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Gers (département)

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Gers
Blason de Gers Drapeau de Gers
Gers (département)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Création du département
Chef-lieu
(Préfecture)
Auch
Sous-préfectures Condom
Mirande
Président du
conseil départemental
Philippe Dupouy PS
Préfet Laurent Carrié[1],[2]
Code Insee 32
Code ISO 3166-2 FR-32
Code Eurostat NUTS-3 FR624
Démographie
Gentilé Gersois
Population 192 437 hab. (2021)
Densité 31 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 57″ nord, 0° 36′ 12″ est
Superficie 6 257 km2
Subdivisions
Arrondissements 3
Circonscriptions législatives 2
Cantons 17
Intercommunalités 15
Communes 461
Liens
Site web www.gers.fr

Le Gers (/ʒɛʁs/[Note 1],[3] ou /ʒɛʁ/[4]) est un département français de Gascogne en région Occitanie. Sa préfecture est la ville d'Auch. Il tire son nom de la rivière Gers, affluent de la Garonne. L'Insee et La Poste lui attribuent le code 32.

Le département a été créé à la Révolution française, le en application de la loi du , à partir d’une partie de l’ancienne province de Gascogne. Il porte initialement le nom de département d’Armagnac[5]. Le département est divisé en six districts, dont les chefs-lieux sont Auch, Condom, Lectoure, L’IsIe-Jourdain, Mirande et Nogaro. Le décret du 28 janvier 1790 prévoit la possibilité de créer un septième district en faveur de Vic-Fezensac mais les trois commissaires chargés de la formation du département décident d’y renoncer[6].

En 1808, le département a été amputé du canton de Lavit[7], situé au nord-est, pour créer le département voisin du Tarn-et-Garonne.

Le Gers et les pays qui occupaient son territoire avant la Révolution. Ceux-ci faisaient tous partie de la province de Gascogne.

Au , la région Midi-Pyrénées, à laquelle appartenait le département, fusionne avec la région Languedoc-Roussillon pour devenir la nouvelle région administrative Occitanie.

Géographie

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Panneau départemental.

Le Gers fait partie de la région Occitanie. Il est limitrophe des départements des Hautes-Pyrénées, de la Haute-Garonne, de Tarn-et-Garonne, de Lot-et-Garonne, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques.

Les extrémités départementales sont au nord Pergain-Taillac, à l'est Pujaudran, au sud Mont-d'Astarac et à l'ouest Ségos.

Sur la commune de Monlaur-Bernet se trouve le point naturel le plus élevé du Gers à la chapelle Saint-Roch à 380 mètres d'altitude[8].

Le Gers est connu pour ses paysages vallonnés[9]. Les collines mouvantes sont entrecoupées de vallons où se dissimulent souvent des lacs artificiels voués à l'agriculture.

Les précipitations annuelles varient de plus de 900 mm au sud-ouest du département, à moins de 700 mm au nord-est (Auch, Condom, Lectoure). Les étés sont très chauds et faiblement pluvieux. Les hivers varient, avec souvent des températures négatives, des gelées nocturnes et souvent de la neige dans le sud du département où les altitudes avoisinent les 300 mètres, mais le climat reste tout de même relativement doux et clément.

Le Gers est dans l'ensemble peu desservi par les infrastructures de transport : il ne comporte ni autoroute, ni voie ferrée électrifiée, ni aéroport desservi par des lignes régulières. La seule voie rapide à 2x2 voies et la seule ligne ferroviaire du département relient Auch à la métropole de Toulouse, principal pôle d'attraction du département.

L'économie dans le Gers tourne principalement autour de l'agriculture et du tourisme culinaire. Le département est producteur de maïs, de blé, de colza, de tournesol servant pour l'élevage de canards gras. Ceux-ci sont transformés en mets de luxe dans les fermes locales ou usines (Comtesse du Barry, Ducs de Gascogne…) comme le foie gras, le confit ou les cous farcis. On y produit aussi de l'alcool et du vin (armagnac, côtes-de-gascogne, floc de Gascogne, madiran, pacherenc, pousse-rapière, Côtes de Saint-Mont, AOC Tursan), ainsi que du pop-corn (Nataïs)[10].

D'autres entreprises ont vu le jour autour de l'aéroport Auch-Gers, dont JCB Aéro, premier employeur privé d’Auch avec 150 salariés[11].

Emplois selon le secteur d'activité

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De 2008 à 2019, il y a une stabilité du nombre total d'emplois avec un recul de l'emploi dans l'agriculture et la construction, une stabilité dans l'industrie et une augmentation dans les services marchands et non marchands[12].

