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Utilisateur:T-Brawl/Bac à sable 1

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http://www.losc.fr/?r=0,3,5 http://membres.multimania.fr/nico59133/twodescphotos7.html http://ledoguedemayenne1593.skyrock.com/2411740575-L-histoire-du-losc.html http://eloubert.pagesperso-orange.fr/som1.htm http://www.psgmag.net/216-Paris-SG-Lille-OSC-presentation-du-match http://www.footballstats.fr/historique-Lille-LOSC.html http://www.zoomsurlille.fr/reportages/grimonprez-jooris http://www.lillemetropole.fr/index.php?p=879&art_id=15033 http://www.lillemetropole.fr/index.php?p=881&art_id= http://footnostalgie.free.fr/forum/viewtopic.php?f=6&t=2058 http://greglelillois.over-blog.com/68-categorie-10412754.html http://andries.unblog.fr/tag/losc-nostalgie-des-annees-50/ http://www.sport-vintage.com/Maillot%20Retro%20Lille%20football%20LOSC%20vintage.html http://www.footvintage.com/Maillot%20Retro%20Lille%20football%20LOSC%20vintage.html LE LIEN DE LA MORT : http://books.google.fr/books?id=S_F6Efy91XkC&lpg=PA1950&ots=j3yUqdFdVb&dq=l'%C3%A9quipe%20machine%20de%20guerre%20losc&pg=PA1944#v=onepage&q=l'%C3%A9quipe%20machine%20de%20guerre%20losc&f=false http://www.umbro.com/#/teams/lille-osc/?locale=fr_FR http://www.pari-et-gagne.com/lille.html http://www.societe.com/societe/losc-lille-metropole-sasp-319633749.html http://www.losc.fr/users/presse/LOSC_Insider/n%B057___LOSC___une_marque_de_fabrique.inc/LOSCInsider57.pdf http://footnostalgie.free.fr/forum/viewtopic.php?f=5&t=579&start=15 http://books.google.fr/books?id=8Yt-uXvxi3sC&pg=PA143&lpg=PA143&dq=Louis+XIX+henno&source=bl&ots=8d3RYvHTKz&sig=-5RJh8bBD2jBfoF0QOeOCEHnAjo&hl=fr&ei=W3AwTfG6JIXKhAe5lviWCw&sa=X&oi=book_result&ct=result&resnum=1&ved=0CBsQ6AEwAA#v=onepage&q=Louis%20XIX%20henno&f=false http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Metropole_Lilloise/actualite/Secteur_Metropole_Lilloise/2010/09/26/article_c-est-sur-grimonprez-jooris-va-perdre-so.shtml http://esj.nordblogs.com/archive/2010/03/25/stade.html http://www.fff.fr/presentationfff/actualite/16345.shtml http://www.lequipe.fr/Football/20041216_185639Dev.html http://www.racingstub.com/fiche/st/23-stadium-nord http://tetrofoot.blogspot.com/2010/08/la-retro-de-tetrofoot-lille-parme.html http://footnostalgie.free.fr/forum/viewtopic.php?f=2&t=2993&hilit=LOSC+M%C3%A9tropole http://www.allezlelosc.com/c-formation.htm http://www.allezlelosc.com/camphin110903.htm

T-Brawl/Bac à sable 1

Généralités

Maillots

Domicile

Extérieur

Neutre

Le Lille Olympique Sporting Club Lille Métropole, couramment abrégé en Lille OSC ou LOSC, est un club de football français fondé à Lille en 1944. Il est issu de deux fusions entre trois clubs. Le club est présidé depuis 2002 par Michel Seydoux et l'équipe première est entraînée par Rudi Garcia depuis l'été 2008.

Le stade Henri Jooris jusqu'en 1975 puis le stade Grimonprez-Jooris jusqu'en 2004 ont accueilli les rencontres du club nordiste. Depuis cette date, le Lille OSC évolue provisoirement dans le Stadium Nord Lille Métropole en attendant l'ouverture du Grand stade prévue pour la saison 2012-2013. Les différentes équipes du club s'entraînent depuis septembre 2007 au Domaine de Luchin basé à Camphin-en-Pévèle.

Fort du passé de l'Olympique Lillois, le LOSC est le club référence des années 1950 avec deux titres de champion de France et cinq coupes de France. Mais ne pouvant plus faire face à ses dettes malgré l'aide des industriels et des subventions, le club lillois traverse une longue période difficile, connaît plusieurs relégations en Division 2 avant d'abandonner son statut professionnel en 1969. Le club est alors repris par la mairie de Lille puis privatisé en 2002. Cette privatisation s'accompagne de résultats sportifs encourageants : le club se stabilise en Ligue 1 et se qualifie régulièrement pour les coupes d'Europe actuelles que sont la Ligue des Champions ou la Ligue Europa.

Repères historiques

Les débuts du LOSC et ses glorieuses années (1944-1955)

La naissance officielle du LOSC est enregistrée le 25 novembre 1944 chez Maître Robert Ducrocq notaire à Lille. Les signataires sont: Francis Bonduel, Henri Kretzschmar et André Reutebush pour l'OL et, Louis Henno, Marcel Veroone et Marcel Dassonville pour le SCF.

La fusion est enregistrée officiellement chez Me Robert Ducrocq notaire à Lille en date du 25 novembre 1944 et, elle est signée par les 3 représentants du Sporting Club Fivois: Louis Henno, Marcel Veroone et Marcel Dassonville et par les 3 représentants de l'Olympique Lillois: Francis Bonduel, Henri Kretzchmar et André Reuthebusch.

Historique des fusions
Olympique lillois
 
 
 
 
Iris Club
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
OICL
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Iris Club
Olympique lillois
 
 
 
 
 
 
 
 
 
SC Fives
 
 
 
 
 
Stade lillois
 
 
 
 
 
 
 
 
Lille Olympique Sporting Club
 
 
 
 


http://loscommunity.xooit.com/t98-Un-peu-d-histoire-du-LOSC.htm?start=15 Issu d’une première fusion entre l’Olympique Lillois et l’Iris Club Lillois le Modèle:Date sport et alors appelé Olympique Iris Club Lillois puis d’une seconde fusion avec le SC Fives le Modèle:Date sport, l'entité créée est nommée Stade Lillois. Cette dernière participe à deux matchs amicaux et aux deux premières journées du championnat de France 1944-1945, les quatre matchs étant victorieux pour le club[Note 1]. Le Modèle:Date sport, le nom Lille Olympique Sporting Club est adopté après assemblée générale.

L'effectif basé principalement sur des joueurs de la région est une addition de joueurs prometteurs passés par le SC Fives ou par l'Olypique Lillois. Emmené par l'entraîneur George Berry, le LOSC atteint dès la saison de sa création, sa première finale d'une compétition. Le Modèle:Date sport à Colombes, le Racing Club de Paris reçoit le LOSC pour la finale de la coupe de France 1944-1945. Mais par manque d'expérience notamment de son jeune trio en attaque composé de Vandooren, Lechantre et Baratte, Lille est vite dominé par les locaux et le match devient à sens unique. Les Pingouins dominent logiquement et remportent leur quatrième coupe de France en l'emportant trois buts à rien[1]. Bigot, Darui, rejoints par les "Fivois" Bourbotte, Somerlinck, Jadrejak et Bihel. En attaque, le jeune trio Baratte - Vandooren - Lechantre est plein de promesse mais encore tendre lors de la finale de la Coupe de France 1945, lors de laquelle le LOSC s'incline face au Racing. Mais dès la saison suivante, les lillois se ouvrent leur palmarès en réalisant le doublé Coupe - Championnat. Implacable, les nordistes affirment leur main mise sur la Coupe Nationale en triomphant encore en 1947 et 1948. La presse décide alors de surnommer l'équipe "La machine de Guerre". Laquelle continuera à affirmer son emprise sur le foot français jusqu'en 1955, année de sa dernière victoire en Coupe de France. Depuis le L.O.S.C. n'a plus rien remporté ...


La saison suivante, la « machine de guerre », comme elle est surnommée par la presse de l'époque se met en marche. En 1946, Lille remporte deux trophées et réalise un doublé coupe championnat.entre 1945 et 1955 cinq coupes de France dont trois consécutives (1946, 1947, 1948, 1953 et 1955) pour deux finales perdues en 1945 et 1949, battu par les grands rivaux du Racing Club De Paris et deux titres de Champion (1946 et 1954) et quatre places de vice-champion en 1948, 1949, 1950 et 1951.


Le LOSC est la grande équipe de l'après guerre. La « machine de guerre », comme elle est surnommée, remporte entre 1945 et 1955 cinq coupes de France dont trois consécutives (1946, 1947, 1948, 1953 et 1955) pour deux finales perdues en 1945 et 1949, battu par les grands rivaux du Racing Club De Paris et deux titres de champion (1946 et 1954) pour quatre places de vice-champion en 1948, 1949, 1950 et 1951.

Dirigé d'une main de fer par son président Louis Henno, le LOSC accueille quelques uns des plus grands joueurs français de l'époque tels que Jean Vincent, Jean Baratte ou André Strappe.

Pourtant, le déclin sportif survient dès la saison 1954/1955 où, aveuglés par une nouvelle coupe de France, les Lillois ne semblent guère s'inquiéter d'une quinzième place en championnat, leur pire résultat depuis la création du club.

Il est à noter que la première véritable Coupe d'Europe des clubs n'est apparue qu'en 1956 et que Reims fut le premier représentant français dans cette discipline. Dommage, car l'on peut supposer que le LOSC 45/55 aurait pu s'octroyer quelques beaux résultats dans cette compétition si elle était née plus tôt.

ZAKARIAS : http://footnostalgie.free.fr/forum/viewtopic.php?t=2536&start=0


Samedi 23 septembre 1944 Accord verbal d’une fusion de l’Olympique Lillois et du SC Fives qui devient Stade Lillois

Dimanche 24 septembre 1944 Match amical à Lille STADE LILLOIS contre Sélection Britannique (3-1)

Dimanche 1 octobre 1944 Match amical STADE LILLOIS contre Red Star (3-2)

Mardi 24 octobre 1944 Assemblée générale du Sporting Club Fivois

Samedi 4 novembre 1944 Assemblée générale de l’Olympique Lillois.

