Discussion:Napoléon Ier
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Dans la rubrique jeux vidéo, Napoléon est un des personnages jouables dans Civilization V pour la nation française. Peut être serait-il bien de la rajouter ? source:http://civilization.wikia.com/wiki/Napoleon_(Civ5) Dans la rubrique, les titres de Napoléon Ier, il manque celui de coprince d Andorre de 1806 à 1814. |
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une informatyion sur napoléon. IL PARAIT QU'IL A SUCER UN ALLEMAND DURANT LA GUERRE DE WATERLOO
citations
Je recopie ici les citations. Je rappelle que WP n'est pas une liste de citations ou d'aphorismes. La liste est très longue, pas ordonnée, et alourdit une page qui n'en a vraiment pas besoin, WP doit être accessible au plus grand nombre, c'est à dire aussi à ceux qui sont en bas débit.
Je propose de transférer ces citations sur l'article q:Napoléon Ier de wikiquote en prenant bien soin de satisfaire aux exigences du projet (voir ici), or pour l'instant, aucune n'a les références nécessaires. J'en appelle donc à ceux qui possèdent ces ouvrages.Flot2 18 octobre 2007 à 18:58 (CEST)
- Joseph, si notre père nous voyait…. Mot glissé à son frère Joseph, pendant son sacre. [réf. nécessaire]
- Soldats, vous êtes nus, mal nourris ; le gouvernement ne peut rien vous donner… Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde… Vous y trouverez bonheur, gloire et richesse. Soldats d'Italie manqueriez-vous de constance ?. Une des proclamations qu'il fit à ses troupes récemment nommé général en chef de l'armée d'Italie.[réf. nécessaire]
Soldats, du haut de ces pyramides, quarante siècles vous contemplent. Mot de Bonaparte en Égypte.[réf. nécessaire]transféré vers wikiquoteFlot2 18 octobre 2007 à 19:57 (CEST)- Tous les détails de la vie doivent être soumis à cette règle : savoir vaincre sa mauvaise humeur.[1]
- Soldats, je suis content de vous !Phrase très célèbre de la Proclamation à la Grande Armée, après la bataille d'Austerlitz.[réf. nécessaire]
- Un père qui perd ses enfants ne porte aucun goût à la victoire. À la bataille d'Eylau, devant des milliers de morts.[réf. nécessaire]
- Un ami est l'être dont la traîtrise provoque la plus vive surprise.[réf. nécessaire]
- Les têtes couronnées n’y entendent rien : je ne crains pas la vieille Europe.[réf. nécessaire]
- L’avenir est à moi ! Lors de la naissance du roi de Rome, Napoléon prononça cette phrase en se disant que dorénavant aucun obstacle ne figurerait sur son destin.[réf. nécessaire]
- Tout s’use ici… il faut aller en Orient.[réf. nécessaire] Une fois la campagne d'Italie terminée, Bonaparte cultivait l'ambition d'aller en Orient.
- Un homme, véritablement homme, ne hait point; sa colère et sa mauvaise humeur ne vont point au-delà de la minute.[2]
- Les hommes qui ont changé l'univers n'y sont jamais parvenus en gagnant des chefs; mais toujours en remuant des masses.[3]
- Aux yeux des fondateurs des grands empires, les hommes ne sont pas des hommes, ce sont des instruments[4]
- Vous êtes de la merde dans un bas de soie ! Injure lancée à Talleyrand[réf. nécessaire]
- Bon Dieu ! Que les hommes de lettres sont bêtes ! Lettres à Cambacérès. [réf. nécessaire]
- Un roi n'est pas dans la nature; il n'est que dans la civilisation. Il n'en est point de nu ; il n'en saurait être que d'habillé.[5]
- France…armée…Joséphine, Mon fils… La tête de l'armée… France… ou …tête, armée, mon Dieu ! Derniers mots qu’il aurait prononcés à Sainte-Hélène avant de mourir.[réf. nécessaire]
- Une nation est toujours ce qu'on sait la faire. Phrase rapportée par le Baron Thiébault, au retour d'Égypte.[réf. nécessaire]
- Les observations d'un sot apprennent jusqu'à quel degré de simplicité il faut descendre pour être compris de tous.[6]
- Le succès ne s’explique pas. L’échec ne s’excuse pas.[réf. nécessaire]
- Les vraies conquêtes, les seules qui ne donnent aucun regret, sont celles qu'on fait sur l'ignorance.[7]
- C'est là mon vrai titre de gloire, celui qui vivra éternellement.[réf. nécessaire]
- Le vin inspire et contribue énormément à la joie de vivre.[réf. nécessaire]
- Il y a une espèce de voleur que les lois ne recherchent pas, et qui dérobe ce que les hommes ont de plus précieux : le temps.[réf. nécessaire]
- Quand on veut on peut, quand on peut on doit ![réf. nécessaire]
Nous naissons, nous vivons, nous mourons au milieu du merveilleux.[8]pas trouvé ici Flot2 18 octobre 2007 à 19:20 (CEST)- La mort s’approche de nous.[réf. nécessaire]
- La vérité historique n’est souvent qu’une fable convenue.[réf. nécessaire]
- Nulle société ne peut exister sans morale. Il n'y a pas de bonne morale sans religion. Il n'y a donc que la religion qui donne à l'État un appui ferme et durable. Allocution aux curés de Milan, 5 juin 1800.[réf. nécessaire]
- C'est le succès qui fait les grands hommes.[réf. nécessaire]
- On ne gouverne pas une nation éclairée par des demi-mesures; il faut de la force, de la suite et de l'unité dans tous les actes publics.[9]
- Intimer un ordre c'est intimider un regard.[réf. nécessaire]
- Partager la nuit entre une jolie femme et un beau ciel, et le jour, le passer à rapprocher ses observations et ses calculs, me paraît être le bonheur sur terre.[10]
- Un trône n’est qu’une planche garnie de velours.[réf. nécessaire]
- Plus d'illusion; je sais ce qu'il en est, et je suis résigné.Sur son lit de mort, à Sainte-Hélène.[réf. nécessaire]
