Trotteur français
Trotteur français à l'hippodrome de Vincennes | |
Région d’origine | |
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Région | France en particulier Basse Normandie (environ 11000 naissances par an) |
Caractéristiques | |
Morphologie | Cheval de selle : épaules fortes tendant à être droites, poitrail profond, garrot saillant. Corps bien soudé. Son dos est fort et droit, son arrière-main musclée et avalée. Ses jambes sont longues et très dures, ses canons courts, ses jarrets bien placés |
Taille | 1,60 m à 1,70 m |
Poids | entre 500 et 650 kg |
Robe | Généralement bai brun et alezan |
Tête | tête rectiligne, ou plus souvent busquée, avec un front et des naseaux larges, regard vif et expressif |
Caractère | docile et énergique |
Autre | |
Utilisation | Courses de trot attelé ou monté, sports équestres, chasse ou randonnée |
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Le Trotteur Français (TF) est une race chevaline issue des anciennes races de chevaux carrossiers normands et sélectionnée uniquement pour les courses de trot. Ses origines remontent au début du XIXe siècle en Normandie et sont fortement liées à l'élevage de chevaux Anglo-normand. Croisés dans un premier temps avec des trotteurs Norfolk, des Pur-sang anglais et des trotteurs Orlov, le trotteur français ne prend le nom sous lequel on le connaît aujourd'hui qu'à partir de 1922. Plus récemment, il a fortement subi l'influence positive du standardbred américain, avec lequel il a été croisé à partir de la fin des années 1970. Sans standard fixe, il est cependant caractérisé par un modèle compact, avec une arrière main très développée, un sternum proéminent et une tête rectiligne, voire légèrement busquée. L'élevage de la race est concentré en Basse-Normandie et est plutôt représenté par de petits éleveurs ne possédant qu'une ou deux juments. Élevé et sélectionné pour les courses de trot, il peut devenir un excellent cheval de loisir et de compétition s'il est amené à être réformé. Dans le monde des courses, des chevaux comme Gélinotte, Jamin, Roquépine, Une de Mai, Bellino II, Idéal du Gazeau, Ourasi, Jag de Bellouet sont rentrés dans la légende et sont devenus les ambassadeurs du trotteur français à travers le monde.
Histoire de la race
Les origines du trotteur français sont liées à l'élevage de chevaux Anglo-normand en Normandie, dont l'un des types, dit carrossier, était spécifiquement destiné à l'attelage[1]. Les premières courses de trotteurs en France ont lieu, en 1836, sur la grève de Cherbourg, à l’instigation d’Ephrem Houel, officier des Haras Nationaux[1],[2]. Ce dernier estime que les courses de trot sont le meilleur moyen de sélectionner les meilleurs étalons de selle[2]. Les premiers croisements ont lieu dans les années 1830. Des juments indigènes sont alors croisées avec des étalons Pur-sang anglais et Pur-sang arabes. Mais les résultats furent décevants[3]. Dans les années 1850, les éleveurs normands commencent à utiliser des trotteurs Norfolk en croisement, race de trotteurs aujourd’hui disparue, ainsi que des Pur-sang anglais et des trotteurs Orlov importés de Russie[1]. En 1864, est fondée la Société du cheval français de demi-sang qui deviendra plus tard la société d'encouragement à l'élevage du cheval français[4]. C'est sur cette période que naissent les principaux chefs de race : Conquérant (1858), Lavater (1867), Normand (1869), Niger (1869) et Phaëton (1871). La quasi totalité des trotteurs français descendent de ces cinq étalons[5]. Dans un prermier temps, on privilégie les courses au trot monté et les longues distances. Mais progressivement, après la Première Guerre mondiale, le trot attelé devient la discipline reine et les chevaux gagnent en vélocité. Cela a pour effet d'orienter la production vers deux types de trotteurs : le premier, grand et charpenté, adapté au trot monté, et le second, plus léger pour le trot attelé[6] Les premières courses de trot à Paris ont lieu en 1873 dans le bois de Boulogne, mais il faut attendre 1879 pour que soit inauguré à Vincennes le premier champ de courses réservés aux trotteurs en région parisienne. C'est sur cet hippodrome que se dispute le 1er février 1920 le premier Prix d'Amérique, en hommage aux morts américains de la Grande Guerre[4]. S’y illustrent notamment Pro Patria, premier vainqueur, ainsi que d'autres trotteurs restés dans la légende comme Uranie ou Amazone B.
