Métiers et le carrefour RD 137 / RD 29 au centre-ville. Moins raide grâce à un itinéraire avec lacets, elle permet aux poids lourds d'éviter la rue de l'École-des-Arts-et-Métiers et d'arriver au sommet de la montagne de Liancourt pour rejoindre Compiègne.

La gare de Liancourt - Rantigny.

La gare de Liancourt - Rantigny, située sur la ligne de Paris-Nord à Lille, se trouve sur la commune de Rantigny, à une distance routière de 2 km de la mairie de Liancourt. Elle est desservie par les trains TER Hauts-de-France (relations C10, C11 et P10). Quatorze à quinze trains par jour et par sens s'arrêtent du lundi au vendredi, et six à sept les dimanches et jours fériés. Du lundi au vendredi, la moitié des trains originent ou terminent à Creil, un changement étant donc nécessaire pour les déplacements entre Liancourt et Paris. Un TER Hauts-de-France met en moyenne 43 minutes pour atteindre la capitale, avec quatre arrêts intermédiaires[15].

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 631, 686, 687, 6218, 6241, 6316, 6317, 6318, 6353 et 6355 du réseau interurbain de l'Oise[16].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous la forme Landulficurtis en 828[17], c'est-à-dire « domaine de Landulf », du bas latin curtis ou gallo-roman *CORTE « domaine, ferme », et d'un anthroponyme germanique composé des éléments *landa « territoire », et wulf « loup ». Les formations toponymiques médiévales en -court sont caractéristiques de la zone d'extension primitive des Francs et l'appellatif -court traduit l'appellatif germanique -hove, -hof « cour, ferme »

Histoire

Château au XVIIIe siècle.

Moyen Âge

Une motte castrale subsiste dans « le parc du bas », dont il reste un monticule qui semble attester une présence romaine dans la région.

La ville a connu tous les fléaux et les tourments de l'histoire : les ravages effectués par les Normands en 860 et en 891, la Jacquerie de 1358 et celle de 1429, la peste de 1348, celle de 1625, les famines qui se sont suivies, aggravées par les hivers rigoureux - les hommes étaient contraints à peler les arbres pour en manger les écorces - étés caniculaires, ou encore pluies de hannetons[réf. nécessaire].

Temps modernes

Au XVIIe siècle, la ville s'appelait Liancourt-les-Belles-Eaux. L'agencement de son château, de ses jardins, de ses fontaines et de ses canaux auraient servi de modèle au prestigieux Versailles[réf. nécessaire].

La ville-seigneurie a appartenu à une très ancienne famille charentaise, la Maison de La Rochefoucauld (depuis 1674, par leurs ancêtres maternels Du Plessis-Liancourt : cf. Antoinette et Roger), dont les membres le plus illustres sont François de La Rochefoucauld, auteur des Maximes et François XII de La Rochefoucauld, duc de Liancourt (1747-1827), statufié sur la place de la ville. Il a créé la Ferme de la Montagne[18], école de formation professionnelle pour les orphelins de la région en 1776, à l'époque de la Guerre d'Indépendance américaine. Cette expérience pilote et totalement novatrice qui préfigure la création en 1780 à la première école des Arts et Métiers.

En 1780, 1780, le Duc François XII de La Rochefoucauld crée à Liancourt dans la ferme de la Montagne[19], une école pour y éduquer les pupilles de son régiment de cavalerie, devenu plus tard le 11e dragons, avec le concours de Monge, Berthollet, Chaptal et Laplace. L'école devient en 1788 l'École des Enfants de la Patrie[20] sous la protection du roi et compte jusqu'à 130 élèves.

Révolution française et Empire

Lors de la Révolution française, Liancourt est renommée Unité-sur-Oise[21].

L'école devient en 1792, après l'exil du duc de La Rochefoucauld-Liancourt, l'école des Enfants de l'armée. En 1795, les élèves des deux écoles des Orphelins de la Patrie de Paris sont déplacés à Liancourt dans l'école des Enfants de l'armée qui est alors transférée au château de Liancourt. Après la transformation en 1803 du collège de Compiègne du Prytanée français en école d'arts et métiers, l'école de Liancourt y est transférée. En 1806 les élèves de l'école de Compiègne sont installés à Châlons-sur-Marne dans l'École impériale d'Arts et Métiers de Châlons-sur-Marne, à l'origine de l'actuelle école d'ingénieurs Arts et Métiers ParisTech et de toute l'histoire de ses élèves, les gadzarts.

