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Bastions de l'enceinte de Thiers

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(Redirigé depuis Bastion no 44)

Au 19e siècle, 94 bastions ponctuaient l'enceinte de Thiers (1841-1845) entourant Paris.

Cet article décrit chacun de ces bastions, avec leur historique et la liste des voies créées où réaménagées sur leur emplacement, en commençant par le bastion no 1 de la porte de Bercy et en tournant dans le sens anti-horaire jusqu'au bastion no 94 de la porte de la Gare[1].


Présentation des bastions – Historique : Siège de Paris 1870-1871
Porte de Bercy – Bastion 1 – Bastion 2 – Bastion 3 – Porte de Charenton – Bastion 4 – Porte de Reuilly – Bastion 5 – Porte de Picpus – Bastion 6 – Bastion 7 – Poterne de Montempoivre – Bastion 8 – Porte de Saint-Mandé – Bastion 9 – Porte de Vincennes – Bastion 10 – Bastion 11 – Porte de Montreuil – Bastion 12 – Bastion 13 – Bastion 14 – Porte de Bagnolet – Bastion 15 – Bastion 16 – Porte de Ménilmontant – Bastion 17 – Bastion 18 – Porte de Romainville – Bastion 19 – Bastion 20 – Porte du Pré-Saint-Gervais – Bastion 21 – Bastion 22 – Bastion 23 – Porte Chaumont – Bastion 24 – Porte de Pantin – Bastion 25 – Bastion 26 – Bastion 27 – Bastion 28 – Porte de la Villette – Bastion 29 – Bastion 30 – Bastion 31 – Porte d'Aubervilliers – Bastion 32 – Bastion 33 – Porte de la Chapelle – Bastion 34 – Bastion 35 – Porte des Poissonniers – Bastion 36 – Porte de Clignancourt – Bastion 37 – Bastion 38 – Porte Montmartre – Bastion 39 – Porte de Saint-Ouen – Bastion 40 – Porte Pouchet – Bastion 41 – Bastion 42 – Bastion 43 – Porte de Clichy – Bastion 44 – Bastion 45 – Porte d'Asnières – Bastion 46 – Bastion 47 – Porte de Courcelles – Porte de la Révolte – Bastion 48 – Porte de Champerret – Bastion 49 – Porte de Villiers – Bastion 50 – Porte de Sablonville – Porte des Ternes – Bastion 51 – Porte Maillot – Bastion 52 – Bastion 53 – Bastion 54 – Porte Dauphine – Bastion 55 – Bastion 56 – Bastion 57 – Porte de la Muette – Bastion 58 – Bastion 59 – Porte de Passy – Bastion 60 – Bastion 61 – Bastion 62 – Porte d'Auteuil – Bastion 63 – Porte Molitor – Bastion 64 – Bastion 65 – Porte de Saint-Cloud – Bastion 66 – Porte du Point-du-Jour – Bastion 67 – Porte de Billancourt – La Seine – Porte du Bas-Meudon – Bastion 68 – Bastion 69 – Porte de Sèvres – Bastion 70 – Porte d'Issy – Bastion 71 – Porte de Versailles – Bastion 72 – Poterne de la Plaine – Bastion 73 – Porte de Plaisance – Bastion 74 – Porte Brancion – Bastion 75 – Porte de Vanves – Bastion 76 – Porte Didot – Bastion 77 – Bastion 78 – Porte de Châtillon – Bastion 79 – Porte de Montrouge – Porte d'Orléans – Bastion 80 – Bastion 81 – Porte d'Arcueil – Bastion 82 – Bastion 83 – Porte de Gentilly – Bastion 84 – Bastion 85 – Poterne des Peupliers – Bastion 86 – Porte de Bicêtre – Bastion 87 – Porte d'Italie – Bastion 88 – Porte de Choisy – Bastion 89 – Porte d'Ivry – Bastion 90 – Bastion 91 – Porte de Vitry – Bastion 92 – Bastion 93 – Bastion 94 – Porte de la Gare – La Seine

Présentation des bastions

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Le premier bastion commence au sud-est de Paris sur la rive droite de la Seine, près du parc de Bercy. Les fronts tiennent en dehors, à partir de ce point, Saint-Mandé, Vincennes, Charonne, laissant libres toutes les routes.
Ils enveloppent ensuite, les hauteurs de Mont-Louis, de Ménilmontant, de Belleville, des Buttes-Chaumont et de la Villette[2].