Dimanche 5 novembre 1944 1ère journée de championnat 44/45 Parc des Princes Stade Français Capitale contre STADE LILLOIS (1-2) puis 2ème journée STADE LILLOIS contre Rennes (3-0)

Vendredi 10 novembre 1944 Adoption du nom LOSC

Dimanche 12 novembre 1944 Premier match sous le nom LOSC 3ème journée contre Le Havre (9-2)

Samedi 25 novembre 1944 Statuts entérinés de la fusion sous le nom de Lille Olympique Sporting Club

Samedi 27 janvier 1945 Décision enregistrée en préfecture.

Une chute inéluctable (1955-1969)

Le LOSC après cette période se trouve dans une situation financière difficile et pour faire face vend ses grands joueurs comme Jean Vincent à Reims pour 19 millions de francs (record de l'époque), Lefevre ou encore Lemaître. Cependant cela ne suffit pas, et la Mairie accorde une subvention exceptionnelle de 7 millions au club.

Incapable de trouver des moyens financiers pour apurer ses dettes et reconstruire une équipe de premier plan, le club commence une série de descentes-remontées qui prendra fin avec une descente en D3.

  • Juin 1969 : abandon de la section professionnelle

Lille vivote (1970-1978)

Dès le retour en D2 en 1970, le LOSC reprend son statut professionnel. Cependant, le LOSC doit toujours faire face à sa dette qui est désormais de 700 000 nouveaux francs (record de l'époque). Un comité de soutien se crée, rassemblant de nombreuses personnalités comme Guy Lux et Annie Cordy, et organise une série de matchs amicaux au profit de l'équipe. Anderlecht, Feyenoord Rotterdam, le Standard de Liège et l'Olympique de Marseille répondent présent et les recettes permettent d'assainir les finances.

Cette embellie financière ne permet pas au LOSC de briller en championnat et le club reprend son yoyo entre la D1 et la D2, malgré la présence de joueurs talentueux tel l'international chilien Ignacio Prieto. Cette situation sportive instable va finalement aggraver de nouveau la dette du club. En clôture de la saison 1972-1973, la Mairie intervient après que le LOSC ait annoncé une dette de 6 millions de francs. Le club est transformé en Société d'économie mixte dont la ville de Lille détient 80%. La Mairie choisit désormais les présidents.

Un club modeste de D1 (1978-1997)

Le club fut coprésidé de 1977 à 1980 par Jacques Aymot et Roger Deschodt. Il connaît alors une période de stabilité qui ne se traduit pas sur le terrain. Le LOSC devient un club moyen de milieu de classement et qui exceptionnellement réalise une bonne saison avec un effectif tantôt attrayant, tantôt moyen (finissant entre la 6e et 17e place durant cette période). http://www.lavoixdessports.com/RC-Lens/2010/09/09/article_entre-jacques-santini-et-le-losc-une-his.shtml Le président Lecomte prend en charge le club en 1994 et sauve celui-ci d'une relégation financière en négociant auprès de la DNCG. Durant cette période d'austérité, le club vend ses vedettes comme Antoine Sibierski ou Becanovic, privilégie le centre de formation et joue le milieu de tableau en début de saison. Mais finalement le club est relégué en deuxième division à l'issue de la saison 1996-1997. C'est à cette époque que la Mairie lui demande de préparer la privatisation du club. En deux ans, il rebâtit l'équipe en recrutant l'entraîneur Vahid Halilhodžić, et négocie avec la Mairie les conditions de privatisation.

Moi, l'équipe que je retiens, c'est celle de Pleimelding et Olarevic, au début des années 80 », raconte Jacques ­Verhaeghe, la mémoire vivante du Losc.

De la D2 à la Ligue des champions sur fond de privatisation (1998-2002)

Deux repreneurs s'affrontent lors de la privatisation : le premier est un consortium de PME de la Région appelé Foot en Nord, le second un duo d'hommes d'affaires spécialistes du marketing sportif constitué de Luc Dayan et de Francis Graille. Ces derniers seront choisis par la mairie pour les garanties financières qu'ils apportent : 5 millions pour le recrutement et 15 millions de garantie bancaire pour couvrir le budget général. La présidence du club est confiée à Luc Dayan en mars 2000. Il la transmet à Francis Graille en mars 2001, alors que Lille est 1er de Ligue 1. Sur cette période 1999-2002 la progression est spectaculaire ; le club, alors qu'il vient tout juste de monter en Ligue 1, se qualifie en Ligue des champions, battant Parme en tour préliminaire. Le LOSC terminera à la 3e place de sa poule, derrière le Deportivo La Corogne et Manchester United. Reversé en Coupe UEFA, le club atteint les huitièmes de finale, et tombe sans s'incliner contre le Borussia Dortmund.

http://www.lillemetropole.fr/gallery_files/site/69612/69615.pdf http://www.liberation.fr/sports/0101281055-400-entreprises-pretes-a-racheter-le-club-de-lillel-association-foot-en-nord-est-le-troisieme-candidat http://www.liberation.fr/sports/0101210801-lille-mal-aimee-du-foot-nordiste-le-losc-relegable-joue-son-avenir-en-d1-chez-le-grand-rival-lensois

L'ère Halilhodžić : privatisation et progression spectaculaire (1997-2002)

http://www.liberation.fr/sports/0101297438-duel-de-repreneurs-pour-un-lille-en-beaute-la-ville-doit-privatiser-le-losc-avant-janvier http://www.nordeclair.fr/Actualite/2010/01/29/lille-un-club-devenu-phare-en-une-decenn.shtml http://nonaugrandstade.free.fr/document2/revision_plu/memoireCommissaireEnqueteur.pdf http://www.manageo.fr/fiche_info/319633749/50/losc-lille-metropole-sasp.html 23/02/1998 PROCES VERBAL D'ASSEMBLEE GENERALE(changement de denomination, ANCIENNE DENOMINATION : LILLE-OLYMPIQUE SPORTING CLUB NOUVELLEDENOMINATION : LOSC LILLE METROPOLE-SAEMS - modification(s) statutaire(s), ANCIENNE DENOMINATION : LILLE-OLYMPIQUE SPORTING CLUB NOUVELLEDENOMINATION : LOSC LILLE METROPOLE-SAEMS) http://fr.archive.uefa.com/competitions/ucl/history/season=2001/round=1544/match=68097/report=ev.html http://recherche.liberation.fr/recherche/?page=14&sort=-publication_date_time&period_start_day=0&period_start_month=0&period_end_year=0&period_start_year=0&period_end_day=0&editorial_source=&period=forever&q=losc&period_end_month=0&paper_channel=

En comparaison, examinons l’entrée d’ un autre actionnaire majoritaire Michel Seydoux dans le monde du football. Elle a été fondamentalement différente. Michel Seydoux a été administrateur à l’OL pour le compte de son frère Jérôme, puis actionnaire minoritaire de ma propre holding ID+. Celle-ci était alors actionnaire de contrôle de SOCLE, propriétaire du LOSC. Il fut ensuite co-actionnaire de SOCLE à 37% et président du LOSC, puis président et actionnaire majoritaire de SOCLE (toujours président du LOSC)... puis ¨président et actionnaire majoritaire de SOCLE et Président et directeur général du LOSC" !!!! Ainsi, Michel Seydoux n’a pris la direction opérationnelle du LOSC il n’y a qu’un an, lorsqu’il a considéré que la direction générale de Xavier Thuilot allait trop loin ou trop vite dans ses prises de décisions, sans respecter les procédures mises en place.

Privatisation, promotion et Ligue des champions (1997-2002)

Photo de Vahid Halilhodžić
Engagé en 1998, Vahid Halilhodžić a pour objectif le retour dans l'élite.

Sur le plan sportif, le Lille OSC termine deux ans de suite à la butée. Le club rate la montée en mai 1998 en terminant quatrième à un point seulement du FC Sochaux. Premier non relégable après huit journées en début de saison suivante, le club écarte Thierry Froger et recrute Vahid Halilhodžić, entraîneur du Raja de Casablanca. Ce recrutement s'avère gagnant : Lille remonte dans le classement mais échoue finalement de nouveau à la quatrième place, à cause d'une différence de buts défavorable par rapport à l'ES Troyes AC. Lors de la saison 1999-2000 de Division 2, ses méthodes restent toujours aussi efficaces. Le club survole le championnat grâce à une défense de fer (25 buts encaissés en 38 journées) et écarte rapidement Guingamp et Toulouse du titre de champion en terminant avec respectivement seize et vingt points d'avance.

En raison de la politique d'intercommunalité de la Communauté urbaine de Lille Métropole qui vise à subventionner exclusivement les clubs sportifs ayant dans leur nom la mention Lille Métropole, la SAEMS change de nom le 13 février 1998 et devient le LOSC Lille Métropole[2]. En application du règlement de la FFF, le changement de nom pour le club n'est effectif qu'à partir du 1er juillet de la même année[3].

À partir de 1999, les procédures pour la privatisation du club s'accélèrent. La mairie, qui souhaite vendre sa participation majoritaire dans le club, voit s'opposer deux repreneurs. Le premier est le duo d'investisseurs Luc Dayan et Francis Graille, qui s'engage à assurer un budget saisonnier de 60 millions de francs (MF) en D2, 80 millions en cas de promotion[4]. Le deuxième repreneur potentiel est l'association Foot en Nord. Avec le soutien de 400 entreprises de la région, elle propose fin avril un budget annuel de 300 millions de francs à partir de 2004 et veut investir dans l'immédiat 300 MF pour les cinq saisons à venir[5]. Durant l'été 1999, la mairie décide de vendre ses parts au tandem Dayan-Graille, cession annulée par le préfet du Nord qui demande une expertise financière du club et la création d'une commission chargée de cette vente[4]. Après cette annulation, l'association Foot en Nord se retire et un nouveau candidat à la reprise, Denis Guyennot, dirigeant d'Infogrames, se porte candidat en promettant un budget de 150 MF pour la saison 2000-2001. Finalement le conseil municipal de Lille vote de nouveau le 13 décembre 1999 la cession de ses parts au duo d'hommes d'affaires, qui s'engage désormais à investir 120 MF en cas d'accession en première division[6],[7]. La présidence du club est confiée à Luc Dayan en mars 2000, qui la transmet à Francis Graille l'année suivante[8].