Époque contemporaine

La commune est reliée au chemin de fer depuis 1846.
Ici, intérieur de la gare de Liancourt - Rantigny, photographiée avant la Première Guerre mondiale.

François XII de La Rochefoucauld, duc de Liancourt, est fondateur, en 1818, de la Caisse d'Épargne de Paris.

En 1846 est créée par la Compagnie des chemins de fer du Nord la gare de Liancourt - Rantigny, facilitant les déplacements des personnes et le transport des marchandises.

Politique et administration

L'hôtel de ville et le monument aux morts entourés de leur parc.

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la septième circonscription de l'Oise.

Elle était depuis 1802 le chef-lieu du canton de Liancourt[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Clermont.

Intercommunalité

La commune fait partie de la Communauté de communes du Liancourtois, dite de la vallée dorée.

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1792 1795 Louis Baigue    
1795 1796 Jean André Perville    
1769 1797 M. Crotey-Bonval    
1797 1800 Pierre Joseph Godde    
1800 1802 Thomas Leclerc    
1802 1805 François Maupin du Clozeau    
1805 1813 François XIII de La Rochefoucauld    
1813 1814 Louis François Joseph Darly    
1814 1815 Antoine Paris    
1815 1832 Pierre Joseph Godde    
1832 1841 Cosme Fulgence Pillon    
1841 1848 Frédéric Gaëtan de La Rochefoucauld-Liancourt    
1848 1850 Hippolyte Maupin    
1850 1854 Frédéric Gaëtan de La Rochefoucauld-Liancourt    
1854 1865 Louis Chevallier    
1865 1870 Philippe Latour    
1870 1871 Jean-Baptiste Ponthieu    
1871 1874 Joseph Jolidon    
1874   François Émilien de La Rochefoucauld    
1875 1876 François Auguste Marie
de La Rochefoucauld
   
1876 1878 Léon Ernest Menu    
1878 1880 Louis Joseph Cuvinot    
1880 1881 Antoine Pinçon    
1881 1892 Edmond Jolidon    
1892 1904 Pierre Eugène Charton    
1904 1914 Arthur Debeaupuis    
1914 1918 Anatole Dauchin    
1918 1925 Arthur Debeaupuis    
1925 1927 Maxime Aurélien Duhamel    
1927 1929 Édouard Malard    
1929 1931 Léonce Faure    
1931 1944 Jacques Paul Soulier    
1944 1945 Paul Sarouille    
1945 1947 Charles Maine    
1947 1948 Alphonse Guillaumet    
1949 1953 Georges Le Noël    
1953 1965 Pierre Boreau    
1965 1967 Marc Gorecki-Leroy    
1967   Lucien Charton    
1967 1974 Robert Hersant[23],[24] UDF Patron de presse
Maire de Ravenel (1953 → 1969)
Les données manquantes sont à compléter.
1989 juillet 2024[25] Roger Menn[26],[27],[28] PS Chercheur
Président de l'OPAC Oise Habitat[29]
Conseiller général de Liancourt (1988 → 2015[30])
Vice-président à la CC du Liancourtois - la Vallée dorée
Démissionnaire
juillet 2024[31],[32] En cours
(au 30 novembre 2023)
Laëtitia Coquelle PS Éducatrice spécialisée

Jumelages

La commune de Mainburg en Allemagne
La commune de Olgiate Comasco en Italie

Équipements et services publics

Espaces publics

Une fleur est attribuée en 2007 au Concours des villes et villages fleuris[34].

Enseignement

Liancourt dépend de l'académie d'Amiens.

On compte :

  • le groupe scolaire Jean-Macé (maternelle et primaire) ;
  • le groupe scolaire Albert-Camus (maternelle et primaire) ;
  • l'école maternelle Jean-de-La Fontaine ;
  • un collège : le collège de la Rochefoucauld.