- Une grande réputation c'est un grand bruit. Plus on en fait, plus il s'étend loin. Les lois, les institutions, les monuments, les nations, tout cela tombe. Mais le bruit reste et retentit dans d'autres générations.[réf. nécessaire]
- Les peuples passent, les trônes s’écroulent, l’église demeure.[réf. nécessaire]
- L’infortune est la sage femme du génie.[réf. nécessaire]
- L’infortune seule manquait à ma renommée.[réf. nécessaire]
- Pour moi, je n'ai qu'un besoin, celui de réussir. Au ministre de la Marine Decrès, en août 1805.[réf. nécessaire]
- Je n'ai pas succédé à Louis XVI, mais à Charlemagne. Réflexion à Pie VII qui venait de le couronner empereur des Français, le 2 décembre 1804.[réf. nécessaire]
- On devient l’homme de son uniforme.[réf. nécessaire]
- On peut s’arrêter quand on monte, jamais quand on descend.[réf. nécessaire]
- Presque jamais l'homme n'agit par acte naturel de son caractère, mais par une passion secrète du moment, réfugiée, cachée dans les derniers replis du cœur.[11]
- Les grands écrivains sont des radoteurs estimés.[réf. nécessaire]
- Quand j'ai besoin de quelqu'un, je n'y regarde pas de si près, je le baiserais au cul.[12]
- Les hommes sont comme les chiffres, ils n’acquièrent de la valeur que par leur position.[réf. nécessaire]
- Oui, suivez-moi. Je suis le dieu du jour.[réf. nécessaire]
- Quand on connaît son mal moral, il faut savoir soigner son âme comme on soigne son bras ou sa jambe.[13]
- Ce n'est pas possible, m'écrivez-vous ; cela n'est pas français. Réponse, le 9 juillet 1813, au général Lemarois, commandant de Magdebourg.[réf. nécessaire]
- Il faut que les destinées s’accomplissent.[réf. nécessaire]
- Quand on veut constamment et fermement, on réussit toujours.[réf. nécessaire]
- Il n’existe pas de sectes en géométrie.[réf. nécessaire]
- Impossible ? Je ne connais pas ce mot-là, Impossible n'est pas français.[réf. nécessaire]
- Je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Le 13 juillet 1815, Napoléon dit cela au gouvernement britannique qui devait alors « s'occuper de lui ».[réf. nécessaire]
- En politique une absurdité n’est pas un obstacle.[réf. nécessaire]
- Que peuvent d'ailleurs espérer les généraux avec un gouvernement d'avocats ? Bonaparte critique ainsi le Directoire, peu avant le coup d'État du 18 brumaire.[réf. nécessaire]
- L'imagination gouverne le monde ![14]
- Rien de plus impérieux que la faiblesse qui se sent étayée de la force ; voyez les femmes.[15]
- Ce qui est grand est toujours beau.[réf. nécessaire]
- Sachez écouter, et soyez sûr que le silence produit souvent le même effet que la science. Instruction à Eugène de Beauharnais, le 7 juin 1805.[réf. nécessaire]
- Français, ma volonté est celle du peuple.[réf. nécessaire]
- Si vous aimez à étudier les hommes, apprenez jusqu'où peut aller la patience, et tout ce qu'on peut dévorer ![16]
- Depuis le peu de mois qu'ils règnent, ils vous ont convaincus qu'ils n'ont rien oublié ni rien appris. 1er mars 1815, dans sa Proclamation à la Grande Armée, à son retour de l'île d'Elbe.[réf. nécessaire]
- Si vous ôtez la foi au peuple, vous n'avez que des voleurs de grand chemin.[réf. nécessaire]
- Du sublime au ridicule, il n’y a qu’un pas.[réf. nécessaire]
- N’affrontez pas trop souvent le même ennemi, vous pourriez lui enseigner votre art de la guerre.[réf. nécessaire]
- La supériorité de Mahomet est d’avoir fondé une religion en se passant de l’enfer.[réf. nécessaire]
- Une tête sans mémoire est une place sans garnison.[réf. nécessaire]
- L'homme en naissant porte en lui des droits sur la portion des fruits de la terre nécessaires à son existence. Discours de Lyon, en 1791.[réf. nécessaire]
- L'ambition est à l'homme ce que l'air est à la nature ; ôtez l'un au moral et l'autre au physique, il n'y a plus de mouvement. [17]
- Vaincre n’est rien, il faut profiter du succès.[réf. nécessaire]
- L'homme fait pour les affaires et l'autorité ne voit point les personnes ; il ne voit que les choses, leur poids et leur conséquence.[18]
- En amour, la seule victoire, c’est la fuite.[réf. nécessaire]
- Et ainsi la guerre aura lieu malgré moi, malgré lui. Phrase énoncée après la déclaration de guerre de la Russie à la France, en 1812.[réf. nécessaire]
- L’homme n’a pas d’amis, c’est son bonheur qui en a.[réf. nécessaire]
- Ce qui importe, c'est la part du passé rendue présente, significative et même parfois exemplaire par la métamorphose du présent.[réf. nécessaire]
- N’interrompez jamais un ennemi qui est en train de faire une erreur.[réf. nécessaire]
- Mieux vaut être mangeur que mangé.[réf. nécessaire] Autre tournure de Mieux vaut être vainqueur que vaincu, faisant allusion aux victoires napoléoniennes.
- Mon épée est à mon côté, et avec elle j’irai loin. Mot lancé lors du passage du pont d'Arcole.[réf. nécessaire]
- Mon maître n’a pas d’entrailles et ce maître, c’est la nature des choses. Phrase adressée à Joséphine.[réf. nécessaire]
- Avec un allié sincère, la France serait maîtresse du monde. Phrase dite après Tilsit.[réf. nécessaire]
- La sévérité prévient plus de fautes qu’elle n’en réprime.[réf. nécessaire]
- Les Français vaudront tout leur prix, lorsqu'ils substitueront les principes à la turbulence, l'orgueil à la vanité, et surtout l'amour des institutions à l'amour des places.[19]
- Celui qui, au départ, insiste pour savoir où il va, quand il part et par où il passe n'ira pas loin.[réf. nécessaire]
- On est toujours forcé de donner quelque chose au hasard.[réf. nécessaire]
- L'Angleterre est une nation de boutiquiers.[réf. nécessaire] Cette phrase est attribuée à Napoléon par son médecin à Sainte-Hélène.