Vue intérieure du stade Ennio-Tardini
Stade Ennio-Tardini de Parme, stade du premier match de C1 du LOSC.

En plein changement de direction et d'actionnariat, le LOSC est sur le terrain l'équipe surprise du championnat. Toujours basé sur une défense solide qui avec 27 buts encaissés terminera meilleure défense de Division 1[9], le promu lillois est leader du championnat pendant près de deux mois, de fin janvier à mi-mars 2001[10]. Grâce à un succès lors de la dernière journée, le LOSC termine troisième et arrache une qualification pour la Ligue des champions 2001-2002.

Lille intègre cette compétition au troisième tour préliminaire et affronte le club de Parme, vainqueur de l'édition 1998-1999 de la Coupe UEFA, pour tenter d'accéder à la première phase de groupes. Au match aller en Italie, les Lillois s'imposent deux buts à zéro[11]. Lors du match retour au stade Grimonprez-Jooris, le LOSC s'incline mais élimine le club italien de la compétition. Dans le groupe G, Lille reste invaincu à domicile et termine troisième de son groupe avec six points au compteur, derrière le dauphin espagnol Deportivo La Corogne et le champion d'Angleterre Manchester United, mais devant l'Olympiakos champion de Grèce[12]. Repêché en coupe UEFA, le LOSC élimine la Fiorentina avant d'être éliminé en huitièmes de finale à cause d'un but marqué à l'extérieur par le Borussia Dortmund.

Pendant que le club engrange de l'expérience au niveau européen, Francis Graille décide de céder ses parts au plus offrant début 2002. C'est Michel Seydoux qui emporte l'offre de cession de parts et devient actionnaire minoritaire du club. Halilhodžić décide de quitter le club à la fin de la saison[13] ; pour son remplacement, Luc Dayan annonce l'arrivée dès avril 2002 de Claude Puel, ancien joueur et ancien entraîneur de l'AS Monaco. Vahid Halilhodžić termine donc la saison avec le LOSC et l'emmène à la cinquième place du championnat.

Parcours européen (2003-2007)

3e tenue saison 2006-2007
La couleur jaune du blason de la province des Flandres.(devenu celui du Nord).

C1 extérieur

Blason du Comté de Flandre
Utilisée en Ligue des champions lors des deux matchs suivants :
06/12/2006
San Siro
Milan AC - Lille OSC : 0 - 2
07/03/2007
Old Trafford
Manchester United - Lille OSC : 1 - 0

Sous la houlette de Claude Puel son entraineur, de 2003 à 2007 le club joue les premiers rôles de la ligue1 et fait montre de caractère sur la scène européenne.

Pour la saison 2003-2004, le LOSC se classe à la 10e place du championnat, accède à la coupe Intertoto et la gagne, ceci lui ouvrant les portes de la coupe de l'UEFA.

La saison 2004-2005 l'équipe atteint les huitième de finale de la coupe UEFA puis termine 2e du championnat, se qualifiant de fait directement pour la Ligue des champions. Après avoir fait venir Claude Puel et restauré les équilibres économique et sportif du LOSC, Luc Dayan vend ses parts en janvier 2004 à Isidore Partouche et à Michel Seydoux qui devient le nouvel actionnaire majoritaire du club. Avec la volonté de structurer progressivement le club en véritable PME, ce dernier renforcera la politique de formation en créant par la suite le centre d'entraînement de Luchin. Pour cette saison, le LOSC déménage au Stadium Nord de Villeneuve d'Ascq et se renomme LOSC Lille Métropole.

Saison 2005-2006: Le Stadium Nord ne sera pas homologué par les instances de l'UEFA, et c'est au Stade de France que le LOSC ira jouer ses matchs de Ligue des champions. Le club finira troisième de sa poule(devant Manchester United qu'il bat 1-0 au stade de France), ce qui lui vaut d'être reversé en seizièmes de finale de la Coupe UEFA. En huitièmes il rencontre le futur vainqueur de la compétition, le FC Séville. Victoire à Lille 1-0. Au match retour Mathieu Bodmer est exclu à la 25e minute de jeu, et le LOSC encaisse 2 buts dans la foulée; (voir l'article) En championnat le club accroche la troisième place.

En 2006-2007, 3e participation en 5 ans à la Ligue des champions. Cette fois-ci le club franchit le cap des poules au cours desquelles il obtient le nul à Bollaert contre le Milan AC, futur vainqueur de la compétition. Le LOSC devient même le premier club français et le seul à ce jour à vaincre le Milan AC sur son terrain (Stade San Siro). Cette victoire 0-2 est obtenue alors que Lille a besoin de points et que les "Rossonerri" sont déjà assurés de la première place du groupe. En huitièmes, il retrouve Manchester United : défaite 0-1 à Bollaert. Le but est marqué sur un coup franc vite joué, le gardien se trouvant à droite de sa cage en train de placer son mur (lire la controverse). Le match retour a lieu le 7 mars, Lille s'incline à nouveau sur le score de 1-0. Le LOSC occupe alors la 3e place du championnat: depuis trois années le club gère parfaitement les campagnes européennes. Mais cette dernière participation laisse un goût amer et le groupe, se démobilisant perd 7 des 11 matchs qui restent à jouer, et finira la saison à la 10e place.

Nouveau départ (2007-2010)

Cette saison 2007-2008 est considérée comme une saison de transition par les dirigeants après le départ de 14 joueurs lors du mercato estival dont Matthieu Chalmé (Bordeaux), Efstáthios Tavlarídis (ASSE), Peter Odemwingie (Moscou) ou encore Kader Keita et Mathieu Bodmer à Lyon, des joueurs qui ont marqué le LOSC notamment lors des campagnes européennes en Ligue des champions. Malgré l'arrivée d'un Patrick Kluivert en bout de course depuis plusieurs saisons en fin de mercato, le LOSC débute très mal sa saison, à l'issue de la 17ème journée, le LOSC pointait à la 18ème place. Avec les recrutements de Pierre-Alain Frau (Paris SG) et Rio Mavuba (Villarreal CF, en prêt avec option d'achat) à l'intersaison, le LOSC entame sa remontée jusqu'à la 5ème place (européenne) avant la dernière journée. Mais après un match nul 1-1 à Lorient lors de la dernière journée, le LOSC redescend à la 7ème place et ne disputera toujours pas de coupe européenne l'année suivante.

Cette non-qualification entraînera le départ de l'entraineur Claude Puel à Lyon qui prendra avec lui Jean II Makoun au club depuis 7 ans. De plus, le LOSC verra partir le gardien numéro 1 Tony Sylva (Trabzonspor), Stefan Lichtsteiner (Lazio Rome) ou encore Kevin Mirallas (AS Saint Etienne).

Lors de la saison 2008-2009, le LOSC repart pour une énième saison de transition avec un nouvel entraineur Rudi Garcia en provenance du Mans. Pour remplacer Jean II Makoun, le LOSC choisira Florent Balmont de Nice. Le LOSC enregistrera également l'arrivée (définitive) de Rio Mavuba, de l'attaquant Robert Vittek (FC Nuremberg) ou encore Túlio de Melo qui ne sera resté finalement que 2 mois à Palerme. Son arrivée à Lille se révèle peu bénéfique puisque après une blessure en novembre 2008, Túlio manquera toute la saison avant de revenir lors de la dernière journée où le LOSC gagnera 3-2 face à Nancy et se qualifiera pour la Ligue Europa, la nouvelle formule de la Coupe de l'UEFA.

Malgré cette qualification, Rudi Garcia est démis de ses fonctions sans aucune raison officielle même si une mauvaise entente avec Xavier Thuilot, directeur général du club, est mise en avant par les médias[14]. De plus, le LOSC se séparera de Pascal Plancque, adjoint en charge de la CFA et de Vincent Espie, préparateur physique[15]. Mais ces décisions ont été prises par Xavier Thuilot et cela en non-accord avec le conseil d'administration. Même le président Michel Seydoux ne maîtrisait pas le sujet. Le 16 juin, après un conseil d'administration exceptionnel, le LOSC décide de se séparer de Xavier Thuilot et de nommer le président actuel Michel Seydoux pour occuper ces fonctions, il sera donc président-directeur général (PDG) du club[16]. Après tous ces retournements de situation, Michel Seydoux décide de conserver Rudi Garcia[17].

Un nouvel organigramme et un nouveau staff technique font alors leur apparition pour la saison 2009-2010 avec Rudi Garcia toujours à la tête du sportif[18]. Après un début de saison difficile (reléguable fin août), Lille remonte nettement la pente et aligne en décembre 7 victoires d'affilée avec 23 buts marqués, se retrouvant à la 2e place. Lille est éliminée de la Ligue Europa 2009-2010 en huitièmes de finale par Liverpool (V 1-0 ; D 3-0). Mais les dogues relèvent la tête après cette élimination cuisante et pointent à la 2° place qualificative pour la Ligue des champions au soir de la 37°journée. Lors de la 38° journée, les Lillois retrouvent alors Lorient et s'incline 2-1, se faisant doubler par Lyon et Auxerre. Le LOSC finit à une 4° place, synonyme de qualification pour l'Europe League alors que la Ligue des champions lui tendait les bras. C'est la deuxième fois que "Les Merlus" de Lorient privent le LOSC d'une qualification lors de la dernière journée, ce scénario s'étant déjà produit lors de la saison 2007-2008.

La saison 2010-2011 commence mieux que l'exercice précédent et le LOSC pointe à la 1ere place du championnat après 17 journées. Le club a notamment l'occasion de prendre trois points d'avance sur leur dauphin si la victoire se profile lors de la 18ème journée de championnat. Finalement le LOSC est sacré champion d'automne 2010 avec 1 point d'avance sur le 2° et un match en retard contre Nancy.

