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James Anderson (1739-1808)

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James Anderson
James Anderson par Samuel Freemnan
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 69 ans)
West HamVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Conjoint
Unknown daughter Seton (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfants
John Anderson (en)
Margaret Anderson (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Membre de
Royal Society of Edinburgh
Membre de la Society of Antiquaries of Scotland (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

James Anderson est un agronome et un économiste écossais, né le à Hermiston, près de Midlothian et mort le à West Ham (Essex).

Très jeune, il commence à travailler dans une ferme de Midlothian en Écosse que sa famille occupe depuis plusieurs générations, puis possède une ferme de 5,3 km2 dans l’Aberdeenshire où il emprunte à la chimie des connaissances utiles pour l'agriculture.

En 1783, il s’installe à Édimbourg où il commence à faire paraître en 1791 une publication hebdomadaire, The Bee (l'Abeille), qu’il écrit largement lui-même en employant de nombreux pseudonymes (Senex, Timothy, Hairbrain, Alcibiade…), qui comptera dix-huit volumes et eut un grand succès. En 1797, il s’installe à Isleworth et, de 1799 à 1802, il fait paraître un mensuel Recreations in Agriculture, Natural History, Arts and Miscellaneous Literature (Les Récréations d’agriculture). Il est également l’auteur de nombreuses publications sur des sujets agricoles ou économiques et de nombreux articles dans l'Encyclopédie britannique.

L'ingénieur James Grenn responsable de la fabrication du premier ascenseur à péniche sur voie de navigation, attribue cette invention à James Anderson[1].

Membre et honoraire

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Èn 1780 James Anderson reçoit le titre honoraire de Docteur en droit, (Legum Doctor, LLD) de l'université d'Aberdeen. Il meurt à West Ham, Essex le [2].

James Anderson est membre de la Royal Society of Edinburgh (FRS) et membre de la Society of Antiquaries of Scotland (FSA)[2].

Son portrait a été plusieurs fois publié depuis le XIXe siècle par erreur[3], comme étant celui du pasteur presbytérien James Anderson (1678-1739), rédacteur des premières constitutions de la franc-maçonnerie. Ce portrait étant celui réalisé par le graveur anglais Samuel Freeman (en) (1773-1857), conservé à la Galerie nationale d'Écosse[4] et publié dans le Gentleman’s Magazine de [5]

  • Essais sur les plantations (1771)
  • Traité pratique de chimie (1776)
  • Observations sur l'esclavage (1789)
  • Lettres à Washington (1800)

Notes et références

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  1. (en) Charles Hadfield, The Canals of Southwest England, Newton Abbot ; London ; North Pomfret, Vt., David and Charles, , 206 p. (ISBN 978-0-7153-8645-3 et 0-7153-8645-X), p. 104.
  2. a et b (en) Charles D Waterston et A Macmillan Shearer, Former Fellows of the Royal Society of Edinburgh 1783-2002, vol. I, Édimbourg, The Royal Society of Edinburgh, (ISBN 978-0-902198-84-5, lire en ligne).
  3. (en) « James Anderson », sur freemasonry.bcy.ca (consulté le ).
  4. (en) « James Anderson, 1739 - 1808. Author and agriculturist (Published 1809) », sur art.nationalgalleries.org (consulté le ).
  5. Voir par exemple la revue de recherche AQC, vol. lxxvii (1964), p. 17.

Bibliographie

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  • Dezobry et Bachelet, Dictionnaire de biographie, t.1, Ch.Delagrave, 1876, p. 86

Liens externes

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