L'enceinte tourne autour de Montmartre, des Batignolles, de Monceau, et atteint par un large trait d'union, ménagé entre les bastions no 49 et 50, Neuilly.
De ce point les fronts se rabattent à l'ouest tout le long du bois de Boulogne, qu'ils quittent au bastion no 63 pour aboutir à la Seine au bastion no 67 bis.
Ils recommencent au-delà, enserrant Grenelle, Vaugirard, le Petit-Montrouge, et atteignent le méridien de Paris au bastion no 82.
De là ils redescendent encore au sud, laissant passage à la route de Lyon, puis, remontant à l'est, ils vont enfin rejoindre la rive gauche de la Seine un peu au-dessous du bastion no 1.

Historique : Siège de Paris 1870-1871

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D'après les règles établies en 1867, l'armement des forts et de l'enceinte devait se composer de 7 pièces par bastion.

Au début de la guerre, le matériel de l'artillerie n'était, pour les forts, que de 3 pièces par bastion, et il n'existait pas une seule pièce en batterie sur les remparts de l'enceinte de Thiers. Il n'y avait pas non plus de bouches à feu de réserve à Paris, celles-ci ayant été envoyées à Metz et à Strasbourg.
Jusqu'au 8 août, on se borne à y placer quelques canons, plutôt pour satisfaire l'opinion publique qu'en prévision d'un siège qui semblait impossible. Pourtant, le lundi 19 septembre débute le siège de Paris.

Portes et bastions

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NB : Les voies en italique sont situées entre deux bastions.

Porte de Bercy

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Le bastion no 1 est l'un des seuls éléments subsistant de l'enceinte de Thiers, situé dans le 12e arrondissement[3].

Localisation

Le bastion no 1 est situé est situé dans le sud-est 12e arrondissement de Paris, en contrebas du no 117 bis boulevard Poniatowski.
Il est séparé de la Seine par le quai de Bercy et du reste de l’échangeur de la porte de Bercy par la rue Robert-Etlin, qui le contourne sur plus de la moitié de son pourtour.

Historique

Le bastion no 1 apparaît lors de la construction de l'enceinte de Thiers, entre 1841 et 1845.
À la destruction de celle-ci, en 1919, le bastion est l'un des rares éléments à ne pas être démantelé.
Le bastion est inscrit monument historique le [3].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 2 était situé dans le 12e arrondissement.

Historique

Le 15 octobre 1870, durant le siège de Paris de 1870-1871, un seul obus, tiré à partir du bastion no 2, a tué les deux officiers prussiens à cheval qui venaient faire mettre en batterie une section d'artillerie située à 4 500 mètres, et tué les cavaliers d'une des pièces qui a été mise hors de service.

Voie créée ou existante

Le bastion no 3 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Charenton

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Le bastion no 4 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Reuilly

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Le bastion no 5 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Picpus

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Le bastion no 6 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 7 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Poterne de Montempoivre

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Le bastion no 8 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Saint-Mandé

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Le bastion no 9 était situé dans le 12e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Vincennes

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Le bastion no 10 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 11 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Montreuil

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Le bastion no 12 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 13 était situé dans le 20e arrondissement[12].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 14 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Bagnolet

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Le bastion no 15 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 16 était situé dans le 20e arrondissement[15].

Voies créées ou existantes

Porte de Ménilmontant

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Le bastion no 17 était situé dans le 20e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 18 était situé dans le 20e arrondissement[17].

Voies créées ou existantes

Porte de Romainville

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Le bastion no 19 était situé dans le 19e arrondissement[20].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 20 était situé dans le 19e arrondissement[20].

Voie créée ou existante

Porte du Pré-Saint-Gervais

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Le bastion no 21 était situé dans le 19e arrondissement[22].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 22 était situé dans le 19e arrondissement[23],[24].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 23 était situé dans le 19e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte Chaumont

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Le bastion no 24 était situé dans le 19e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Pantin

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Le bastion no 25 était situé dans le 19e arrondissement.