Emplois selon le secteur d'activité
2008 2013 2019
Nombre % Nombre % Nombre % dont femmes en % dont salariés en %
Ensemble 69 909 100,0 70 664 100,0 69 146 100,0 50,0 78,5
Agriculture 9 767 14,0 9 290 13,1 7 946 11,5 30,2 33,1
Industrie 7 750 11,1 7 713 10,9 7 659 11,1 34,2 88,8
Construction 5 652 8,1 5 363 7,6 4 406 6,4 6,8 60,5
Commerce, transports, services divers 24 322 34,8 25 570 36,2 25 143 36,4 47,8 79,6
Administration publique, enseignement, santé, action sociale 22 417 32,1 22 727 32,2 23 992 34,7 71,9 92,5

Ménages selon la catégorie socioprofessionnelle de la personne de référence en 2019[12]

Nombre de ménages % Population des ménages %
Ensemble 89 089 100,0 186 619 100,0
Agriculteurs exploitants 3 939 4,4 9 970 5,3
Artisans, commerçants, chefs d'entreprise 5 231 5,9 12 986 7,0
Cadres et professions intellectuelles supérieures 6 242 7,0 16 274 8,7
Professions intermédiaires 11 722 13,2 29 297 15,7
Employés 13 225 14,8 30 756 16,5
Ouvriers 11 889 13,3 29 503 15,8
Retraités 32 788 36,8 51 353 27,5
Autres personnes sans activité professionnelle 4 054 4,6 6 480 3,5

Démographie

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Les habitants du Gers sont les Gersois.

Évolution démographique

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En 2021, le département comptait 192 437 habitants[Note 2], en évolution de +0,79 % par rapport à 2015 (France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1791 1801 1806 1821 1826 1831 1836 1841 1846
-257 609287 021301 336307 601312 160312 882311 447314 885
1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891
307 479304 497298 931295 692284 717283 546281 532274 391261 084
1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
250 472238 448231 088221 994194 406196 419193 134192 451190 431
1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011
185 111182 264181 577175 366174 154174 587172 335181 375188 893
2016 2021 - - - - - - -
190 664192 437-------
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[13] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[14] puis population municipale à partir de 2006[15].)
Histogramme de l'évolution démographique

Communes les plus peuplées

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Liste des quinze communes les plus peuplées du département
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Modifier
Auch 32013 CA Grand Auch Cœur de Gascogne 72,48 23 041 (2021) 318 modifier les donnéesmodifier les données
L'Isle-Jourdain 32160 CC de la Gascogne Toulousaine 70,48 9 324 (2021) 132 modifier les donnéesmodifier les données
Condom 32107 CC de la Ténarèze 97,37 6 466 (2021) 66 modifier les donnéesmodifier les données
Fleurance 32132 CC de la Lomagne gersoise 43,32 6 012 (2021) 139 modifier les donnéesmodifier les données
Eauze 32119 CC du Grand Armagnac 69,86 4 014 (2021) 57 modifier les donnéesmodifier les données
Lectoure 32208 CC de la Lomagne gersoise 84,93 3 690 (2021) 43 modifier les donnéesmodifier les données
Vic-Fezensac 32462 CC d'Artagnan en Fézensac 53,94 3 581 (2021) 66 modifier les donnéesmodifier les données
Mirande 32256 CC Cœur d'Astarac en Gascogne 23,42 3 454 (2021) 147 modifier les donnéesmodifier les données
Gimont 32147 CC des Coteaux Arrats Gimone 27,58 3 055 (2021) 111 modifier les donnéesmodifier les données
Pavie 32307 CA Grand Auch Cœur de Gascogne 24,67 2 510 (2021) 102 modifier les donnéesmodifier les données
Samatan 32410 CC du Savès 33,53 2 429 (2021) 72 modifier les donnéesmodifier les données
Mauvezin 32249 CC Bastides de Lomagne 32,18 2 239 (2021) 70 modifier les donnéesmodifier les données
Nogaro 32296 CC du Bas-Armagnac 11,06 2 161 (2021) 195 modifier les donnéesmodifier les données
Lombez 32213 CC du Savès 19,55 2 143 (2021) 110 modifier les donnéesmodifier les données
Riscle 32344 CC Armagnac Adour 36,55 1 702 (2021) 47 modifier les donnéesmodifier les données
Limites linguistiques du gascon.

Le français, langue officielle nationale, est parlé et compris par l'ensemble de la population.

La langue régionale parlée est le gascon.

Le Conseil départemental du Gers est labélisé Terre de Jeux 2024, le label de Paris 2024 à destination des collectivités, et accueillera sur son territoire le Relais de la flamme[16].