- Je redoute trois journaux plus que cent milles baïonnettes.[réf. nécessaire]
- J'ai désouillé la Révolution, ennobli les peuples et raffermi les rois. J'ai excité toutes les émulations, récompensé tous les mérites et j'ai reculé les limites de la gloire.[réf. nécessaire]
- L'art d'être tantôt très audacieux et tantôt très prudent est l'art de réussir.[réf. nécessaire]
- En dernière analyse, on ne gouverne qu'avec des éperons et des bottes.[réf. nécessaire]
- Dans les révolutions, il y a deux sortes de gens : ceux qui les font et ceux qui en profitent.[réf. nécessaire] Allusion aux « profiteurs » de la Révolution.
- Depuis le peu de mois qu'ils règnent, ils vous ont convaincus qu'ils n'ont rien oublié ni rien appris.[réf. nécessaire]
- Je pars. Que ce dernier baiser passe dans vos cœurs.[réf. nécessaire] Napoléon a dit cette phrase d'adieux à ses maréchaux, alors qu'il partait pour lîle d'Elbe ; cette scène est connue pour être devenue une œuvre picturale, Les Adieux de Fontainebleau.
- Un homme combattra plus pour ses intérêts que pour ses droits.[réf. nécessaire]
- Un bon croquis vaut mieux qu’un long discours.[réf. nécessaire]
- La morale est bien souvent le passeport de la médisance.[réf. nécessaire]
- On déjoue beaucoup de choses en feignant de ne pas les voir.[réf. nécessaire]
- Le moyen d’être cru est de rendre la vérité incroyable.[réf. nécessaire]
- La bravoure procède du sang, le courage vient de la pensée.[réf. nécessaire]
- Le cœur d’un homme d’État doit être dans sa tête.[réf. nécessaire]
- La mort n’est rien, mais vivre vaincu et sans gloire, c’est mourir tous les jours.[réf. nécessaire]
- Je m’offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France.[réf. nécessaire]
- Être grand, c’est dépendre de tout.[réf. nécessaire]
- Tout a été comme je l’avais calculé.[réf. nécessaire]
- La politique n’a pas de cœur, elle n’a que de la tête.[réf. nécessaire]
- Il faut être plus grands, malgré nous.[réf. nécessaire]
- De Clovis jusqu’au Comité de salut public, je me sens solidaire de tout.[réf. nécessaire]
- Sans femme il n'est ni santé ni bonheur.[réf. nécessaire]
- Trop de variétés encore séparent les peuples de cette belle Europe, qui ne devraient faire qu'une grande famille.[réf. nécessaire]
- Le meilleur moyen de tenir sa parole est de ne jamais la donner.[réf. nécessaire]
- Quand mon grand char politique est lancé, il faut qu’il passe. Malheur à qui se trouve sous les roues.[réf. nécessaire]
- Si les États-Unis étaient au centre de l'Europe,ils ne résisteraient pas deux ans à la pression des monarchies.[réf. nécessaire]
- Le mot de 'vertu politique' est un non-sens.[réf. nécessaire]
- En guerre comme en amour, pour en finir, il faut se voir de près.[réf. nécessaire]
- À tout peuple conquis, il faut une révolte.[réf. nécessaire]
- Avec de l’audace, on peut tout entreprendre, on ne peut pas tout faire.[réf. nécessaire]
- Il faut mener les hommes avec une main de fer dans un gant de velours.[réf. nécessaire]
- Je crois l'amour nuisible à la société, au bonheur individuel des hommes. Enfin, je crois que l'amour fait plus de mal que de bien.[réf. nécessaire]
- La vraie noblesse réside dans celui qui va au feu. J'aurais donné ma fille à un soldat de bataille, je l'aurais refusée à un administrateur.[réf. nécessaire]
- La poésie, la peinture, la sculpture doivent mentir, mais mentir avec grandeur, avec charme, avec pompe.[réf. nécessaire]
- Le premier devoir du peuple est sans doute de faire ce que veut le peuple, mais le peuple ne sait presque jamais ce qu'il veut.[réf. nécessaire]
- Le cœur peut être déchiré, l'âme rester inébranlable.[réf. nécessaire]
- On gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus.[réf. nécessaire]
- On peut tuer le peuple français, mais non l’intimider.[réf. nécessaire]
- Qu’est-ce que le mot Empereur ? un mot comme un autre ![réf. nécessaire]
- Quand le cœur parle, la gloire n’a plus d’illusions.[réf. nécessaire]
- La noblesse aurait subsisté si elle s’était plus occupée des branches que des racines.[réf. nécessaire]
- Je sais, quand il le faut, quitter la peau du lion pour prendre celle du renard.[réf. nécessaire]
- Le canon a tué la féodalité ; l’encre tuera la société moderne.[réf. nécessaire]
- Il faut toujours se réserver le droit de rire le lendemain de ses idées de la veille.[réf. nécessaire]
- Les hommes de génie sont des météores destinés à brûler pour éclairer leur siècle.[réf. nécessaire]
- L’épée est tirée. Il faut les refouler dans leurs glaces.[réf. nécessaire]
- On ne conduit le peuple qu’en lui montrant un avenir : un chef est un marchand d’espérance.[réf. nécessaire]
- Les règlements sont faits pour les médiocres et les indécis ; rien de grand ne se fait sans l’imagination.[réf. nécessaire]
- Chaque difficulté porte en elle le germe d’un avantage équivalent ou supérieur.[réf. nécessaire]
- Je suis dans l’obscur de tout.[réf. nécessaire]
- J’ai fait une grande faute, mais j’aurai les moyens de la réparer.[réf. nécessaire]