Équipements culturels

Médiathèque Lucien-Charton, ouverte en 2011 dans les locaux des anciens communs du château de la Rochefoucauld.

Le Centre culturel Alexandre Urbain 5 rue du Général Leclerc comprend : une salle de spectacle, une école de musique, une école d'arts plastique et une école d'expression orale et théâtrale.

Sports

Liancourt possède :

  • deux gymnases : au collège et la salle Guy-Lejeune ;
  • un stade (dans le quartier de la Faïence) ;
  • un centre aquatique intercommunal (Piscine de la Vallée Dorée)n doté d'un toboggan ludique[35] ;
  • deux terrains de tennis à proximité du centre aquatique.

Santé

  • L'EHPAD de Liancourt, maison de retraite de 198 lits.

Justice, sécurité, secours et défense

Le Centre pénitentiaire de Liancourt a été ouvert en 2004. Avant 2004, il était un établissement spécialisé notamment dans les longues peines et où, entre 1995 et 1999, le cinéaste Francis Fehr a initié l'opération "Ecrire Enfermé"[36],[37].

Il comprend quatre bâtiments de détention :
- un affecté au régime maison d'arrêt (246 places) ;
- deux sous le régime de centre de détention (384 places) ;
- un quartier réservé aux détenus mineurs (20 places).

Chaque cellule est équipée d'une douche, on compte 10 m2 pour une simple et 14 m2 pour une double. Des cellules de 20 m2 adaptées existent pour les personnes handicapées. L'établissement dispose d'un terrain de football, d'un gymnase, d'une bibliothèque et d'un centre scolaire. Dans le quartier des mineurs, les gardiens sont en tenue de sport. Ce centre a fait parler de lui en 2007dans une affaire de violences sur détenus, où le directeur a été muté[38],.

La commune s'est dotée d'un service de police municipale[39].

Un centre de secours de sapeurs-pompiers implantée à Liancourt assure la défense contre l'incendie et les secours de la population.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 6 983 habitants[Note 4], en évolution de −1,55 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0749621 2361 2621 2661 2921 3641 3251 345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 3002 6123 1123 9174 0534 6524 2864 0334 169
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 9993 9243 9283 6303 4693 3273 1203 3914 046
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
4 8505 0785 7506 1126 1786 4767 1107 1947 245
2017 2021 - - - - - - -
6 8806 983-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 534 hommes pour 3 417 femmes, soit un taux de 50,84 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
2,3 
5,0 
75-89 ans
9,5 
12,2 
60-74 ans
12,6 
17,1 
45-59 ans
17,7 
24,0 
30-44 ans
19,8 
21,0 
15-29 ans
18,2 
20,3 
0-14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Manifestations culturelles et festivités

Fête communale et Grande cavalcade. Depuis 1999, en juin, la commune organise une Grande Cavalcade, grand défilé de chars fleuris l'après midi et illuminés le soir à la tombée de la nuit. Cette grande fête populaire se termine par un grand feu d'artifice tiré depuis la place Verte pour clore cette manifestation très appréciée.[réf. nécessaire]

Cultes

Les fidèles catholiques disposent de l'église Saint-Martin, rattachée depuis 2024 à la paroisse de la « Miséricorde divine en Clermontois », constituée par la réunion des aanciennes paroisses du Cœur du Christ (Clermont), du Liancourtois-Saint Martin et du Pays de Chaussée (Saint-Just)[45].

Médias

Liancourt ne possède pas de médias basés dans la ville. Des équipes de journaux quotidiens locaux et régionaux (Le Bonhomme picard, Le Courrier picard, Le Parisien...) se relayent les informations locales. La chaîne régionale est France 3 Picardie, basée à Amiens.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Les anciennes dépendances du château de Liancourt datant du XVIIIe siècle comprennent les communs, le pavillon du jardinier et la laiterie[46],[47]. Le château a été détruit[48],[49]. L'ensemble des dépendances du château fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [50].