Image et identité

http://www.google.fr/imgres?imgurl=http://andries.unblog.fr/files/2008/10/equipe97.jpg&imgrefurl=http://andries.unblog.fr/2008/10/22/equipe-du-losc-saison-199798/&usg=__YVMf38tITDum-hTGcKXkHQSL0ww=&h=603&w=882&sz=97&hl=fr&start=11&zoom=1&um=1&itbs=1&tbnid=KjWtrGP26f4MkM:&tbnh=100&tbnw=146&prev=/images%3Fq%3Dlogo%2Blosc%2B1990%26um%3D1%26hl%3Dfr%26safe%3Doff%26client%3Dfirefox-a%26sa%3DN%26rls%3Dorg.mozilla:fr:official%26tbs%3Disch:1&ei=IJM8TefGCcGBswbdkfj0Bg Le premier logo du club reprend celui de l'OICL, où figure le blason de la ville de Lille, une fleur de lys blanche sur fond rouge. Au début des années 1970, le club adopte un nouveau logo où figure un dogue en référence au surnom affublé à l'équipe. Plusieurs théories sont avancées pour expliquer le choix de ce surnom. Il pourrait provenir du chien du président de l'Olympique Lillois. D'autres avancent qu'un chenil se situait près du stade Henri-Jooris, où jouait l'équipe. Toujours est-il que ce sobriquet perdure depuis si longtemps - il était déjà usité avant même la naissance du LOSC en 1944 - qu'il est aujourd'hui difficile d'en connaître précisément l'origine.

Ce logo évolue à la fin des années 1980 avec une fleur de lys d'où sort un dogue. Celui-ci reste en usage jusqu'en 2002. À cette date, le club opte pour un logo plus marketé mettant en avant les quatre lettres "LOSC" surmontées d'un petit dogue.

Ces années voient aussi l'arrrivée d'un logo figurant un dogue. L'origine de ce dogue vient de la fin des années 20. A cette époque, les équipes étaient symbolisées le plus souvent par un animal. Le dogue (mordant) vient du chien de la femme du premier président du LOSC, Louis HENNO. Le logo a évolué au cours du temps. La référence à la ville de Lille (fleur de lys) a peu à peu disparu au profit du dogue symbole du club.

Couleurs et maillots

http://www.allezlelosc.com/Albumphoto-2003/histoire-logo-maillotlosc/logomaillotlosc.htm http://histoire-losc.blogspot.com/2008_10_01_archive.html

Né de la fusion de l'Olympique Lillois et du SC Fives, le LOSC a logiquement repris les principaux éléments des équipements de ces deux clubs. Le blanc à parement rouge de l'Olympique Lillois pour son maillot (par ailleurs, les couleurs de la ville de Lille). Le bleu marine du SC Fives pour le short et les chaussettes. Notons que depuis le début des années 2000 et la fourniture de maillots par Nike, le LOSC joue avec un maillot à dominante rouge alors qu'il a traditionnellement souvent joué avec un maillot blanc à parement rouge depuis sa création.

Ci-dessous les équipementiers du LOSC depuis sa création :

Ah non, le premier sponsor maillot du LOSC a été Pel d'Or (je sais même pas ce que c'était) en 72-73, puis La Redoute et UAP en 74. Peaudouce est arrivé avec Karasi et Gardon, en 74-75, jusqu'en 1987-1988 où il a laissé sa place à un duo Shopi-Pier Auge, puis Shopi-Mikit en 1989-1990, Xylophène et Eurest en 1990-1991, rien puis Eurest et Xyladécor en 1992, Bondex en 1992-1993, Tousalon en 1994, La Redoute en 1995, Aquatour-Air Liberté (deux grands exemples de succès entrepreneurial) entre 1995 et 1997. Vinrent ensuite Polyfilla, Hygena, le Crédit Agricole et Partouche jusqu'à la montée en 2000 où ING installa son lion sur le maillot pour trois ans. Depuis, Partouche et ses jetons.

Le premier, Pel d'Or, une limonade, le LOSC est un club familial. Pour les ados un peu libidineux, message subliminal, le son "pel" évoquant évidemment beaucoup d'autres choses, appuyé contre le mur de la cour de récré du lycée.

On passe tout de suite à Peaudouce qui va tourner en ridicule nos Dogues entre 1974 et 1988. Bel exemple de fidélité à un même sponsor (des couche-culottes, pour torcher les adversaires sans doute ?) qui ne devait pas allonger beaucoup de pognon puisque le club était en déficit chronique. En tout cas la superbe pub Peaudouce avec la maman qui embrasse les fesses roses (je suppose, photo en noir et blanc) de bébé dans un lit de plumes au dos des programmes de match faisait très bel effet.

Fin des années 1980, naissance des Dogues Virage Est (nos hystériques bastonneurs à nous), rachat de Peaudouce par Kimberly-Clark qui comprend qu'il n'a aucun intérêt à sponsoriser un club de sauvages dont les résultats dans un sport auquel il ne comprend rien ("you play football without a helmet in France ?") sont aussi tristes que la Mer du Nord en novembre. http://www.boursilex.com/VIE%20DES%20AFFAIRES/octobre_1987_vente_de_peaudouce.htm

Ni une ni deux, le LOSC se tourne vers la société de consommation et la petite supérette de quartier (Shopi, qui n'existe quasiment plus qu'en région parisienne) avec un espace pour les produits de beauté Pier Auge. Le club aime rester proche de la salle de bains.

De 1991 à 1993, c'est la dèche. La moitié du temps, un gros LOSC s'affiche sur le maillot pour masquer l'intermittence des autres partenaires, Xylophène, Bondex, Xyladécor (entretien du bois, peut-être parce que le budget du club tenait à grands coups de colle) ou encore Eurest, le Tricatel des entreprises, qui voyait sans doute un parallèle entre l'insipidité de sa bouffe et celle du jeu lillois.

Passons sur l'affreux "Tousalon" en 1994 (rien à voir avec les salons VIP de Grimonprez, y en avait pas à l'époque) et le passage éphémère de La Redoute qui s'en remettra difficilement et n'a plus approché le club depuis (ça salit les doigts ?)

De 1995 à 1997, Aquatour et Air Liberté (agence de voyages et compagnie aérienne) accompagnent les gadins du club (dépôt de bilan pour Air Liberté) qui finit en D2.

97-98, superbe anarchie : le LOSC retrouve la D2 vingt ans après et Pel d'Or n'existe plus. On voit donc défiler Hygena (les cuisines qui avaient un nom de serviette féminine), Xyladécor (tiens, un revenant), Crédit Agricole qui se fixe pour l'année suivante. En 1999, la mairie revend le club à Dayan et Graille (un duo comique) et à Partouche, l'homme qui voulait faire de Saint-Amand un Las Vegas carburant à l'eau minérale.

Et il est toujours là, le bougre, avec ses Casinos où quand on passe à la caisse, c'est pour récupérer du pognon (pas comme celui du coin de ma rue). Notons l'intervalle ING Direct, saigneur néerlandais du crédit par téléphone qui, avant de poser ses tentacules sur nos comptes en banque, a taché le joli maillot du LOSC.


D’après les éléments dont je dispose :

1971/1972 : SIMCA, CABY, Pel’dor 1972/1973 : gbm, CABANON LILLE 1973/1974 : Pel’dor, La Redoute 1974/1975 : Union Lilloise du Commerce, Pel’dor, CHARLET 1975/1988 : PEAUDOUCE 1988/1989 : shopi, PIER AUGE 1989/1990 : shopi, MIKIT 1990/1991 : XYLO, EUREST 1991/1992 : XYLOPHENE 1992/1993 : XYLOPHENE, BONDEX 1993/1994 : tousalon 1994/1995 : LA REDOUTE 1995/1997 : AQUATOUR-air Liberté 1997/1998 : Xyladécor, hygena 1998/2000 : GROUPE PARTOUCHE, Crédit Agricole Nord 2000/2003 : ING DIRECT 2003/ à aujourd’hui : PARTOUCHE CASINOS

Dates Equipementier
1944-1968 Pas de marque
1968-1975 Le Coq Sportif
1975-1979 Kopa
1979-1988 Puma
1988-1990 Duarig
1990-1992 Constri-Sport
1992-1993 Lotto
1993-1995 ADM
1995-1996 Adidas
1996-1999 Reebok
1999-2001 Nike
2001-2006 Kipsta
2006-2008 Airness
2008-2010 Canterbury
2010-2016 Umbro

Palmarès et records

Palmarès

Palmarès du Lille Olympique Sporting Club Lille Métropole
Compétitions nationales Compétitions internationales
Anciennes compétitions
Anciennes compétitions
Compétitions de jeunes Tournois saisonniers

Records

Sur le plan national, le LOSC est l'un des 2 seuls clubs avec le Red Star à avoir remporté trois fois consécutivement la Coupe de France (1946,1947,1948). Dans un championnat à 18 clubs

  • Plus grand nombre de buts marqués sur une saison : 118 buts : RC Paris lors de la saison 1959-1960 pour un championnat à 20 clubs ; 102 buts : Lille OSC lors de la saison 1948-1949 pour un championnat à 18 clubs
  • Plus grande différence de buts sur une saison : +63 pour Stade de Reims (1959-1960) pour un championnat à 20 clubs ; +62 pour Lille OSC (1948-1949) pour un championnat à 18 clubs

Sur le plan continental, le Lille OSC est le premier club français à s'être imposé contre l'AC Milan à San Siro.

Joueurs et personnalités du club

Entraîneurs

Bonjour à tous, c'est mon premier post. Je me présente, PRISSETTE, supporter du LOSC, né peu avant la World CUP 66.

au Lille Olympique Sporting Club, le club le plus magnifique du monde ;)


Jacques DELEPAUT joueur de (55 – 59) qui fut chargé par le président (plus pour très longtemps) Louis Henno d'assurer l'intérim suite au limogeage d'André CHEUVA le 13 avril 59.

Jean BARATTE (qu'on ne présente plus) qui après un passage à Roulers en Belgique entraîna de 61 et qui démissionna le 8 octobre 62.

Jean VAN GOOL gardien vainqueur de la coupe de France 55 et Guy POITEVIN (49 – 51) revenu à partir du 8 octobre 62 pour assurer l'interim suite à la démission de… BARATTE (ça suit ou pas ?)