- Je suis la Révolution française et je la soutiendrai.[réf. nécessaire]
- Le grand art, c’est de changer pendant la bataille. Malheur au général qui arrive au combat avec un système.[réf. nécessaire]
- La force d’une armée, comme la quantité de mouvement en mécanique, s’évalue par la masse multipliée par la vitesse.[réf. nécessaire]
- Dieu, lui aussi, a essayé de faire des ouvrages. Sa prose, c’est l’homme. Sa poésie, c’est la femme.[réf. nécessaire]
- Le commerce unit les hommes, tout ce qui les unit les coalise, le commerce est donc essentiellement nuisible à l’autorité.[réf. nécessaire]
- La pauvreté, les privations et la misère sont l’école du bon soldat.[réf. nécessaire]
- Ce que nous avons pris à l'ennemi est incalculable. Je vous fais passer vingt tableaux des premiers maîtres, du Corrège et de Michel-Ange.[réf. nécessaire]
- Une belle femme plaît aux yeux, une bonne femme plaît au cœur ; l’une est un bijou, l’autre un trésor.[réf. nécessaire]
Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole.[réf. nécessaire]transféréFlot2 19 octobre 2007 à 16:45 (CEST)- Il n'est point de petits événements pour les nations et les souverains : ce sont eux qui gouvernent leurs destinées.[réf. nécessaire]
- Je ne crois pas au proverbe que, pour savoir commander, il faut savoir obéir.[réf. nécessaire]
- Notre ridicule défaut national est de n’avoir pas de plus grand ennemi de nos succès et de notre gloire que nous-mêmes.[réf. nécessaire]
- Ni bonnet rouge, ni talon rouge, je suis national.[réf. nécessaire] Bonaparte a prononcé cette phrase juste après le coup d’État du 18 Brumaire.
- On s'est occupé d'améliorer Paris depuis les eaux jusqu'au palais.[réf. nécessaire]
- La paix est un mot vide de sens ; c’est une paix glorieuse qu’il nous faut.[réf. nécessaire]
- La paix est le premier des besoins comme la première des gloires.[réf. nécessaire]
- Il y a différentes manières d'assassiner un homme : par le pistolet, par l'épée, par le poison ou par l'assassinat moral. C'est la même chose, au définitif, excepté que ce dernier moyen est cruel.[réf. nécessaire]
- Il n’y a que deux puissances au monde, le sabre et l’esprit. J'entends par l'esprit les institutions religieuses. À la longue, le sabre est toujours vaincu par l’esprit.[20]
- Il est dans le caractère français d’exagérer, de se plaindre et de tout défigurer dès qu’on est mécontent.[réf. nécessaire]
- Il n'y a que deux espèces de plans de campagne, les bons et les mauvais. Les bons échouent presque toujours par des circonstances imprévues qui font souvent réussir les mauvais.[21]
- Je n’ai jamais permis les critiques. On demande à un médecin qu’il guérisse la fièvre et non qu’il fasse une satire contre elle.[réf. nécessaire]
- Il n'y a que la religion qui puisse faire supporter aux hommes les inégalités de rang, parce qu'elle console de tout.[réf. nécessaire]
- Anvers est un pistolet braqué au cœur de l'Angleterre ![réf. nécessaire]
- Il vous suffira de dire 'J'étais à la bataille d'Austerlitz', pour que l'on vous réponde 'Voilà un brave !'[réf. nécessaire] Proclamation de la Grande Armée.
- Il est de la sagesse et de la politique de faire ce que le destin ordonne et d'aller où la marche irrésistible des événements nous conduit.[réf. nécessaire]
- Je suis regretté et demandé par toute la France.[réf. nécessaire]
- Je désire que mes cendres reposent sur les bords de Seine, au milieu du peuple français que j'ai tant aimé.[réf. nécessaire] Une des dernières volontés de Napoléon, avant qu'il ne meurt.
- Je crois que la nature m'avait calculé pour les grands revers.[réf. nécessaire]
- Il y a chose qui n'est pas française, c'est qu'une femme puisse faire ce qui lui plaît.[réf. nécessaire]
- L'art de la police est de ne pas voir ce qu'il est inutile qu'elle voie.[22]
- Les règlements sont faits pour les soldats et non pour les guerriers ; la bataille se rit du code, elle en exige un nouveau, innové par elle et pour elle et qui disparaît dès qu’elle est terminée.[réf. nécessaire]
- L'art de la guerre consiste, avec une armée inférieure, à avoir toujours plus de force que son ennemi sur le point qu'on attaque ou sur le point qui est attaqué, mais cet art ne s'apprend ni dans les livres ni par l'habitude.[réf. nécessaire]
- Il faut qu'une constitution soit courte et obscure. Elle doit être faite de manière à ne pas gêner l'action du gouvernement.[réf. nécessaire]
- Il n’y a que deux espèces de plans de campagne, les bons et les mauvais. Les bons échouent presque toujours par des circonstances imprévues qui font souvent réussir les mauvais.[réf. nécessaire]
- Vous devez tout voir, tout entendre et tout oublier.[réf. nécessaire]
- Vous n'avez ni souliers, ni habits, ni chemises, presque pas de pain et nos magasins sont vides. Ceux de l'ennemi regorgent de tout, c'est à vous de les conquérir. Vous le voulez, vous le pouvez, partons ![réf. nécessaire]Le 21 juillet 1798, lors de la prise du Caire.