Voies créée ou existante

Le bastion no 26 était situé dans le 19e arrondissement.

Voie créée ou existante

Le bastion no 27 était situé dans le 19e arrondissement[28].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 28 était situé dans le 19e arrondissement[29].

Voies créées ou existantes

Porte de la Villette

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Le bastion no 29 était situé dans le 19e arrondissement[31].

Historique

Le 15 septembre 1918, durant la Première Guerre mondiale, une bombe explose sur l'hôpital temporaire situé dans le bastion no 29, lors d'un raid effectué par des avions allemands[32].

Voies créées ou existantes

Porte du canal Saint-Denis

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Le bastion no 30 était situé dans le 19e arrondissement[35].

Voie créée ou existante

Le bastion no 31 était situé dans le 19e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte d'Aubervilliers

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Le bastion no 32 était situé dans le 18e arrondissement[38].

Historique

Le 8 octobre 1914, durant la première Guerre mondiale, le bastion no 32 est bombardée par un raid effectué par des avions allemands[39].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 33 était situé dans le 18e arrondissement[38].

Voies créées ou existantes

Porte de la Chapelle

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Le bastion no 34 était situé dans le 18e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte des Poissonniers

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Le bastion no 35 était situé dans le 18e arrondissement[42].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 36 était situé dans le 18e arrondissement.

Voie créée ou existante

Porte de Clignancourt

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Le bastion no 37 était situé dans le 18e arrondissement[44].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 38 était situé dans le 18e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte Montmartre

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Le bastion no 39 était situé dans le 18e arrondissement[46].

Historique

Le 8 mars 1918, durant la première Guerre mondiale, le no 167 avenue des Batignolles est touché lors d'un raid effectué par des avions allemands[39],[47].

Voies créées ou existantes

Porte de Saint-Ouen

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Le bastion no 40 était situé dans le 17e arrondissement.

Historique

Le 8 mars 1918, durant la première Guerre mondiale, le no 167 avenue des Batignolles est touché lors d'un raid effectué par des avions allemands[39],[47].

Voies créées ou existantes

Porte Pouchet

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Le bastion no 41 était situé dans le 17e arrondissement.

Voie créée ou existante

Le bastion no 42 était situé dans le 17e arrondissement.

Le bastion no 43 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Clichy

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Le bastion no 44 était situé dans le 17e arrondissement[51].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 45 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte d'Asnières

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Le bastion no 46 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 47 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Courcelles

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Porte de la Révolte

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Le bastion no 48 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes
Panneau Histoire de Paris
« Porte de Champerret »

Porte de Champerret

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Le bastion no 49 était situé dans le 17e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Villiers

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Le bastion no 50 était situé dans le 17e arrondissement[56].

Voies créées ou existantes

Porte de Sablonville

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Porte des Ternes

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Le bastion no 51 était situé dans le 17e arrondissement[57].

Historique

C'est par la porte Maillot et l'avenue de la Grande-Armée que les troupes prussiennes entrèrent dans Paris le 1er mars 1871.

Une des dix-huit barricades fortifiées avec canons de la Commune de Paris fut établie à la porte Maillot au printemps 1871[58],[59]. Sous le feu du mont Valérien, tenu par les troupes versaillaises, le bastion no 51 et les communards reçurent 78 000 obus en 48 jours.

Voies créées ou existantes

Porte Maillot

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Le bastion no 52 était situé dans le 16e arrondissement.

Historique

C'est par la porte Maillot et l'avenue de la Grande-Armée que les troupes prussiennes entrèrent dans Paris le [[Chronologie du siège de Paris (1870-1871)|1er mars 1871]].

Une des dix-huit barricades fortifiées avec canons de la Commune de Paris fut établie à la porte Maillot au printemps 1871[58],[59]. Sous le feu du mont Valérien, tenu par les troupes versaillaises, le bastion no 51 et les communards reçurent 78 000 obus en 48 jours.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 53 était situé dans le 16e arrondissement[61].

Voie créée ou existante

Le bastion no 54 était situé dans le 16e arrondissement.

Voie créée ou existante

Porte Dauphine

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Le bastion no 55 était situé dans le 16e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 56 était situé dans le 16e arrondissement[63].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 57 était situé dans le 16e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de la Muette

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Le bastion no 58 était situé dans le 16e arrondissement[65].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 59 était situé dans le 16e arrondissement[65].