Jules BIGOT (44 – 48) vainqueur en tant que capitaine de la coupe de France 47 et 48, tout droit arrivé du CS Bruges, il prend la tête de l'équipe en 63 pour la quitter le 13 mars 66 suite à une élimination 8ème de finale en coupe de France.

Jean VAN GOOL de nouveau qui termine la saison 65-66.

René GARDIEN (59 – 60) qui récupère une équipe en D2 (National Open) en 70 et qui est remplacé le 7 septembre 73 par un certain…

Georges PEYROCHE (65 – 67) qui tiendra jusqu'en novembre 76 remplacé par…

Charly SAMOY (63 – 73) qui termine la saison 75-76.

Arnos DOS SANTOS (77 – 81) qui est ensuite l'adjoint de José Arribas et qui prend l'équipe à lui tout seul 2 saisons entre 82 et 84.

Bruno METSU (79 - 81) de 92 au 23 février 93.

De nouveau Charly SAMOY en compagnie d'Hervé GAUTHIER (73 – 77) qui à eux deux assurent l'intérim à partir du 28 mars 97 pour laisser le club un soir de 24 mai 97 en D2. (ça pendait au nez depuis bien longtemps)

Et pour finir… Thierry FROGER (78 – 86) de 97 au 19 septembre 98.

Entraîneurs du Lille OSC[21]
Rang Nom Période
1 George Berry 1944-1946
2 André Cheuva 1946-1958
3 Jacques Delepaut (intérim) déc. 1958-1959
4 Jules Vandooren 1959-1961
5 Jean Baratte 1961-1962
6 Guy Poitevin 1962-1963
7 Jules Bigot 1963-avr. 1966
8 Daniel Langrand avr. 1966-1969
9 Joseph Jadrejak 1969-1970
10 René Gardien 1970-1973
Rang Nom Période
11 Georges Peyroche 1973-nov. 1976
12 Charles Samoy (intérim) nov. 1976-1977
13 José Arribas 1977-1982
14 Arnaud Dos Santos 1982-1984
15 Georges Heylens 1984-1989
16 Jacques Santini 1989-1992
17 Bruno Metsu 1992-fév. 1993
18 Henryk Kasperczak fév. 1993-juin 1993
19 Pierre Mankowski 1993-1994
20 Jean Fernandez 1994-août 1995
Rang Nom Période
21 Jean-Michel Cavalli août 1995-avril 1997
22 Hervé Gauthier avril 1997-juin 1997
23 Charles Samoy (intérim)
24 Thierry Froger 1997-sept. 1998
25 Vahid Halilhodžić sept. 1998-déc. 2001
26 Bruno Baronchelli (intérim) déc. 2001-jan. 2002
27 Vahid Halilhodžić jan. 2002-juin 2002
28 Claude Puel 2002-2008
29 Rudi Garcia depuis 2008

Présidents

Présidents du Lille OSC
Rang Nom Période
1 Louis Henno 1944-1959
2 Pierre Kles 1959-1962
3 Jean Denis 1962-1965
4 Robert Barbieux 1965-1970
5 Max Pommerole 1970-1973
6 Paul-Mary Delannoy 1973-1977
7 Jacques Amyot - Roger Deschodt 1977-1980
Rang Nom Période
8 Jacques Dewailly 1980-1990
9 Pierre Balay 1990-1991
10 Paul Besson 1991-1994
11 Bernard Lecomte 1994-2000
12 Luc Dayan 2000-2001
13 Francis Graille 2001-2002
14 Michel Seydoux depuis 2002


Fichier:LilleOSC.gif
Les présidents du LOSC

Joueurs emblématiques

http://www.pari-et-gagne.com/joueurclub/joueurclub-lille.html Marceau Somerlinck est, avec 359 matchs disputés, le joueur ayant le plus porté le maillot du club. Par ailleurs il détient le record du nombre de Coupe de France remportées pour un unique club avec cinq titres. Le meilleur buteur du club est Jean Baratte avec 169 buts. http://forum.liteboard.net/lite/129/814/7981-1/Histoire-d%5C%5C%5C-un-club/

Français

Etrangers

Principaux joueurs formés au club depuis 2000


= Équipe de France

Le tableau suivant donne la liste actualisée au 10 janvier 2011 des joueurs du Lille OSC en équipe de France, le nombre de sélections et la période correspondante, ainsi que le nombre total de sélections durant la carrière du jour.

Joueurs du Lille OSC en équipe de France
Joueur Sélections Période Sél. (total)
Jules Bigot 2 1944-1945 6
Jean Baratte 32 1944-1952 32
Julien Darui 2 1945 25
René Bihel 5 1945-1946 6
Bolek Tempowski 1 1947 1
Joseph Jadrejak 3 1947 3
Roger Carré 2 1947-1949 2
Jean Lechantre 3 1947-1949 3
André Strappe 23 1949-1954 23
Albert Dubreucq 1 1952 1
César Ruminski 7 1952–1954 7
Jean Vincent 12 1953-1956 46
Joueur Sélections Période Sél. (total)
Antoine Pazur 1 1953 1
Robert Lemaître 2 1953 2
Guillaume Bieganski 4 1953-1955 9
Yvon Douis 8 1957-1958 58
Marcel Adamczyk 1 1963 1
André Guy 1 1967 8
Christian Coste 5 1974-1975 5
Patrick Parizon 3 1975 3
Pierre Pleimelding 1 1978 1
Philippe Bergeroo 2 1979-1080 3
Adil Rami 6 2010 6
Yohan Cabaye 1 2010 1
Total 128 1944-2010 -


Clast Nom 1ère Sél. en tant que lillois Nbr. Sél. en tant que lillois Nbr. Sél. total
1 Jean Baratte 24 décembre 1944 32 32
2 Jules Bigot 24 décembre 1944 2 6
3 René Bihel 08 avril 1945 5 6
4 Julien Darui 08 avril 1945 2 25
5 Bolek Tempowski 03 mai 1947 1 1
6 Jean Lechantre 03 mai 1947 3 3
7 Roger Carré 26 mai 1947 2 2
8 Joseph Jadrejak 26 mai 1947 3 3
9 André Strappe 13 novembre 1949 23 23
10 Albert Dubreucq 26 mars 1952 1 1
11 César Ruminski 05 octobre 1952 7 7
12 Jean Vincent 17 décembre 1953 12 46
13 Antoine Pazur 17 décembre 1953 1 1
14 Guillaume Bieganski 17 décembre 1953 2 9
15 Robert Lemaître 17 décembre 1953 2 2
16 Yvon Douis 27 novembre 1957 2 20
17 Marcel Adamczyk 29 septembre 1963 1 1
18 André Guy* 03 juin 1967 2 8
19 Christian Coste 07 septembre 1974 17 17
20 Patrick Parizon 26 mars 1975 3 3
21 Pierre Pleimelding 08 novembre 1978 1 1
22 Philippe Bergeroo 10 octobre 1979 3 3
23 Adil Rami 11 août 2010 6 6
24 Yohan Cabaye 11 août 2010 1 1
Légende : * Seul un de ces joueurs n'a pas connu sa 1ère sélection sous le maillot lillois

Équipe-type

Effectif actuel (2010-2011)

Effectif actuel (2010-2011)

Effectif du LOSC Lille Métropole au 8 janvier 2011
Joueurs Encadrement technique
No  P. Nat.[22] Nom Date de naissance Sélection[23] Club précédent
1 G Drapeau de la France Landreau, MickaëlMickaël Landreau 14/05/1979 (45 ans) France Paris SG
16 G Drapeau de la république du Congo Mouko, BarelBarel Mouko 05/04/1979 (45 ans) Rép. Congo FC Gueugnon
30 G Drapeau de la France Oukidja, AlexandreAlexandre Oukidja 19/07/1988 (36 ans) FC Gueugnon
2 D Drapeau de la France Debuchy, MathieuMathieu Debuchy 28/07/1985 (39 ans) France Formé au club
3 D Drapeau de la France Vandam, JerryJerry Vandam 08/12/1988 (35 ans) Formé au club
6 D Drapeau du Sénégal Souaré, PapePape Souaré 06/06/1990 (34 ans) Formé au club
14 D Drapeau de la Tchéquie flèche vers la droite Rozehnal, DavidDavid Rozehnal 05/07/1980 (44 ans) Rep. Tchèque Hambourg SV
15 D Drapeau du Brésil Emerson, Emerson 23/02/1986 (38 ans) J. Malucelli
18 D Drapeau de la France Béria, FranckFranck Béria 23/05/1983 (41 ans) FC Metz
22 D Drapeau du Cameroun Chedjou, AurélienAurélien Chedjou 20/06/1985 (39 ans) Cameroun FC Rouen
23 D Drapeau de la France flèche vers la droite Rami, AdilAdil Rami 27/12/1985 (38 ans) France Valence CF
4 M Drapeau de la France Balmont, FlorentFlorent Balmont 02/02/1980 (44 ans) OGC Nice
7 M Drapeau de la France Cabaye, YohanYohan Cabaye 14/01/1986 (38 ans) France Formé au club
10 M Drapeau de la Pologne Obraniak, LudovicLudovic Obraniak 10/11/1984 (39 ans) Pologne FC Metz
11 M Drapeau du Sénégal Gueye, IdrissaIdrissa Gueye 20/09/1989 (35 ans) Formé au club
21 M Drapeau de la France Souquet, ArnaudArnaud Souquet 12/02/1992 (32 ans) Formé au club
24 M Drapeau de la France Mavuba, RioRio Mavuba Capitaine 08/03/1984 (40 ans) France Villarreal
26 M Drapeau de la Belgique Hazard, EdenEden Hazard 07/01/1991 (33 ans) Belgique AFC Tubize
29 M Drapeau de la France Dumont, StéphaneStéphane Dumont 06/09/1982 (42 ans) Formé au club
8 A Drapeau du Sénégal Sow, MoussaMoussa Sow 19/01/1986 (38 ans) Sénégal Stade rennais
9 A Drapeau du Brésil de Melo, TúlioTúlio de Melo 30/01/1985 (39 ans) US Palerme
12 A Drapeau de la France Baseya, CédricCédric Baseya 19/12/1987 (36 ans) Le Havre AC
17 A Drapeau de la France Frau, Pierre-AlainPierre-Alain Frau 15/04/1980 (44 ans) Paris SG
27 A Drapeau de la Côte d'Ivoire , GervinhoGervinho 27/05/1987 (37 ans) Côte d'Ivoire Le Mans UC72
28 A Drapeau du Danemark Lyng, EmilEmil Lyng 03/08/1989 (35 ans) Danemark espoirs AGF Århus
34 A Drapeau du Sénégal Wade, OmarOmar Wade 15/05/1990 (34 ans) Diambars
Entraîneur(s)
Entraîneur(s) adjoint(s)
Préparateur(s) physique(s)
  • Grégory Dupont
Entraîneur(s) des gardiens
  • Jean-Pierre Mottet