- L'histoire est une suite de mensonges sur lesquels on est d'accord.[réf. nécessaire]
- Dans tout ce qu’on entreprend, il faut donner les deux tiers à la raison, et l’autre tiers au hasard. Augmentez la première fraction, et vous serez pusillanime. Augmentez la seconde, vous serez téméraire.[réf. nécessaire]
- Les maréchaux, livrés à eux-mêmes en Espagne, se détestent au point qu'ils seraient désespérés de faire un mouvement qui pourrait tourner à la gloire d'un autre.[réf. nécessaire]
- J'ai pris ce qui n'appartenait à personne.[réf. nécessaire]
- Il faut, à la guerre, profiter de toutes les occasions, car la fortune est femme; si vous la manquez aujourd'hui, ne vous attendez pas à la retrouver demain.[réf. nécessaire]
- La paix basée sur l'indépendance de toutes les nations est une de ces utopies à l'usage des niais, dont l'expérience fait justice.[réf. nécessaire]
- Une puissance supérieure me pousse à un but que j’ignore ; tant qu’il ne sera pas atteint je serai invulnérable, inébranlable ; dès que je ne lui serai plus nécessaire, une mouche suffira pour me renverser.[réf. nécessaire]
- Les aigles impériales voleront de clocher en clocher, jusqu'au tours de Notre-Dame ![réf. nécessaire]À son retour de l'île d'Elbe, Napoléon prononça cette phrase, sur la route qui porte aujourd'hui son nom.
Une nuit de Paris réparera tout cela.[réf. nécessaire] À Eylau. Cette citation s'apparente à celle de Charles de Flahaut : « Paris réparera cela en une nuit ».Voilà le soleil d'Austerlitz ![réf. nécessaire] Le 7 septembre 1812, jour de la bataille de la Moskowa qui fut en effet une victoire.transféréFlot2 19 octobre 2007 à 16:27 (CEST)- De nos jours, personne n'a rien conclu de grand ; c'est à moi de donner l'exemple.[réf. nécessaire]
Moi aussi je viens d'une île, mais où les femmes ne se baignent pas, ou alors toutes habillées de robes noires.[réf. nécessaire]canular? Flot2 19 octobre 2007 à 16:27 (CEST)
- Maximes de guerre et pensées, page 241.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Maximes de guerre et pensées, page 209.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Maximes de guerre et pensées, page 371.
- Maximes de guerre et pensées, page 119.
- Lettres, à Joséphine, 5 avril 1796.
- Maximes de guerre et pensées, page 132.
- Denis Guedj, Le mètre du monde.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Mémoires de Caulaincourt.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Maximes de guerre est pensées, page 79.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Maximes de guerre et pensées, page 173.
- Le Mémorial de Sainte-Hélène.
- Correspondance.
- Lettre du 24 mai 1800, à Fouché
Erreur dans le successeur
Veuillez noter que louis XVIII succedera a Napoleon Bonaparte et non Napoleon III (Cf tableau recapitulatif en toute fin d'article)
- Le tableau {{France Roi}} semble correct. ThrillSeeker {-_-} 4 novembre 2007 à 00:54 (CET)
- Ok, je vois, il s'agit du tableau dynastie, en fait, il semble que ce soit par rapport au « titre ». ThrillSeeker {-_-} 4 novembre 2007 à 02:02 (CET)
- En fait, pour être parfaitement exact historiquement, c'est l'empereur Napoléon II qui succéda brièvement à Napoléon Ier, conformément au second acte d'abdication, avant l'arrivée de Louis XVIII à Paris. Une commission provisoire de gouvernement prit quelques arrétés pendant une quinzaine de jour au nom de l'aiglon, alors retenu à Vienne. Le bandeau de succession dont parle l'intervenant initial est le tableau de succession des Chefs de famille de la Maison Napoléon...--Strogoff (d) 11 avril 2008 à 13:09 (CEST)
- Ok, je vois, il s'agit du tableau dynastie, en fait, il semble que ce soit par rapport au « titre ». ThrillSeeker {-_-} 4 novembre 2007 à 02:02 (CET)
Echanges sur Napoléon et le Renseignement
Cher Stef48, Respectueusement, je ne suis pas d'accord avec votre position que le Renseignement n'est pas important pour Napoléon: c'est l'arme cachée qui lui a fait gagner ses batailles et anticiper les manoeuvres de l'ennemi! Il est connu que c'était un des leaders les mieux informés de l'histoire. Pourriez-vous reconsidérer votre position ? Merci d'avance.
PS1. Ces contributions ont été validées par la Fondation Napoléon, le Wall Street Journal, et les meilleurs experts internationaux sur Napoléon, lors d'une journée à l'Arc de Triomphe sur le bicentenaire de la Bataille d'Austerlitz... Merci. PS2. Le système organisé de renseignement de Napoléon n'est connu du grand public que par les anecdotes sur Schulmeister et Fouché. Voir Le Renseignement et l'Empire Napoléonien et Schulmeister.
- Les deux liens ajouté viennnent d'un site sur le management et n'ont pas de légitimité historiographique ou universitaire et les contributions d'IP ne doivent pas se résumer à l'ajout de liens externes. Si vous avez des informations basé sur des ouvrages ou des articles émanant d'historiens spécialiste de la période Napoléonienne alors vous ajoutez ces informations dans le corps de l'article et non pas par un lien externe, ces deux adresses n'ont pas leurs places et contreviennent aux règles sur les liens externes. Cordialement Kirtap mémé sage 4 novembre 2007 à 18:33 (CET)
Monsieur:
Veuillez m'excuser de n'être pas d'accord avec vous:
1° Ces deux liens font partie du compte-rendu d'une journée d'experts qui a eu lieu à l'intérieur de l'Arc de Triomphe le jour du bicentenaire de la bataille d'Austerlitz, et sponsorisée par le Wall Street Journal. Parmi les orateurs: Laurent Joffrin, Directeur de la rédaction du Nouvel Observateur et auteur du livre "Les batailles de Napoléon" au Seuil; le Colonel Peter Herrly, ancien Chief of Doctrine de l'Etat Major de l'US Army; Ludo Van Der Heyden, Professeur à l'Insead, auteur du cas de management "Napoléon Bonaparte victim of an inferior strategy". L'intérêt de cette journée était d'apporter le point de vue dynamique et complémentaire de praticiens (militaires, managers).Il s'agit d'un travail sérieux et original, donnez-vous la peine de prendre le temps de juger...