Le ministère de l'Agriculture crée le premier livre généalogique du trotteur français en 1906 mais la race n'est reconnue officiellement sous le nom de "trotteur français" qu'en 1922[7]. Le studbook est alors ouvert et tous les chevaux anglo-normands capables de courir un kilomètre en 1 minute 42 secondes y étaient inscrits. Il fut fermé en 1937, empêchant ainsi tout ajout de sang étranger[8].
Entre les deux guerres, un apport de sang américain n'est pas à négliger en termes d’élevage. Des étalons Standardbred comme Net Worth, The Great Mac Kinney, Sam Williams et Calumet Delco, ce dernier étant un étalon fantôme puisqu’il fonctionna clandestinement dans les années 1940, ont marqué les lignées françaises. Dans les années 1970 à 1990, survient un second apport de sang standardbred. Henri Levesque présente sa championne, Roquépine, trois fois victorieuse du Prix d'Amérique, au chef de race américain Star’s Pride puis l’année suivante à l’un de ses fils Ayres. Il en naquit Florestan et Granit qui, n’étant pas inscrits au stud-book, ne peuvent courir qu’à l’étranger ou dans les « internationaux », épreuves ouvertes aux « chevaux de toutes races et de tous pays ». À la fin de leur carrière de courses, ces deux étalons sont achetés par les Haras nationaux et autorisés à la reproduction des trotteurs français. Il en va de même pour un cheval de l'écurie Olry-Roederer (celle de Jamin), Kimberland, par Nevele Pride (autre fils de Star’s Pride), et Astrasia. Puis, dans les années 1980, quelques améliorateurs standardbred sont utilisés selon des règles très précises émises par la SECF, gestionnaire du stud-book. Le stud-book a depuis lors été refermé mais l’apport de ce second sang américain a marqué le trotteur français devenu beaucoup plus précoce, notamment grâce à un éleveur comme Jean-Pierre Dubois dont les étalons, fortement imprégnés de sang américain, dominent tous les classements. Au niveau génétique, ces croisements ne sont pas sans conséquences, puisque les 3/4 des trotteurs français nés en 2003 ont des gênes étrangers issus des standardbred américains, soit une proportion de 12% de gênes américains sur l'ensemble de la population trotteur français. Depuis la refermeture du studbook, le taux de gêne étranger s'est stabilisé et s'est généralisé avec les croisements. L'influence du taux de gênes étrangers sur la performance est cependant favorable[9].
Description de la race
Morphologie
Le trotteur français ne possède pas de standard[10]. On distingue néanmoins de grandes caractéristiques communes à la race. C'est un cheval compact[10], doté d'un dos court et d'une arrière-main puissante[11]. Sa tête est bien attachée, rectiligne, voire légèrement busquée[5]. Le front est large, les oreilles longues et écartées, les naseaux ouverts et les yeux vifs[5]. Son sternum est proéminent[10]. Son épaule était à l’origine assez droite[10], mais ce défaut a été corrigé et elle est aujourd'hui d'une inclinaison satisfaisante[5], ce qui permet un geste plus étendu, allant chercher loin le terrain[10]. Son garrot est bien marqué, mais plat sur le dessus[12]. Les reins sont bien développés. La croupe est large, légèrement oblique et les cuisses sont particulièrement puissantes[5]. Ses membres sont également puissants et résistants, tout comme ses pieds particulièrement durs[13]. De par son utilisation première pour les courses, son système respiratoire et ciculatoire doivent être excellents[12].
C'est un cheval qui mesure entre 1,60 m et 1,70 m[11],[12], mais on trouve également des modèles légers autour de 1,55 m et des modèles plus forts autour de 1,75 m[11]. Comparé aux autres races de trotteurs, le trotteur français est plutôt grand. Cette particularité s'explique par l'attrait des français pour les courses de trot monté. Dans ces courses, le cheval doit être capable de porter le poids du jockey, ce qui explique pourquoi le trotteur français est plus grand, plus robuste et plus résistant que les autres trotteurs[12].