Voies créées ou existantes

Porte de Passy

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Historique

Le 22 mai 1871 à 5 heures du matin, au début de la Semaine sanglante, les 1er et 2e régiment d'infanterie provisoire de l'armée versaillaise entrent dans Paris par la porte de Passy.

Le bastion no 60 était situé dans le 16e arrondissement[67],[68].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 61 était situé dans le 16e arrondissement[69],[68].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 62 était situé dans le 16e arrondissement de Paris[70]

Historique

Le 20 octobre 1870, durant le siège de Paris de 1870-1871, les batteries des bastions nos 62, 63 et 64 et le fort du Mont-Valérien ont à nouveau canonné les travaux de l'ennemi à Montretout et à Garches.

Le 15 septembre 1918, durant la Première Guerre mondiale, une bombe explose sur le Bastion no 62 en face du no 61 boulevard Suchet lors d'un raid effectué par des avions allemands[32].

Voies créées ou existantes

Porte d'Auteuil

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Le bastion no 63 était situé dans le 16e arrondissement[71],[72].

Historique

Le 20 octobre 1870, durant le siège de Paris de 1870-1871, les batteries des bastions nos 62, 63 et 64 et le fort du Mont-Valérien ont à nouveau canonné les travaux de l'ennemi à Montretout et à Garches.
Le 27 octobre 1870, le Mont-Valérien, la batterie Mortemart et les bastions nos 63 et 64, ont ouvert le feu sur le Brimborion et l'Orangerie de Saint-Cloud faisant fuir en grand nombre les soldats prussiens afin de perturber les travaux et les mouvements de l'ennemi.

Voies créées ou existantes

Porte Molitor

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Le bastion no 64 était situé dans le 16e arrondissement[73].

Historique

Le 20 octobre 1870, durant le siège de Paris de 1870-1871, les batteries des bastions nos 62, 63 et 64 et le fort du Mont-Valérien ont canonné les travaux de l'ennemi à Montretout et à Garches.
Le 27 octobre 1870, le Mont-Valérien, la batterie Mortemart et les bastions nos 63 et 64, ont ouvert le feu sur le Brimborion et l'Orangerie de Saint-Cloud faisant fuir en grand nombre les soldats prussiens afin de perturber les travaux et les mouvements de l'ennemi.
Le dimanche , entre 14 et 15 heures, pendant la Commune de Paris, Jules Ducatel découvre que la porte de Saint-Cloud et ses environs ne sont plus gardés. Après avoir improvisé un drapeau blanc à l'aide d'un mouchoir fixé sur un râteau[74], il monte, malgré les obus tirés depuis Montretout, sur le bastion no 64 (dont l'emplacement correspond à l'actuelle rue de l'Arioste) pour alerter les lignes versaillaises positionnées dans des tranchées creusées en contrebas du bastion no 65, du côté du parc des Princes. Informé par le capitaine de frégate Auguste Trève[75], le général Douay en réfère à Thiers, qui ordonne à l'armée régulière de pénétrer dans Paris avec près de 48 heures d'avance par rapport au plan initial. Libéré sur ordre du général Douay après avoir été brièvement arrêté par les soldats qui craignaient une ruse des fédérés, Ducatel guide ensuite la division Vergé, alors commandée par le colonel Louis Alfred Piquemal[Note 1],[76], vers le Trocadéro.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 65 était situé dans le 16e arrondissement[77].

Voies créées ou existantes

Porte de Saint-Cloud

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Historique

Le 22 mai 1871 à 5 heures du matin, au début de la Semaine sanglante, le 3e régiment d'infanterie provisoire de l'armée versaillaise pénètre dans Paris au Point-du-Jour par la porte de Saint-Cloud, suivi par le 17e régiment d'infanterie provisoire.

Le bastion no 66 était situé dans le 16e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte du Point-du-Jour

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Bastions 67 et 67 bis

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Les bastions nos 67 et 67 bis étaient des éléments de l'ancienne enceinte de Thiers, situé dans le 16e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Billancourt

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Porte du Bas-Meudon

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Le bastion no 68 était situé dans le 15e arrondissement[79].