2° J'ai relu attentivement la page sur les liens externes de Wikipedia. Je n'y vois rien de contradictoire aux recommandations énoncées. La page indique certes qu'il faut préférer les sites universitaires aux sites marchands -sans toutefois les interdire- mais c'est le seul endroit où le document est accessible.
Respectueusement.
- Ni Peter Herrly ni Ludo Van Der Heyden ne sont des spécialistes de Napoléon quant à Laurent Joffrin c'est un journaliste qui a fait un ouvrage grand public sur les batailles de Napoléon et qui ne fait en aucun cas autorité dans ce domaine , je connais son ouvrage et on est trés loin des travaux de Tranié et Carmignani qui sont des références. Qui plus est le postulat de votre texte sur Napoléon et le managment est clair puisqu'il s'agit de savoir quels enseignements Napoléon apporte t'il aux dirigeants et aux états majors d'aujourd'hui. Sans parler de l'anachronisme que constitue ce concept de Napoléon Empereur-Manager, ce n'est pas parce que Thierry Lentz a lancé cette formule qu'il faut la prendre à la lettre. Wikipédia n'est pas un hébergeur, les documents doivent etre en relations directe et apporter des éléments complémentaires pertinents et serieux basé sur du travail reconnu. Les thèses inédites n'ont pas leurs places. Cordialement Kirtap mémé sage 5 novembre 2007 à 00:54 (CET)
Cher Monsieur. Je comprends votre position, mais je ne suis pas d'accord.
- 1° Il se trouve que les universitaires se sont très peu intéressés au Renseignement, et que cette partie importante de l'activité de Napoléon a été peu étudiée. Les documents cités ici sont originaux et complètent notre connaissance de Napoléon. C'est à ma connaissance la première fois que le système de renseignement de Napoléon a été étudié en tant que système global, et non par le petit bout de la lorgnette ou par l'anecdote (même dans les ouvrages de Carmignani et de Tranié). Ces articles ont leur place dans Wikipédia ... jusqu'à ce qu'un universitaire fasse un travail plus fouillé, ce que j'appelle de mes voeux.
- 2° Je conteste vigoureusement votre argument suivant lequel les universitaires sont toujours la meilleure référence. En particulier, dans le domaine du renseignement, ils sont en général à côté de la plaque, se perdent dans les détails, et ne voient ni ne comprennent les choses vraiment importantes. Un praticien du renseignement comprendra mieux certains comportement de Napoléon dans ce domaine si particulier qu'un historien, même prestigieux.
- 3° Si votre position était généralisée, alors Wikipedia ne serait qu'une compilation d'articles de vulgarisation de thèses universitaires. Or il me semble que l'ambition de Wikipedia est plus vaste.
Respectueusement. Villepreux 5 novembre 2007 à 14:21 (CET)
- « Wikipedia ne serait qu'une compilation d'articles de vulgarisation de thèses universitaires » : Wikipédia n'est effectivement que cela. Par ailleurs, un diaporama de 12 pages n'apporte quasiment rien comme prolongement à l'article. En revanche votre collaboration à la rédaction de l'article est la bienvenue. Cordialement, DocteurCosmos - ✉ 5 novembre 2007 à 14:59 (CET)
Cher Monsieur:
- 1° "Wikipédia n'esteffectivement que cela?" Je ne suis pas d'accord! Prenez par exemple le Logiciel Libre: les meilleurs experts ne sont pas des universitaires, mais des praticiens pas toujours diplômés. Faut-il retirer leurs articles?
- 2° Le Professeur Ludo Van Der Heyden, enseigne la stratégie à l'Insead (un des meilleurs programmes MBA mondiaux, classé numéro 6 au niveau mondial et numéro 1 hors Etats-Unis par le Financial Times et le magazine Business Week). Ce professeur a écrit le cas de management "Napoléon Bonaparte victim of an inferior strategy". Savez-vous ce que représente comme travail et comme autorité la construction d'un "cas" d'une top business school? Cela vaut largement une thèse. C'est un travail d'équipe universitaire.
- 3° Le Colonel Peter Herrly, ancien Chief of Doctrine de l'Etat Major de l'US Army ne serait pas une référence? Avec tout le respect que je vous dois, cette afirmation ne tient pas la route. L'ancien PATRON de la DOCTRINE de l'ARMEE AMERICAINE ne serait pas crédible lorsqu'il parle de Napoléon? Il en sait au moins 10 fois plus sur la stratégie de Napoléon que les plus grands historiens (qui eux sont certainement plus crédibles sur d'autres aspects). Un tel homme ne connaît pas la stratégie militaire de manière livresque ... il l'a vécue au plus haut niveau!
- 4° "Les 12 pages n'apportent quasiment rien"? Prenez donc le temps de les lire. Au contraire, c'est très important de se rendre compte que Napoléon était un vrai praticien du Renseignement. Le contenu de ces pages est original et utile.
- 5° Pourquoi un lien externe? Parce que ces pages ne sont pas libres de droits.
Cordialement. Villepreux 7 novembre 2007 à 02:47 (CET)
- Concernant votre point 1 vous aurez beau n'être pas d'accord avec force points d'exclamation que cela ne changera rien à la véracité de mes propos. Je ne cherche pas à contester vos propos des points 2 et 3 même si ce sont les historiens de Napoléon qu'il faut convaincre davantage que nous-mêmes. Je tiens à préciser concernant votre point 4 que mon jugement ne vaut pas dans l'absolu mais dans le cadre de Wikipédia. Enfin, pour traiter votre point 5, Wikipédia n'est pas une collection de liens externes (un « annuaire » de liens) si bien que mon conseil initial tient plus que jamais : rédigez quelque chose sur « Napoléon et le renseignement » au sein de l'article et cela pourrait (je dis bien « pourrait ») être sourcé par les études dont vous vous faites le héraut. Cordialement, DocteurCosmos - ✉ 7 novembre 2007 à 09:58 (CET) NB : en attendant, cessez de remettre ces liens car cela pourrait finir par être assimilé à du Spam.
