Aller au contenu

Thiverny

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Thiverny
Thiverny
La maire.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Senlis
Intercommunalité CA Creil Sud Oise
Maire
Mandat
Michel Blary
2020-2026
Code postal 60160
Code commune 60635
Démographie
Gentilé Thiverniens, Thiverniennes
Population
municipale
1 080 hab. (2021 en évolution de +2,96 % par rapport à 2015)
Densité 524 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 14′ 55″ nord, 2° 25′ 59″ est
Altitude Min. 27 m
Max. 86 m
Superficie 2,06 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Creil
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Montataire
Législatives 3e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Thiverny
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Thiverny
Géolocalisation sur la carte : Oise
Voir sur la carte topographique de l'Oise
Thiverny
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Thiverny
Liens
Site web http://www.ville-de-thiverny.fr

Thiverny est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Géographie

[modifier | modifier le code]
Communes limitrophes de [1]
Montataire
Cramoisy [1]
Saint-Leu-d'Esserent

Avec une superficie très réduite de seulement 2,06 km2, Thiverny est la septième commune la moins étendue du département de l'Oise[2].

Hydrographie

[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique

[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le fossé 01 de la commune de Saint-Leu-D'Esserent[3],[Carte 1].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Thiverny[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 219 km2 de superficie, délimité par le bassin versant du Thérain. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit est, en 2024, en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat intercommunal de la Vallée du Thérain (SIVT)[4].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (°C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 650 mm, avec 10,2 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Creil à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records CREIL (60) - alt : 88m, lat : 49°15'07"N, lon : 2°31'14"E
Records établis sur la période du 01-08-1954 au 31-07-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,2 3,1 4,9 8,4 11,4 13,4 13,2 10,3 7,8 4,3 1,9 6,8
Température moyenne (°C) 4,1 4,6 7,5 10,3 13,7 16,9 19,2 19 15,6 11,9 7,4 4,5 11,2
Température maximale moyenne (°C) 6,8 8 12 15,6 19 22,4 24,9 24,8 20,9 15,9 10,5 7,2 15,7
Record de froid (°C)
date du record
−21,6
17.01.1985
−18,5
14.02.1956
−11,4
08.03.1971
−5,3
06.04.21
−2,6
03.05.1981
0,7
01.06.1975
3,5
01.07.1960
3,2
01.08.1965
−0,6
17.09.1971
−5
28.10.03
−11,3
24.11.1998
−16,7
31.12.1970
−21,6
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,9
27.01.03
21,4
28.02.1960
25,4
31.03.21
28
20.04.18
31,7
07.05.1976
36,4
27.06.11
41,6
25.07.19
39,3
09.08.20
35,3
15.09.20
28,3
01.10.11
20,7
08.11.15
16,9
07.12.00
41,6
2019
Ensoleillement (h) 492 867 1 417 2 008 2 169 217 1 806 1 184 674 614
Précipitations (mm) 56,2 47,1 48,2 45,2 60 56 56 57,6 45 61,1 59,2 70,6 662,2
Source : « Fiche 60175001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Au , Thiverny est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Creil[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant 23 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (67,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,1 %), forêts (12,6 %), zones urbanisées (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8 %), eaux continentales[Note 5] (3,8 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par la ligne F du réseau AXO. Les services de transport à la demande AXO+3 et AXO+4 complètent la desserte. Elle est également desservie par les lignes 646, 648 et 6243 du réseau interurbain de l'Oise[15].

Le nom de la localité est attesté sous les formes « Tiverniacus in pago Belvacensi » (918) ; de Tiverniaco (vers 1107) ; in villa de Tyverniaco (vers 1145) ; Galterius militem de tiverni (1202) ; Triverni (1208) ; Triverniacus (1210) ; Tiverni (1237) ; super marisca de villa tiversa (1240) ; Tivergny (1240) ; villam de tiverni (1260) ; Thierni (1283) ; Pierre de Tivergni (1283) ; Petri de Tiverni (1285) ; Tyverni (1294) ; Tyverny (1362) ; Thivergny (1385) ; Tiverni les Montaterre (1414) ; Thiverni (1470) ; Tiverni (1470) ; Thiverny (1480) ; Thiverni lez Creeil (1482) ; Tiverni pres Montataire en Beauvoisis (1549) ; Tiverny (1667) ; Thiverny (XIXe)[16].

