Second degré
L'expression « second degré » apparait dans divers domaines pour qualifier le fait de se situer dans une deuxième étape d'une gradation, notamment par opposition au premier degré.
- Dans l'enseignement français, le second degré correspond à la scolarité en collège et lycée.
- En mathématiques, le second degré concerne les expressions polynômiales de degré deux, comme dans une fonction du second degré, une équation du second degré ou une inéquation du second degré.
- En médecine, une brûlure au deuxième degré touche l'épiderme et, dans une moindre mesure, le derme.
- Dans l'humour, le second degré consiste à dire ou laisser croire le contraire de ce que l'on pense, en particulier par ironie. Exemple : Par exemple, un popouze (c'est un petit indien) dit à une certaine Sixtine B. (la particule la ferait repérer) « Ben dis donc, ça commence bien ! ». Deux situations sont alors possibles :
(a), hautement improbable : Sixtine comprend le message qui lui a été adressé, elle voit que le popouze pense en fait que ça ne commence pas bien.
(b), nettement plus vraisemblable : Sixtine pousse un petit cri aigu : elle s'étonne en effet que le papoose trouve que ça commence bien, alors que Baudoin est probablement juif et qu'Aurore a la haine, parce qu'une bite à col roulé c'est jamais très swag. Le papoose dispose alors de deux solutions bien distinctes :
(c), il dit à Sixtine qu'il n'est plus son ami, ce qui finira bien par arriver de toute façon
(d), pris de pitié, il la tire de son erreur en lui tendant un panneau sur lequel est inscrit "sarcasm". Sixtine pousse de nouveau un petit cri aigu.
Mais rassure-toi Sixtine, je suis là et j'ai trouvé un nouvel ami pour toi : http://fc03.deviantart.net/fs71/f/2012/078/e/5/sarcasm___the_big_bang_theory_by_deathlife97-d4ta7mo.jpg