  • L'Auch Football Club (Auch) évolue dans le championnat Régionale 1. Eric Carrière a été formé au CS Auch, l’ancêtre du Auch Football club[17].
  • L'ASFLS (Fleurance et La Sauvetat) évolue dans le championnat Régional 2.
  • Le HBCL (L'Isle Jourdain) L'équipe féminine a évolué à la fin des années 1990 en Nationale 2 durant plusieurs saisons.
  • Le HBCLS (Lombez-Samatan) L'équipe féminine a évolué en Nationale 3 durant plusieurs saisons.

Internationaux français originaires du Gers

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Yannick Bru, en 2012.

Tennis de table

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Le Cercle pongiste auscitain est champion de France de Nationale 1 en 2009. Il joue depuis en Pro B.

Contrairement à la quasi-totalité des départements français qui comportent au moins une maison d'arrêt sur leur territoire ; le Gers n'en possède aucune. La dernière prison, située à Auch, a fermé ses portes en 1966 pour être démolie dix ans plus tard. Les détenus gersois sont depuis incarcérés à Agen, siège de la cour d'appel.

Plus de six millions de nuitées touristes ont été enregistrées en 2022[19] dans le département, qui a accueilli 372000 visiteurs dans ses établissements de patrimoine et 350000 dans ses activités de loisirs[19].

Dans un « schéma du tourisme » départemental lancé en 2021, le concept de tourisme durable appelé « slow tourisme » est mis en valeur au moyen des mobilités douces, telles que le vélo, les voies fluviales, ainsi que des équipements comme le vélorail de l'Armagnac, ou encore avec le tourisme à la ferme appelé parfois « agrotourisme »[19].

Économie du tourisme

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L'économie du tourisme dans le Gers représente (données 2018 du comité départemental du tourisme destination Gers) :

  • 1 700 000 visiteurs : 1 100 000 touristes, 600 000 excursionnistes ;
  • 72 100 lits ;
  • 260 000 000  de dépenses des touristes dans le Gers, soit 7 % du PIB du département ;
  • 2 700 emplois salariés liés au tourisme, 3 500 emplois en juillet-août ;
  • 79 % de clientèle française en séjour dont 45 % de touristes de proximité ;
  • 21 % de clientèle étrangère en séjour ;
  • 39  de dépense moyenne journalière en séjour vacances ;
  • fréquentation :

Résidences secondaires

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  • 6 400 résidences secondaires, soit 33 600 lits[21] ;
  • On estime à environ 1 300 les résidences secondaires appartenant à des étrangers ;
  • 65 % sont situées sur les parties nord et est du département ;
  • Les Britanniques possèdent 49,4 % de ces résidences, suivis par les Néerlandais (19,4 %), Belges (10,2 %) et Allemands (8,7 %)[22].

Communes ayant plus de 10 % de résidences secondaires

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Selon le recensement général de la population du , 9,5 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.

Ce tableau indique les principales communes du Gers dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux en 2008[23] :

Ville Population SDC Nombre de logements Rés. secondaires % Rés. secondaires
Cazaubon (Barbotan-les-Thermes) 1 651 2 393 1 468 61,34 %
Lombez 1 804 1 036 208 20,08 %
Marciac 1 231 748 130 17,45 %
Gondrin 1 158 681 99 14,61 %
Montréal 1 269 720 104 14,44 %
Castelnau-d'Auzan 1 091 676 94 13,86 %
Miélan 1 218 768 92 12,01 %
Plaisance 1 465 920 104 11,30 %
Samatan 2 276 1 219 127 10,39 %

Personnalités

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Notes et références

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  1. Prononciation en français de France standardisé retranscrite phonémiquement selon la norme API.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  1. https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000047836597
  2. « Nouveau préfet du Gers, Laurent Carrié prend officiellement ses fonctions ce lundi 21 août », ladepeche.fr, (consulté le ).
  3. I. Louis Gondal, Parlons ainsi de la voix et du geste, étude théorique et pratique du mécanisme de la parole, où se trouvent réunis les données des physiologistes, les règles des grammairiens et les conseils des artistes sur l'art de bien dire, en chaire, au barreau, au cours, à la tribune et dans les lectures publiques, J. De Gigord, (lire en ligne), p. 91

    « Mais S sonne dans Anvers et Gers. Lisez : Anverss et Gerss »