Légende

Joueurs prêtés

Nom Poste Âge Nationalité sportive Club en prêt
Ludovic Butelle Gardien 27 ans Drapeau de la France France Nîmes Olympique
Peter Franquart Défenseur 25 ans Drapeau de la France France Charleroi SC
Nicolas Fauvergue Attaquant 25 ans Drapeau de la France France CS Sedan

Couleurs et logos

Structures du club

Infrastructures

Stades

stade à 17 000 places (principalement par le passage des tribunes secondes et premières de tribunes debout à tribunes assises


Capacité Réelle 25.000 Places (origine)

Capacité Exploitable 20 500 Places

Record d'Affluence



25.578 spectateurs le 7 Avril 1979 LOSC - AS St Etienne: 3 - 0


Les 10 meilleures affluences de Grimonprez-Jooris Classt

Match Score Affluence

Compétition

Année 1 er

Lille - St Etienne

3-0

25.578

Championat

1979 2 nd

Lille - St Etienne

2-0

25.322

Coupe de France(1/4)

1985 3 ème

Lille - Nantes

0-1

25.000

Coupe de France(1/2)

1983 4 ème

Lille - Saint Etienne

3-4

25.000

Championnat

1981 5 ème

Lille - Monaco

1-0

24.000

Coupe de France(1/2)

1985 6 ème

Lille - Bordeaux

2-1

23.541

Coupe de France

1987 7 ème

Lille - Marseille

2-2

23.457

Championnat

1986 8 ème

Lille - Bastia

2-2

21.159

Championnat

1979 9 ème

Lille - Strasbourg

1-2

20.744

Championnat

1979 10 ème

Lille - Marseille

0-2

20.480

Championnat

2003

20.800 (Championnat)

16.500 (Coupe d'Europe)

25.000 (réellement) 35.000 en 2004

Le Lille OSC évolue dès sa création dans le stade Victor-Boucquey, stade inauguré en 1920 qui a accueilli les rencontres de l'Olympique lillois ainsi qu'un match de la coupe du monde de football de 1938. Le stade est renommé stade Henri-Jooris en août 1946 suite à l'effondrement du toit d'une tribune lors d'un derby contre le Racing Club de Lens survenu six mois plutôt. Devenu vétuste et gênant l'élargissement du canal de la Deule, le stade est détruit en 1975 et le club déménage au stade Grimonprez-Jooris des noms de Félix Grimonprez, joueur lillois de hockey sur gazon et Henri Jooris, président de l'Olympique lillois entre 1910 et 1932. Situé au coeur de la citadelle Vauban non loin du stade Henri-Jooris, le stade est bâti dans l'urgence en un peu plus d'un an sur des plans de Pierre-François Delannoyla.



Stade Henri JoorisEn 1975, l'ancien stade principal de Lille, le stade Henri Jooris est détruit pour permettre l'élargissement du canal de la Deûle. A quelques mètres de là, un nouveau stade est construit dans l'urgence en 1974. Créé par l'architecte lillois , ce stade de 25 000 places sortira de terre en un peu plus d'un an en plein coeur de la Citadelle de Lille, sur un ancien petit stade d'athlétisme.



À l'origine, sa capacité était de 25 000 spectateurs avec une couverture de trois des quatre tribunes (la couverture de la quatrième tribune ne sera jamais réalisée) mais l'enceinte du LOSC a vu sa capacité chutée à 17 000 places à la fin des années 90 à cause des normes de sécurité mises en places.

Le stade Henri-Jooris, stade historique du club, étant devenu vétuste, le stade Grimonprez-Jooris, localisé à côté de la , est inauguré en 1974. En 1999, lorsque la mairie de Lille décide de privatiser le club, l'accord inclut l'agrandissement du stade. Le projet "Grimonprez-Jooris 2" qui devait amener le stade à accueillir jusqu'à 35.000 supporters voit son permis de construire contesté devant la justice administrative, en particulier à cause de sa proximité avec la citadelle, classée monument historique. L'annulation de ce permis amène la Communauté urbaine de Lille à envisager la création d'un Grand stade sur la zone de la Borne de l'Espoir (choisi parmi 11 sites en mars 2006). Ce site est localisé sur les communes de Villeneuve-d'Ascq et Lezennes. Ce nouveau stade aura une capacité de 50.000 places et sera équipé d'un toit ouvrant et d'une pelouse rétractable prévu pour l'organisation de spectacles. Le stade devrait être livré courant 2012.
En prévision des travaux d'agrandissement du Stade Grimonprez-Jooris, le Losc a déménagé au début de la saison 2004-2005 au Stadium Lille Métropole à Villeneuve-d'Ascq. Après le refus de l'agrandissement du stade, il n'a pas été possible de retourner au stade Grimonprez-Jooris, celui-ci n'étant plus aux normes requises pour la Ligue 1. De fait, c'est donc au Stadium que le Losc attend avec impatience la livraison de son Grand stade.

En l'absence de stade aux normes pour disputer ses matchs de Ligue des champions (le Stadium Lille Métropole ne possède par exemple pas de loges), le club est obligé de se délocaliser lorsqu'il participe à la Ligue des champions de l'UEFA. Ainsi il a disputé ses matchs à domicile des Ligue des champions 2001-2002 et 2006-2007 au Stade Félix-Bollaert à Lens et ceux de la Ligue des champions 2005-2006 au Stade de France à Saint-Denis.

Fichier:Lille-lyon-2009-scarf.JPG
Echarpe du match Lille-Lyon du 7 mars 2009 au Stade de France

D'ailleurs, le LOSC a battu ses records d'affluence au Stade de France : 76 184 spectateurs le 22 novembre 2005 contre le Benfica Lisbonne, 77 850 spectateurs contre l'Olympique lyonnais le 2 mars 2008 et le 7 mars 2009 avec 78 056 ce qui constitue le record pour un match du championnat de France de football[24]., match qui se finira tragiquement (2 morts, RER).

A l'horizon 2012, le Losc doit évoluer dans un stade qui pourra accueillir jusqu'à 50 186 spectateurs, l'un des plus grands de France. Il est en court de construction sur un terrain situé à cheval entre les communes de Villeneuve-d'Ascq et de Lezennes. Son nom, qui doit être vendu à une entreprise, n'a pas encore été décidé.

Centre d'entraînement et de formation

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lille/actualite/Secteur_Lille/2010/08/20/article_un-gazon-synthetique-pour-le-stade-adolp.shtml http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lille/actualite/Secteur_Lille/2010/05/06/article_les-dogues-de-garde-du-losc-cultivent-le.shtml http://multisports.fr/viewtopic.php?f=38&t=519&start=0

http://www.allezlelosc.com/camphin110903.htm grand carré. (à côté du stade Grimonprez-Jooris


Le domaine de Luchin abrite le siège, le centre d'entraînement ainsi que le centre de formation du LOSC. Il est situé sur la commune de Camphin-en-Pévèle, près de la frontière belge.

Le cœur du site est un bâtiment du XIXe siècle, entouré de vastes terrains, constitué d’une ferme carrée, typique des fermes flamandes qu’on trouve dans le secteur. Ancienne propriété des comtes de Luyne, elle n’a changé de main que dans les années 1930.

Lorsque le LOSC l’a racheté, le lieu se dégradait lentement mais sûrement depuis quelques années. Laissé à l’abandon, ses toitures béantes laissent entrer les pluies. Les fenêtres ont été depuis longtemps brisées, les murs tagués, les portes défoncées… L’endroit se transforme en décharge sauvage où l’on va même jusqu’à retrouver des carcasses rouillées de voitures. Pour clore le tableau, notons également 3 tentatives d’incendie criminel en 2002, suivi d'un dernier incendie criminel peu après que le LOSC ait annoncé son intérêt pour le lieu en avril 2003, incendie qui viendra détruire 200m2 de toiture ainsi que le corps de ferme représentant un huitième de la propriété.

Lorsque le LOSC rachète Luchin, son objectif est de regrouper toutes les forces vives du club au même endroit (groupe professionnel, centre de formation, services administratifs), chacune ayant son espace propre au sein du domaine. Jusque là, chaque composante était dispersée avec le groupe professionnel à Grimonprez-Jooris, les services administratifs au centre Vauban à Lille et le centre de formation lui-même disséminé entre Villeneuve d'Ascq pour les matchs , Wattignies pour l’hébergement et Lambersart pour la scolarité. Lors de l'inauguration, le domaine accueille ainsi près de 200 professionnels.

Le centre de formation de Luchin s'inscrit dans une politique volontariste qui avait notamment déjà permis l'établissement d'une première structure à Villeneuve d'Ascq. Cette politique a permis l'avènement du centre de formation en catégorie 1 dans les années qui ont suivi.

Par ailleurs, Luchin se veut un site ouvert, avec la présence notamment d'un restaurant ainsi qu'un centre de remise en forme. L'idée étant que les supporters ne viennent pas seulement à Luchin pour voir l'entraînement des pros.