On peut également signaler :

  • Le musée national Gadzarts, dans la ferme de la Montagne ou de la Faïence, rue de la Faïence : La Fondation des Arts et métiers a acheté, un peu avant 1980, l'ancienne ferme de la Montagne dans laquelle le duc de La Rochefoucauld-Liancourt avait fondé une première école, en 1780, pour des pupilles de son régiment de dragons. Cette école a été la forme primitive des écoles impériales d'Arts et Métiers fondée en 1804 par Napoléon Ier en transférant l'école de Liancourt à Compiègne, puis, en 1806, à Châlons-en-Champagne[51].
    La Fondation des Arts et Métiers a racheté en 1973 la Ferme de la montagne, tombée en ruine et y a fondé le Centre historique des Arts et Métiers, un pôle d’éducation, de culture et de promotion scientifique et technique comprenant un musée et un centre d’archive, et qui accueille chaque année environ 3000 personnes[52],[53]
  • Le tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt, à gauche du portail de la cour de ferme : le monument funéraire du tombeau du duc de La Rochefoucauld-Liancourt s'appuie contre le mur-pignon d'un ancien bâtiment agricole. Il est assorti de trois plaques commémoratives installées à de différentes occasions par les anciens élèves.
  • La colonne des Arts et Métiers, rue des Arts-et-Métiers (RD 137) / rue de la Faïence, à la sortie nord-est de la ville et à 250 m du musée Gadzarts : elle a été élevée en 1882 par les Gadzarts à l'occasion du centenaire de la création de leur première école, et rappelle les autres écoles des Arts et Métiers fondées en France[54].
  • Statue de la Rochefoucauld-Liancourt, place Rochefoucauld : elle a été érigée par les anciens élèves des écoles et par la population sur la place du même nom et inaugurée pour la première fois le . Sans le piédestal, la statue mesure 2,6 m de haut. Enlevée par les Allemands le , elle est refondue en plein bronze par les Gadzarts et remise en place le en présence du duc de Liancourt[54].
  • L'hôtel de ville, le monument aux morts et son parc, rue Jules-Michelet : Le bâtiment de la mairie est une ancienne résidence bourgeoise. Grâce aux dispositions testamentaires prises par sa dernière propriétaire, Mme Gromard, la ville a pu l'acquérir à des conditions très avantageuses. L'inauguration a eu lieu le . À la fin des années 1960, le plan d'urbanisme prévoit la destruction de la mairie et de son parc[55], projet finalement non réalisé. L'ensemble a ensuite été restauré.
  • L'église Saint-Martin (du XIIe au XVIe siècle), place du chanoine Snejdareck : elle présente sous un vaste toit de tuile une nef de la fin de la période romane et ses collatéraux. Il y avait autrefois trois toitures différentes. Le clocher, aux baies lancéolées, et la façade ont été modifiés à partir de 1578, lors de l'édification du chœur, du transept et des chapelles avec leurs caveaux (XVIe siècle). Elle est placée sous le vocable de saint Martin. Sa façade offre une représentation du saint patron, une plaque de métal sculptée où on le voit couper son manteau, sa cape, en deux à l'aide de son épée. Roger du Plessis-Liancourt et son épouse Jeanne de Schomberg sont inhumés dans le caveau de la chapelle de face, sans monument ni inscription[56]. L'église possède cinq objets classés : la dalle funéraire d'Hélie Monnet et Catherine Bazar[57], la dalle funéraire de Jacques de Langle et Marie de Auger[58], la dalle funéraire à effigie gravée de Mathurin Serault[59] et les fonts baptismaux[60], tous classés en 1912 et le monument funéraire de Charles du Plessis et d'Antoinette de Pons composé de leur statue de marbre (classé depuis 1886)[61].
  • Parc de Liancourt, à l'ouest du centre-ville, au nord du château.
  • La pyramide au souvenir de Georges de La Rochefoucauld (1829-1861), quartier des Ducs, rue de la Pyramide.