Robe
Toutes les robes sont admises, mais l'alezan, le bai et le bai brun sont les robes les plus représentées[1],[11], avec une très forte représentation de l'alezan du fait des origines normandes de la race[14]. Le gris n’existe pas, la race n'étant pas marquée par l'arabe et le pur sang[14], mais quelques individus présentent une robe rouan ou isabelle, aux reflets grisés[11].
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L'alezan est la robe la plus courante
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Le bai est très fréquent
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Le bai-brun est également assez fréquent
Tempérament
Le trotteur français est réputé pour sa docilité et son tempérament volontaire[11]. Il est équilibré, généreux et calme[15]. Obéissant, il doit aussi faire preuve d'une grande combativité[12].
État de l'élevage
Effectifs
L'élevage de la race est aujourd'hui très concentrée en Basse-Normandie qui est le berceau d'origine de la race. Mais on trouve également des élevages de trotteurs français dans tout le quart Nord-Ouest de la France, ainsi qu'en Pays de Loire et dans le Sud-Ouest[8].
La majorité des éleveurs ne possèdent qu'une ou deux juments[8]. Ce sont même généralement eux qui élèvent, dressent, entrainent et font courir leurs produits[10].
Après une très forte croissance entre les années 1970 et les années 1990, des mesures de limitations des naissances ont été prises. La SECF a en effet pour objectif de ramener le nombre de juments saillies à 15 000, ce qui permettrait d'atteindre environ 8 000 à 9 000 naissances par an, soit 3 800 chevaux qualifiés par génération. Pour l'atteindre, la SECF propose des indemnités pour la sortie des juments les plus médiocres du circuit de la reproduction et compte sur les qualifications pour trier les futurs reproducteurs[10].
Année | 1976 | 1980 | 1990 | 1995 | 2000 | 2005 | 2006 | 2007 | 2008 |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Nombre de poulinages en France[16]. | 6598 | 7671 | 11060 | 11684 | 11451 | 10823 | 10903 | 10939 | 11094 |
Marché du trotteur français
Le prix d'un trotteur varie énormément en fonction de son âge, de ses origines, de sa conformation et de ses prestations sportives[17],[18]. L'éventail de prix est ainsi très vaste puisqu'il varie de 1 500 euros pour un yearling aux origines modestes à plusieurs centaines de millieurs d'euros pour les chevaux ayant fait leurs preuves. Le prix d'un trotteur français est également conditionné par le coût des saillies, celles-ci variant de 1 000 euros à 35 000 euros, par exemple pour l'étalon français Love You en 2009[17]. Ces dernières années, lors des ventes aux enchères, on a constaté un prix de vente moyen de 11 000 euros pour un yearling et de 17 000 euros pour un cheval à l'entrainement, c'est-à dire ayant déjà passé la sélection des qualifications. Ces prix moyen sont à nuancer en fonction de la renommée des ventes aux enchères en question, les plus célèbres pouvant voir ces prix multipliés par cinq[19].
Utilisations
Les chevaux issus de cette race sont à la base élevés pour les courses de trot, mais ils peuvent également être utilisés dans d'autres sports équestres tel le saut d'obstacles.
Courses hippiques
Le trotteur français est, par son histoire et son élevage, destiné aux courses de trot. Son entrée dans le monde des courses est précoce puisque le débourrage d'un trotteur d'effectue vers dix-huit mois[20], alors que les chevaux de sport sont généralement débourrés vers trois ans[21]. Après le débourrage, le trotteur français entame un dressage spécifique où il apprend le travail aux longues rênes, puis l'acceptation du hatnais auquel on fixe de longs brancards trainant au sol, simulant le sulky[22]. L'apprentissage se poursuit par l'utilisation d'une dresseuse, qui est une voiture lourde et massive, puis par celle d'une road-car, qui est une voiture plus légère. Le trotteur n'est attelé au sulky qu'à la toute fin de son dressage, le driver étant le seul maître à bord[22]. Une fois le dressage terminé, on entame une période d'entrainement, qui va permettre de développer la musculation et le souffle du cheval. L'accès aux courses n'est accessible que sur qualification. C'est l'entraineur qui décide du moment opportun pour présenter son cheval[22]. Les trotteurs peuvent ainsi se qualifier pour les courses à 2 ans, d'autres à 3, 4, ou 5 ans. La qualification consiste à parcourir une distance de 1 500 ou 2 000 mètres en un temps imposé en fonction de son âge[22]. 60% des trotteurs ne passent pas les tests de qualification.