Aspects juridiques, économiques et financiers

LOSC LILLE MÉTROPOLE(SASP + ASSOCIATION)Compte de résultatEn milliers d’eurosDroits audiovisuelsSponsors - PublicitéRecettes matchesAutres produitsTOTAL PRODUITS HORS MUTATIONRémunération du personnel chargéeCoûts des mutationsAutres chargesTOTAL CHARGES HORS MUTATIONRÉSULTAT DES OPÉRATIONS HORS MUTATIONRÉSULTAT DES OPÉRATIONS DE MUTATIONRésultat financierRésultat exceptionnel : AutresRÉSULTAT AVANT IMPÔTImpôt sociétéRÉSULTAT NET37 9708 1764 9344 12355 20348 62111 32218 15778 100- 22 89722 738- 44- 1 398- 1 601453- 1 14817SAISON 2009/2010 I ComPtES InDIvIDuElS DES ClubS DE lIguE 1BilanEn milliers d’eurosImmobilisations incorporelles : indemnités de mutationAutres immobilisationsCréances sur mutations de joueursAutre actif circulantDisponiblités et vmPTOTAL ACTIFSituation netteComptes courants d’actionnairesProvisions risques et chargesDettes financièresDettes sur mutations de joueursAutres dettesTOTAL PASSIFRÉSULTAT NET12 2542 2003 89616 08112 33746 76821 91312 19132 54420 11546 768- 1 148les comptes arrêtés au 30 juin 2010 font ressortir une situation financière saine avec un montant de capitauxpropres approchant les 22 millions d'euros, et ce malgré un résultat des opérations hors mutation négatifdepuis plusieurs saisons.l'arrivée du nouveau stade en 2012 permettra au club de combler ce déficit d'exploitation structurel et ainsiasseoir sa politique ambitieuse sur une économie équilibrée hors mutation joueurs.

http://www.lfp.fr/dncg/rapport_annuel_2009_2010/0910_livret_dncg.pdf


Les sous sous

Budget

Le budget du Racing Club de Strasbourg pour la saison 2009-2010 de Ligue 2 est de 18 millions d'euros (M€)[25]. Il se situe parmi les plus importants de ce championnat avec ceux du FC Nantes et du SM Caen, relégués de Ligue 1. Le budget prévisionnel est dépendant du championnat dans lequel joue le Racing : les descentes en Division 2 / Ligue 2 en 2001, 2006 et 2008 s'accompagnent d'une baisse de celui-ci de 60 %, 33 % et 29 % respectivement. À l'inverse, le budget augmente de 64 % et 75 % lors des remontées en 2002 et 2007.

Budget prévisionnel du RC Strasbourg

Saison 1995-1996 1996-1997 1997-1998 1998-1999 1999-2000 2000-2001 2001-2002 2002-2003
Budget 98 MF[26] 94 MF[27] 120 MF[28] 150 MF[29] 150 MF[30] 200 MF[31] 80 MF[32] 20 M€[33]
Saison 2003-2004 2004-2005 2005-2006 2006-2007 2007-2008 2008-2009 2009-2010 2010-2011
Budget 20 M€[34] 24 M€[35] 24 M€[36] 16 M€[37] 28 M€[38] 20 M€[39] 18 M€[25]
Légende : MF = millions de francs, M€ = millions d'euros.

Résultat

En 2000-2001, les charges[note 1] du RCS se situent entre le neuvième et le douzième rang (sur dix-huit équipes) de Division 1 en compagnie de l'AJ Auxerre, du FC Metz et de l'AS Saint-Étienne. Les charges de ces quatre clubs sont comprises entre 146 et 183 millions de francs (MF). Le résultat d'exploitation[note 2] moyen de ce groupe de clubs est négatif à -31 MF[40]. En 2001-2002, le RCS joue en Ligue 2 et présente des charges supérieures à 10 millions d'euros (M€), de même que Le Havre AC, l'AS Nancy-Lorraine, l'OGC Nice et l'AS Saint-Étienne. Le total des charges de ces clubs s'élève à 81,0 M€ pour 52,6 M€ de produits[note 3], soit un résultat d'exploitation moyen négatif de 5,7 M€[41]. Les comptes de la saison 2002-2003 ne sont pas publiés en raison de la vente du club le 30 avril 2003[42] : à la date de cession, le résultat d'exploitation ajouté aux indemnités de mutation[note 4] est négatif à -11,2 M€[43].

Le tableau suivant présente un extrait du compte de résultat du RC Strasbourg depuis la saison 2003-2004.

Extrait du compte de résultat du Lille OSC en millions d'euros

Saison Championnat Produits[note 3] Charges[note 1] Rés. expl.
[note 2]
Mutation
[note 4]
Rés. net
[note 5]
Matchs Europe Spons. Subv. TV Merch. Total Rémun. Total
2003-2004[43] Ligue 1 3,2 0,0 3,7 1,8 10,1 nc 20,2 11,5 25,9 -5,7 2,3 -2,7
2004-2005[44] Ligue 1 3,0 0,0 4,0 0,6 20,5 nc 35,7 14,8 38,8 -3,1 0 -2,0
2005-2006[45] Ligue 1 3,3 5,0 5,5 1,1 48,2 0,4 68,1 25,7 60,1 8 0,5 6,9
2006-2007[46] Ligue 1 3,3 4,0 6,9 0,5 43,5 0,3 64,4 11,6 64,5 -0,1 6,3 5,1
2007-2008[47] Ligue 1 4,6 0,0 6,4 1,0 25,8 0,2 40,2 28,0 64,9 -24,7 31,9 6,6
2008-2009[48] Ligue 1 4,8 nc 7,1 nc 32,8 nc 51,3 41,1 72,2 -20,9 18,9 -0,3
2009-2010[49] Ligue 1 4,9 nc 8,2 nc 38,0 nc 55,2 48,6 78,1 -22,9 22,7 -1,1

Légende : Matchs = recettes matchs avec billeterie, Europe = primes de participation versées par l'UEFA[50], Spons. = sponsors et publicités, Subv. = subventions des collectivités, TV = droits audiovisuels, Merch. = merchandising, Rémun. = rémunérations du personnel, Rés. expl. = résultat d'exploitation, Mutation = résultats exceptionnels (indemnités de mutation), Rés. net = résultat net.

Le RCS est fortement dépendant des droits audiovisuels. En 2007-2008, ces droits s'élèvent à 14,2 M€, soit 52 % des recettes (27,4 M€). Le deuxième poste de recettes le plus important est le sponsoring et la publicité avec 5,0 M€, soit 18 % du total. Les recettes liées aux matchs contribuent à hauteur de 3,7 M€, soit 13 %, alors le merchandising est négligeable (0,3 M€). Les collectivités territoriales subventionnent le club à hauteur de 1,9 M€ de façon stable depuis 2003. Les charges sont de 31,4 M€ en 2007-2008. Les rémunérations du personnel (joueurs, staff et autres) représentent 12,7 M€ et même 16,4 M€ en comptant les charges sociales, ce qui correspond à 52 % des dépenses du club. Ce pourcentage est faible comparativement à la moyenne des clubs de Ligue 1, qui affectent 71 % de leurs dépenses hors transfert aux salaires et charges correspondantes[51].

Depuis la saison 2003-2004, le résultat d'exploitation du club est négatif avec un pic à -11,4 M€ en 2006-2007. Le club, alors en Ligue 2, présente la masse salariale la plus importante du championnat[46]. Le Racing parvient à remonter en Ligue 1 mais, pour équilibrer les comptes, doit vendre des joueurs. Il récupère ainsi 9,8 M€ lors des transferts de joueurs, dont notamment 3,5 M€ de la vente d'Amara Diané au PSG[52].

À son retour en Ligue 1 en 2007-2008, le budget du RCS est chiffré à 28 M€ en comptant sur des recettes liées à une 15e place en championnat. Au premier tiers du championnat, le Racing pointe à la 6e place. Le budget est alors rehaussé à 32 M€ sur la base d'une 11e place au classement. Après une mauvaise fin de saison, le Racing termine avant-dernier ce qui génère un déficit de 6 M€[53], principalement causé par des droits audiovisuels inférieurs à ceux attendus[note 6]. Le club comble ce déficit là-encore grâce aux transferts en vendant pendant le mercato estival quelques jeunes joueurs talentueux dont Kevin Gameiro, Morgan Schneiderlin, Habib Bellaïd et Éric Mouloungui[note 7] pour 10,25 M€[54].

Le LOSC dans la culture populaire

Supporters

Souvent qualifié à tort de club des bourgeois du Nord - surtout en référence à la rivalité ancestrale avec le RC Lens et son image de club des mineurs - le LOSC attire des supporters de toutes les classes sociales.

Le vivier des supporters loscistes se situe globalement dans toute la Métropole lilloise. Le LOSC attire en effet essentiellement des supporters issus de l'arrondissement de Lille, provenant pour la plupart de la banlieue et de la campagne péri-urbaine autour de la capitale des Flandres. Ce phénomène s'est même amplifié depuis quelques années, puisque le LOSC est devenu lui-même un club "banlieusard" à la suite de son déménagement du Vieux-Lille vers l'est de la Métropole, à Villeneuve-d'Ascq (pour les matchs) et Camphin-en-Pévèle (où se situent le siège du club et son centre d'entraînement).

Des clubs de supporters peu structurés existent ainsi dans toute la Métropole lilloise, souvent basés dans des cafés (Les Dogues du Vieux-Lille ou la section de Linselles, par exemple). Néanmoins, des clubs de supporters existent aussi dans la région comme les Dogues de l'Audomarois, et même dans toute la France et sont souvent constitués de Lillois expatriés (Paris, Alsace, Ouest de la France, Rhône, etc.). Toutefois, les bons résultats de l'équipe dans les années 2000 ont quelque peu élargi l'audience du club lillois à toute la région, en particulier chez les plus jeunes.

Les premiers clubs de supporters à Lille voient le jour dès 1904. A l'époque, du fait de la proximité avec l'Angleterre et de la puissance industrielle de la région, le Nord est de loin la zone où le football est le mieux implanté en France. Les deux plus importants clubs de supporters du moment se nomment Hardis les Dogues et Allez Lille et comptent plus de mille membres à se réunir pour supporter l'Olympique Lillois, l'ancêtre du LOSC. Le club lillois atteindra le pic de sa popularité lors de son âge d'or des années 50 où des milliers de supporters descendaient à Paris et envahissaient la Gare du Nord pour assister aux nombreuses finales de Coupe de France que disputait le club au stade de Colombes. Le retour de l'équipe à Lille après une victoire se déroulait dans une liesse généralisée. Mais peu à peu, avec le déclin sportif du club, la ferveur s'est progressivement éteinte, même si un noyau dur de supporters a toujours su garnir le stade Henri-Jooris puis Grimonprez-Jooris et se retrouver derrière l'équipe.