Voie créée ou existante

Le bastion no 69 était situé dans le 15e arrondissement[79].

Voies créées ou existantes

Porte de Sèvres

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Le bastion no 70 était situé dans le 15e arrondissement[82].

Voies créées ou existantes

Porte d'Issy

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Le bastion no 71 était situé dans le 15e arrondissement[82].

Voies créées ou existantes

Porte de Versailles

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Le bastion no 72 était situé dans le 15e arrondissement[84].

Voies créées ou existantes

Poterne de la Plaine

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Le bastion no 73 était situé dans le 15e arrondissement[85].

Voies créées ou existantes

Porte de Plaisance

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Le bastion no 74 était situé dans le 15e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte Brancion

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Le bastion no 75 était situé dans le 15e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Vanves

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Le bastion no 76 était situé dans le 14e arrondissement[87].

Voies créées ou existantes

Porte Didot

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Le bastion no 77 était situé dans le 14e arrondissement[88].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 78 était situé dans le 14e arrondissement[89].

Voies créées ou existantes

Porte de Châtillon

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Le bastion no 79 était situé dans le 14e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Montrouge

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Porte d'Orléans

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Le bastion no 80 était situé dans le 14e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 81 était situé dans le 14e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte d'Arcueil

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Le bastion no 82 était situé dans le 14e arrondissement.

Voie créée ou existante

Le bastion no 83 était situé dans le 14e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Gentilly

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Le bastion no 84 était situé dans le 13e arrondissement[91].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 85 était situé dans le 13e arrondissement[92].

Voies créées ou existantes

Poterne des Peupliers

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Le bastion no 86 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Bicêtre

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Le bastion no 87 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte d'Italie

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Le bastion no 88 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte de Choisy

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Le bastion no 89 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Porte d'Ivry

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Le bastion no 90 était situé dans le 13e arrondissement[95].

Voies créées ou existantes

Le bastion no 91 était situé dans le 13e arrondissement[96].

Voies créées ou existantes

Porte de Vitry

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Le bastion no 92 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 93 était situé dans le 13e arrondissement.

Voies créées ou existantes

Le bastion no 94 était situé dans le 13e arrondissement.

Voie créée ou existante

Porte de la Gare

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Articles connexes

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Notes et références

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  1. Louis Alfred Piquemal est né le 3 décembre 1825 à Sarreguemines et mort le 23 mai 1871 durant la semaine sanglante à Paris