Monsieur, Je cède face à la force (vous êtes patrouilleur), mais je ne suis pas convaincu par la justesse de vos arguments.
- 1° Sur le fond, le sujet est vraiment original. C'est un vrai plus à Wikipedia. D'ailleurs vous me recommandez d'écrire une page sur ce thème.
- 2° Sur la forme, Wikipedia n'interdit pas les liens externes: ils existent. En particulier, ils sont légitimes lorsque la matière citée est sujette à des droits, ce qui est le cas.
- 3° Effacer systématiquement mes liens pourrait-il être assimlé à du vandalisme ? (je sais bien que ce ne peut pas être votre cas). Comment régler justement et cordialement notre désaccord?
Salutations.
- Kirtap plus haut vous a déjà donné les arguments décisifs sur le fond dans ses deux interventions ici même.
- 1 : lisez vraiment Wikipédia:Principes fondateurs et Wikipédia:Vérifiabilité. Je ne vous recommande pas d'écrire un article dédié à cette question mais de compléter l'article existant.
- 2 : la rubrique « liens externes » existe pour mettre en avant d'autres sites offrant des compléments et prolongements significatifs au sujet abordé (et non pas n'importe quel contenu en rapport avec l'article)
- 3 : Vandalisme non, désaccord éditorial oui. Mais en matière de lien externe, les désaccords sont vite tranchés en faveur de la non inclusion du lien qui pose problème tant l'absence ou la présence de tel ou tel lien externe ne modifie en rien la qualité de l'encyclopédie.
- Cordialement, DocteurCosmos - ✉ 7 novembre 2007 à 11:54 (CET)
Cher Monsieur,
- J'ai répondu de façon pertinente aux arguments de Kirtap. Un historien qui parle de la stratégie de Napoléon, c'est comme un curé qui parle du mariage et du sexe ... une connaissance livresque. Le patron de la doctrine de l'armée US est à la fois un théoricien et un praticien. C'est à mon avis une référence 10 fois meilleure.
- Suivant votre recommandation, j'ai bien lu les articles que vous recommandez. Je suis d'accord sur le travail à faire sur la vérifiabilité ... c'est juste une question de temps et de travail pour développer cette première ébauche ... pourquoi tuer l'initiative dans l'oeuf?
- Pourquoi auriez-vous le droit de supprimer mes liens et moi je n'aurai pas le droit de les remettre? Vous êtes administrateur, et suivant les règles de Wikipedia « En aucun cas un administrateur n'a davantage de pouvoir que les non-administrateurs en matière de création, d'édition, de forme, de contenu, de ligne directrice ».
- Finalement je trouve que la suppression de ce lien externe représente une perte de savoir sur un sujet au cœur des facteurs clés de succès de Napoléon : le Renseignement.
En conséquence, je me permets de demander un arbitrage à la Communauté des Wikipédiens auquel je me soumettrai de bonne grâce. Très cordialement. Villepreux 7 novembre 2007 à 13:23 (CET)
- Je pense que, plutôt de créer un article sur Napoléon et le renseignement — qui ne serait pas plus pertinent qu'un article Napoléon et les femmes — qu'il serait préférable d'inclure l'essentiel de l'idée du contenu du lien dans une phrase, pas plus dans cet article, de sourcer avec le lien, et de développer un peu plus la section "France napoélonienne" de l'article Renseignement qui se limite pour le moment à une seule phrase. Que Napoléon ait employé Schulmeister, tout le monde qui s'est un peu penché sur le sujet le sait. Mais dans cet article, un paragraphe consacré et/ou un lien externe serait tout à fait exagéré. EDIT : « Un historien qui parle de la stratégie de Napoléon, c'est comme un curé qui parle du mariage et du sexe » : je fais comme si je n'avais rien lu. Martin // discuter 7 novembre 2007 à 13:17 (CET)
Monsieur, Votre remarque est pleine de bon sens. En effet, ce sujet aurait peut-être mieux sa place dans la section que vous indiquez. Qu'en pensent les autres? Cordialement. Villepreux 7 novembre 2007 à 13:23 (CET)
- J'y suis absolument favorable bien entendu. Vous remarquerez que Martin a su mieux expliquer « mon conseil » mais n'en reste pas moins d'accord avec moi sur le fond. DocteurCosmos - ✉ 7 novembre 2007 à 13:37 (CET)
Dans ce cas, je vais me mettre au travail en prenant en compte vos remarques ... mais pas avant ce week-end, car j'ai un court voyage à l'étranger. Salutations cordiales. Villepreux 7 novembre 2007 à 14:23 (CET)
- On peut faire un article sur les services de renseignements sous Napoléon mais alors on se basera avant tout sur les études de P.Muller L'espionnage miltaire sous Napoléon et J.Savant Les Espions de Napoléon qui sont mentionnés dans l'ouvrage de Tulard sans oublier les travaux sur les renseignements interieurs par les services de Fouché. Le tout est de se baser sur des études ayant été publiées et reconnues par l'historiographie afin d'éviter le Travail inédit qui n'est pas admis sur wikipédia. En ce qui concerne le lien il s'agit d'interprétation et d'extrapolation à partir de l'exemple de Napoléon pour une étude de cas en managment destinée aux étudiants en Business school. Le serieux des intervenant n'est pas en cause mais ce n'est pas en rapport avec l'histoire napoléonienne. Donc d'accord pour parler du renseignement sous Napoléon mais à partir de sources solides et non de thèses inédites. Kirtap mémé sage 7 novembre 2007 à 14:31 (CET)
Intention de proposer au label BA
Ça me semble un peu optimiste, retrait du bandeau à recycler, peut-être un peu hâtif, guerre d'édition ridicule entre premier 1er, un [ref nécessaire] dans le 1er §, etc. SalomonCeb 2 décembre 2007 à 11:40 (CET)
- Sincèrement j'ai relu attentivement le paragraphe avant de retirer le bandeau et je ne vois pas ce qu'il y avait à recycler. Pour la petite guerre d'édition et la ref nécessaire, ca n'a pas empêché d'autres articles d'obtenir le BA Par contre là où le bas blesse pour l'obtention du label, c'est le nombre et la qualité des sources je pense. --Effco 2 décembre 2007 à 21:51 (CET)
- Cela me paraît hasardeux, peut-être pourrait-on passer par le Comité de lecture qui pourra pointer les faiblesses.