    .
  4. La prononciation de Gers est un sujet qui fâche comme le souligne Renaud Camus dans Répertoire des délicatesses du français contemporain, article « Gers », p. 208, « Le Goût des mots », Points, P.O.L, 2000 : en langue cultivée, il préconise de ne pas prononcer le s final qui reste une prononciation locale, même si elle est très répandue. Pierre Fouché et Jean-Marie Pierret recommandent également la prononciation [ʒɛːʁ]. Voir Pierre Fouché, Traité de prononciation française, Klincksieck, Paris, 1959, p. 426, et Jean-Marie Pierret, Phonétique historique du français et notions de phonétique générale, Peeters, Louvain-la-Neuve, 1994, p. 104.
  5. Suite des décrets sur la division du royaume du 28 janvier 1790, Département d’Armagnac.
  6. René Pagel, Notes sur la formation du département du Gers, Auch, impr. de L. Cocharaux, , 24 p., In-8° (BNF 31049342, lire en ligne).
  7. Création du département de Tarn-et-Garonne.
  8. « INVENTAIRE DES PAYSAGES DU GERS », Article du gouvernement français pour le développement durable du département du Gers.,‎ , Page 9 dans le tableau récapitulatif du département du Gers (lire en ligne Accès libre [PDF])
  9. Inventaire des paysages du Gers, Portrait dʼensemble, Généralités sur la Gascogne Gersoise; 2002. Conseil Architecture Urbanisme Environnement. Sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr.
  10. Océane Oules, « Gers : Nataïs, le leader européen du pop-corn, mise tout sur l'agroécologie », sur ladepeche.fr, .
  11. « Incendie chez JCB Aéro à Auch : des dégâts mais il n'y aura pas de chômage technique », sur ladepeche.fr, .
  12. a et b Insee, RP2019 exploitation complémentaire, géographie au 01/01/2022.in INSEE Dossier complet Gers [lire en ligne]
  13. Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
  14. Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
  15. Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
  16. « Paris 2024 : La flamme olympique traversera le Gers », sur sportmag.fr, (consulté le )
  17. Frédéric Hamelin, « Star : Éric Carrière, little big man », Onze Mondial, no 150,‎ , p. 78-81 (ISSN 0995-6921).
  18. « Claude Labatut », sur archives.stadetoulousain.fr.
  19. a b et c Article du 29 juin 2023 sur Hit Radio [1]
  20. « Comité départemental du tourisme et des loisirs du Gers », sur tourisme-gers.com/ (consulté le ).
  21. source RGP/INSEE 1999, avec décompte des meublés de tourisme labellisés.
  22. source Odit France, DGI 2007.
  23. Source Insee, chiffres au 1er janvier 2008.
  24. « Jean-Aimé Moussaron », sur yadvashem-france.org.

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Bibliographie

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  • [Camus 1997] Renaud Camus, Le Département du Gers, Paris, Éditions P.O.L, , 349 p. (ISBN 2-86744-570-1).
  • [Debofle & Féral 1990] Pierre Debofle et Pierre-Léon Feral, Le Gers a deux cents ans (1790-1990) : 200e anniversaire de la création du département, Auch, Association pour la commémoration du bicentenaire de la Révolution française, , 171 p. (ISBN 2-9505070-0-X).
  • [Durliat 1970] Marcel Durliat, « La Gascogne dans l'art », Bulletin de la Société française d'archéologie, no hors série « Annales du Congrès archéologique de France, 128e session, Gascogne »,‎ , p. 9–28.
  • [Gardes et al. 2003] Philippe Gardes (dir.), Laurent Cordier, François Didierjean, Jean-Jacques Grizeaud, Christophe Baysse, Guy Duclos et David Duda, « Oppida, formes de l'habitat et culture matérielle du deuxième âge du Fer dans le Gers et ses marges. Prospection thématique », dans Marie-Geneviève Colin (coord.) & Laurent Sévègnes (fonds cartographiques), Bilan scientifique 2003, Toulouse, DRAC Midi-Pyrénées, service régional de l'archéologie (SRA), , 209 p. (lire en ligne [PDF] sur culture.gouv.fr), p. 96-97.
  • [Lavedan & Hugueney 1970] Pierre Lavedan et Jeanne Hugueney, « Bastides du Gers », Bulletin de la Société française d'archéologie, no hors série « Annales du Congrès archéologique de France, 128e session, Gascogne »,‎ , p. 371–409.
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome premier, Auch, J.-A. Portes, , 464 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome second, Auch, J.-A. Portes, , 500 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome troisième, Auch, Brun, , 512 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome quatrième, Auch, Brun, , 467 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome cinquième, Auch, Brun, , 491 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Tome sixième, Auch, Brun, , 495 p., in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • Jean-Justin Monlezun, Histoire de la Gascogne depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours : Supplément, Auch, Brun, , 483 à 674, in-8 (BNF 30963694, lire en ligne)
  • [Ratonnat 1996] Jean-François Ratonnat, La vie d'autrefois dans le Gers, éditions Sud-Ouest, .
  • [Sirven, Poulle & Joffre 1970] Bruno Sirven, Frédéric Poulle et Lætitia Joffre, Paysages du Gers, Rodez, Éditions du Rouergue, , 265 p. (ISBN 2-84156-611-0).

Articles connexes

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Liens externes

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