Site hallstattien restauré par les Romains, détruit à la fin du Ier siècle, reconstruit à l'époque d'Antonin. Vestiges préhistoriques et antiques : habitat de Hallstatt, sanctuaire souterrain, sanctuaire gallo-romain, atelier de tailleurs de pierre. Anciennes carrières et champignonnières.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1935 1945 Jean Cassé    
1947 mars 1977 Josette Yvette Moussy    
mars 1977 mars 2001 Jean Ragon PCF  
mars 2001 mars 2020 Jean-Luc Dion PCF-Colère et espoir (CE)[17] Employé de bureau
mars 2020[18] En cours
(au 14 juin 2020)
Michel Blary PCF  

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

Évolution démographique

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].

En 2021, la commune comptait 1 080 habitants[Note 6], en évolution de +2,96 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8286929282100128140145
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
179186256282275284281270313
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
351342415502719814758674813
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 0391 1451 2101 1601 1091 0879799481 066
2018 2021 - - - - - - -
1 0731 080-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 545 hommes pour 528 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[23]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,2 
3,9 
75-89 ans
5,3 
11,7 
60-74 ans
14,2 
21,5 
45-59 ans
18,6 
21,8 
30-44 ans
20,1 
18,9 
15-29 ans
20,3 
21,8 
0-14 ans
21,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Monument historique

[modifier | modifier le code]

Thiverny compte un monument historique sur son territoire

L'église Saint-Leufroy depuis l'est.
La châsse de saint Leufroy dans l'église.
  • Église Saint-Leufroy (inscrite monument historique en 1930[25]) :
    D'un plan très simple, cette église gothique du XIIIe siècle est entièrement voûtée d'ogives et se compose d'une nef unique de deux travées, ainsi que d'un chœur d'également deux travées, se terminant par un chevet plat. L'édifice actuel a eu un prédécesseur roman du XIe siècle, dont restent une partie de la façade occidentale, avec un contrefort plat, ainsi que tout le mur du nord, avec également un contrefort plat (près du chœur) et deux petites fenêtres en plein cintre.
    Cette église est dotée d'un nouveau portail vers 1130 / 1140, affectant une forme en tiers-point mais toujours roman. Il possède une triple archivolte sous un gâble, dont la voussure médiane est décorée de bâtons brisés, et qui repose sur deux groupes de trois colonnettes à chapiteaux. Le porche a été ajouté bien ultérieurement.
    La nef a été rebâtie vers 1230 / 1240 et élargie vers le sud, la forte déclivité au nord ne permettant pas une extension vers ce côté. Les petits chapiteaux à crochets et le profil en amande des ogives évoquent l'ancienne nef de l'église Saint-Médard de Creil. Au sud, deux petites fenêtres en lancette simple éclairent la nef. Pour le chœur, édifié pendant la seconde moitié du siècle, le maître d'œuvre a opté également pour des lancettes simples, sauf pour la grande baie du chevet, et bien que le chœur soit plus haut que la nef, il est tout aussi austère extérieurement.
    Le vitrail de la baie du chevet est d'origine, sachant que les vitraux du XIIIe siècle sont très rares dans la région, et représente le saint patron de l'église[26].
    Peu connue, sa fête patronale est célébrée localement le ou le dimanche suivant.

.

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Creil comprend deux villes-centres (Creil et Nogent-sur-Oise) et 21 communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Thiverny » sur Géoportail (consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Communes limitrophes de » sur Géoportail..
  2. « Résumé statistique national (fichier Excel) » (consulté le ) sur le site « INSEE ».
  3. « Fiche communale de Thiverny », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
  4. « SAGE Sensée », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Thiverny et Creil », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Creil » (commune de Creil) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Creil », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Thiverny ».
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Transports en commun à Thiverny », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  16. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 557.
  17. « Clermontois : Municipales 2014 : les échos », Le Bonhomme picard, édition de Clermont, no 3261,‎ , p. 8 :

    « Dans un communiqué adressé à notre rédaction vendredi 25 octobre, Thierry Gnombleï, le président de la commission des investitures de Colère et Espoir 60 indique que la structure a choisi (...) comme tête de liste aux élections municipales (...) À Thiverny, la commission a choisi Jean-Luc Dion. »

    .
  18. « Equipe municipale », La lairie en direct, sur ville-de-thiverny.fr (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Thiverny (60635) », (consulté le ).
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  25. Notice no PA00114921, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  26. Dominique Vermand, Églises de l'Oise : Canton de Montataire, Vallées de l'Oise et du Thérain, Beauvais, ca. 1998, 24 p., p. 21.