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Liancourt Blason
Ecartelé au 1) d'argent à la croix engrêlée de gueules chargée de cinq coquilles d'or, au 2) burelé d'argentet d'azur aux trois chevrons de gueules, le premier écimé, brochant sur le tout, au 3) de gueules aux monogramme des Arts et Métiers d'or, brochant sur une roue dentée du même au 4) d'azur au soc de charrue d'argent et au marteau du même passés en sautoir ; le tout d'argent à la fasce de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN 978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8)
  • Xavier de Courville, Liancourt, sa dame et ses jardins, S.l., s.n., (lire en ligne). (BNF 38672041), Rééditions : Paris, 1925, Librairie Bloud et Gay, (BNF 31976406) ; 2004, (BNF 39195196)
  • Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Liancourt, arrondissement de Clermont (Oise), , 146 p. (lire en ligne)
  • Raymond Poussard, « Les châteaux de Liancourt », Bulletin du G.E.M.O.B., Beauvais, nos 129-130,‎ , 62 p.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Creil comprend deux villes-centres (Creil et Nogent-sur-Oise) et 21 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Liancourt » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. « Communes limitrophes de Liancourt » sur Géoportail..
  2. « Fiche communale de Liancourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  3. Sandre, « la Brèche »
  4. Sandre, « la Béronnelle »
  5. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Liancourt et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Creil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. [PDF] « Paris - Amiens, horaires valables du 6 au 12 novembre 2023 » [PDF], sur TER Hauts-de-France (consulté le ).
  16. « Transports en commun à Liancourt », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 400b.
  18. La ferme de la Montagne" ou Liancourt, berceau des écoles d'Arts et Métiers
  19. La ferme de la Montagne" ou Liancourt, berceau des écoles d'Arts et Métiers
  20. Alexis-François Artaud de Montor, Encyclopédie des gens du monde, Treuttel et Würtz, 1842, p. 222
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Lucien CHARTON, LIANCOURT et sa région, Liancourt, , 557 p., p. 269.
  23. « La mort de Robert Hersant: un empire de presse orphelin », Les Échos,‎ (lire en ligne).
  24. « Robert Hersant (1920 - 1996) », sur Sycomore, base de données des députés de l'Assemblée nationale.
  25. Nicolas Giorgi, « Roger Menn, maire de Liancourt pendant 35 ans et "bâtisseur" de mixité va passer le relais », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Une page importante se tourne à Liancourt. Roger Menn, élu pour la première fois en 1989, quittera son poste de maire très prochainement ».
  26. Sylvie Molines, « Liancourt : le maire assuré d'être réélu : À la tête de la liste « Liancourt Horizon 2020 », Roger Menn, maire sortant, est sans adversaire. Il a donc l'assurance d'être réélu dimanche », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Roger Menn entame son cinquième mandat avec sa nouvelle équipe », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3283,‎ , p. 17.
  28. Réélu pour le mandat 2020-2026 : Marjorie Michaud, « Liancourt : Roger Menn réélu maire », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Roger Menn, maire sortant, a été réélu à la fonction avec 22 voix pour (et 7 pour Ophélie Van Elsuwe). ».
  29. Victor Fortunato, « Les problèmes soulevés doivent être réglés » : Roger Menn, nouveau président de l'office HLM Oise Habitat, conseiller général depuis 1994, réélu maire de Liancourt pour la troisième fois, Roger Menn, 45 ans, a pris, au mois de juin, la présidence du conseil d'administration d'Oise Habitat », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne).
  30. « Roger Menn ne sera pas candidat aux élections départementales », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Je vous en parle pour la dernière fois ! » Roger Menn ne briguera pas de nouveau mandat pour les prochaines élections départementales, le 29 mars, alors que les communes du canton seront désormais rattachées à Clermont, Pont-Sainte-Maxence et Nogent-sur-Oise. « Pour que la majorité du conseil général soit conservée, mon adjointe, une femme jeune et intelligente aux nombreuses compétences - Valérie mon épouse - nous représentera dans le canton du Clermontois où nous allons être intégrés », a-t-il expliqué lors de ses vœux à la population présentés dimanche ».
  31. Adrien Deschepper, « Dans cette ville de l'Oise, Laëtitia Coquelle devient la première femme maire », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après la démission de Rogen Menn, maire de Liancourt depuis 1989, son adjointe Laëtitia Coquelle a été élue maire de cette ville de 7 000 habitants, vendredi 19 juillet 2024 ».