Références

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  1. Plan de Paris fortifié et des communes environnantes
  2. L'enceinte de Thiers
  3. a et b « Bastion no 1 des anciennes fortifications », notice no PA00086561, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  4. a b c d e f g et h Bastions nos 1 à 15
  5. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11878/D, bastion no 4
  6. a b c d e et f Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11891/C, bastion no 5
  7. a b c et d Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11873/A, bastion no 6
  8. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11873/B, bastion no 7
  9. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11873/C, bastion no 8
  10. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11837/A, bastion no 9
  11. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11770/C, bastion no 11
  12. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11812/B, bastion no 13
  13. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11812/A, bastion no 14
  14. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11792/A, bastion no 15
  15. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11792/B, bastion no 16
  16. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11792/C, bastion no 17
  17. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11811/F, bastion no 18
  18. a et b également appelée porte des Lilas
  19. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11811/C, bastions nos 18 et 19
  20. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11807/D bastions nos 19 et 20
  21. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11807/C, bastions nos 20 et 21
  22. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11807/B, bastion no 21
  23. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11810/C, bastion 22-23
  24. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11810/D, bastion 21-22
  25. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11810/B, bastions nos 23 et 24
  26. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11890/D, bastions nos 24 et 25
  27. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11890/C, bastions nos 26 et 27
  28. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11890/B, bastions nos 27 et 28
  29. Siège de Paris : La Diane, courtine du bastion 28 - 18 octobre 1870.
  30. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11890/E, bastions nos 28 et 29
  31. Siège de Paris./2./Cantine du Bastion 29./Paris 8 octobre 1870.
  32. a et b Excelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute
  33. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11890/A, bastions nos 28 et 29
  34. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11905/C, bastions nos 29 et 30
  35. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11905/B, bastion no 30
  36. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11905/A, bastions nos 31 et 32
  37. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11983/A, bastion no 32
  38. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11983/B, bastion no 32 et 33
  39. a b et c Exelsior du 8 janvier 1919 : Carte et liste officielles des bombes d'avions et de zeppelins lancées sur Paris et la banlieue et numérotées suivant leur ordre et leur date de chute
  40. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11983/C, bastions nos 33 et 34
  41. a b c et d Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11981/C, bastions nos 34 et 35
  42. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11979/C, bastion no 35
  43. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11979/B, bastions no 36 et 37
  44. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11959/D, bastion no 37
  45. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11959/C, bastion no 38
  46. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11959/B, bastion no 39
  47. a et b Il s'agit la partie se situant entre les boulevards Bessières et Ney et la rue Henri-Huchard situés sur l'emplacement des bastions nos 39 et 40 de l'enceinte de Thiers et les rues Toulouse-Lautrec et du Docteur-Babinski, annexée à Paris par décret du , cette partie étant située autrefois sur le territoire de la commune de Saint-Ouen
  48. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11959/A, bastions nos 39 et 40
  49. Il y a cent cinquante ans, 27 novembre 1870, Florent Rastel va voir la « Joséphine »
  50. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11930/A, bastion no 43
  51. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11932/B, bastion no 44
  52. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11932/A, bastion no 44
  53. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11932/D, bastion no 45
  54. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11850/C, bastions nos 48 et 49
  55. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11850/E, bastions nos 48 et 49
  56. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11765/F, bastion no 50
  57. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11765/C, bastion no 51
  58. a et b « Batterie aux “légendaires artilleurs” : Hortense David », www.parisrevolutionnaire.com (consulté le 28 février 2019).
  59. a et b « Les communardes pionnières du féminisme », www.commune1871.org (consulté le 28 février 2019).
  60. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11836/H, bastion no 52
  61. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11836/D, bastion no 53
  62. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11836/C, bastions nos 54 et 55
  63. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11836/B, bastion no 56
  64. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11836/A, bastion no 57
  65. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11897/B, bastion no 52
  66. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11897/C, bastions no 59 et 60
  67. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11897/D, bastion no 60
  68. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11852/C, bastion nos 60 et 61
  69. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11820/D, bastion no 61
  70. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11820/C, bastion no 62
  71. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11820/B, bastion no 63
  72. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11756/E, bastion no 63 autre vue
  73. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11756/A, bastion no 64
  74. Alfred d'Aunay, « Ducatel », Le Figaro, 4 août 1871, p. 1.
  75. Le capitaine de vaisseau Auguste-Hubert-Stanislas Trève (1829-1885), commandeur de la Légion d'honneur en 1881, commandant du cuirassé L'Atalante pendant l'expédition du Tonkin, s'était illustré lors de la Seconde guerre de l'opium et s'était fait connaître par de nombreux articles scientifiques. En 1871, il est commandant en second du fort de Noisy-le-Sec sous les ordres de l'amiral Saisset avant d'intégrer, sans commandement, l'infanterie versaillaise. Cf. article nécrologique dans Le Figaro du 29 novembre 1885, p. 1.
  76. Historique de la 28e promotion de l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr (1844-1846), promotion de Djemmah
  77. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11756/B, bastion no 65
  78. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11756/G, bastion no 67 bis
  79. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11789/E, bastions nos 68 et 69
  80. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11789/I, bastion no 68
  81. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11775/A, bastion nos 69-70
  82. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11746/D, bastion nos 70-71
  83. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11746/C, bastion nos 70-71
  84. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11827/C, bastions nos 72 et 73
  85. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11827/G, bastion no 73
  86. a b c et d Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11815/D, bastions nos 74 et 75
  87. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11752/F, bastion no 76
  88. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11752/E, bastion no 77
  89. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11926/B, bastion no 78
  90. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11752/D, bastion no 78
  91. a b et c Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11797/F, bastions nos 83 et 84
  92. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11797/E, bastions no 85
  93. a b c et d Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11797/D, bastions nos 85 et 86
  94. a et b Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11794/C, bastions nos 89 et 90
  95. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11794/G, bastion no 90
  96. Plan parcellaire municipal de Paris (fin XIXe) PP/11934/C, bastion no 91