- Pour ma part, je suis toujours assez gêné par les paragraphes « L'héritage napoléonien » et « Pourquoi le rétablissement de l'esclavage ? » Le premier est rempli d'analyses non sourcées, et le second développe longuement un point pas nécessairement fondamental. O. Morand 2 décembre 2007 à 22:29 (CET)
- Ok je tiens compte de vos avis je ne le présenterai pas. --Effco 3 décembre 2007 à 21:00 (CET)
Je pense que c' est une bonne idée.
Napoleon expulse les Noirs de la France 1802
En 1802 Napoleon a interdit la France métropolitaine aux negres, et en 1803 il a interdit les marriages mixtes. source: http://www.herodote.net/histoire/evenement.php?jour=18020520 il faut ajouter ceci dans la section Consul.
- Voici: Après la Révolution, le Premier Consul reprend cette tradition tardive et la renforce. «Je suis pour les blancs, parce que je suis blanc. Je n'ai pas d'autre raison, et celle-la est la bonne,» déclare-t-il au Conseil d'État en 1802. Le 29 mai 1802, il exclut de l'armée les officiers «de couleur», le 2 juillet, interdit le territoire métropolitain aux «noirs et gens de couleur» et le 8 janvier 1803, interdit les mariages mixtes.
Naissance
Bonjour.
La semaine dernière, la date de naissance a été modifié en donnant comme référence Tulard. Or, il n'est pas le premier à soutenir cette date (Chateaubriand le disait déjà), et jusque là les avis restent, me semble-t-il partagé, non ? Donc, soit c'est encore sujet à caution, et on mentionne les deux hypothèses, soit ca ne l'ai pas, mais dans ce cas, il faut mentionner tout de même que la tradition le fait naître le 15 aout 1769, dès l'intro je pense, car la quasi-totalité des bios mentionnent cette date. Et si on décide que la bonne date c'est 1768, il faudrait unifier les articles sur WP (Maria Letizia Ramolino, Charles Bonaparte, 15 août, etc). En plus, février 1768, ca pose problème pour la date de naissance de Joseph, né en janvier 1768... Qu'en pensez-vous ? HaguardDuNord (d) 28 février 2008 à 10:06 (CET)
- La phrase attribué à Tulard était en fait du Chateaubriand. J'ai donc remis le 15 aout. Cette polémique ancienne devrait être toutefois mentionné rapidement je pense. HaguardDuNord (d) 1 mars 2008 à 17:33 (CET)
Tactique et Stratégie
Bonjour. Il semble étrange qu'un article sur Napoléon 1er ne comporte pas de paragraphe "stratégie et tactique militaire". Je sais bien qu'une lecture des articles sur ses campagnes et ses batailles apporte des réponses mais c'est vraiment dispersé. Quid de la bataille d'anéantissement, de la "manœuvre sur les arrières", de l'importance des poursuites, etc, etc,... ? Cordialement, H2O.
Proposition BA
- Personnellement je ne le présenterais pas en l'état et je ne pense pas honnêtement qu'il passe la barre dans son état actuel. Le plus gros souci est le manque de sources indiquées par des notes. C'est vraiment là, à mon avis, la chose la plus indispensable. O. Morand (d) 14 juin 2008 à 01:48 (CEST)
- C'est un des articles les plus consultés de wp, et vu son importance il faut évidemment l'améliorer. C'est pas seulement une affaire de source (il y a profusion sur Napoléon) mais aussi de cohérence dans le plan. A part la partie biographique , déja mise en place et dont l'aùélioration ne devrait pas etre problématique , tout le reste fait l'impression d'un fourre-tout sans pertinence ni logique d'ensemble, avec des paragraphes totalement anecdotiques (§Caricature , déja développé dans Portraits de Napoléon Ier, ou surnoms ), et d'autres ressemblant à de vaste TI (§Héritage napoléonien). C'est un article à réorganiser completement. Kirtap mémé sage 14 juin 2008 à 02:04 (CEST)
Le passage sur l'esclavage est ridicule, creux, et plein de partialité
Pourquoi sa suppression aurait-elle des eu des conséquences "néfastes"? Lesquelles ?
Pourquoi préciser que Louverture est "mort de froid" dans un département réputé pour son climat froid ? Veut-on laisser entendre que son emprisonnement en France était légitime, plein de délicates attentions et respectueux ?
Affirmer (gratuitement) que le conflit à Saint-Domingue n'a pas de raisons raciales et insister sur le fait qu'il y a des noirs dans l'armée française (combien ? Jusqu'à quand ?) est tout aussi ridicule.
Il vaudrait mieux rappeler la réalité de Saint-Dominge à l'époque, les formidables fortunes accumulées en quelques décennies et l'espérance de vie très courte des esclaves du sucre, qui obligeait à renouveller très rapidement leur population.
retour des cendres
??? je crois avoir relevé une erreur car on parle du retour des cendres de Napoléon. Ce n'est pas possible ,Napoléon n'a pas été incinéré et à fortiori on a ramené son corps en France...
- Ce n'est pas une erreur, car cendres n'est pas à prendre ici dans son sens propre, mais dans le sens figuré de dépouille mortelle. Aujourd'hui désuet, ce sens était plus couramment employé à l'époque du « retour des cendres », ce qui fait que l'expression s'est conservée.
- Il n'en est pas moins exact que Napoléon n'a pas été incinéré, et que c'est bien son corps qui a été ramené.
- Cela dit, vu que la question a déjà été posée, une précision dans le texte serait peut-être bien venue.
- Cordialement,
- O. Morand (d) 30 octobre 2008 à 22:10 (CET)