Lorsqu'ils échouent aux tests obligatoires, ou lorsqu'ils ont terminé leur carrière en course (au maximum vers 10 ans), ils sont revendus pour devenir des chevaux de loisir ou de sport. Un bon nombre d'entre eux, trop difficiles à reconvertir, sont revendus à la boucherie au prix de la viande. De nombreuses associations tentent de sortir ces réformés de la filière viande, les recueillent et les revendent pour généralement moins de 1000 euros.
Autres disciplines
Les trotteurs réformés, après une rééducation patiente, entre autres nécessaire pour améliorer la qualité de leur galop, font de très bons chevaux de loisir et de sport[23]. Ils constituent tout d'abord une partie importante de la cavalerie des centres équestres[23],[11]grâce à leur bon caractère, leur polyvalence et leur prix peu élevé. Pour le sport, ce sont également des chevaux parfaits pour les cavaliers amateurs[15], et ce, tout particulièrement en saut d'obstacles[3]. Utilisés en randonnées et dans le tourisme équestre[11], leur rusticité et leur endurance sont appréciées[24]. Les trotteurs font également d'excellents chevaux de chasse[11],[3]. Leur endurance, leur calme, et leur générosité, sont autant de qualités nécessaires à la pratique de cette discipline. De plus, leur prédisposition pour le trot est plus qu'adaptée. Le cheptel de chevaux de chasse à courre est ainsi estimé à 7 000 sujets[3]. Enfin, ils peuvent s'avérer également être de très bons chevaux d'attelage[23]. Leur calme et leur force sont particulièrement adaptés à la discipline[24]. Ainsi, la meneuse française Eve Cadi Verna a participé aux Championnats du monde en paire à Conty en aôut 2011 avec ses trotteurs français[25]. Néanmoins, pour cette discipline, un dressage réellement approprié s'impose[23],[24]. Un trotteur réformé sera beaucoup plus difficile à travailler en attelage qu'un cheval n'ayant jamais couru[24]. La traction d'un attelage n'a en effet rien à voir avec celle d'un sulky[23].
Croisements
Utilisé en croisement, le trotteur français apporte sa force et son caractère. Dans le réglement du studbook du selle français, les juments trotteur français sont considérées comme facteur de SF; c'est-à-dire qu'elles peuvent produire en selle français, si elles sont croisées avec un reproducteur selle français[26]. Depuis le regroupement des studbook régionaux français, ce croisement a permis de maintenir une grande diversité génétique au sein du selle français, ce qui en fait son originalité[27], et certains des meilleurs chevaux de sport français, comme Galoubet A et Jappeloup de Luze avaient un parent de race trotteur français. Plus récemment, on le croise également avec le pur sang arabe, pour obtenir des chevaux d'endurance plus grand, plus porteur et avec un bon tempérament.
Trotteurs français renommés
Plusieurs trotteurs français ont marqué l'histoire des courses. Dominant leurs adversaires, ils ont remporté les plus grandes courses françaises et internationales[28].