Les supporters du LOSC sont, à l'instar des publics du nord de l'Europe, beaucoup moins structurés que la plupart des autres publics de France et du sud de l'Europe. Il n'y a ainsi jamais eu beaucoup de clubs de supporters très organisés, à l'image des groupes ultras transalpins. L'ambiance est ainsi plus proche des stades anglais avec un public qui vibre au diapason de l'équipe et ne produit pas une ambiance continuelle, faisant fi du résultat sur le terrain, comme c'est le cas dans les stades italiens ou dans d'autres stades français. Le public losciste a même la réputation d'être difficile et exigeant (certains le qualifient même de "bourgeois"), en particulier lorsque l'engagement de l'équipe sur le terrain est jugé insuffisant. De même, les supporters lillois développent souvent des sentiments ambivalents à propos de leur club, teintés d'autodérision et de fatalisme, sûrement à cause des résultats sportifs infructueux depuis une cinquantaine d'années ou encore des multiples péripéties autour du grand stade.

Parmi les grands clubs de supporters de Lille, un seul prédomine aujourd'hui et ce, depuis la fin des années 80 :

  • Les Dogues Virage Est (DVE) créés en 1989 et originellement situés dans le virage est du stade Grimonprez-Jooris; ils déménagèrent en seconde basse lors de la remontée en division 1. Au Stadium Nord, les DVE sont placés en tribune Nord et sont le moteur de l'ambiance des tribunes lilloises. Ils sont au nombre de 500 à 900 selon les matchs (en comptant les sympathisants) et ont profité de la disparition d'anciens groupes comme les Insula Razzia pour se renouveler après une mauvaise passe à la fin des années 1990. Ils ont une mentalité de plus en plus influencée par le modèle ultra : bâche, cartes de membres, tifos, gadgets, capos qui lancent les chants classiques des groupes ultras (Aux Armes, Qui ne saute pas, etc.).
  • D'autres clubs de supporters existent mais ils n'ont guère plus d'une cinquantaine de membres. Citons les Dogues Devils, un jeune groupe à la mentalité de fans assez classique. Citons également en virage sud, les Y'est d'dins, un groupe convivial d'une trentaine de membres d'inspiration britannique et qui reprennent des chants décalés ou en dialecte ainsi que les Dogues du net (DDN). Depuis 2010, un groupe de supporter, les Rijsel United s'est formé en tribune sud regroupant notamment les anciens des Rijsel Spirit dissous depuis quelques années.

Une autre initiative a été développée dans les tribunes lilloises depuis quelques saisons : le LOSC encourage le développement d'un groupe exclusivement réservé aux plus jeunes supporters. Un partenariat a été créé avec l'association les Doggies, les ambassadeurs du fair play qui inculque les valeurs de fair-play, de citoyenneté et de respect de l'adversaire notamment face à Lens où les doggies offrent chaque année des cadeaux aux supporters artésiens. C'est une adaptation des Juniors clubs britanniques.

Concernant les rivalités, le RC Lens arrive en tête de tous les suffrages. Le Derby du Nord est souvent le match le plus attendu de l'année par tous les supporters loscistes. Des débordements sont parfois à signaler mais cela reste généralement au stade des railleries et des querelles de clochers, ou plutôt de beffrois. Autre rivalité régionale, la rivalité avec Valenciennes. Celle-ci est beaucoup moins forte que celle avec les Lensois du fait que Lillois et Valenciennois ont rarement joué dans la même division ces dernières décennies. D'autres inimitiés existent avec d'autres clubs français, comme l'ASSE, mais aucune ne fait réellement l'unanimité, si ce n'est que les clubs les plus médiatiques (l'OM, le PSG et l'OL) sont généralement peu appréciés par les supporters lillois. Sur le plan européen, Manchester United suscite souvent les rancœurs côté losciste, en particulier depuis ce match houleux de Ligue des champions du 20 février 2007 où Ryan Giggs tira un coup franc qui fit couler beaucoup d'encre. Les matchs amicaux ou européens contre le club belge d'Anderlecht sont également souvent tendus dans et hors du stade entre certains supporters des deux équipes. Il est toutefois à souligner que beaucoup, si ce n'est la plupart des supporters des dogues, se contentent de soutenir leur équipe sans prêter attention à l'adversaire, ni faire preuve d'hostilité à son égard.

De l'autre côté de l'échelle des sentiments, une amitié existe avec les supporters de l'OGC Nice, mais cela est essentiellement le fait des DVE et non de l'ensemble du public lillois.

ESW

http://www.amateurdefoot.com/8256/lille-ne-respecte-pas-le-football-amateur/ http://www.allezlelosc.fr/forum/viewtopic.php?f=1&t=88457&start=0&st=0&sk=t&sd=a

Le LOSC dans les médias

http://www.losc.fr/users/presse/LOSC_Insider/n%B053___LOSC___un_m%E9dia_%E0_lui_seul.inc/LOSCInsider53.pdf http://www.losc.fr/?r=0,4,2,6 http://www.losc.fr/?r=0,0,25,8554 http://www.zoomsurlille.fr/tv/grandlilletv


Le LOSC est essentiellement suivi par les journaux régionaux, en particulier la Voix du Nord (et dans son avatar du lundi, la Voix des Sports) et Nord Éclair. Le LOSC entre en concurrence frontale avec ses rivaux régionaux, le RC Lens et le Valenciennes FC, parmi les pages de ces journaux.

Concernant la radio, France Bleu Nord couvre les matches du LOSC ainsi que toutes les équipes régionales.

France 3 Nord-Pas-de-Calais suit également l'actualité du LOSC. Jean Crinon, ancien reporter sportif à la RTF puis sur FR3, est resté dans les mémoires loscistes pour sa ferveur derrière le micro et reste l'emblème de toute une époque.

Les chaînes à vocation régionale sur la TNT suivent également l'actualité du LOSC. La chaîne Grand Lille TV, dont le LOSC est actionnaire, diffuse fréquemment les matches des dogues en différé.

Dans les médias nationaux, le LOSC est plus sporadiquement présent et est largement supplanté par le trio OM-PSG-OL. Néanmoins, le club est de plus en plus reconnu pour son excellence sportive grâce à sa régularité dans le haut du classement ces dernières années.

Plus généralement, l'image du LOSC dans les médias est celle d'un club sérieux et discret, qui travaille dans la continuité derrière les murs de son centre de Luchin et qui fait peu d'esclandre. Néanmoins, le vrai-faux renvoi de l'entraîneur, Rudi Garcia, durant l'été 2009, a quelque peu mis à mal cette réputation.

Notes et références

  1. Feuille de match RC Paris 3-0 Lille OSC sur fff.fr
  2. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées manageo
  3. [PDF] « Règlements généraux de la FFF », sur fff.fr (consulté le )
  4. a et b « Duel de repreneurs pour un Lille en beauté », sur liberation.fr (consulté le )
  5. « 400 entreprises prêtes à racheter le club de Lille », sur liberation.fr (consulté le )
  6. « Les Dogues lillois dans la niche du capital », sur liberation.fr (consulté le )
  7. [PDF] « Un club lié à la Ville et à la Métropole », sur lillemetropole.fr (consulté le )
  8. « Luc Dayan quitte la présidence du LOSC », sur sport.fr (consulté le )
  9. « Classement des défenses lors de la saison 2000/2001 », sur lfp.fr (consulté le )
  10. « Saison 2000-2001 du LOSC », sur lfp.fr (consulté le )
  11. Feuille de match « Parme AC 0-2 Lille OSC », sur fr.archive.uefa.com (consulté le )
  12. « Groupe G de la Ligue des champions 2001-2002 », sur fr.archive.uefa.com (consulté le )
  13. « Halilhodzic dit adieu à Lille », sur liberation.fr (consulté le )
  14. Rudi Garcia, c'est déjà fini
  15. Lille continue son ménage
  16. Communiqué du LOSC : Conseil d'Administration exceptionnel
  17. Communiqué du LOSC : Reprise le 30 juin avec Rudi Garcia
  18. Organigramme officiel du LOSC pour la saison 2009-2010
  19. (en) Erik Garin, « Palmarès de la Coupe Gambardella », sur www.rsssf.com, (consulté le )
  20. Rapport du match sur le site officiel de la Ligue
  21. Liste des entraîneurs des clubs français sur rsssf.com
  22. Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
  23. Seule la sélection la plus importante est indiquée.
  24. « Lille-Lyon au Stade de France: record d'affluence pour un match de Ligue 1 », sur fr.fifa.com, (consulté le ).
  25. a et b France Football, n°3304, mardi 4 août 2009, page 80
  26. France Football, n°2572, mardi 25 juillet 1995, page 40
  27. France Football, n°2627, mardi 13 août 1996, page 41
  28. France Football, n°2678, mardi 5 août 1997, page 52
  29. France Football, n°2731, mardi 11 août 1998, page 24
  30. France Football, n°2782, mardi 3 août 1999, page 22
  31. France Football, n°2834, mardi 1er août 2000, page 25
  32. France Football, n°2886, mardi 31 juillet 2001, page 38
  33. France Football, n°2939, mardi 6 août 2002, page 26
  34. France Football, n°2991, mardi 5 août 2003, page 26
  35. France Football, n°3044, mardi 10 août 2004, page 26
  36. France Football, n°3095, mardi 2 août 2005, page 32
  37. France Football, n°3148, mardi 8 août 2006, page 50
  38. France Football, n°3200, mardi 7 août 2007, page 54
  39. France Football, n°3252, mardi 5 août 2008, page 91
  40. LNF, Gestion et statistiques - Clubs professionnels de première et deuxième divisions - Saison 2000-2001, (lire en ligne), p. 13-15
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Voir aussi

Liens externes


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