  32. Maxime Piquet, « Laëtitia Coquelle, élue maire de Liancourt, veut « instaurer une démocratie participative » », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mon entrée au conseil municipal, aux côtés de Roger Menn, date de 2014. Il était venu me chercher alors que j’étais présidente des parents d’élèves d’une maternelle, on avait fait pas mal d’actions et c’est comme ça qu’on avait fait connaissance ».
  33. Lisa Zourdani, « Liancourt cultive son lien avec la ville allemande de Mainburg », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Les échanges n’avaient pas tout à fait cessé, mais ils avaient été mis à mal par la crise sanitaire. La semaine dernière, le maire de Mainburg, en Bavière, a été reçu par Roger Menn, son homologue liancourtois, pour fêter les 25 ans du jumelage entre les deux villes ».
  34. « Le palmarès des villes et villages fleuris », Le Courrier picard édition de l'Oise,‎ .
  35. Adrien Deschepper, « Le nouveau toboggan de cette piscine de l'Oise est dingue », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « À la piscine de Liancourt, un nouveau toboggan de 10 m de haut est ouvert aux nageurs depuis la mi-avril 2023. Une attraction pleine de couleurs ».
  36. « L'Opération "Ecrire enfermé" », Francis Fehr, Prison Justice n°107, janvier 2014, p. 31-37.
  37. Adrien Deschepper, « Davantage de surveillants dans cette prison de l'Oise, "ça va nous empêcher de couler" », Actu Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Après une mobilisation des surveillants, 14 nouveaux arriveront au centre pénitentiaire de Liancourt en septembre. La situation y est difficile depuis plusieurs mois ».
  38. Le Nouvel Obs
  39. François Nerrand, « Liancourt. Mais que fait la police (municipale) ? », Oise Hebdo,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Lors du conseil municipal de Liancourt (Oise), le maire Roger Menn a présenté un bilan des activités de la police municipale, jeudi 13 avril ».
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Liancourt (60360) », (consulté le ).
  44. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  45. Maxime Piquet, « Clermontois, Saint-Justois et Liancourtois : trois paroisses s’unissent pour n’en former qu’une », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  46. « La rénovation du château de Liancourt peut profiter du plan de relance », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  47. Maxime Piquet, « Balade dans les ruines des communs du château de Liancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  48. Lucien Charton, Liancourt et sa région, Paris/Autremencourt, Office d'édition du livre d'histoire, 1995 (1re édition 1968), 557 p. (ISBN 978-2-84178-053-2 et 2-84178-053-8) ; p. 494-508.
  49. Philippe Seydoux, Châteaux et gentilhommières des Pays de l'Oise : Tome I. Beauvaisis, Vexin, Pays de Bray, Plateau picard et Pays de Clermont, Paris, Éditions de la Morande, s.d. (2009), 323 p. (ISBN 978-2-902091-38-6 et 2-902091-38-9) ; p. 217-223.
  50. « Communs du château de la Rochefoucauld », notice no PA00114729, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  51. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 246-247.
  52. Centre historique des Arts et Métiers
  53. Maxime Piquet, « Les Arts et Métiers ont un ambitieux projet pour Liancourt », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Berceau de la prestigieuse École nationale d’Arts et Métiers, le site de l’Oise pourrait se muer en Forum de la technologie d’ici 2027 avec un musée moderne, un centre de formation et un complexe hôtelier. ».
  54. a et b Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 249.
  55. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 247-248.
  56. Lucien Charton, Liancourt et sa région, op. cit., p. 251-256.
  57. « Dalle funéraire d'H.Monnet et C.Bazar », notice no PM60000971, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  58. « dalle funéraire de J.de Langle et M.de Auger », notice no PM60000972, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  59. « dalle funéraire de M.Serault », notice no PM60000970, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  60. « Fonts baptismaux », notice no PM60000969, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  61. « Monument funéraire de C.du Plessis et d'A.de Pons », notice no PM60000968, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  62. Christophe Levantal, Ducs et pairs et duchés-pairies laïques à l'époque moderne : 1519-1790, Paris, Maisonneve et Larose, 1996, p. 300 et 693.
  63. Il est l'un des auteurs du dernier volume de la Géographie physique.