- Gelinotte, lauréate de deux Prix d’Amérique et de deux Elitloppet dans les années 1950
- Idéal du Gazeau, a remporté deux Prix d’Amérique, deux Elitloppet, et trois International Trot au début des années 1980
- Ourasi, seul trotteur de l’histoire à avoir remporté quatre Prix d’Amérique à la fin des années 1980
- Une de mai, détentrice de 74 victoires dans les années 1970
- Bellino II, seul cheval à figurer trois fois au palmarès combiné des Prix d’Amérique et de Cornulier
- Jag de Bellouet, a remporté trois Prix de Cornulier et le Prix d’Amérique en 2005
Notes et références
- Collectif 2006, p. 68
- Bataille 2008, p. 124
- « Trotteur Français », sur Webtrotteurs (consulté le )
- « Historique », sur La Société d'encouragement à l'élevage du cheval français (consulté le )
- Hartley Edwards 2004, p. 102-103
- « Histoire », sur Société des courses au trot de Biarritz (consulté le )
- Dominique Poulain, Histoires et chronologies de l'agriculture française, Ellipses, , 426 p. (ISBN 2729819576, lire en ligne), p. 223
- Slama 2002, p. 7
- A. Ricard, « Les croisements franco-américains chez le trotteur : une expérience réussie ? », INRA, Prod. Anim., vol. 18, no 2, , p. 79-86 (lire en ligne)
- « Trotteur français », sur Haras nationaux (consulté le )
- « La race trotteur français », sur Le Cheval Français (consulté le )
- Slama 2002, p. 8
- Elwyn Hartley Edwards, L'œil nature - Chevaux, Nord Compo, Villeneuve-d'Ascq, Larousse, (ISBN 2-03-560408-7), p. 147
- Bataille 2008, p. 125
- Henriques Pereira 2003, p. 23
- « Trotteur français », sur Haras Nationaux (consulté le )
- « Prix d'un cheval de courses », sur La Société d'encouragement à l'élevage du cheval français (consulté le )
- Slama 2004, p. 17
- Haras Nationaux, Panorama Economique de la Filiere Equine, IFCE - les Haras nationaux (ISBN 2915250197), p. 9
- Slama 2002, p. 12-13
- « Appréhender le débourrage d’un cheval de sport », sur Haras Nationaux (consulté le )
- Slama 2004, p. 13-15
- Bataille 2008, p. 127
- « Le trotteur », sur L'attelage pédagogique (consulté le )
- Elisabeth Gillion, « Bravo Chouzenoux ! Championnat du monde en paire à Conty : le meneur du Val de Selle Stéphane Chouzenoux est vice-champion du monde », sur Conseil du Cheval Picardie Nord Pas de Calais (consulté le )
- « Règlement du studbook Selle Français 2010 », sur ANSF (consulté le )
- « Le Selle Français », sur ANSF (consulté le )
- « Les grands champions », sur Le Cheval Français (consulté le )
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- « Trot-Pedigree » : logiciel freeware avec base de données comprenant 400 000 trotteurs et toutes les courses françaises depuis 2002
- « Trot-Pedigree net » : la base de données de Trot-Pedigree accessible sur le Net
- [PDF] « Règlement du stud-book du trotteur français », sur SECF
Bibliographie
: Ouvrage utilisé pour la rédaction de cet article
Livres spécialisés sur les courses et le trotteur français
- Marie-Gabrielle Slama, Raconte moi... le Trotteur français, Paris, Nouvelle Arche de Noé Éditions, (ISBN 2-84368-034-4).
- Carlos Henriques Pereira, L'institution des courses de chevaux, Editions L'Harmattan, , 93 p. (ISBN 2747555291, lire en ligne).
- Jean-Pierre Reynaldo, Le trotteur français: histoire des courses au trot en France des origines à nos jours, Lavauzelle, , 427 p. (ISBN 2702510787)
- Charles Du Hays, Les trotteurs: origines, performances et produits des individualités qui ont le plus marqué dans les courses au trot, Ve Parent & fils, , 220 p. (lire en ligne)
Livres généralistes
- Elwyn Hartley Edwards, Les chevaux, Éditions de Borée, , 272 p. (ISBN 9782844944498, lire en ligne), p. 102-103.
- Lætitia Bataille, Races équines de France, France Agricole Éditions, , 286 p. (ISBN 9782855571546, lire en ligne), p. 123-128.
- Colectif, Les races de chevaux et de poneys, Editions Artemis, , 127 p. (ISBN 2844163386, lire en ligne), p. 68-69.
- Judith Draper, Le grand guide du cheval: les races, les aptitudes, les soins, Editions de Borée, , 256 p. (ISBN 2844944205, lire en ligne), p. 46-47